
Consultante....
Re: Consultante....
Cedille92 a écrit :Bande de voraces
Quoi que tu dis ?
Mais alors tu es quoi, toi la la ...............
Re: Consultante....
Une sage pitite putainJak67 a écrit :
Quoi que tu dis ?
Mais alors tu es quoi, toi la la ...............

Re: Consultante....
Cedille92 a écrit : Une sage pitite putain
Avec un cul d'enfer :cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé:
Re: Consultante....
ki parait ouaisJak67 a écrit :
Avec un cul d'enfer :cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé:

Re: Consultante....
Cedille92 a écrit : ki parait ouais
Je crois bien, qu'il va falloir réellement que je te morde pour en être certain

Re: Consultante....
Jak67 a écrit :
Je crois bien, qu'il va falloir réellement que je te morde pour en être certain![]()

Re: Consultante....
Nous arrivons devant un restaurant, le voiturier ouvre ma porte et m’aide à sortir de la voiture. Je sors et c’est le froid qui me rappelle que je ne porte pas de sous vêtement, la chaleur de l’habitacle me l’ayant fait oublié. Il donne ses clés au voiturier, me propose son bras et nous nous dirigeons vers l’hôtesse sagement installée derrière le comptoir de la réception, le sourire figée.
Il m’aide à retirer mon manteau pour le donner à l'hôtesse, sa galanterie m’étonne et est en opposition total avec la personne arrogante et exigeante que je connais. Je me dis qu’à défaut de passer une bonne soirée, au moins j’aurai découvert une nouvelle facette de Jérôme.
Un maître d’hôtel, apercevant Jérôme se précipite vers nous, il semble connaître Jérôme et l’appelle d’ailleurs Monsieur Jérôme, j’avais déjà vu ça dans les films, mais je ne savais pas que cela existait également dans la vrai vie. Il lui propose la même table que d’habitude, mais Jérôme refuse, demandant une table de laquelle il pourra voir toute la salle.
Tout en avançant je découvre le restaurant, la déco est dans les tons bois vernis et vert, un long bar court sur le mur droit, quelques tableaux ici et là mais en toute discrétion. La salle n’est pas grande à peine une vingtaine de table drapées de blanc mais espacées les unes des autres, se qui garantie aux convives une certaine intimité. Une musique d’ambiance en fond, du Bach il me semble, sur le mur de droite juste a côté du bar un couloir menant certainement aux toilettes.
Le maître d’hôtel s’exécute et nous installe a une table au fond de la salle assez éloignée, personne ne pourra entendre notre conversation, mais de laquelle on peut voir chaque table et inversement.
Un frisson remonte le long de ma colonne, et je sens mon cœur s’accélérer, a quoi il joue « il ne croit quand même pas que je vais écarter les cuisses devant tout le restaurant ». Nous nous installons et immédiatement je reçois une légère tape sur l’extérieur de ma cuisse droite, je le regarde.
Jérôme : « au bord de la chaise très chère, on ne s’avachit pas, on garde de le dos bien droit, fais moi ressortir cette généreuse poitrine et tes pointes tendues »
Moi : « pardon ? Je pense que je suis assez grande pour savoir comment me tenir au restaurant »
Jérôme : « Marine, j’ai dit sur le bord de la chaise et décroise les jambes soit gentille, t’es déjà punie, cela me gênerai de doubler ta punition »
Moi : « mais… je… si je décroise les jambes tout le monde va voir que je n’ai pas de sous vêtements ? »
Jérôme : « ne sois pas bête Marine, tu crois vraiment que je t’ai dit sans sous-vêtements uniquement pour mon bon plaisir ? Non c’est pour le tien également et celui des autres »
Je reste interloquée face à de tel propos mais en bonne élève appliquée j’écarte légèrement mes cuisses et me rapproche du bord de la chaise, « après tout c’est le jeu ma pauvre Lucette ».
A ce moment là, le maître d’hôtel arrive vers nous avec 2 coupes de champagne en précisant qu'elles sont offertes par la maison.
Je déguste cette coupe, j’ai toujours adoré le champagne, c’est réellement ma boisson préféré, je pourrais en boire, encore et toujours…
Jérôme : « alors Marine, comment te sens tu, là tout de suite ? »
Marine : « bien, enfin je crois, je ne sais pas plusieurs sentiments m’assaillent en fait»
Jérôme : « laisse moi deviner un peu de peur dû à l’inconnu, sans doute de la honte offrir ton sexe au regard de tous et une pointe d’excitation »
Marine : « euh oui c’est ça, je ne peux réellement pas fermer les cuisses et me reculer un peu, je ne suis pas super confort comme ça ? »
Jérôme : « certainement pas, reste ainsi et regarde les. Regarde les hommes comme ils te désirent, ils aimeraient en voir plus, ils bandent. Regarde maintenant leur compagnes, comme certaines sont outrées et d’autre presque envieuses d’assumer ainsi ta féminité »
Pendant qu’il débitait ces paroles, je regarde et effectivement il a raison, certains hommes affichent une belle bosse dans leur pantalon, pendant que certaines femmes rougissent, détournent leur regards alors que d'autres ne peuvent détacher leurs yeux de mon sexe. Au moment où j’en prends conscience une vague de plaisir s’écoule entre mes cuisses offertes. Je prends même un malin plaisir a écarter un petit peu plus les cuisses.
Jérôme : « tu es belle Marine, et si je t’ai amenée ici et que je te fais faire cet exercice c’est pour que tu prennes conscience combien tu es désirable ».
Je commence à me détendre, ces mots me réchauffent le cœur tant bien que mal et on nous apporte la carte. J’ai une faim de loup avec la réunion sandwich/salade de ce midi ; Et de toute façon le début du projet je n’ai pas du manger correctement depuis des mois.
Tout les plats on l’air plus divins les uns des autres, j’opte pour le poisson : un saumon braisée, purée de pomme de terre et sa farandole de printemps. Jérôme prends l’onglet et commande comme vin : un St Julien 2002.
