INGRID

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
BjEd9a10

Re: INGRID

Message par BjEd9a10 »

et en fin de journée.. tu peux faire les comptes... :ouch:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Vous vous inquiétez du petit dej,

vous n'êtes pas des femelles pour rien.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-17-


Elle se retourne, s’étire comme une chatte. Je sors de mes songes, admirant ses courbes.

« Bonjour, mon maître, vous avez bien dormi ? »

« Bonjour Ingrid, merveilleusement bien. »

« Je m’occupe du petit déjeuner, mon maître, vous restez couché, enfin si vous le voulez. Vous désirez quoi pour le petit déjeuner. »

« Café noir, baguette, charcuterie, œuf à la coque. »

Elle se lève, prends le téléphone, commande le petit déjeuner directement à la cuisine.

Elle va dans la salle de bain, s’installe sur le WC, me regarde, ne semble absolument pas gêner. Je l’entends uriner. Elle se lève, après s’être essuyé.

*****************************************

Elle se coiffe, je la voie de dos, son regard accroche le mien dans le miroir, elle se retourne, en souriant, tout en finissant de se coiffer.

On toc à la porte, Ingrid me regarde.

J’acquiesce, tout en réalisant à postériori qu’elle est complètement nue.

Elle ouvre la porte, le serveur, la regarde ébahie, j’ai l’impression qu’il gobe des mouches. Elle lui prend le plateau des mains, avant qu’il ne réalise, elle est revenue dans la chambre, la porte de la chambre claque devant le serveur, qui n’a pas réalisé. Ingrid a fermé la porte avec le pied.

Elle s’approche du lit, pose le plateau près de moi, sur le lit, s’assied sur une chaise.

Je regarde le plateau, il n’y a qu’une seule tasse, et uniquement ce que j’ai demandé.

« Ingrid tu ne manges rien le matin ? »

« Si mon maître, vous ne m’avez rien demandé, je mangerais ce que vous me laisserez. »

Je me sers un café, le bois, mange mon œuf à la coque, un morceau de pain.

Je regarde Ingrid, elle est assise toujours nue, sur le fauteuil jambes écartées, les mains posées sur les accoudoirs, la tête baissée.

« Ingrid vient manger. »

Elle se met à quatre pattes, s’approche du lit, attend.

Elle n’attend quand même pas que je la nourrisse.

Je vais pour servir un café, tout en regardant Ingrid, qui fait non de la tête. Je vais pour prendre le plateau, pour le lui tendre, elle fait non de la tête. Je pousse le plateau au bord du lit.

Ses yeux commencent à briller.

« Mange. »

Je ne dois quand même pas lui dire, mange chienne.

Ingrid prend le plateau, le pose au sol, au pied du lit, sur le sol, mange. Quand elle a fini, je tapote sur le lit, elle vient à côté de moi, attend, les yeux brillants.

« Vous voulez que je vous suce mon maître. Vous seriez plus détendue pour prendre la route. »

Elle se penche écarte le drap, sa main, prends délicatement mon sexe, qui en entendant Ingrid, en entendant ces mots, commence à se réveiller.

Sa langue, caresse mon gland qu’elle a décalotté. Elle passe du méat au frein. Elle lèche mon sexe sur toute sa longueur. Une de ses mains est sur mes fesses, l’autre joue avec mes bourses, un de ses doigts passe de mes bourses au périnée. Elle mordille mon sexe sur toute la longueur.

Elle n’arrête pas. Passe de mes bourses à mon pénis avec sa bouche, ses dents, sa langue. Je la regarde faire. Si elle continue à cette cadence je vais exploser dans peut de temps. Ingrid sait que je vais éjaculer, je sens les contractions de mon sexe, elle aussi. Elle me regarde.

Elle me tète encore plus violement, comme si elle voulait aspirer mon gland. J’éjacule, Ingrid tout en me regardant, déglutis. Elle avale mon sperme. Sa langue s’applique à nettoyer mon sexe, elle le lèche comme un Mikko, l’embrasse.

Ingrid s’accroupi sur le lit.

« Votre foutre est toujours aussi bon, mon maître, tout comme votre vit, qui est si doux, mon bon maître.

Merci d’avoir joui dans la bouche de votre chienne que je suis. J’espère que ce petit intermède vous aura détendue. »

Je regarde ma montre il est 8 h00. Je me lève, vais pour me diriger vers la salle de bain.

« Mon maître, puis je passer un coup de téléphone ? »

J’acquiesce de la tête, plus par habitude qu’autre chose je quitte la chambre.

Au moment de refermer la porte, je voie Ingrid, qui a laissé sa main sur le combiné du téléphone, complètement surprise de me voir quitter la chambre, de fermer la porte de la salle de bain.

Je retourne dans la chambre.

« Mon maître je n’ai aucun secret pour vous, ne peux en avoir pour vous.

Vous, vous pouvez en avoir pour moi. »

Elle chiffre le numéro.

« Bonjour, c’est moi.

A 9h30 heures devant ta porte.

Oui le Baratin.

Oui, comme je te l’avais dit la dernière fois.

Tu te tais, à 9 h30 comme je viens de dire. »

Elle raccroche. Me regarde avec un énorme sourire.

« Nous passons chercher quelqu’un mon maître, c’est sur le chemin. C’est pour vous mon maître, pour que vous appreniez plus vite. »

Nous nous habillons, sortons de la chambre. Arrivée à la réception, je voie le serveur qui a monté le plateau qui parle avec des collègues, en montrant Ingrid de la tête.

Je regarde Ingrid qui souri. Ses yeux qui sont interrogateurs, ont l’air d’attendre mon accord. Je ne sais pas ce qu’elle prépare, mais j’acquiesce.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

c'est une ptite coquine :d
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

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« Bonjour, c’est moi.

A 9h30 heures devant ta porte.

Oui le Baratin.

Oui, comme je te l’avais dit la dernière fois.

Tu te tais, à 9 h30 comme je viens de dire. »

Elle raccroche. Me regarde avec un énorme sourire.

« Nous passons chercher quelqu’un mon maître, c’est sur le chemin. C’est pour vous mon maître, pour que vous appreniez plus vite. »

Nous nous habillons, sortons de la chambre. Arrivée à la réception, je voie le serveur qui a monté le plateau qui parle avec des collègues, en montrant Ingrid de la tête.

Je regarde Ingrid qui souri. Ses yeux qui sont interrogateurs, ont l’air d’attendre mon accord. Je ne sais pas ce qu’elle prépare, mais j’acquiesce.

*****************************************


Je règle la note en espèce, nous nous dirigeons, vers la sortie, Ingrid à mon bras. Elle s’arrête au niveau du serveur, le toise.

« Quand on a une langue agile dans les mots, il faut qu’elle soit aussi agile pour autre chose.

Quand l’occasion se présente, gober les mouches n’a rien de plaisant, et prouve son incapacité à assumer. »

Elle se tourne vers moi, en souriant.

« Quand vous le voulez, nous y allons mon maître. »

Nous repartons tranquillement, je regarde Ingrid discrètement, elle souri, elle est radieuse il est vrais que la tête du serveur, était inénarrable. Elle l’a cloué sur place, et devant ses collègues.

Nous arrivons à la voiture, il est 9h00. Nous partons doucement, Ingrid m’indique la route.

Je voie l’enseigne d’un café le « bar atteint ».

