On sait, c'est compliquéLoupdoux a écrit :![]()

Et la position de ta femme par rapport à ça?Loupdoux a écrit :Je sais ! Oui .... et c'est pour ça que je m'abstiens aussi perso !
Zig a écrit : Et la position de ta femme par rapport à ça?
Oui, ça me parle mieux en faitLoupdoux a écrit :
Ben c'est mon fantasme, elle ne voit pas trop l’intérêt, elle m'aime comme ça et n'a pas envie de prendre de risque avec un autre.
En fait on libertine et donc on a des relations avec d'autres, mais toujours avec des couples "bien établis" ce qui minimise le risque de débordement, harcèlement...
ça te répond là ?
Sauf que la femme dominante ne doit pas mentir, le mensonge la diminuant par rapport au soumis. Il vaut mieux qu'elle prenne un amant sans en informer son soumis ou seulement une fois la relation passée, là elle peut lui en parler mais sans lui donner le moindre détail. L'essentiel est que le cocu ne connaisse pas son rival et qu'il n'ait pas de détails sur l'affaire. La femme dominante créée ainsi un jardin secret interdit au soumis, elle augmente la dénivelée et attise le désir du soumis. Les rapports de domination/soumission sont toujours fondés sur la dénivelée. Et aucune chance que le soumis aille voir ailleurs avec un tel traitement, il n'en désirera que plus et plus douloureusement sa maîtresse. C'est valable dans le sens inverse, avec une femme soumise et un homme dominant ayant une relation avec une autre femme...Pkoipas a écrit :Il est "cocu" sur la forme, car trompé physiquement et moralement par son épouse qui lui ment pour retrouver secrétement son amant.
Il est candauliste sur le fond car il y prend son plaisir.
A vrai dire je n' en sais rien car ça ne se crie pas sur les toits, mais je pense que c' est plus courant qu' on ne l' imagineZig a écrit : Et c'est légion ce genre d'hommes?
Je ne peux rien avancer LTDSM mais là, je m'interroge sur ce que tu dis mon AmiPkoipas a écrit : A vrai dire je n' en sais rien car ça ne se crie pas sur les toits, mais je pense que c' est plus courant qu' on ne l' imagine
Le cas cité ne fait pas référence a une relation SM, même si le mari affiche une bonne dose de masochisme ^^. C' est un couple d' apparence normal qui se trouve dans une situation (malheureusement ou heureusement, selon..) normale, sauf cette particularité du mari. Aprés tout, si les amants existent, c' est que les maîtresses (sens amantes) sont disponibles. Dans un cadre SM, il existe également la possibilté que la Dominante s' invente un amant fictif pour en imposer l' idée au soumis qui, lui le croira réel, et jouer ainsi sur sa frustration. Aprés tout, l' idée ne prévaut-elle pas sur la réalité. L' important n' est pas ce qui est mais ce qu' on croit êtreL'Homme à Cheval a écrit : Sauf que la femme dominante ne doit pas mentir, le mensonge la diminuant par rapport au soumis. Il vaut mieux qu'elle prenne un amant sans en informer son soumis ou seulement une fois la relation passée, là elle peut lui en parler mais sans lui donner le moindre détail. L'essentiel est que le cocu ne connaisse pas son rival et qu'il n'ait pas de détails sur l'affaire. La femme dominante créée ainsi un jardin secret interdit au soumis, elle augmente la dénivelée et attise le désir du soumis. Les rapports de domination/soumission sont toujours fondés sur la dénivelée. Et aucune chance que le soumis aille voir ailleurs avec un tel traitement, il n'en désirera que plus et plus douloureusement sa maîtresse. C'est valable dans le sens inverse, avec une femme soumise et un homme dominant ayant une relation avec une autre femme...
