

Ah ben euh.. oui
Un peu partout, au fil de mes "voyages" sur internet, je pars souvent d'un site d'information, (20min, Koréus, France info etc) et puis je clique à droite, à gauche sur des titres et ça m'emmène ailleurs.
Il me semble avoir vu un docu sur lui, sur crime districtBiquette a écrit : ↑29 novembre 2021, 11:37 Harold Shipman, le plus insoupçonnable
Harold Shipman cachait bien son jeu, en effet, sous ses airs de bon docteur, ce médecin généraliste est le plus grand serial killer anglais !
Pendant des années, il a tué ses patients en leur administrant une dose fatale de diamorphine (héroïne) et en faisant passer leur mort pour naturelle.
Au total, Harold Shipman aurait tué plus de 250 de ses patients : 71 alors qu’il travaillait dans un cabinet à Donneybrook, et près de 200 alors qu’il exerçait dans son propre cabinet.
Harold Shipman fut reconnu coupable de 15 meurtres en 2000. Il ne parla jamais de ces meurtres, ou de ceux qu’il aurait pu commettre. Il nia même totalement les faits et personne ne sut pourquoi il avait commis tous ces meurtres.
En 2004, il se suicida en prison.
Une tueuse utileBiquette a écrit : ↑27 novembre 2021, 09:56 Giulia Tofana, la reine des empoisonneuses
Giulia Tofana est l’idole des femmes à Rome, au XVIIe siècle.
A l’époque, les mariages arrangés, voire forcés, sont la règle. Mais certaines femmes refusent de s’y plier : elles s’adressent alors à la belle Giulia. Celle-ci leur fournit un poison très puissant, sans goût, qui leur permet de se débarrasser de leurs époux.
Elle excelle tellement dans son art qu’elle donnera plus tard son nom à un poison, l’Aqua Tofana !
Exécutée en juillet 1659, l’empoisonneuse en série craque pendant son procès et révèle l’ampleur de ses crimes : entre 1633 et 1659, Giulia Tofana avoue avoir empoisonné 600 hommes.
Incolore, inodore et insipide, la concoction pouvait tuer un homme en environ trois doses de quatre à six gouttes. Elle agissait lentement. La première dose provoquait une grande fatigue, la deuxième, une dysenterie, des vomissements et une soif extrême. La troisième dose était généralement la dernière.
Le déclin progressif permettait à la victime de sentir venir sa fin, donc, mettre de l’ordre dans ses affaires et édicter ses dernieres volontés.
Oui c'est pour ça que je trouve ses crimes vraiment horribles.