Moi qui avais compris le baratin, je ne voyais pas le rapport, avec la discussion téléphonique.

Une jeune fille attend devant, un manteau presque identique à celui d’Ingrid, des bottes, un sac de voyage à ses pieds.

« Mon maître pourriez vous vous garer devant cette personne. S’il vous plait. »

Je me gare, Ingrid descend de voiture. S’approche de la jeune fille, qui voyant Ingrid, immédiatement baisse la tête.

Elle ramasse son sac, suit Ingrid. Elle ouvre le coffre, range son sac monte à l’arrière.

Ingrid s’installe, s’assied en travers du siège de la voiture, regarde la jeune fille que je voie dans mon rétroviseur, tête baissée.

« Mon maître, cette chose derrière, s’appelle Immonde. »

Dans le rétroviseur, je voie Immonde, relevé la tête, me regarder, et immédiatement la main d’Ingrid s’envole, la tête de la jeune fille heurte la vitre latérale.

« Si tu lèves encore une seul fois les yeux, sur notre maître, tu voyageras, dans le coffre. »

« Veuillez m’excuser dame Ingrid, mais je suis tellement surprise, que je n’ai pas pu me retenir de vouloir admirer notre nouveau maître.

Mon maître, je ne suis que moi, Immonde, votre chose, votre putain, votre sac à foutre. Je m’en souviendrais dame Ingrid. Je vous prie de bien vouloir excuser mon comportement honteux, mon maître.»

« Mon maître nous allons passer chez la chose, si vous en êtes d’accord. Nous avons un point important à régler avec la chose.

Il devra continuer à honorer le contrat de travail d’Immonde, pendant encore six mois.

Je me suis permis de faire venir Immonde, pour vous mon maitre.


Si vous en êtes d’accord. »

J’acquiesce de la tête.

Ingrid se retourne regarde à l’arrière.

« Après ces six mois, nous verrons ce qu’il adviendra de toi.

Immonde, es tu heureuse de venir vivre avec nous six mois, de ne plus être en contact avec la chose.

Regarde moi et réponds.»

Dans mon rétroviseur, je vois la tête de la jeune fille se relever, un énorme sourire, barre son visage.

« Je vais vivre avec vous, avec notre maître et vous dame Ingrid, je ne vais plus devoir croiser, ne plus voir la chose, pendant six mois.

Vous ne pouviez pas me rendre plus heureuse dame Ingrid. »

« Mon maître, si vous le voulez, je puis rouler, Immonde, pourrais s’occuper de vous, pour que vous ayez un voyage agréable. Que vous soyez détendue, en arrivant à Sheuerwald.

Mon maître, je voudrais vous faire visiter la maison qui est la votre maintenant.

D’ailleurs, voici, les clefs, ceci est le trousseau de notre défunt Pierre. Il y a des clefs, que je ne connais pas, je ne sais pas ce qu’elles ouvrent.

Pierre, m’avait emmené, pour visiter pendant les travaux. Mais je ne sais pas tout mon, maître. Je m’en excuse d’ailleurs.

Nous devions y aller toutes les deux, avec Pierre, avec notre défunt maître, le lendemain de son tragique accident.

Il voulait nous faire visiter, son domaine. La Forge, son antre, son donjon, comme il se plaisait à l’appeler. »

« Ingrid allons régler le problème, qui n’en sera pas un, avec la chose, ensuite nous verrons, pour le trajet. »

« Dame Ingrid, la chose habite maintenant, dans la demeure, juste à côté de l’étude. Il a magouillée, comme toujours pour la racheter. »

Je prends la route, me dirige vers l’étude du notaire. Immonde nous montre la maison, je me gare.

Nous descendons de voiture, Ingrid va pour sonner.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:love:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-19-


« Nous devions y aller toutes les deux, avec Pierre, avec notre défunt maître, le lendemain de son tragique accident.

Il voulait nous faire visiter, son domaine. La Forge, son antre, son donjon, comme il se plaisait à l’appeler. »

« Ingrid allons régler le problème, qui n’en sera pas un, avec la chose, ensuite nous verrons, pour le trajet. »

« Dame Ingrid, la chose habite maintenant, dans la demeure, juste à côté de l’étude. Il a magouillée, comme toujours pour la racheter. »

Je prends la route, me dirige vers l’étude du notaire. Immonde nous montre la maison, je me gare.

Nous descendons de voiture, Ingrid va pour sonner.

*****************************************


La porte de la maison s’ouvre, le notaire apparait, en robe de chambre, et charentaise, sur le palier de la maison, samedi jour de repos, mais là, jour de surprise.

Il s’approche de nous, il a beau ne pas faire encore très chaud, je le voie transpirer.

Ingrid me regarde, hésitant à prendre la parole.

Je m’approche du portail, Ingrid et Immonde me suivent. Je montre la porte du jardin, avec le doigt, tout en avançant, la chose ouvre la porte du jardin. Je m’approche de lui.

« Immonde vient avec nous pendant six mois, pendant ces six mois vous continuerez à payer son salaire, comme il se doit.

Dans six mois, nous vous dirons, ce qu’il adviendra de son contrat de travail.

Tous les quinze jours, vous enverrez à Sheuerwald, une copie certifiée de sa feuille de présence, dument complété de ses horaires de travail. Ainsi que ses fiches de paie, chaque mois.

Vue ce qui s’est passé, hier, je n’ai plus aucune confiance en vous. S’il y a le moindre retard, la moindre anicroche, Ingrid sait ce qui doit être fait. »

Je voie, la porte de la maison s’ouvrir, une femme d’un certain âge apparait fait un signe de la main.

Je regarde la chose, l’œil interrogateur.

« Mon épouse. »

Immonde, répond au signe de l’épouse de la chose.

« Bonjour ma tante. »

Je voie le notaire se tasser, il commence à trembler.

Immonde me regarde, n’osant me parler.

« Odile va saluer ta tante. »

Elle me regarde surprise, se dirige vers sa tante, qui arrive dans notre direction.

Ingrid jubile, regarde le notaire, en souriant, en le toisant d’un regard méprisant.

Il se tasse de plus en plus.

Sa femme arrive en tenant le bras d’Odile.

« Octave, mon ami, tu ne fais pas les présentations, tu laisses les amis de ma nièce à la porte. »

Je me tourne vers elle.

« Ingrid et Jacques des amis de votre nièce.

Nous sommes juste venues régler un petit détail avec votre mari, nous ne comptions pas nous éterniser.

D’ailleurs nous avons fini. »

Odile me regarde, se tourne vers sa tante.

« Ma tante je parts en stage six mois chez un notaire en Allemagne, un ami d’Ingrid. Cela s’est décidé très vite. Pour mon travail, pour ma formation, ce sera mieux.

Si vous le voulez, vous pouvez louer le studio, que vous m’aviez prêté. Je vais loger en Allemagne chez mon amie Ingrid.

Je ne voulais pas que vous inquiétez, c’est pour cela que nous sommes aussi passés. »

Elle embrasse sa tante, salut la chose, nous les saluons. Tout en serrant la main du notaire et en la lui broyant au passage.

« Donc pas de soucis, maître Wagner, on est bien d’accord sur les modalités. »

Je le voie blanchir, un rictus apparait sur son visage, il transpire comme un damné.

« Pas de soucis, je ferais comme nous avons dit. »

« Je le souhaite, vous le souhaite vraiment. »

Nous remontons en voiture, je conduis.

Ingrid, me regarde, je voie comme une interrogation dans son regard.

Je souri. Comme nous passons devant un café, je m’arrête, me gare.

« Ingrid, Immonde, nous allons boire un café. »

Je sors de la voiture, Ingrid et Immonde font de même.

Je rentre dans le café, voie une table ronde dans un coin, m’y installe, montre la banquette face à moi, banquette qui est dos à la salle.

Immonde s’installe au fond, Ingrid enlève son manteau, s’assied.

« Immonde, pourquoi n’enlèves tu pas ton manteau. »

« Montre à notre maître. »

Immonde se lève derrière la table, déboutonne son manteau, écarte les pans, elle est totalement nue en-dessous. Elle ne bouge plus, tenant les deux pans de son manteau écartés.

Voyant le serveur arrivé, je fais signe à Immonde de se rasseoir.

Le serveur, s’arrête à la table.

Je le regarde.

« Trois cafés, et trois croissants s’il vous plait. »

Il revient, pose les cafés, une corbeille avec les croissants. Je règle.
Ingrid et Immonde tête baissée attendent.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Il revient, pose les cafés, une corbeille avec les croissants. Je règle.
Ingrid et Immonde tête baissée attendent.

tu parles elles surveillent les croissants :siffle2:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :
tu parles elles surveillent les croissants :siffle2:

J'en connais une qui ferait bien de surveiller ses fesses.
:fessee: :fessee:
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Jak67 a écrit :
J'en connais une qui ferait bien de surveiller ses fesses.
:fessee: :fessee:
Pouffff même pas peur :court:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :
Pouffff même pas peur :court:

Petite souris, pense à ta jambe, ne court pas.
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Jak67 a écrit :
Petite souris, pense à ta jambe, ne court pas.
Ben tant pis pour ma jambe :modo: mais le gros chat s'il attrape la souris, il va la manger :valfa: jusqu'à la queue :sweet: heuuu tout réfléchis j'en ai pas... :bik: Enfin bon :court:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-20-


Immonde s’installe au fond, Ingrid enlève son manteau, s’assied.

« Immonde, pourquoi n’enlèves tu pas ton manteau. »

« Montre à notre maître. »

Immonde se lève derrière la table, déboutonne son manteau, écarte les pans, elle est totalement nue en-dessous. Elle ne bouge plus, tenant les deux pans de son manteau écartés.

Voyant le serveur arrivé, je fais signe à Immonde de se rasseoir.

Le serveur, s’arrête à la table.

Je le regarde.

« Trois cafés, et trois croissants s’il vous plait. »

Il revient, pose les cafés, une corbeille avec les croissants. Je règle.
Ingrid et Immonde tête baissée attendent.

*****************************************


« Allez-y, manger. »

Je prends, un croissant, commencent à manger elles font de même.

Je les regarde, autant Ingrid est grande, autant Immonde est petite. En tout point de vue elles sont opposées.

« Donc la femme du notaire est ta tante ? »

Immonde regarde Ingrid, se tourne vers moi.

« Oui mon maître, ma tante s’est marié en deuxième noce avec ce pervers. C’est comme cela que je suis arrivé dans son étude comme apprentis, j’avais 15 ans.

Tout de suite il m’a pris sous sa coupe, il a abusé de mon innocence, de ma candeur. Il m’a dévoyé, m’a violé, m’a sodomiser, enfin pour simplifier, j’étais apprentis putain chez lui. Il m’offrait à des clients, à des amis pour le weekend.

Je n’osais rien dire à ma tante, qui m’avait recueilli au décès de mes parents. Je me disais que s’était de ma faute, et quand il voyait que je voulais me rebeller, il me montrait les polaroids qu’il avait fait, que ses amis avaient fait.

« Tu crois que ta tante serait heureuse de te voir en train de baiser, de te voir t’offrir à autant d’hommes différents. Que dirait-elle de voir les photos de ses hommes, qui se servent de toi, qui te fouettent, qui te pissent dessus ? »

Cela coupait toutes mes envies de rébellion.

Et dame Ingrid est arrivé, en stage à la demande d’un très gros client de l’étude. Pierre Schmidt, le défunt maître de dame Ingrid, mon futur maître.

Tout de suite le pervers, comme je l’appelais à l’époque, du moins dans ma tête.

Donc le pervers, a compris que dame Ingrid était soumise, même qu’elle était la chienne de maître Pierre. Le pervers, a voulu, la pervertir, la voler à son maître.

Il a voulu que je l’aide. Si je n’y arrivais pas, il donnerait les photos à ma tante.

J’ai essayé de toute mon âme, je le voulais, j’avais trop peur. »

Elle se tourne vers Ingrid.

« Puis je tout dire dame Ingrid. »

« Notre maître sait ce que tu as voulu faire à notre défunt maître, ce que tu m’as fait. Je le lui ai dit.

Immonde, tu n’as pas le droit d’avoir de secret pour notre maître, tu le sais.

Arrivé à Sheuerwald, ta nouvelle maison, le maître, notre maître, devra te le faire comprendre, devra ancrer cette réalité dans ton corps, dans tes chairs. »

« Vous finissez vos croissants, et vos cafés, Immonde tu me raconteras la suite, pendant le trajet. »

Nous finissons de manger, nous nous levons, le serveur, qui vient débarrasser, bloque. Il vient de voir le manteau s’ouvrir, il voit qu’Immonde est nue en-dessous.

Comme si de rien n’était, elle referme son manteau, en ignorant le regard du pauvre serveur, en ignorant le serveur comme s’il n’existait pas, tout simplement.

Arrivé à la voiture, qui heureusement est à l’écart sur le parking, je me retourne, vers Ingrid et Immonde. Avant que je n’ai le temps de dire quoi que ce soit.

« Mon maître puis je me permettre d’expliquer quelque chose à Immonde ? »

« Fais ma petite chienne. »

Je voie le regard d’Ingrid briller, un éclair passe dans ses yeux.

« Immonde j’ai choisi Jacques, car il est le seul homme aujourd’hui en qui j’ai confiance, le seul homme à qui je confierais ma vie les yeux fermés, le seul homme qui sera capable de s’occuper de nous.

Il ne connait pas notre monde. Le peu que je lui ai déjà expliqué, il l’a parfaitement assimilé. Ses mots, son comportement depuis ce matin, me disent que j’ai eut humblement, mais totalement raison de le choisir.

Pendant les six mois à venir, toi Immonde, sa chose et moi Ingrid sa chienne, nous allons apprendre à Jacques, apprendre à notre maître.

Nous allons tout lui apprendre, nous allons faire de Jacques notre maître. Nous allons lui apprendre ce qu’un maître est, ce qu’une soumise, une chienne, une chose, est.

Lui apprendre les limites de chacun, ce qui se peut, ce qui ne se peut pas. Pour finir, il sera l’air par lequel nous vivrons. Car il sera un bon maître, je le sais.

Ingrid se tourne vers moi, elle les yeux humides.

Elle s’agenouille, prend mes mains.

« Mon maître, je suis heureuse, je suis fière d’être votre chienne. »

Immonde s’agenouille à côté d’Ingrid, prends mes mains.

« Dame Ingrid vous a choisi, cela me suffit. Vous êtes mon maître, notre maître.

Accepter, m’accepter pour seconder dame Ingrid, pour faire de vous notre maître, est un honneur. Jamais je ne vous décevrez.