LTDSM ????. Aprés le SM, le BDSM, la D/S, une nouvelle appellation ultra confidentielle ??Zig a écrit : Je ne peux rien avancer LTDSM mais là, je m'interroge sur ce que tu dis mon Ami
Je ne suis pas sûr de comprendre en fait:L'Homme à Cheval a écrit : Sauf que la femme dominante ne doit pas mentir, le mensonge la diminuant par rapport au soumis. Il vaut mieux qu'elle prenne un amant sans en informer son soumis ou seulement une fois la relation passée, là elle peut lui en parler mais sans lui donner le moindre détail. L'essentiel est que le cocu ne connaisse pas son rival et qu'il n'ait pas de détails sur l'affaire. La femme dominante créée ainsi un jardin secret interdit au soumis, elle augmente la dénivelée et attise le désir du soumis. Les rapports de domination/soumission sont toujours fondés sur la dénivelée. Et aucune chance que le soumis aille voir ailleurs avec un tel traitement, il n'en désirera que plus et plus douloureusement sa maîtresse. C'est valable dans le sens inverse, avec une femme soumise et un homme dominant ayant une relation avec une autre femme...
Pkoipas a écrit : LTDSM ????. Aprés le SM, le BDSM, la D/S, une nouvelle appellation ultra confidentielle ??
Oui, c'est une idée, mais à double tranchant, car avoir besoin de mentir est une marque de soumis. Tout mensonge découvert est une humiliation pour le menteur. Un dominant s'arrange pour ne pas avoir à mentir. Que le soumis s'imagine être trompé, qu'il mente, lui, qu'il crève de jalousie, oui, c'est dans l'ordre des choses. Mais le dominant ou la dominante veille à ne pas s'abaisser à ces petites défaillances, au risque de perdre son prestige.Dans un cadre SM, il existe également la possibilté que la Dominante s' invente un amant fictif pour en imposer l' idée au soumis qui, lui le croira réel, et jouer ainsi sur sa frustration. Aprés tout, l' idée ne prévaut-elle pas sur la réalité. L' important n' est pas ce qui est mais ce qu' on croit être
C'était pour réaliser le fantasme de Zig...Sandy a écrit :Ben je sais pas vraiment en fait.
Ça ne me parle pas
On peut y voir tout le contraire ...L'Homme à Cheval a écrit :
Ce n'est pas s'effacer mais introduire un tiers, un rival. C'est un mécanisme connu et assez répandu dont une des manifestations les plus fréquentes est le fameux retour de flamme amoureuse au moment d'être quitté. Le simple fait de perdre la personne - c'est-à-dire qu'elle puisse aller avec d'autres partenaires - suffit à la rendre de nouveau désirable... Il y a des variantes nombreuses de ce schéma, mais l'introduction "volontaire" d'un tiers signifie toujours une perte ou une absence de désir et l'espoir de le rallumer par la jalousie et la rivalité.Loupdoux a écrit :et est prêt à s'effacer pour qu'elle ait le maximum de plaisir
Sauf que le maso-soumis ne cherchera jamais a découvrir une vérité dont il ne veut pas. Il croit a l' existence d' un "autre" car ça nourrit son masochisme. Il ne croit qu' a ce qu' il veut croire.... Quelle est la nature du désir d' un maso envers sa Maîtresse ?, vaste débat. Désire-t-il la femme dans sa globalité ou ne désire-t-il que les parcelles perverse, sadique et cruelle de cette même femme ?L'Homme à Cheval a écrit : Oui, c'est une idée, mais à double tranchant, car avoir besoin de mentir est une marque de soumis. Tout mensonge découvert est une humiliation pour le menteur. Un dominant s'arrange pour ne pas avoir à mentir. Que le soumis s'imagine être trompé, qu'il mente, lui, qu'il crève de jalousie, oui, c'est dans l'ordre des choses. Mais le dominant ou la dominante veille à ne pas s'abaisser à ces petites défaillances, au risque de perdre son prestige.
Cela dit, dans le cas d'un couple marié avec des enfants, je pense qu'il ne faut même pas commencer de jouer à ces choses-là. Ici, la dominante aura la finesse de ne pas mettre en balance sa famille et la réalisation d'un fantasme du soumis.
Enfin, ce fantasme montre que le soumis désire moins sa maîtresse et qu'il a besoin d'introduire de la rivalité pour rallumer la flamme de son désir. C'est plutôt inquiétant pour la maîtresse.