La soirée est très agréable nous parlons de tout et de rien, nos différentes anciennes missions, nos vies respectives. J’apprends ainsi que suite à une déception amoureuse Jérôme s’est laissé porté vers la domination et assume désormais totalement sa condition de "Maître" mais sans jamais s’étendre plus que ça sur le sujet.
Au moment de commander le dessert, le maître d’hôtel s’approche de nous suite à un geste fin de Jérôme, lorsque je sens quelque chose de frais sur mon sexe « impossible il ne fait pas se que je pense », je regarde sur la table, ses couverts, c’est bien cela, sa cuillère a disparue de la table.
Il m’aide à retirer mon manteau pour le donner à l'hôtesse, sa galanterie m’étonne et est en opposition total avec la personne arrogante et exigeante que je connais. Je me dis qu’à défaut de passer une bonne soirée, au moins j’aurai découvert une nouvelle facette de Jérôme.
Un maître d’hôtel, apercevant Jérôme se précipite vers nous, il semble connaître Jérôme et l’appelle d’ailleurs Monsieur Jérôme, j’avais déjà vu ça dans les films, mais je ne savais pas que cela existait également dans la vrai vie. Il lui propose la même table que d’habitude, mais Jérôme refuse, demandant une table de laquelle il pourra voir toute la salle.
Tout en avançant je découvre le restaurant, la déco est dans les tons bois vernis et vert, un long bar court sur le mur droit, quelques tableaux ici et là mais en toute discrétion. La salle n’est pas grande à peine une vingtaine de table drapées de blanc mais espacées les unes des autres, se qui garantie aux convives une certaine intimité. Une musique d’ambiance en fond, du Bach il me semble, sur le mur de droite juste a côté du bar un couloir menant certainement aux toilettes.
Le maître d’hôtel s’exécute et nous installe a une table au fond de la salle assez éloignée, personne ne pourra entendre notre conversation, mais de laquelle on peut voir chaque table et inversement.
Un frisson remonte le long de ma colonne, et je sens mon cœur s’accélérer, a quoi il joue « il ne croit quand même pas que je vais écarter les cuisses devant tout le restaurant ». Nous nous installons et immédiatement je reçois une légère tape sur l’extérieur de ma cuisse droite, je le regarde.
Jérôme : « au bord de la chaise très chère, on ne s’avachit pas, on garde de le dos bien droit, fais moi ressortir cette généreuse poitrine et tes pointes tendues »
Moi : « pardon ? Je pense que je suis assez grande pour savoir comment me tenir au restaurant »
Jérôme : « Marine, j’ai dit sur le bord de la chaise et décroise les jambes soit gentille, t’es déjà punie, cela me gênerai de doubler ta punition »
Moi : « mais… je… si je décroise les jambes tout le monde va voir que je n’ai pas de sous vêtements ? »
Jérôme : « ne sois pas bête Marine, tu crois vraiment que je t’ai dit sans sous-vêtements uniquement pour mon bon plaisir ? Non c’est pour le tien également et celui des autres »
Je reste interloquée face à de tel propos mais en bonne élève appliquée j’écarte légèrement mes cuisses et me rapproche du bord de la chaise, « après tout c’est le jeu ma pauvre Lucette ».
A ce moment là, le maître d’hôtel arrive vers nous avec 2 coupes de champagne en précisant qu'elles sont offertes par la maison.
Je déguste cette coupe, j’ai toujours adoré le champagne, c’est réellement ma boisson préféré, je pourrais en boire, encore et toujours…
Jérôme : « alors Marine, comment te sens tu, là tout de suite ? »
Marine : « bien, enfin je crois, je ne sais pas plusieurs sentiments m’assaillent en fait»
Jérôme : « laisse moi deviner un peu de peur dû à l’inconnu, sans doute de la honte offrir ton sexe au regard de tous et une pointe d’excitation »
Marine : « euh oui c’est ça, je ne peux réellement pas fermer les cuisses et me reculer un peu, je ne suis pas super confort comme ça ? »
Jérôme : « certainement pas, reste ainsi et regarde les. Regarde les hommes comme ils te désirent, ils aimeraient en voir plus, ils bandent. Regarde maintenant leur compagnes, comme certaines sont outrées et d’autre presque envieuses d’assumer ainsi ta féminité »
Pendant qu’il débitait ces paroles, je regarde et effectivement il a raison, certains hommes affichent une belle bosse dans leur pantalon, pendant que certaines femmes rougissent, détournent leur regards alors que d'autres ne peuvent détacher leurs yeux de mon sexe. Au moment où j’en prends conscience une vague de plaisir s’écoule entre mes cuisses offertes. Je prends même un malin plaisir a écarter un petit peu plus les cuisses.
Jérôme : « tu es belle Marine, et si je t’ai amenée ici et que je te fais faire cet exercice c’est pour que tu prennes conscience combien tu es désirable ».
Je commence à me détendre, ces mots me réchauffent le cœur tant bien que mal et on nous apporte la carte. J’ai une faim de loup avec la réunion sandwich/salade de ce midi ; Et de toute façon le début du projet je n’ai pas du manger correctement depuis des mois.
Tout les plats on l’air plus divins les uns des autres, j’opte pour le poisson : un saumon braisée, purée de pomme de terre et sa farandole de printemps. Jérôme prends l’onglet et commande comme vin : un St Julien 2002.
La soirée est très agréable nous parlons de tout et de rien, nos différentes anciennes missions, nos vies respectives. J’apprends ainsi que suite à une déception amoureuse Jérôme s’est laissé porté vers la domination et assume désormais totalement sa condition de "Maître" mais sans jamais s’étendre plus que ça sur le sujet.
Au moment de commander le dessert, le maître d’hôtel s’approche de nous suite à un geste fin de Jérôme, lorsque je sens quelque chose de frais sur mon sexe « impossible il ne fait pas se que je pense », je regarde sur la table, ses couverts, c’est bien cela, sa cuillère a disparue de la table.
Re: Consultante....
Humm, que de belles choses à faire avec une petite cuillère.
Oui petite souris.
Mclm a écrit :
Oui petite souris.

Re: Consultante....
Dents ou cravaches ?Jak67 a écrit :
Je crois bien, qu'il va falloir réellement que je te morde pour en être certain![]()

Re: Consultante....
Cedille92 a écrit : Dents ou cravaches ?
Attendrir à la cravache, et dents ensuite. :cinglé: :cinglé: :cinglé:
Re: Consultante....
Jak67 a écrit :
Attendrir à la cravache, et dents ensuite. :cinglé: :cinglé: :cinglé:

Re: Consultante....
ça me fait penser à un sujet qui m'turlute pine... assumer sa féminité c'est quoi? c'est montrer sa chatte? C'est ce genre de remarques que j'ai du mal à comprendre. Je vais de ce pas poster dans SM.
Re: Consultante....
On va pas discuter de ça ici mais je pense qu'assumer sa féminité c'est se servir de son corps pour plaire : un jolie décolleté, une cuisse découverte par exemple et en jouer. Jusqu'à ne pas mettre de culotte et l'assumer totalement
Re: Consultante....
Jak67 a écrit :
Attendrir à la cravache, et dents ensuite. :cinglé: :cinglé: :cinglé:

Re: Consultante....
Kireseth a écrit :ça me fait penser à un sujet qui m'turlute pine... assumer sa féminité c'est quoi? c'est montrer sa chatte? C'est ce genre de remarques que j'ai du mal à comprendre. Je vais de ce pas poster dans SM.
je pense que c'est aimée être une femme tout simplement... Que l'on soit en jean, en robe, nue...
Re: Consultante....
Je dois me concentrer pour commander mon moelleux chocolat alors que ce corps étranger s’insinue dans mes chairs, son chemin est déjà bien avancé sur mon abricot humide
Je le sens désormais entre mes grandes lèvres, je ne manque pas de lâcher un soupir, cet objet froid et en métal qui rentre en contact avec mon clitoris est divin. La commande est passée, je suis incapable de savoir se que Jérôme a commandé, bien trop concentrée a garder une certaine convenance même si mes cuisses s’écartent un peu plus.
Mon regard se focalise sur ma cuillère et imagine quel parti de ce couvert est en contact avec ma fente, mes mains sont posées bien à plat sur la table comme pour me raccrocher à quelque chose.
Une fois le maître d’hôtel parti, je regarde Jérôme désabusée par se qu’il fait.
Jérôme : « tu as été parfaite, mais je n’en n’attendais pas moins de toi »
Moi : « si tu pouvais arrêter… maintenant… parce que… je … »
Jérôme : « quoi ? Tu as du mal à te concentrer ? Tu sens le plaisir s’insinuer en toi comme un virus le ferait ? »
Moi : « Jérôme… s’il te plait… »
Jérôme : « laisses toi aller Marine, jouie si tu en as envie »
Moi (haletante sous le traitement que Jérôme m’impose) : « mais…je… euh… ne peux pas… C’est… Lieu public… Hmmmm… Tu…»
Je n’arrive plus a me concentrer, j’ai du mal a ne pas perdre pieds devant la vague de plaisir qui monte en moi, et cette cuillère qui continue son va et vient, sans jamais me pénétrer vraiment mais qui me branle, c’est trop, je me sens venir, je vais jouir là ici, comme ça au milieu d’un restaurant « non Marine, concentres toi, tu ne peux pas », je resserre mes mains en des poings douloureux pour me contenir quelques minutes de plus.
Ma tête me tourne et est sur le point d’exploser quand le serveur arrive avec nos desserts. Jérôme d’un geste sûre mais bref pince mon téton droit, je jouis ainsi devant le serveur, un gémissement s’échappe de ma gorge et je rejette ma tête en arrière. J’essaie tant bien que mal de maîtriser les tremblements de mon corps, quand Jérôme tend la cuillère au serveur : « vous serez gentil de la changer, je crois qu’elle a déjà servie ».
Le serveur : « bien monsieur »
Une fois le serveur partie, je rouvre les yeux, et regarde Jérôme avec un mélange de gratitude et de haine. Comment a-t-il pu me faire ça dans un restaurant ? Je regarde autour de moi, une partie des tables est vide, mais la table d’hommes d’affaires n’en a visiblement pas perdu une miette. Je rougis de plus belle, je n’ose pas lever le regard de mon assiette, d’autant plus lorsque le serveur reviens pour donner une nouvelle cuillère à Jérôme.
Je n’ose rien dire à Jérôme, je suis à la fois en colère contre se qu’il vient de m’imposer et plus que jamais ardente, tout mon corps le réclame, si je ne m’écoutais je lui sauterai dessus, afin qu’il me baise. Parce que oui, au fond de moi, je n’ai qu’une envie maintenant qu’il me baise sauvagement en me traitant de tous les noms uniquement pour décupler mon plaisir et lui rendre la jouissance qu’il vient de me donner.
Je le sens désormais entre mes grandes lèvres, je ne manque pas de lâcher un soupir, cet objet froid et en métal qui rentre en contact avec mon clitoris est divin. La commande est passée, je suis incapable de savoir se que Jérôme a commandé, bien trop concentrée a garder une certaine convenance même si mes cuisses s’écartent un peu plus.
Mon regard se focalise sur ma cuillère et imagine quel parti de ce couvert est en contact avec ma fente, mes mains sont posées bien à plat sur la table comme pour me raccrocher à quelque chose.
Une fois le maître d’hôtel parti, je regarde Jérôme désabusée par se qu’il fait.
Jérôme : « tu as été parfaite, mais je n’en n’attendais pas moins de toi »
Moi : « si tu pouvais arrêter… maintenant… parce que… je … »
Jérôme : « quoi ? Tu as du mal à te concentrer ? Tu sens le plaisir s’insinuer en toi comme un virus le ferait ? »
Moi : « Jérôme… s’il te plait… »
Jérôme : « laisses toi aller Marine, jouie si tu en as envie »
Moi (haletante sous le traitement que Jérôme m’impose) : « mais…je… euh… ne peux pas… C’est… Lieu public… Hmmmm… Tu…»
Je n’arrive plus a me concentrer, j’ai du mal a ne pas perdre pieds devant la vague de plaisir qui monte en moi, et cette cuillère qui continue son va et vient, sans jamais me pénétrer vraiment mais qui me branle, c’est trop, je me sens venir, je vais jouir là ici, comme ça au milieu d’un restaurant « non Marine, concentres toi, tu ne peux pas », je resserre mes mains en des poings douloureux pour me contenir quelques minutes de plus.
Ma tête me tourne et est sur le point d’exploser quand le serveur arrive avec nos desserts. Jérôme d’un geste sûre mais bref pince mon téton droit, je jouis ainsi devant le serveur, un gémissement s’échappe de ma gorge et je rejette ma tête en arrière. J’essaie tant bien que mal de maîtriser les tremblements de mon corps, quand Jérôme tend la cuillère au serveur : « vous serez gentil de la changer, je crois qu’elle a déjà servie ».
Le serveur : « bien monsieur »
Une fois le serveur partie, je rouvre les yeux, et regarde Jérôme avec un mélange de gratitude et de haine. Comment a-t-il pu me faire ça dans un restaurant ? Je regarde autour de moi, une partie des tables est vide, mais la table d’hommes d’affaires n’en a visiblement pas perdu une miette. Je rougis de plus belle, je n’ose pas lever le regard de mon assiette, d’autant plus lorsque le serveur reviens pour donner une nouvelle cuillère à Jérôme.
Je n’ose rien dire à Jérôme, je suis à la fois en colère contre se qu’il vient de m’imposer et plus que jamais ardente, tout mon corps le réclame, si je ne m’écoutais je lui sauterai dessus, afin qu’il me baise. Parce que oui, au fond de moi, je n’ai qu’une envie maintenant qu’il me baise sauvagement en me traitant de tous les noms uniquement pour décupler mon plaisir et lui rendre la jouissance qu’il vient de me donner.
Dernière modification par Invité le 22 juin 2011, 16:19, modifié 1 fois.
Re: Consultante....
Nous finissons notre repas, mon corps bouillonne de désir. J’ai envie de sexe comme je n’ai pas eu depuis des années et je ne savais pas que c’était aussi bon. Mon ventre brûle, mes seins sont gonflés et mes tétons tendus à l’extrême.
Jérôme prévenant, m’ouvre la portière de la voiture pour que je m’y installe, monte a son tour et démarre. Aucun geste de sa part n’est équivoque, alors que mon corps me brûle de plus en plus.
Je ne sais pas quoi faire, est ce que si je pose ma main sur sa cuisse il comprendra ? Je m’y risque ou non ? Allez c’est partie « vas y ma fille tu peux le faire ». Je m’aventure a poser ma main sur sa cuisse. Il ne bouge pas, « que faire ? », je remonte lentement mes doigts vers le haut, toujours aucune réaction. J’hésite un instant, si je n’ai aucune réaction de sa part c’est certainement qu’il n’a au final pas envie de moi. Je retire ma main, presque déçue, je ne comprends pas se qu’il attend de moi.
Jérôme : « tu abandonnes bien vite ? »
Moi : « quoi ? »
Jérôme : « je dis tu abandonnes bien vite, je te pensais plus entreprenante, je pensais que tu continuerais ta course »
Moi : « mais, je… enfin vu que tu ne réagissais pas, je pensais que tu n’en avais pas envie »
Jérôme : « si tu attends a chaque fois que je te dise quoi faire pour me donner du plaisir, c’est pas gagné »
Pour toute réponse a cette phrase, ma main s’abat sur son sexe qui durcit sous mes doigts. Je suis avide de ce sexe, je le veux en moi. Je le caresse à travers son pantalon « belle taille », je le regarde il sourit. Je continue mon œuvre et ouvre sa braguette, ma main s’y glisse et en m’emparant de son sexe pendant dix secondes je suis en arrêt, « mon dieu, elle est énorme, jamais il n’arrivera à rentrer en moi », mais je me dois de continuer, au moins à le branler. Je le sors et le contemple, le caresse du bout des doigts, Jérôme imperturbable continue de conduire, mais son sourire m’encourage.
Je le prends en main et commence doucement mais surement un va et vient sur ce vît, il pivote un peu son bassin pour être plus à l’aise sous mes caresses. J’accélère en douceur.
Jérôme : « pas mal mais tu as encore à apprendre comment branler à la perfection un homme, sois plus ferme quand tu me tiens, resserre plus tes doigts »
Je m’exécute et je le sens poussé un léger soupir, je comprends que je fais des progrès. Je m’applique, attentive a ses changements de respiration et à son sexe entre mes doigts qui ne fait que grossir. Son gland est désormais bien gonflé et je sens son membre commencer à palpiter. Il arrête la voiture d’un coup sec, et se retourne vers moi : « sors de la voiture ».
Je ne comprends pas, je reste figée sur mon siège quand je sens ma portière s’ouvrir et une main qui me tire vers l’extérieur de l’habitacle, je n’ai même pas remarqué que Jérôme est sorti et que c’est sa main qui est sur mon bras.
Je sors, il referme la portière et me plaque contre. Il est dos à moi, je sens son sexe contre mes fesses se qui ne fait qu’augmenter mon désir. Il sort mes seins, du décolleté de ma robe, qu’il prend en main, faisant rouler mes tétons érigés entre ses doigts, ce geste me déclenche des ondes électriques sur ma peau.
Jérôme : « alors comme ça petite cochonne, tu as envie de ma queue »
Moi : « … »
Jérôme : « tu ne me réponds pas ? On aurait perdu sa langue tout à coups ? Je vais te donner se que tu attends pour te faire jouir comme tu le mérites et tel que tu ne l’as jamais connu »
Jérôme prévenant, m’ouvre la portière de la voiture pour que je m’y installe, monte a son tour et démarre. Aucun geste de sa part n’est équivoque, alors que mon corps me brûle de plus en plus.
Je ne sais pas quoi faire, est ce que si je pose ma main sur sa cuisse il comprendra ? Je m’y risque ou non ? Allez c’est partie « vas y ma fille tu peux le faire ». Je m’aventure a poser ma main sur sa cuisse. Il ne bouge pas, « que faire ? », je remonte lentement mes doigts vers le haut, toujours aucune réaction. J’hésite un instant, si je n’ai aucune réaction de sa part c’est certainement qu’il n’a au final pas envie de moi. Je retire ma main, presque déçue, je ne comprends pas se qu’il attend de moi.
Jérôme : « tu abandonnes bien vite ? »
Moi : « quoi ? »
Jérôme : « je dis tu abandonnes bien vite, je te pensais plus entreprenante, je pensais que tu continuerais ta course »
Moi : « mais, je… enfin vu que tu ne réagissais pas, je pensais que tu n’en avais pas envie »
Jérôme : « si tu attends a chaque fois que je te dise quoi faire pour me donner du plaisir, c’est pas gagné »
Pour toute réponse a cette phrase, ma main s’abat sur son sexe qui durcit sous mes doigts. Je suis avide de ce sexe, je le veux en moi. Je le caresse à travers son pantalon « belle taille », je le regarde il sourit. Je continue mon œuvre et ouvre sa braguette, ma main s’y glisse et en m’emparant de son sexe pendant dix secondes je suis en arrêt, « mon dieu, elle est énorme, jamais il n’arrivera à rentrer en moi », mais je me dois de continuer, au moins à le branler. Je le sors et le contemple, le caresse du bout des doigts, Jérôme imperturbable continue de conduire, mais son sourire m’encourage.
Je le prends en main et commence doucement mais surement un va et vient sur ce vît, il pivote un peu son bassin pour être plus à l’aise sous mes caresses. J’accélère en douceur.
Jérôme : « pas mal mais tu as encore à apprendre comment branler à la perfection un homme, sois plus ferme quand tu me tiens, resserre plus tes doigts »
Je m’exécute et je le sens poussé un léger soupir, je comprends que je fais des progrès. Je m’applique, attentive a ses changements de respiration et à son sexe entre mes doigts qui ne fait que grossir. Son gland est désormais bien gonflé et je sens son membre commencer à palpiter. Il arrête la voiture d’un coup sec, et se retourne vers moi : « sors de la voiture ».
Je ne comprends pas, je reste figée sur mon siège quand je sens ma portière s’ouvrir et une main qui me tire vers l’extérieur de l’habitacle, je n’ai même pas remarqué que Jérôme est sorti et que c’est sa main qui est sur mon bras.
Je sors, il referme la portière et me plaque contre. Il est dos à moi, je sens son sexe contre mes fesses se qui ne fait qu’augmenter mon désir. Il sort mes seins, du décolleté de ma robe, qu’il prend en main, faisant rouler mes tétons érigés entre ses doigts, ce geste me déclenche des ondes électriques sur ma peau.
Jérôme : « alors comme ça petite cochonne, tu as envie de ma queue »
Moi : « … »
Jérôme : « tu ne me réponds pas ? On aurait perdu sa langue tout à coups ? Je vais te donner se que tu attends pour te faire jouir comme tu le mérites et tel que tu ne l’as jamais connu »
Re: Consultante....
Je suis incapable de lui répondre, à la fois j’imagine son sexe en moi et c’est plutôt la crainte qui s’empare de moi, et à la fois ces mots m’électrisent. J’en ai envie oui qu’il me prenne et depuis un petit moment. Je sens mon entre-cuisse s’humidifier un peu plus, « mais pourquoi je réagis comme ça ? »
Tout se confond dans mon esprit mes désirs et mes réticences, seule l’envie reste intacte et le plaisir qui ne fait qu’augmenter.
Il me fait m’installer les mains sur le capot de la voiture, jambes légèrement écartées, longe la ligne de ma colonne vertébrale avec un doigt puis relève ma robe sur mes reins. Il caresse d’une main ferme mais sûre mes fesses et me dit « quel joli cul nous avons là » , se qui a pour effet de me faire me creuser un peu plus mes reins. Je ne contrôle plus mon corps, je lui suis totalement offerte, abandonnée « pourvu qu’il me prenne et me fasse jouir ».
Il continue ses caresses, malaxe une fesse, l'une puis l’autre, avant de s’attaquer aux deux en même temps quand je reçois une claque magistrale sur l’une mes fesses, la douleur n’est pas si forte que ça, « je m’attendais à pire », bien au contraire je sens mes fesses chauffées et l’excitation monter d’un cran en moi.
Une deuxième, puis une troisième suivent, alternées de caresses et je ne peux a chacune retenir un cri de surprise mais au final c’est assez agréable. Je sais qu’il ne me fesse pas de toutes ses forces, il veut juste me faire découvrir une nouvelle forme de plaisir et je ne gardais pas un tel souvenir de mes fessées d’enfance.
Il passe sa main sur ma fente ruisselante de plaisir et me lâche « mais c’est que tu aimes ça ». Je suis incapable de lui répondre, j’en veux plus, je le veux en moi et c’est la seule certitude que j’ai à l’heure actuelle. Sa main s’active sur mon sexe glabre, il me branle, d’abord du bord de sa main puis avec ses doigts. Il passe lentement puis plus vite sur mon clitoris gonflé et l’entrée de ma vulve mais sans jamais me pénétrer, j’essaie d’un coup de reins de m’empaler sur ses doigts mais il retire immédiatement sa main en me disant « je te rappelle que c’est moi qui décides », une nouvelle onde de plaisir parcours ma colonne.
Deux de ses doigts s’introduisent enfin en moi, profondément et lentement, je pousse un gémissement. Je coule de bonheur le long de mes cuisses, jamais je n’ai autant désiré quelqu’un, il commence un lent va et vient puis accélère. Il me lime savamment de ces doigts, se qui a pour effet de me faire écarter un peu plus les jambes et me cambrer pour les sentir encore plus profondément en moi. Son sexe que je sens toujours contre l’une de mes cuisses me rend dingue, je deviens folle c’est sûre, mais j’en ai envie comme jamais.
Jérôme : « t’aimes ça, hein ma coquine ? »
Moi : « oui »
Jérôme : « et tu as envie que je vienne en toi là maintenant ? »
Moi : « oh oui Jérôme »
Jérôme : « alors demandes le »
Moi : « Prends-moi »
Jérôme « Mieux que ça »
Ces doigts vont toujours de plus en vite, de son autre main il agace mon bouton gorgé de sang, je me sens aux portes de l’orgasme, tout mon corps se tends sous ses assauts, mes muscles commencent à se contracter, mon bassin accompagne ses doigts dans leurs mouvement, je tourne la tête, le regarde dans les yeux et lui lâche : « s’il te plait… Viens ! »
Il enfile un préservatif qu’il sort de sa poche, et se présente à l’entrée de ma vulve, je n’en peux plus d’attendre, je le veux et d’un coup sec de bassin, je m’enfonce sur ce chibre énorme, sur toute sa longueur.
Mon mouvement me fait hoqueter, et je sens mes chairs s’écarter sur son passage, mais j’en avais tellement envie que je suis enfin satisfaite.
Tout se confond dans mon esprit mes désirs et mes réticences, seule l’envie reste intacte et le plaisir qui ne fait qu’augmenter.
Il me fait m’installer les mains sur le capot de la voiture, jambes légèrement écartées, longe la ligne de ma colonne vertébrale avec un doigt puis relève ma robe sur mes reins. Il caresse d’une main ferme mais sûre mes fesses et me dit « quel joli cul nous avons là » , se qui a pour effet de me faire me creuser un peu plus mes reins. Je ne contrôle plus mon corps, je lui suis totalement offerte, abandonnée « pourvu qu’il me prenne et me fasse jouir ».
Il continue ses caresses, malaxe une fesse, l'une puis l’autre, avant de s’attaquer aux deux en même temps quand je reçois une claque magistrale sur l’une mes fesses, la douleur n’est pas si forte que ça, « je m’attendais à pire », bien au contraire je sens mes fesses chauffées et l’excitation monter d’un cran en moi.
Une deuxième, puis une troisième suivent, alternées de caresses et je ne peux a chacune retenir un cri de surprise mais au final c’est assez agréable. Je sais qu’il ne me fesse pas de toutes ses forces, il veut juste me faire découvrir une nouvelle forme de plaisir et je ne gardais pas un tel souvenir de mes fessées d’enfance.
Il passe sa main sur ma fente ruisselante de plaisir et me lâche « mais c’est que tu aimes ça ». Je suis incapable de lui répondre, j’en veux plus, je le veux en moi et c’est la seule certitude que j’ai à l’heure actuelle. Sa main s’active sur mon sexe glabre, il me branle, d’abord du bord de sa main puis avec ses doigts. Il passe lentement puis plus vite sur mon clitoris gonflé et l’entrée de ma vulve mais sans jamais me pénétrer, j’essaie d’un coup de reins de m’empaler sur ses doigts mais il retire immédiatement sa main en me disant « je te rappelle que c’est moi qui décides », une nouvelle onde de plaisir parcours ma colonne.
Deux de ses doigts s’introduisent enfin en moi, profondément et lentement, je pousse un gémissement. Je coule de bonheur le long de mes cuisses, jamais je n’ai autant désiré quelqu’un, il commence un lent va et vient puis accélère. Il me lime savamment de ces doigts, se qui a pour effet de me faire écarter un peu plus les jambes et me cambrer pour les sentir encore plus profondément en moi. Son sexe que je sens toujours contre l’une de mes cuisses me rend dingue, je deviens folle c’est sûre, mais j’en ai envie comme jamais.
Jérôme : « t’aimes ça, hein ma coquine ? »
Moi : « oui »
Jérôme : « et tu as envie que je vienne en toi là maintenant ? »
Moi : « oh oui Jérôme »
Jérôme : « alors demandes le »
Moi : « Prends-moi »
Jérôme « Mieux que ça »
Ces doigts vont toujours de plus en vite, de son autre main il agace mon bouton gorgé de sang, je me sens aux portes de l’orgasme, tout mon corps se tends sous ses assauts, mes muscles commencent à se contracter, mon bassin accompagne ses doigts dans leurs mouvement, je tourne la tête, le regarde dans les yeux et lui lâche : « s’il te plait… Viens ! »
Il enfile un préservatif qu’il sort de sa poche, et se présente à l’entrée de ma vulve, je n’en peux plus d’attendre, je le veux et d’un coup sec de bassin, je m’enfonce sur ce chibre énorme, sur toute sa longueur.
Mon mouvement me fait hoqueter, et je sens mes chairs s’écarter sur son passage, mais j’en avais tellement envie que je suis enfin satisfaite.
Re: Consultante....


Re: Consultante....
Cedille92 a écrit :et dire qu'à la première publication certains et certaines n'aimaient pas Jérôme
Tu m'étonnes !!!

Re: Consultante....
Cedille92 a écrit :et dire qu'à la première publication certains et certaines n'aimaient pas Jérôme
Ne mélange pas les fofos.
Jérôme, est bien trop gentil.
Re: Consultante....
J'l'aime pas!
Il est condescendant et imbu de sa personne et n'a aucun humour
Pis le coup de : j'vais te baiser comme t'as jamais été baisée...bof. Ca aussi je l'ai entendue souvent et sans aucun effet.
Ceci dit, c'est bien écrit, et marrant dans l'ensemble, même si dans la réalité ces gens seraient au poste pour exhib sur la voie publique
(par contre, jouir...c'est un verbe du 2ème groupe : je jouis, avec un S, et j'ai joui, sans S
)

Il est condescendant et imbu de sa personne et n'a aucun humour

Pis le coup de : j'vais te baiser comme t'as jamais été baisée...bof. Ca aussi je l'ai entendue souvent et sans aucun effet.

Ceci dit, c'est bien écrit, et marrant dans l'ensemble, même si dans la réalité ces gens seraient au poste pour exhib sur la voie publique


Re: Consultante....
Ceci dit, c'est bien écrit, et marrant dans l'ensemble, même si dans la réalité ces gens seraient au poste pour exhib sur la voie publique
(par contre, jouir...c'est un verbe du 2ème groupe : je jouis, avec un S, et j'ai joui, sans S
)[/quote]
Pouffff en s'en fiche du moment qu'elle prenne son pied !!!!


Pouffff en s'en fiche du moment qu'elle prenne son pied !!!!

Re: Consultante....
Je ne veux pas me mêler, mais il ne m'a pas semblé que c'était son pied qu'elle prenait, même si la taille semble porter à confusion.Mclm a écrit : Pouffff en s'en fiche du moment qu'elle prenne son pied !!!!
V., qui n'aurait pas tout bien lu ?

Re: Consultante....
Vintage a écrit : Je ne veux pas me mêler, mais il ne m'a pas semblé que c'était son pied qu'elle prenait, même si la taille semble porter à confusion.
V., qui n'aurait pas tout bien lu ?
Tu ne veux pas te mêler,

aux intervenants ?




Re: Consultante....
Kireseth a écrit :Effectivement, c'était une cuillère puis un gland
Il faut bien une cuillère pour arroser un gland.
Re: Consultante....
Ca c'est sûr... mais surtout, avant d'être fort comme un chêne, on est... con comme un gland, quoi.



Re: Consultante....
nan nan tout le truc c'est de bien choisir l'endroitKireseth a écrit :J'l'aime pas!![]()
Il est condescendant et imbu de sa personne et n'a aucun humour![]()
Pis le coup de : j'vais te baiser comme t'as jamais été baisée...bof. Ca aussi je l'ai entendue souvent et sans aucun effet.![]()
Ceci dit, c'est bien écrit, et marrant dans l'ensemble, même si dans la réalité ces gens seraient au poste pour exhib sur la voie publique(par contre, jouir...c'est un verbe du 2ème groupe : je jouis, avec un S, et j'ai joui, sans S
)

Vi je sais pour mes fautes

Re: Consultante....
Une brêle c'est un ado qui écrit en phonétique, t'en es loin, quand même!Cedille92 a écrit :
Vi je sais pour mes fautesje suis une brêle et c'est pas aujourd'hui que ça va changer malheureusement

C'est juste que sur ce verbe là, je dois être chatouilleuse, il représente trop de choses sans doute.

Re: Consultante....
Oui je m'emmêle trop souvent, sans doute, n'est ce pasJak67 a écrit : Tu ne veux pas te mêler

V., sang mêlé aussi.

Re: Consultante....
Tant que tu ne tricotes pas à force d'être emmêlé.Vintage a écrit : Oui je m'emmêle trop souvent, sans doute, n'est ce pas![]()
V., sang mêlé aussi.

Re: Consultante....
Une fois au plus profond de moi, il attrape mes hanches et commence sa danse, doucement pour laisser mon corps s’habituer a sa présence imposante, puis il accélère. Jamais un homme n’était venu si profondément en moi, c’est comme si je redécouvrais le sexe, que toute mon expérience passée était vaine et obsolète.
Mes gémissements vont crescendo et se transforment en cris, tout le monde peut entendre le plaisir que Jérôme me donne et je veux le faire partager. Ses mains sont partout, sur mes seins pinçant mes tétons surexcités, sur mes fesses les claquant de temps en temps, sur mon dos qu’il caresse longuement d’un doigt et sur mes hanches, qu’ils agrippent pour renforcer ses coups de reins.
Je me cambre un peu plus, pour mieux le sentir en moi, il butte contre ma matrice. L’orgasme qui s’approche va être destructeur, je commence déjà à avoir du mal a tenir sur mes jambes, Jérôme doit le ressentir car il ressert sa prise sur mes hanches, mais ne cesse de me pilonner, ces couilles claquent sur mes cuisses. J’aime ce bruit, bestial, sauvage, je ferme les yeux pour mieux ressentir mon corps.
Moi : « je vais jouir Jérôme… »
Jérôme : « oui Marine, allez laisses toi allez, crie hurle ta jouissance… »
Je me sens pour la première fois chienne et j’aime ça, je me laisse uniquement guider par mon instinct. Une boule monte de mon ventre à ma gorge, je sens que lorsqu’elle atteindra ma bouche, j’exploserai. Les mots de Jérôme : "hurler ma jouissance", résonnent dans ma tête.
Mes bras ne me tiennent plus et je tombe le visage et le buste sur le capot au moment où tout mon corps part dans un orgasme infini, le bruit qui s’échappe de ma gorge est une résonance à ma jouissance et les derniers coups de buttoir de Jérôme ne font que l’amplifier lorsque lui vient au creux de mes reins dans un râle très masculin.
Il s’écroule sur moi, nous restons ainsi immobiles, je suis incapable de faire le moindre mouvement de toute façon, ouvrir mes yeux me paraît surhumain. Jérôme se redresse, m’embrasse la nuque et le haut du dos avant de me demander si ça va. Je ne suis même plus capable de faire une phrase, je n’ai que la force de souffler un minuscule oui. Je le sens se retirer, mais mon corps ne bouge toujours pas.
Je l’entends se mouvoir, se rhabiller et je le sens distinctement derrière moi, regarder le spectacle pitoyable que je dois lui offrir étant incapable de bouger. Mes yeux se sont rouverts découvrant un parking désert et j’essaie de me remémorer comment mes muscles fonctionnent.
Jérôme : « ça va Marine ? »
Moi : «oui » en chuchotant
Jérôme : « t’as besoin d’aide peut être ? »
Moi : « je crois que oui »
Nous éclatons de rire tout les deux et avec une tendresse infinie, il m’aide à me redresser, une fois debout, il me rattrape de justesse avant que je m’écroule par terre. Et il m’aide à m’assoir sur le capot de la voiture et m’embrasse. Nos langues caressent l'une et l’autre comme pour remercier une dernière fois nos corps de la jouissance qu’ils viennent de nous donner.
Il me regarde et me propose une cigarette que j’accepte avec plaisir « la clope d’après le sexe, la meilleure », de toute façon je crois que mon cerveau ne s’est pas encore remis en route entièrement.
Jérôme : « ça va ? »
Moi : « oui, merci »
Jérôme : « non remercies ton corps, moi je n’ai fais qu’enclencher la première si je puis dire »
Moi : « oui mais merci j’insiste, je n’avais jamais connu tel orgasme, c’est troublant »
Jérôme : « c’est parce que tu as laissé ton corps prendre le contrôle et rien d’autre. Et se n’est que le début »
Ah ce mot, un nouveau frisson me parcourt.
Jérôme m’aide à me réinstaller dans la voiture, j’ai l’impression que chacun de mes membres a été anesthésiés, que je peux les coordonner mais sans totalement contrôler leur mouvement.
Jérôme une fois derrière le volant reprends la route, nous étions sortis de Paris sans que je m’en rende compte. Il prend le périph dont on doit faire plus de la moitié pour arriver chez moi. Pendant ce temps, je me laisse envahir par la chaleur de l’habitacle et la voix de Ray Charles. Je me refais le film de la soirée et de cette partie de baise, je suis incapable de me reconnaître, « qui suis-je réellement ? Ou quelle partie de moi était sur ce parking? »
Une fois chez moi, il me raccompagne jusqu'à ma porte, me dépose un chaste baiser sur le front et s’en va. Je rentre chez moi et m’écroule sur mon lit « oh non 2h du matin, dodo et boulot dans quatre heures, a moins que je ne me lève qu’a 7h, ou 7h30, ou… ». Je rejoins Morphée bien plus vite que prévu.
Mes gémissements vont crescendo et se transforment en cris, tout le monde peut entendre le plaisir que Jérôme me donne et je veux le faire partager. Ses mains sont partout, sur mes seins pinçant mes tétons surexcités, sur mes fesses les claquant de temps en temps, sur mon dos qu’il caresse longuement d’un doigt et sur mes hanches, qu’ils agrippent pour renforcer ses coups de reins.
Je me cambre un peu plus, pour mieux le sentir en moi, il butte contre ma matrice. L’orgasme qui s’approche va être destructeur, je commence déjà à avoir du mal a tenir sur mes jambes, Jérôme doit le ressentir car il ressert sa prise sur mes hanches, mais ne cesse de me pilonner, ces couilles claquent sur mes cuisses. J’aime ce bruit, bestial, sauvage, je ferme les yeux pour mieux ressentir mon corps.
Moi : « je vais jouir Jérôme… »
Jérôme : « oui Marine, allez laisses toi allez, crie hurle ta jouissance… »
Je me sens pour la première fois chienne et j’aime ça, je me laisse uniquement guider par mon instinct. Une boule monte de mon ventre à ma gorge, je sens que lorsqu’elle atteindra ma bouche, j’exploserai. Les mots de Jérôme : "hurler ma jouissance", résonnent dans ma tête.
Mes bras ne me tiennent plus et je tombe le visage et le buste sur le capot au moment où tout mon corps part dans un orgasme infini, le bruit qui s’échappe de ma gorge est une résonance à ma jouissance et les derniers coups de buttoir de Jérôme ne font que l’amplifier lorsque lui vient au creux de mes reins dans un râle très masculin.
Il s’écroule sur moi, nous restons ainsi immobiles, je suis incapable de faire le moindre mouvement de toute façon, ouvrir mes yeux me paraît surhumain. Jérôme se redresse, m’embrasse la nuque et le haut du dos avant de me demander si ça va. Je ne suis même plus capable de faire une phrase, je n’ai que la force de souffler un minuscule oui. Je le sens se retirer, mais mon corps ne bouge toujours pas.
Je l’entends se mouvoir, se rhabiller et je le sens distinctement derrière moi, regarder le spectacle pitoyable que je dois lui offrir étant incapable de bouger. Mes yeux se sont rouverts découvrant un parking désert et j’essaie de me remémorer comment mes muscles fonctionnent.
Jérôme : « ça va Marine ? »
Moi : «oui » en chuchotant
Jérôme : « t’as besoin d’aide peut être ? »
Moi : « je crois que oui »
Nous éclatons de rire tout les deux et avec une tendresse infinie, il m’aide à me redresser, une fois debout, il me rattrape de justesse avant que je m’écroule par terre. Et il m’aide à m’assoir sur le capot de la voiture et m’embrasse. Nos langues caressent l'une et l’autre comme pour remercier une dernière fois nos corps de la jouissance qu’ils viennent de nous donner.
Il me regarde et me propose une cigarette que j’accepte avec plaisir « la clope d’après le sexe, la meilleure », de toute façon je crois que mon cerveau ne s’est pas encore remis en route entièrement.
Jérôme : « ça va ? »
Moi : « oui, merci »
Jérôme : « non remercies ton corps, moi je n’ai fais qu’enclencher la première si je puis dire »
Moi : « oui mais merci j’insiste, je n’avais jamais connu tel orgasme, c’est troublant »
Jérôme : « c’est parce que tu as laissé ton corps prendre le contrôle et rien d’autre. Et se n’est que le début »
Ah ce mot, un nouveau frisson me parcourt.
Jérôme m’aide à me réinstaller dans la voiture, j’ai l’impression que chacun de mes membres a été anesthésiés, que je peux les coordonner mais sans totalement contrôler leur mouvement.
Jérôme une fois derrière le volant reprends la route, nous étions sortis de Paris sans que je m’en rende compte. Il prend le périph dont on doit faire plus de la moitié pour arriver chez moi. Pendant ce temps, je me laisse envahir par la chaleur de l’habitacle et la voix de Ray Charles. Je me refais le film de la soirée et de cette partie de baise, je suis incapable de me reconnaître, « qui suis-je réellement ? Ou quelle partie de moi était sur ce parking? »
Une fois chez moi, il me raccompagne jusqu'à ma porte, me dépose un chaste baiser sur le front et s’en va. Je rentre chez moi et m’écroule sur mon lit « oh non 2h du matin, dodo et boulot dans quatre heures, a moins que je ne me lève qu’a 7h, ou 7h30, ou… ». Je rejoins Morphée bien plus vite que prévu.
Re: Consultante....
Bonjour,
he ben voila je viens de m'inscrire, hhoo tu sauras qui je suis a force de m'avoir dis, "viens sur bikets" ben voila c'est fait.
bien je vois que le recit voyage et attise bien des reactions
pourquoi sen privé.
cedille92, jack67...bonjour
he ben voila je viens de m'inscrire, hhoo tu sauras qui je suis a force de m'avoir dis, "viens sur bikets" ben voila c'est fait.
bien je vois que le recit voyage et attise bien des reactions

pourquoi sen privé.
cedille92, jack67...bonjour