Mon nom est Immonde, mon maître, servez vous de moi comme vous le voulez. Je suis votre chose, votre putain, votre sac à foutre, tout ce que vous voudrez, je l’accepterais car vous êtes notre maître. Un bon maître. Tout comme dame Ingrid j’en suis convaincue. »
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Faudrait pas qu'elle le prenne pour dieu :sweet:
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:oops: oh pinaise
S comme

Re: INGRID

Message par S comme »

Cedille92 a écrit ::oops: oh pinaise
J'aurais pas dis mieux...
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :Faudrait pas qu'elle le prenne pour dieu :sweet:
Cedille92 a écrit ::oops: oh pinaise
S comme a écrit : J'aurais pas dis mieux...


Elle est jeune, elle va vite comprendre.
:fessee:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-21-


Ingrid se tourne vers moi, elle les yeux humides.

Elle s’agenouille, prend mes mains.

« Mon maître, je suis heureuse, je suis fière d’être votre chienne. »

Immonde s’agenouille à côté d’Ingrid, prends mes mains.

« Dame Ingrid vous a choisi, cela me suffit. Vous êtes mon maître, notre maître.

Accepter, m’accepter pour seconder dame Ingrid, pour faire de vous notre maître, est un honneur. Jamais je ne vous décevrez.

Mon nom est Immonde, mon maître, servez vous de moi comme vous le voulez. Je suis votre chose, votre putain, votre sac à foutre, tout ce que vous voudrez, je l’accepterais car vous êtes notre maître. Un bon maître. Tout comme dame Ingrid j’en suis convaincue. »

*****************************************


Je regarde ces deux femmes, enfin non, je regarde Ingrid, ma chienne, Immonde ma putain, je commence à réaliser, toute la dévotion, toute la soumission, que ces deux femmes avaient pour Pierre.

Et maintenant elles transfèrent tout sur moi, qui ai accepté, sans trop savoir, sans trop comprendre toutes les conséquences que cela aurait.

Sans le vouloir, depuis ce matin, je me suis glissé dans la peau de la personne qu’Ingrid voit en moi.

Et je dois reconnaitre que c’est troublant, que cette situation, cette vie à venir me trouble.


« Ingrid, Immonde nous y allons. »

« Mon maître, puis je conduire, montez à l’arrière, vous y serez bien mieux pour écouter le récit d’Immonde.

Elle pourra vous détendre, si le besoin s’en fait sentir. Quoi que vous émettiez comme désir, elle le satisfera, elle le doit, vous êtes son maitre.

Immonde, les mains sur le capot, je me dois de montrer à notre maître. »

Les yeux d’Immonde brillent, elle se précipite, pose ses mains sur le capot de la voiture, elle recule ses pieds, jusqu’à ce que son corps forme un angle à 90° avec ses jambes, elle bascule son bassin, creuse ses reins.

Ingrid, s’approche écarte le manteau.

Je voie un disque qui brille au soleil.

« Mon maître, Immonde porte en permanence un plug. Pierre notre défunt maître, l’avait décidé. Il avait décidé cela pour qu’Immonde se souvienne en permanence, que même travaillant pour la chose, elle n’était plus rien pour lui.

Immonde devait obéissance totale à notre maître. Comme cela a tout moment elle se souvenait qu’elle appartenait à mon maître, à notre maître.

Pierre le lui a posé, seul son maître peu le lui enlever, quand il le veut. Maintenant c’est à vous de décider, ce qui est bon pour nous, ce qui est bon pour moi votre chienne, ce qui est bon pour Immonde, votre putain. »

« Mon maitre, j’ai le même. Puis je ? »

« Fais. »

Ingrid se dirige lentement vers le coffre de la voiture, l’ouvre, prend une petite boite dans son sac, reviens, me la tend. Je l’ouvre.

Un plug en inox pur, est à l’intérieur. Ainsi qu’un petit tube de vaseline.

Ingrid s’est positionné à côté d’Immonde, dans la même position, elle a remonté sa jupe, ses mains écartent ses fesses, me présentant son anus.

« Si vous le voulez mon maître. »

Je prends le tube de vaseline, en applique sur le plug. Je m’approche d’Ingrid, qui ne bouge pas.

Je présente le plug, appuis, tout le corps d’Ingrid frémis. Je le fait tourner légèrement, pour vérifier qu’il est bien en place.

Je m’approche d’Immonde.

« Je suis ton nouveau maître.
Je me dois de le mettre moi-même.

Va aux toilettes, enlève le, lave le et reviens tu as cinq minutes. »

Immonde par en courant, rentre dans le café, ressort même pas 3 minutes après. Elle court vers le coffre, sort la même petite boite que ma petite chienne, met le plug dedans, me tend la boite, la tête entre les bras.

J’ouvre la boite, le plug est parfaitement propre, sec. Egalement en inox. Le même petit tube de vaseline est dans la boite.

Immonde se positionne à côté d’Ingrid, elle a enlevée son manteau, l’a posé sur le capot de la voiture. Elle est nue. Ses mains écartent ses fesses, me présentant son anus.

« Si vous le voulez mon maître. »

Je prends le tube de vaseline, en applique sur le plug. Je m’approche d’Immonde, qui ne bouge pas.

Je présente le plug, appuis, tout le corps d’Immonde vibre. Je le fait tourner légèrement, pour vérifier qu’il est bien en place.

Je me recule de trois pas, ces deux culs aussi magnifique l’un que l’autre, avec les plugs, je bande comme un âne. D’une voix légèrement plus rauque.

« Ma chienne tu conduis, on y va. »

Ingrid se redresse, me regarde, voie que je bande, elle ouvre la porte arrière.

« Bon voyage mon maître. »

Immonde qui juste posé son manteau sur ses épaules, s’installe à côté de moi.

Tout en prenant la route Ingrid interpelle Immonde.

« Baisse les stores. »

« Veuillez m’excuser mon maître, vous aussi dame Ingrid, je suis impardonnable. »

Elle se retourne du côté de sa vitre, saisi une languette au plafond, un store pare-soleil se déroule, qu’elle fixe au crochet prévue à cet effet. Elle se penche, fait de même de mon côté, ainsi que la lunette arrière.

Elle enlève son manteau.

« Mon maître, vous bandez, je me dois de vous soulager. Voulez vous, mes mains, ma bouche, ma chatte, mon cul. »

Décidez, ce que vous voulais, pour vous soulager au mieux.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

hummmmmm
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :hummmmmm


Pas de marque extérieur non plus, il faut le savoir. :ange:
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

là c'est de l'organisation !! chacune sa petite boite et le nécessaire de toilette.... :whistle:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Attends que je te ramène ta petite boite. :cinglé: :cinglé: :cinglé:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-22-


Immonde qui juste posé son manteau sur ses épaules, s’installe à côté de moi.

Tout en prenant la route Ingrid interpelle Immonde.

« Baisse les stores. »

« Veuillez m’excuser mon maître, vous aussi dame Ingrid, je suis impardonnable. »

Elle se retourne du côté de sa vitre, saisi une languette au plafond, un store pare-soleil se déroule, qu’elle fixe au crochet prévue à cet effet. Elle se penche, fait de même de mon côté, ainsi que la lunette arrière.

Elle enlève son manteau.

« Mon maître, vous bandez, je me dois de vous soulager. Voulez vous, mes mains, ma bouche, ma chatte, mon cul. »

Décidez, ce que vous voulais, pour vous soulager au mieux.

*****************************************


« Voyons déjà, comment ta bouche est agile. »

Elle s’agenouille, elle ouvre délicatement le zip de ma braguette.

« Mon maître puis je me permettre de descendre, et de vous enlevez votre pantalon, vous serez plus à l’aise. »

« Fait, Immonde, fait ce que tu penses être bien, mais ne me déçoit pas. »

Je croise le regard d’Ingrid dans le rétroviseur, elle acquiesce de la tête.

Elle m’enlève mes chaussures. Les mains d’Immonde, défont la boucle de la ceinture, ouvre les deux boutons du pantalon. Ses mains, glissent, attrapant la taille du pantalon, ainsi que mon slip. (oui en 1975 les boxers n’existaient pas).

Je soulève mes fesses, elle fait glisser le tout sur mes chevilles, tout en me les enlevants complètements. Elle plie soigneusement mon pantalon, tout en vérifiant les plis, le pose sur le siège.

Son regard se pose sur ma verge, qui est dans un état indescriptible, sa main saisie délicatement ma verge, la relève doucement. Sa langue s’approche, par petite touche elle caresse l‘intérieure de mes cuisses.

Je frissonne, je vois ses yeux briller. Sa langue, délicatement, léchouille mes bourses, s’applique, à les rendre encore plus fripées qu’elles ne sont. En même temps, sa main si douce, me masturbe lentement, comme pour entretenir mon érection.

Sa langue s’approche espiègle, et par petite touche, joue avec ma verge, par tous petits coup de langue, sa langue se rapproche de l’objet que convoite ses yeux, que ses yeux fixent depuis le début.

Sa langue se pose délicatement sur mon gland, elle lèche doucement la couronne, s’applique sur le frein, qu’elle titille de petit coup de langues rapide.

La caresse est divine. Je remarque qu’Ingrid roule plus lentement, sans à-coup, comme pour ne pas perturber mon plaisir à venir.

Immonde prend une mèche de ses cheveux noirs jais, l’enroule délicatement autour de ma verge. Elle recule sa tête. Je sens ses cheveux qui enserrent doucement ma verge, avant de commencer à coulisser, autour, l’impression est sublime, le ressenti est merveilleux.

Elle voie ma verge gonfler, grossir encore plus. Ses yeux brillent. Ma main se pose sur sa tête, la caresse.

Elle se jette sur ma verge, elle me pompe, m’aspire, me lèche. Sa langue fouette mon gland dans sa bouche, le rendant encore plus sensible. Elle veut me faire rendre les armes.

Par jeux, je me concentre sur autre chose. Je ne vais lui faire ce plaisir, lui donner cette joie, du moins pas aussi vite qu’elle l’aimerait.

Je sens mon sexe, qui malgré tous les efforts d’Immonde, commence légèrement à débander.

Des larmes apparaissent, noient ses grands yeux bleus. Elle se jette sur ma verge, comme si sa vie en dépendait. Elle se donne totalement.

Elle s’acharne, me pompe, elle bascule légèrement la tête en arrière, je sens ses amygdales, qui viennent compresser mon gland. Elle me baise avec sa bouche, elle me donne sa bouche à baiser, comme, si j’étais dans son ventre, dans ses fesses. Totalement.

L’impression est incroyable, elle veut mon plaisir, elle est prête à tout pour cela. Elle sent que je vais jouir, mon gland contre ses amygdales, la pointe de sa langue qui existe la partie inférieure de ma verge, je ne peux me retenir.

Je me vide directement dans sa gorge. Elle dégluti au fur et à mesure, que mon foutre inonde sa gorge. Je suis vidé, jamais une femme ne m’a sucé de la sorte.

Sa main prend la base de mon sexe, elle s’applique, à le nettoyer, elle enlève toute trace. Je me penche, ma main se pose sur sa vulve glabre. Elle se tétanise, ne bouge plus.

Un puis deux doigts la pénètre, elle coule, elle est trempée. Mon pouce se pose sur son clito, il est énorme.

Elle vibre, elle ne frémit pas, elle vibre.

Je remonte ma main, lui présente mes doigts, elle les lèche les uns après les autres. Soigneusement.

Je me penche près de son oreille.

« Tu as jouie ? »

Elle me regarde, presque offusqué.

« Non mon maître, votre plaisir, seul votre plaisir compte. Votre jouissance, votre plaisir, est mon plaisir. »

Sans vouloir vous manquer de respect, ni paraitre présomptueuse, mon maître, je pourrais vous le prouvez. »

« Si vous en êtes d’accord, pourriez-vous demander à dame Ingrid de s’arrêter, et de vous donner la pochette s’il vous plait mon maître. »

Je me penche.

« Ingrid arrête toi au prochain parking. »

Cinq minutes plus tard, Ingrid se gare.

Elle se tourne vers nous, voie ma tenue, Immonde toujours agenouillée.

« Immonde, demande ce que tu voulais. »

« Dame Ingrid, pourriez vous ramener, la pochette, s’il vous plait.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-23-


« Si vous en êtes d’accord, pourriez-vous demander à dame Ingrid de s’arrêter, et de vous donner la pochette s’il vous plait mon maître. »

Je me penche.

« Ingrid arrête toi au prochain parking. »

Cinq minutes plus tard, Ingrid se gare.

Elle se tourne vers nous, voie ma tenue, Immonde toujours agenouillée.

« Immonde, demande ce que tu voulais. »

« Dame Ingrid, pourriez vous ramener, la pochette, s’il vous plait.

*****************************************


Je me dois de prouver à notre maître que je puis garder le contrôle de ma jouissance. »

Les yeux d’Ingrid brillent. Elle descend, je l’entends ouvrir le coffre, le refermer.

Elle ouvre la porte du côté d’Immonde, qui se précipite pour décrocher le pare-soleil.

Ingrid s’assied, Immonde referme le pare-soleil. Ingrid me tend, un présentoir en velours, enroulé, fermé, par un lien en cuir rouge.

Elle souri en me regardant, dérouler la pochette sur le siège, après avoir défait le nœud du lien en cuir rouge.

Je regarde. Toute une collection de godemichets, est rangée dans des pochettes. Ainsi que deux bandelettes de cuir en forme de U.

Sur chaque bandelette, un prénom est gravé, Ingrid, Immonde.

Je regarde Ingrid, Immonde, l’une après l’autre. Elles sourient, de voir mes yeux ébahis.

« Mon maître, cela va du plus simple, du style des trois premiers, qui sont juste des godemichets de tailles différentes, au plus sophistiqué, du style des deux derniers, deux vibros, qui sont des bijoux.

Il y a aussi un dong et un double dong.

Mon maître, j’aime quand on me prend, être rempli, que mes orifices soient remplis. Cela me permet de me concentrer sur le membre qui est en moi, qui s’active en moi, pour l’amener à la jouissance, en toute connaissance de cause.

L’avant dernier est celui d’Immonde, il est en platine. Le dernier, qui est en or est le mien. Enfin c’est que notre défunt maître disait, il nous les avait attribués.

Notre défunt maître, au retour d’un voyage qu’il a fait au Pays-Bas, nous a ramené ces magnifiques cadeaux. »


J’adore, ce cadeau, ce magnifique vibro. Il ne se voie pas quand il est en place, j’aime me promener avec.

Souvent notre défunt maître, lorsque nous allions à des réceptions, à des soirées, quand il le voulait, les mettait en nous. Nous ne savions jamais, comment ils étaient réglés, sur quelle puissance. »

Par moment, lors des réceptions, il nous fallait nous absenter, nous sortions en courant pour hurler notre jouissance à l’extérieur.

Parfois, notre défunt maître ne voulait pas que nous sortions. Nous nous devions d’être discrètes, dans ces moments. C’est pour cela que nous prenions toujours la bandelette de cuir qui est dans la pochette. Pour pouvoir mordre, pour pouvoir étouffer nos cris, étouffer notre jouissance.

Je me souviens d’une des premières fois. Je n’ai pas sut me tenir. Notre défunt maître m’a emmené au WC de l’hôtel où la réception se passé. Il a défait sa ceinture. Je n’ai pas put m’asseoir pendant trois jours.

Notre défunt maître avait eut totalement raison, je m’étais comporté comme une chienne en chaleur.

Immonde cela lui est aussi arrivé. »

Notre défunt maître avait raison, de faire cela, il faut que nous sachions maitriser nos pulsions, mon maître.

Parfois, lorsque je me promenais avec notre défunt maître, qu’il me faisait cet honneur, de se promener, moi à son bras, je n’arrivais plus à marcher.

Quand le vibro partait en vibrations alternées, là si mon défunt maître, m’y autorisait, je l’enlevais, ou que je l’arrêtais. Il ne m’était plus possible de marcher.

Parfois il nous le refusait. La première qui cédait à son plaisir, qui se laissait entrainait par sa jouissance, était fouetté, par le maitre. Le nombre de coups était calculé par la différence de temps entre nos deux jouissances.

Heureusement il y a plusieurs programmations possibles.

Si vous le voulez, moi aussi mon maître, je voudrais vous prouvez, que je peux me maitriser, sans vouloir vous paraitre arrogante, mon maître. »

Je prends le vibro en or, il y a un petit bouton, sur la tranche avec un curseur de 0 à 10.

« Les deux vibros ont la même programmation mon maître. Si je puis me permettre, comme je conduis, il ne faudrait pas dépasser le 5. Au-delà, cela pourrait être dangereux. »

Je mets la molette sur 5, il commence à vibrer doucement. Ingrid bascule en arrière, ouvre le compas de ses jambes, me regarde enfiler doucement le god de forme rectangulaire en elle. Elle coule déjà.

Immonde les bras tendus, me présente sont god en platine, il est de forme oblongue. Tout aussi magnifique que l’autre.

Il se règle en faisant tourner les deux parties, l’une sur l’autre. Je le règle sur 5 aussi, il vibre de la même façon que l’autre. Immonde se retourne, pose un genou sur le siège, bascule son bassin, me présente sa vulve qui coule, à trente centimètres des yeux. J’enfile doucement le god en elle. Il disparait. Immonde s’agenouille.

Je regarde la montre de la voiture, il est onze heures.

« Merci mon maître, nous allons vous prouver que toutes les deux, dame Ingrid et moi-même votre putain, que nous pouvons contenir notre jouissance, pour votre plus grand plaisir. »

« Puis je reprendre la route mon maître. »

Deux minutes, il faut que j’aille me soulager.

Immonde me regarde.
Invité

Re: INGRID

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:love:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit : :love:

on approche,

on se rapproche..............
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-24-


Il se règle en faisant tourner les deux parties, l’une sur l’autre. Je le règle sur 5 aussi, il vibre de la même façon que l’autre. Immonde se retourne, pose un genou sur le siège, bascule son bassin, me présente sa vulve qui coule, à trente centimètres des yeux. J’enfile doucement le god en elle. Il disparait. Immonde s’agenouille.

Je regarde la montre de la voiture, il est onze heures.

« Merci mon maître, nous allons vous prouver que toutes les deux, dame Ingrid et moi-même votre putain, que nous pouvons contenir notre jouissance, pour votre plus grand plaisir. »

« Puis je reprendre la route mon maître. »

Deux minutes, il faut que j’aille me soulager.

Immonde me regarde.

*****************************************


« Mon maître, si vous le voulez, je puis vous servir d’urinoir.

Je vous l’ai dit, mon maître, je suis là pour vous, pour toutes vos exigences je suis prêtes.

Avec vous mon maître, je le fais avec joie, avec le pervers, je le faisais car j’avais peur. »

« C’est bien j’apprécie, Immonde, mais l’odeur d’urine dans la voiture, ne me plairait pas trop. »

« Pouvez-vous patienter quelques minutes, mon maître, que je mette la voiture à l’abris des regards indiscrets. »

J’acquiesce de la tête.

Ingrid apostrophe Immonde.

« Immonde, ta bêtise est incommensurable. »

« Oui dame Ingrid, je m’en rends compte, je ne réfléchie pas assez avant de parler. »

Je vois la main d’Immonde se glisser sous le siège chauffeur, elle en sort, un étui, d’où elle extrait, un stick et une cravache blanche. Elle me les présente les mains tendues, la tête baissée entre les bras.

« Mon maître je suis indigne de vous, veillez me punir à la hauteur de ma bêtise. »

J’enfile mes chaussures. Immonde pose la cravache et le stick, se précipite pour lacer mes chaussures. Elle reprend la cravache, et le stick, me les présentent de la même manière.

Ingrid roule, doucement, s’arrête. Je sors, nous sommes dans une petite clairière. Une herbe douce, pousse sur le sol.

Ingrid sort de la voiture, ouvre la porte du côté d’Immonde.

« Dehors. »

Immonde sort. Se remet à genoux, tête baissée entre les bras tendus, me présentant toujours le stick et la cravache. Je les lui prends des mains.

Je regarde Ingrid.

« A quoi penses-tu Ingrid ? »

« Vous êtes un peut fatiguer, mon maître, un siège serait agréable pour vous.

Vous estimez sa bêtise à combien de coup de cravache ou de stick, mon maître.

Dites le moi, j’appliquerais votre sentence pendant que vous vous soulagerez. »

Pendant que nous parlons Immonde s’est accroupie, jambes et bras écartés. Son dos forme un siège.

« Quinze pour commencer, sur chaque fesse avec la cravache. Si elle bouge, si elle me fait bouger pendant que je suis assis, pour me soulager, tu doubleras mais avec le stick. Je veux entendre le décompte de chaque série de deux. »

Je tends la cravache et le stick à Ingrid.

Immonde qui a tout entendu, serre les dents, je vois les muscles de ses mâchoires se contracter.

Je m’assieds doucement, elle ne bouge pas. Je commence à uriner, en même temps j’entends le sifflement de la cravache. Les coups pleuvent. Le décompte commence.

« Un, deux, trois. . . dix »

J’ai déjà fini, mais je ne bouge pas, Immonde non plus ne bouge pas. Son corps ne bouge pas d’un millimètre.

« Onze, . . . quinze »

Je me relève, Ingrid me regarde. Regarde Immonde.

Je me retourne, les fesses d’Immonde sont violettes par endroit. Principalement rouges voire bleues. Par endroit, des veinules ont éclatées.

Elle ne bouge pas, sa respiration est saccadée. Elle est complètement tétanisée.

« Ingrid, une couverture, une trousse de secours, va les chercher. »

Je me penche, passe mes mains sous les aisselles d’Immonde. L’aide doucement à se relever. Elle me regarde, ses yeux expriment une adoration.

« Merci, mon maître, je me devais de ne pas bouger, je ne vous décevrais plus. Je méritais ce que vous avez décidez, voir bien plus, tant ma bêtise est incommensurable. »

Immonde se fait lourde dans mes bras, ses jambes ne la porte plus. Ingrid, arrive avec la couverture.

Nous l’enroulons dedans, je la porte à la voiture, l’allongeons sur la banquette arrière. Ingrid a déjà enlevé mon pantalon, l’a posé sur le siège passager, à l’avant.

Ingrid, fait rouler le corps d’Immonde, elle est à plat ventre. Je prends la trousse de secours que me tend Ingrid, je sorts un antiseptique, désinfecte les quelques petites plaies. Ingrid me tend un tube de pommade.

« Cela la soulagera, c’est de l’oxyde de Zinc, elle aura moins mal, elle cicatrisera plus vite, mon maître.

Il faut l’appliquer en couche épaisse, ensuite mettre une gaze dessus. »

J’étale la pommade, pose la gaze. Nous enroulons Immonde dans la couverture.

« Vous voulez vous laver les mains mon maître. Il y a un jerrican d’eau dans le coffre. »

Je me dirige, vers le coffre, l’ouvre, sort le jerrican, le pose sur le bord du coffre. Ingrid qui m’a suivi le tient, ouvre le petit robinet, je me lave les mains. Elle me tend une serviette, je me sèche les mains.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:clea: :clea: :clea:
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

purée t'a surement des prix dans les pommades et les pansements :sweet:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-25-


Ingrid, fait rouler le corps d’Immonde, elle est à plat ventre. Je prends la trousse de secours que me tend Ingrid, je sorts un antiseptique, désinfecte les quelques petites plaies. Ingrid me tend un tube de pommade.

« Cela la soulagera, c’est de l’oxyde de Zinc, elle aura moins mal, elle cicatrisera plus vite, mon maître.

Il faut l’appliquer en couche épaisse, ensuite mettre une gaze dessus. »

J’étale la pommade, pose la gaze. Nous enroulons Immonde dans la couverture.

« Vous voulez vous laver les mains mon maître. Il y a un jerrican d’eau dans le coffre. »

Je me dirige, vers le coffre, l’ouvre, sort le jerrican, le pose sur le bord du coffre. Ingrid qui m’a suivi le tient, ouvre le petit robinet, je me lave les mains. Elle me tend une serviette, je me sèche les mains.

*****************************************


Je voie une caisse de bouteille d’eau.

« Tu as soif Ingrid ? »

« Oui merci mon maître. »

Je lui tends une bouteille, en prends une, nous buvons.

« Mon maître puis je vous dire quelque chose, sans que cela ne vous offusque. »

« Oui Ingrid que veux tu me dire. »

Elle s’agenouille devant moi, prends mes mains.

« Mon maître, pour commencer, je suis vraiment fière d’être votre chienne, depuis ce matin en dehors du petit déjeuner, et encore, vous vous êtes presque rattrapé, vous n’avez fait aucune erreur.

Chez la chose, vous avez gérer la situation remarquablement. Aucune fausse note

Vous êtes juste, vous prenez soins de nous, vous venez de me le montrer avec Immonde.

Vous êtes, vous serez un bon maître.

Je pense juste que vous n’êtes pas assez sévère. Mais cela viendra, j’en suis convaincu.

Je vous remercie mon maître d’avoir accepter de m’écouter. »

Elle relève la tête, mon sexe est en face de ses yeux.

« Puis je vous nettoyer mon maître, ce serait un plaisir pour moi. »

« Tu es une bonne chienne, Ingrid, fait le. »

En même temps que je dis cela, je caresse sa tête, comme j’aurais caressée mon chien.

Sa langue s’applique, à nettoyer ma verge, mon gland. Ses lèvres se posent à l’extrémité de mon gland. Ses doigts, enserrent mon pénis, et doucement, se déplace vers l’avant, comme pour sortir ce qui pourrait rester dans l’urètre.

Je prends trois bouteilles d’eau, ferme le coffre.

« Ingrid, nous y allons. Prochain arrêt Sheuerwald. Il nous reste combien de kilomètres environ.»

« Une bonne centaine mon maître. Nous devrions arriver vers 13 heures. »

Modification, Ingrid tu passes par Thionville, si tu vois un traiteur, tu t’arrêtes et tu prends de quoi manger pour le déjeuner. Il y a de quoi manger, à la demeure, au faites ? »

« Je ne pense pas mon maître. Je sais que Pierre, avait fait complètement équipé la maison, en meubles, les literies sont coordonnées pour chaque chambre, que la cuisine est intégralement équipée, il y a même une chambre froide.

Il m’avait dit.

« On aura juste les pieds, à mettre sous la table, sauf pour la cave, où aucun ouvrier n’est descendu. C’est notre domaine. »

« Bien tu prendras ce qu’il faut pour quatre repas. On ira faire les courses cet après midi, ou si tu voies un grand magasin dans Thionville, tu t’arrêtes. Tu as de l’argent ? »

« Non mon maître, juste mon chéquier et ma carte bancaire, mais en DM. »

Je prends une liasse de billet de 500 FRF, en sort deux les tends à Ingrid qui les range dans son sac. Je range le reste de la liasse dans ma poche.

Je commence à m’assoir, Ingrid soulève la tête d’Immonde, pour que je puisse m’asseoir complètement, et la pose délicatement sur ma cuisse.

« Ne roule pas trop vite Ingrid. »

« Bien mon maître. »

Je prends le petit carnet qui est dans une de mes poches, commence à noter tout ce que nous avons dépensé.

Ce n’est pas parce que j’ai presque 400.000 FRF en espèce, sur moi, que je dois dépenser sans compter.

Je pose ma main sur l’épaule d’Immonde, pendant qu’Ingrid rejoins doucement la route. La main d’Immonde se pose sur ma main. Elle tourne la tête.

« Merci mon maître. Vous êtes juste, vous êtes bon. Merci de m’avoir porté dans la voiture. »

« Tu as soif ? »

« Oui, merci mon maître. »

J’aide Immonde à se relever, je prends une bouteille d’eau, l’ouvre, la lui tend. Elle s’assied, la couverture glisse, elle ne réagit pas.

« Bois doucement, ne t’étouffe pas. »

Elle boit par petite gorgée, prend son temps.

« Comment te sens-tu ? »

« Mieux mon maître, mieux, je sens que vous avez mis la pommade cicatrisante, elle me soulage, je ne sens presque plus les brulures de la cravache, que j’ai totalement mérité, je le reconnais.

J’aurais du réfléchir, je dois faire attention à ce que je dis mon maître. Vous, mon maître, et dame Ingrid avaient eut totalement raison.»

Elle s’assied. Je la regarde avec plus d’attention. Elle est svelte, bien proportionnée, pour sa petite taille. Elle doit avoir 18, 20 ans.

« Mon maître, voulez vous, que je continue mon récit. Je vais beaucoup mieux grâce à vos soins, dont je vous remercie mon maître. »

« Si tu penses avoir récupéré, tu peux continuer, Immonde. »
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:love: :love:

moi aussi j'veux bien la suite du récit :d
Laphoenix75

Re: INGRID

Message par Laphoenix75 »

oooh ouiii :clea:
Supprimé

Re: INGRID

Message par Supprimé »

Moi aussi.... :bounce ( j'ai rattrapé mon retard..mais là j'ai chaud!!!!!!!! :sweat: :sweat: )
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:zig: Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaak

une pitite suite siteplé :emu:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit ::zig: Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaak

une pitite suite siteplé :emu:

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh :bik:

C'est vrai, c'est de l’inédit maintenant.
:siffle1:
Laphoenix75 a écrit :oooh ouiii :clea:
Pour toi aussi. :lol:

Yann a écrit :Moi aussi.... :bounce ( j'ai rattrapé mon retard..mais là j'ai chaud!!!!!!!! :sweat: :sweat: )
Mon petit Yann, c'est du gentil, pour l'instant.


Bien que.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Mclm a écrit :purée t'a surement des prix dans les pommades et les pansements :sweet:

Ne inquiète pas, j'en ai toujours d'avance.
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

-26-


« Bois doucement, ne t’étouffe pas. »

Elle boit par petite gorgée, prend son temps.

« Comment te sens-tu ? »

« Mieux mon maître, mieux, je sens que vous avez mis la pommade cicatrisante, elle me soulage, je ne sens presque plus les brulures de la cravache, que j’ai totalement mérité, je le reconnais.

J’aurais du réfléchir, je dois faire attention à ce que je dis mon maître. Vous, mon maître, et dame Ingrid avaient eut totalement raison.»

Elle s’assied. Je la regarde avec plus d’attention. Elle est svelte, bien proportionnée, pour sa petite taille. Elle doit avoir 18, 20 ans.

« Mon maître, voulez vous, que je continue mon récit. Je vais beaucoup mieux grâce à vos soins, dont je vous remercie mon maître. »

« Si tu penses avoir récupéré, tu peux continuer, Immonde. »

*****************************************


« Donc, le pervers, a compris que dame Ingrid était soumise, même qu’elle était la chienne de notre défunt maître. Le pervers, a voulu, la pervertir, la voler à son défunt maître.

Il a voulu que je l’aide. Si je n’y arrivais pas, il donnerait les photos à ma tante.

J’ai essayé de toute mon âme, je le voulais, j’avais trop peur. »

Dame Ingrid, au début, j’y suis arrivée, elle aimée les caresses de mes doigts, de ma langue, de mes lèvres. Soudainement, elle a retournée la situation, en sa faveur.

Dame Ingrid, est si habile d’esprit, si habile de ses doigts, de sa langue, que je n’ai rien vue venir. J’ai craquée, elle m’a fait plier, pour son maître.

Quand je suis arrivé à la maison que son défunt maître, lui avait loué… »

« Passe au moment où elle t’a laissée seule. Ingrid, m’a déjà raconté ce passage. »

« Dame Ingrid, m’a laissée, seule, pendant deux jours, elle rentrait le soir, mais ne venait pas me voir.

Je n’existais pas. Je me devais de méditer, sur ce que j’avais fait, sur ce que j’avais voulu faire à son défunt maître.

Surtout, à ma complicité avec le pervers, pour voler dame Ingrid à son défunt maître.

Dame Ingrid avait dit mercredi à 13 heures tu te douches. J’avais pris ma décision, elle avait murit, pendant deux nuits et une journée.

Si dame Ingrid, était comme cela, c’est que son maître, était un bon maître.

Je me devais de tout lui dire, de tout expliquer au maître de dame Ingrid. S’il comprenait, s’il acceptait mes explications, peut être m’accepterait-il, comme sa chose, peut être comme sa putain.

J’avais réfléchis, j’étais décidé, rien ne me ferait changer d’avis.

A 12 heures j’ai pris ma douche.

Pour être vraiment dans ce que je voulais, pour être vraiment prête, je me suis douchée à l’eau froide. Je ne voulais pas, si maître Pierre, désirait prendre une douche, qu’il manque d’eau chaude.

Je me suis lavé, récuré, je voulais me laver de l’odeur du pervers, je voulais que ma peau, soit neuve, soit comme vierge pour l’accueillir, pour accueillir le maître de dame Ingrid.

Je me suis lavé les cheveux, tous mon corps, tous mes orifices, avec soins. Je me suis fait un, deux, trois lavements, me suis douchée à nouveau. Je me devais d’être impeccable. Je me suis rincé à l’eau à peine tiède, il fallait redonner un peu de vie à mon corps.

Je me suis coiffé avec beaucoup d’application, j’ai fait avec beaucoup de soins ma queue de cheval.

J’ai vérifié que la cuisine, était propre, que rien ne trainait, j’ai préparé un broc d’eau fraiche, un verre, l’ai posée sur un jolie plateau, sur la table de la cuisine.

Il était 14h45, je me suis accroupis et j’ai attendu le maître de dame Ingrid.

A 15 heures, la cloche de l’église sonnait, j’ai entendu une voiture se garer dans la cour.

J’ai posé mes mains jointes au sol, mon front dessus. La porte s’est ouverte. Quelqu’un est entré, la porte s’est refermée. J’ai entendu un pas décidé qui venait vers moi.

« Relève-toi, sur tes talons. »

J’ai obéis.

« Regarde-moi.

Qui es-tu ? »

Mon regard s’est levé, maître Pierre est apparu, devant mes yeux ébahis. Maître Pierre était magnifique dans son uniforme.

« Dame Ingrid m’appelle Immonde, mon nom est Immonde, maître Pierre. »

Il s’est assis, s’est servi un verre d’eau, a but.

« C’est bien d’avoir pensé à l’eau.

Tourne-toi, face à moi.

Tu sais ce que tu as voulu faire, avec ton notaire de maître. Je ne l’accepte pas. »

As-tu quelque chose à dire.

J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai expliqué.

J’ai expliqué, le décès de mes parents, le remariage de ma tante qui m’avait recueilli. L’apprentissage chez le notaire, mon viol, les amis du notaire, je lui ai tout dit, je ne lui ai rien caché.

Je lui ai tout dit dans le détail, n’omettant rien. Même pas ma douche, mon récurage, mes lavements, pour être comme vierge à son contact, s’il daigné me toucher. Même si ce n’était que de ses yeux.

Maitre Pierre m’a écouté, ne disait mot. Il m’a juste demandait de confirmer mon âge quand je suis arrivé chez le notaire, et qu’il m’a violé pour la première fois.

« Quinze ans et trois mois exactement, je m’en souviendrais toute ma vie maître Pierre. »

Quand je lui ai parlé des polaroids, ses yeux ont brillés.

« Sais tu où ils sont rangés ? »

« Dans son coffre-fort, sur l’étagère tout en bas, à gauche, dans une chemise cartonnée mauve. Il est écrit « succession à régler » sur le dossier.
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

:love: :love: :love: :love: :love: :love: :love:
ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE

Siteplé, oui c'est nouveau et tellement intense, tellement beau, si bien écrit :love:

:ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre:
DeLsEp9

Re: INGRID

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit ::love: :love: :love: :love: :love: :love: :love:
ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE ENCORE

Siteplé, oui c'est nouveau et tellement intense, tellement beau, si bien écrit :love:

:ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre: :ouimaitre:

Une par jour,

Tu vas être intenable, :heink:


d'accord c'est déjà le cas. :bik:

Mais quand même.
:siffle1:
Invité

Re: INGRID

Message par Invité »

je suis sage comme une image moua :sol:
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