Oui, tous les cas de figures peuvent être envisagés. Le maso peut également s' effacer pour éprouver plus de frustration, donc plus de tourment.Loupdoux a écrit : On peut y voir tout le contraire ...
Le soumis qui sublime sa Maîtresse, sa femme, et est prêt à s'effacer pour qu'elle ait le maximum de plaisir,
prêt à l'offrir à un amant !?
L' homme désire et la femme est "l' Objet" désiré depuis la nuit des temps. Une femme qui a compris le pouvoir que le désir de l' homme lui confère se retrouve en position de force, selon la loi de l' offre et de la demande.L'Homme à Cheval a écrit : Ce n'est pas s'effacer mais introduire un tiers, un rival. C'est un mécanisme connu et assez répandu dont une des manifestations les plus fréquentes est le fameux retour de flamme amoureuse au moment d'être quitté. Le simple fait de perdre la personne - c'est-à-dire qu'elle puisse aller avec d'autres partenaires - suffit à la rendre de nouveau désirable... Il y a des variantes nombreuses de ce schéma, mais l'introduction "volontaire" d'un tiers signifie toujours une perte ou une absence de désir et l'espoir de le rallumer par la jalousie et la rivalité.
Pkoipas a écrit :
L' homme désire et la femme est "l' Objet" désiré depuis la nuit des temps. Une femme qui a compris le pouvoir que le désir de l' homme lui confère se retrouve en position de force, selon la loi de l' offre et de la demande.
Mais elle se doit de prendre garde a conserver son statut 'd Objet" désiré et non obtenu, car l' obtention tue le désir qui sera remplacé par un autre, et ainsi de suite. Désirer ou posséder, quel est le meilleur ??
Ca c'est encore plus récent, en fait, je dirais.Kireseth a écrit :L'image de la femme a changé avec la naissance de l'agriculture, et l'instauration de la propriété terrienne, qu'on hérite de père en fils
Tout d' abord, tu as bien remarqué que j' ai pris soin de mettre Objet entre guillemets car il n' y a rien de péjoratif dans ce terme. Par "propriété terrienne" fais-tu allusion au mariage dit de raison, contracté dans un but de sauvegarde et/ou de developpement du capital ?. Dans l' affirmative, rien n' empêchait le mari de désirer une autre femme et a l' pouse de se faire désirer par un autre homme. L' amour courtois et non le chevaleresque en est un bel exemple. Par "nuit des temps", je pensais aux intriguantes, aux courtisanes qui bien souvent suggéraient au Roi ce qu' il allait décréter. La Pompadour a gouverné indirectement la France pendant que Louis 15 festoyait en lutinant ou allait chasser. Bien sur les temps changent avec leurs évolutions, mais je pense (a valider) que l' homme est plus dépendant de son sexe, plus impulsif jusqu' a lui procurer une certaine faiblesse...Kireseth a écrit :
sans doute faux... L'image de la femme a changé avec la naissance de l'agriculture, et l'instauration de la propriété terrienne, qu'on hérite de père en fils. A la nuit des temps la femme était sans doute différemment perçue, bien plus précieuse, moins objet, plus dirigeante, les sociétés préhistoriques étaient, il y a de fortes chances pour ça, matriarcales... Tout ça, c'est dans la tête, le fait que l'un appartienne à l'autre, ou que l'un doive plus séduire l'autre... C'est changeant, de société en société, d'une époque à une autre. Evitons de généraliser.
Un rapide passage sur Google me fait découvrir celle-ci actuelle [Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour voir ce lien]" onclick="window.open(this.href);return false;Vintage a écrit : Ca c'est encore plus récent, en fait, je dirais.
(Et l'une des raisons de l'importasition (importation-imposition) de cultures religieuses ici ou là, pour en revenir aux arguments géopolitiques chers à la Quiche).
Il y a de très nombreux exemples de sociétés matriarcales ou le bien était hérité via les mères/femmes, aussi bien an Afrique (je pense aux Touaregs, et les zones subsahariennes) qu'en Europe.
Sans citer les bonobos et certaines sous catégories de libertins.
V., bande à bonobobos. :cinglé: