Mes récits amoureux
Mes récits amoureux
Je compilerai ici mes histoires, nouvelles, et récits en tout genres ...
Entre fiction et réalité, sur la base de souvenirs, d'anecdotes ou de fantasmes.
L'idée est de regrouper dans un même sujet ce que j'ai écrit, publié ici ou ailleurs. Et peut être d'avoir vos avis...
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Re: Mes récits amoureux
Je commence par ce récit publié dans la rubrique "vos fantasmes" en novembre 2020
"Au Restaurant"
Nous étions au restaurant, et à une table voisine s’installe un homme seul... Comme il faisait beau, elle portait une jupe et ses jambes étaient nues... j’ai bien remarqué les coups d’œil de l'homme qui scrutaient, la caresseraient, la déshabillaient... Cela ne me gênait pas, j’aime savoir que d’autres hommes la désirent. Je le lui ai fait remarquer, je me suis placé de manière à ce qu’il puisse regarder ses jambes à loisir. Elle n’a pas cherché à en faire trop, mais subtilement elle me faisait du pied, croisait décroisait ses jambes afin qu’il maintienne son attention, continue à la regarder discrètement. Nous sentions très complices à ce moment... Après le café nous quittons la table, elle a croisé son regard, lui a souris simplement. en sortant du restaurant, c'est moi qui me suis retourné pour voir ce qu'il faisait... A partir de là, j’ai imaginé qu’il nous suivait, à bonne distance, afin de regarder ses hanches se balancer pendant que nous marchions... Sans nous hâter nous avançons, devinant sa présence derrière nous, vérifiant que sa silhouette se reflète dans les vitrines... Nous nous dirigeons vers des rues moins fréquentées ... Là, une impasse déserte, quelques pas, une porte cochère, nous nous y engouffrons... Je la colle contre le mur et l’embrasse goulûment , je colle mon bassin contre le sien afin qu’elle sente bien mon désir, Le bruit des pas de l’inconnu qui s’approche nous fait palpiter encore plus. Il est là, nous l’ignorons, du moins nous faisons semblant… Il ne dit pas un mot et c'est tant mieux, Il se tient là à l’entrée pendant que ma main remonte le long de ses cuisses... je remonte lentement sa jupe, caresse le tissu de sa culotte qui laisse deviner ses lèvres déjà humides... Elle le regarde afin qu’il comprenne qu’il ne doit pas s’approcher plus, qu’il ne doit pas nous interrompre, pas encore! Elle a remarqué la bosse de son pantalon qui ne laisse aucun doute sur son état d’excitation. Il met sa main dans sa poche à fin de se caresser et de soulager cette tension qui brûle dans son bas-ventre... je ne me préoccupe pas de lui, juste de ma partenaire, je caresse son sexe lentement, puis je me mets à genou devant elle, repousse sa culotte sur le côté, et me délecte de son sexe. Alors elle commande à l’homme de s’approcher, de se placer juste à portée de main... Elle aime deviner la fermeté de son sexe a travers le tissus, elle le devine. lentement, elle défait les boutons de son pantalon, plonge sa main dedans afin de sentir mieux son membre en érection à travers son caleçon. Il n’a pas le droit de la toucher, de l’embrasser, c’est une chose que nous avons convenu en avançant mais elle est libre de poser sa main sur son sexe, elle le caresse doucement et cela l’excite J’aime jouer avec ma langue le long de son clitoris, la faire vibrer en explorant ses lèvres, j'aime me sentir prisonnier de ses cuisses puissantes…Elle presse mon visage contre son entre jambe à fin que je puisse me régaler son plaisir...Pendant ce temps le pantalon de l’inconnu a glissé sur ses chevilles et elle caresse lentement son sexe... il est chaud, tendu, ferme et cela plaît à ma partenaire... Je me relève et l'invite à se retourner pour qu’elle soit face au mur, je relève sa jupe au dessus de ses fesses, décale ses dessous afin de la pénétrer... Elle gémit doucement, contenant son plaisir, l’homme se masturbe face à Elle. Elle prend plaisir à le regarder...
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"Au Restaurant"
Nous étions au restaurant, et à une table voisine s’installe un homme seul... Comme il faisait beau, elle portait une jupe et ses jambes étaient nues... j’ai bien remarqué les coups d’œil de l'homme qui scrutaient, la caresseraient, la déshabillaient... Cela ne me gênait pas, j’aime savoir que d’autres hommes la désirent. Je le lui ai fait remarquer, je me suis placé de manière à ce qu’il puisse regarder ses jambes à loisir. Elle n’a pas cherché à en faire trop, mais subtilement elle me faisait du pied, croisait décroisait ses jambes afin qu’il maintienne son attention, continue à la regarder discrètement. Nous sentions très complices à ce moment... Après le café nous quittons la table, elle a croisé son regard, lui a souris simplement. en sortant du restaurant, c'est moi qui me suis retourné pour voir ce qu'il faisait... A partir de là, j’ai imaginé qu’il nous suivait, à bonne distance, afin de regarder ses hanches se balancer pendant que nous marchions... Sans nous hâter nous avançons, devinant sa présence derrière nous, vérifiant que sa silhouette se reflète dans les vitrines... Nous nous dirigeons vers des rues moins fréquentées ... Là, une impasse déserte, quelques pas, une porte cochère, nous nous y engouffrons... Je la colle contre le mur et l’embrasse goulûment , je colle mon bassin contre le sien afin qu’elle sente bien mon désir, Le bruit des pas de l’inconnu qui s’approche nous fait palpiter encore plus. Il est là, nous l’ignorons, du moins nous faisons semblant… Il ne dit pas un mot et c'est tant mieux, Il se tient là à l’entrée pendant que ma main remonte le long de ses cuisses... je remonte lentement sa jupe, caresse le tissu de sa culotte qui laisse deviner ses lèvres déjà humides... Elle le regarde afin qu’il comprenne qu’il ne doit pas s’approcher plus, qu’il ne doit pas nous interrompre, pas encore! Elle a remarqué la bosse de son pantalon qui ne laisse aucun doute sur son état d’excitation. Il met sa main dans sa poche à fin de se caresser et de soulager cette tension qui brûle dans son bas-ventre... je ne me préoccupe pas de lui, juste de ma partenaire, je caresse son sexe lentement, puis je me mets à genou devant elle, repousse sa culotte sur le côté, et me délecte de son sexe. Alors elle commande à l’homme de s’approcher, de se placer juste à portée de main... Elle aime deviner la fermeté de son sexe a travers le tissus, elle le devine. lentement, elle défait les boutons de son pantalon, plonge sa main dedans afin de sentir mieux son membre en érection à travers son caleçon. Il n’a pas le droit de la toucher, de l’embrasser, c’est une chose que nous avons convenu en avançant mais elle est libre de poser sa main sur son sexe, elle le caresse doucement et cela l’excite J’aime jouer avec ma langue le long de son clitoris, la faire vibrer en explorant ses lèvres, j'aime me sentir prisonnier de ses cuisses puissantes…Elle presse mon visage contre son entre jambe à fin que je puisse me régaler son plaisir...Pendant ce temps le pantalon de l’inconnu a glissé sur ses chevilles et elle caresse lentement son sexe... il est chaud, tendu, ferme et cela plaît à ma partenaire... Je me relève et l'invite à se retourner pour qu’elle soit face au mur, je relève sa jupe au dessus de ses fesses, décale ses dessous afin de la pénétrer... Elle gémit doucement, contenant son plaisir, l’homme se masturbe face à Elle. Elle prend plaisir à le regarder...
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Dernière modification par Invité le 07 juin 2022, 15:44, modifié 3 fois.
Re: Mes récits amoureux
C'est bien écrit, bien imagé, les mots justes et précis. On a pas de mal à visualiser la scène, les visages, les regards et les gestes, même entendre les bruits étouffés ou pas. Une suite ?
Re: Mes récits amoureux
Merci bcp @Ava Peut être une suite. (J'ai mis un titre pour éventuellement continuer)
Dans l'immédiat je fouille mes archives (faute de mieux )
Re: Mes récits amoureux
Un peu sur le même thème...
Le point de départ, c'est un homme que j'appellerai Rolland, qu'elle a croisé brièvement lors d'un mariage duquel j'étais absent pour raisons professionnelles. Quelques semaines après, il a réussi a se procurer le numéro de téléphone de ma compagne et l'a contactée... (le cuistre!)
Il est plutôt bel homme d'après elle, et fraichement divorcé. Passé l'étonnement de cette prise de contact, elle n'est pas dupe de ses intentions (qu'il peine a dissimuler). Et bien qu'ayant été claire sur notre engagement, le gars continue d'alimenter la conversation... Elle m'en avait parlé aussitôt, mais cette situation l'amuse et se elle se demande jusqu'ou le gars voudra aller (ce sera peut être l'objet d'un futur récit?). Nous avons évoqué la possibilité qu'elle accepte une de ses nombreuses invitations, mais tout ne se passera pas comme il le désire
"Rolland"
"Elle"...
Je marcherai d'un pas mesuré, presque lent, c'est comme cela que vous me reconnaîtrez. J'aurais l'air de flâner, mais je sais très bien où je vais. Dans cette rue piétonne où chacun va et vient, je me démarquerai, vous me remarquerez. Nous aurons arrangé implicitement ce rendez-vous, mais notre rencontre aura l'air fortuite et inattendue.
Je marcherai seule. Vous, posté devant une vitrine, regarderez mon reflet passer, ce sera votre signal. Vous m' aurez vue arriver au loin, bien sûr, mais vous savez que je ne veux pas que nos regards se croisent encore. Vous suivrez donc cette silhouette.
Là, marchant quelques mètres devant vous, je sentirai vos yeux sombres se poser sur moi. Vous contiendrez votre envie dévorante, et suivrez la ligne de mes bas à couture, vous appréciez le galbe de mes mollets, remontant maintenant vers la jupe que vous jugez probablement trop longue. Vous vous rêvez déjà remontant le long de mes cuisses, mais n'allons pas trop vite en besogne. Mon blouson ne vous laisse pas deviner autre chose de moi, mais je sais que vos yeux sont rivés sur le balancement de mes hanches. Malgré l'hiver, je suis réchauffée par la sensation de votre regard caressant. Je sais que votre imagination vagabonde déjà, et je veux prolonger ces instants où je perçois votre carrure dans le reflets des vitrines, votre allure, vos cheveux poivre et sel, votre démarche souple. Furtivement que je vous épie, je vous observe, je vous scrute. Intérieurement, je souris, je frissonne.
J'avance à mon rythme, et vous m'accompagnez en gardant vos distances. Je vous précéderai ainsi jusqu'à la terrasse d'un café. C'est là que je vais retrouver mon homme, mon amant, mon Amour. Il se lève pour m'accueillir, m'embrasse comme lui seul peut le faire, passionnément. Je lui offre ma bouche sans retenue, sachant que vous m'observez. Il m'enlace et j'aime me serrer contre lui, je suis si bien dans ses bras. Pendant ce temps, vous vous installez, non loin. Il sait aussi que vous êtes là, nous vous avons choisi ensemble. Il me laisse cette liberté que d'être désirée par vous, ne l'oubliez pas. Je le respecte pour cela, je l'aime pour cela.
Nous commandons un café, je fouille dans mon sac pour en sortir mon paquet de cigarette, mais je ne trouve pas de briquet, c'est à ce moment que vous trouverez le moyen d'engager la conversation, de manière légère, spontanée, peut être spirituelle, en m'offrant du feu...
je protège la flamme en effleurant vos mains. Je vois votre regard porté sur le gonflement du blouson occasionné par mes seins, il est en cuir suffisamment souple pour que vous vous rendiez compte de leurs volumes
"Lui"
Elle relève la tête en tirant la première bouffée de sa cigarette. elle souffle la fumée et me remercie , je lui réponds :"Avec plaisir..." dans un large sourire.
-"Un plaisir partagé est un plaisir double..." enchaîne t'elle d'un air taquin.
Je suis stupéfait de sa réponse qui ressemble presque à une "attaque frontale".
-"Dans ce cas, me permettrez vous de me joindre à vous?" et joignant le geste à la parole, j'attrape une chaise et m'installe à leur table, et j’enchaîne
-"Moi aussi je suis adepte de ces plaisirs coupables..." dis je en sortant mon paquet de cigarettes de la poche de ma veste, "mais avec un café, c'est dur de résister".
-"Vous résistez aussi à la tentation?" me lance alors son compagnon? Essaierait 'il de me désarçonner? J’éclate de rire, et je réponds qu'avec le café je préfère le sucre, mais que mettre du piment me parait une bonne idée. sourires entendus, je frissonne moi aussi.
Pendant que nous devisons gaiement, je la regarde croiser et décroiser ses jambes, chacun de ces mouvement fait remonter sa jupe légèrement. Elle a sa main posée dans la sienne, elle le lâche seulement pour se réajuster, afin de continuer à croiser et décroiser les jambes. Je suis déjà en train de la désirer, mes yeux caressent ses mollets et remontent, frôlent l’intérieur des ses cuisses jusque là où mon regard peut porter. J'imagine ses seins lourds et volumineux, je voudrais déjà les presser, les palper, les embrasser, les sucer... J'imagine qu'elle le devine un peu, elle me sourit, et mon désir s’accroît encore! A tel point que je dois m'excuser pour me rendre aux toilettes. Je me lève aussi prestement que possible en essayant de dissimuler au mieux la bosse de mon pantalon, mais leurs rires alors que je m’éloigne me laisse penser qu'ils ont remarqué mon trouble. J'ai juste besoin de libérer mon sexe tendu de sa gangue et de le replacer afin qu'il ne soit pas compressé. j'ai observé sa bouche lorsqu'elle buvait son café, j'ai imaginé ses baisers, le gout de ses lèvres, ses mains sur ma poitrine, les miennes autour de sa taille, sur ses hanches pour la presser contre moi...
je ferme ma braguette et sort des toilettes, mais quelle n'est pas ma surprise lorsque je la trouve appuyée contre le lavabo de ce vestibule.
-"j'attends mon tour." me dit elle d'un ton ironique en me montrant la porte voisine. la situation devient presque incongrue mais je décide de m'avancer vers elle. Elle glisse sur le coté pour que je puisse me laver les mains, mais je peux sentir son parfum capiteux, enivrant. Elle se contente de sourire et de me regarder. je romps le silence elle lui avouant que je la trouve très belle, très désirable... Comme seule réponse, je sens sa main qui parcours mon pantalon, ses doigts qui glissent sur le tissu, qui devinent ma queue raidie. le rouge me monte aux joues, je me tourne vers cette femme pour l'embrasser quand le son d'un verrou qui se libère nous fait tressaillir, sa main se dérobe, quelqu'un sort, elle disparaît derrière cette porte qui venait à peine de s'ouvrir.
Je rejoins son compagnon à terrasse du café. Je suis un peu gêné et peine à faire redescendre la tension en moi.
-"Je suis épaté par votre couple, vous avez l'air très amoureux..."
-"Merci, J’espère qu'on continuera à vous étonner" Dit il d'un ton laconique.
J'avale ma salive...
-"Votre compagne est délicieuse".
-"C'est bien ce que je me suis dit lorsque je l'ai goûtée"...
Ses allusions font vagabonder mon imagination, j'imagine leurs étreintes. Comment gémit-elle lorsqu'il enfouit sa tète entre ses jambes? J'aimerais aussi qu'elle s'offre à moi... Je lève les yeux, et je la vois revenir vers nous, la démarche assurée, presque désinvolte. Elle n'a pas refermé son blouson, je suis presque hypnotisé par le balancement de sa poitrine. Comme je voudrais passer mes mains sous son chemisier... Elle s'installe en croisant ses jambes gainées de nylon. un téléphone sonne, c'est celui de son homme, il regarde l’écran avec une mine contrariée, il dit qu'il est désolé mais il doit répondre, se lève et s’éloigne. Je décide d’être direct.
-"J'ai très envie de vous..."
Elle rallume une cigarette
-" C'est très agréable à entendre, mais je l'avais remarqué!"
Elle me taquine. Je la regarde dans les yeux. En reposant son briquet, elle fait tomber la petite cuillère de sa tasse, je me baisse pour la ramasser sans oublier d'effleurer ses jambes. Délicatement, mais suffisamment pour qu'elle comprenne que j'ai envie de la toucher.
-"Vous savez ce que peux éprouver un homme lorsqu'il a une femme telle que vous entre les bras?"
-"Il me semble que nous pourrions continuer cette conversation ailleurs". C'est la voix de l'homme qui a terminé sa conversation téléphonique...
-"Avec plaisir, mon chéri" dit-elle. Je repense à ce qu'elle m'a dit qques minutes plus tôt. J’appelle le serveur pour régler les consommations.
Je sens qu'elle aime se faire désirer, être convoitée ... En quittant la terrasse, je leur ai proposé de venir chez moi , ils ont accepté. j'en suis presque surpris. à chaque instant je m'attend à ce qu'ils prennent la tangente, qu'ils esquivent...
Ils sont garé à l'autre bout de la ville. Pour leur éviter de marcher, je propose de les amener à leur véhicule, le mien est stationné tout prés... "Si vous faites le taxi, nous monteront derrière" a t'elle dit, j'ai trouvé cela amusant. Ils marchent l'un contre l'autre, il a passé son bras autour de sa taille, il la serre. ils échangent des baisers gourmands, je vois leurs lèvres se joindre , leurs langues se mêler. Elle se met sur la pointe des pieds pour l'embrasser. je regarde ses courbes sans intervenir. Arrivés à ma voiture, elle s'adosse contre la portière coté conducteur et me lance "Chauffeur, vous connaissez le chemin?" en me barrant le passage.
Il ne m'en faut pas plus pour m'approcher d'elle, l'enlacer. je me colle à ce corps que je désire. Je passe mes mains sous son blouson, en partant de ses hanches je remonte vers ses seins généreux, que je pétris lentement par dessus son chemisier. Elle me refuse sa bouche, mais je l'embrasse dans le cou,. son compagnon nous regarde, il a l'air excité, je remarque qu'il caresse son sexe, par dessus son pantalon.
Ma main s’introduit dans son corsage et caresse un sein pendant que l’autre main remonte sa jupe et pour atteindre son entrejambe. je caresse son sexe par dessus le tissus.
Elle dit rien, elle a les yeux fermés, je trouve du plaisir à ce petit jeu. Soudain, elle me repousse... "En route, Chauffeur!"
Comme convenu, ils montent à l’arrière, je m’installe à ma place.
A peine ai-je démarré, je remarque qu'il se jette sur elle, il l'embrasse, lèche sa peau de la naissance de ses seins jusqu’à ses lobes d'oreilles, je le vois mordiller, elle s'abandonne, il chuchote, elle murmure...
Puis elle s'installe au milieu de la banquette, elle me regarde dans le rétroviseur, en soupirant. Au bout de quelques secondes, je comprends qu'il faut que j'incline le rétroviseur pour regarder plus bas. Il a ouvert son chemisier , libérant se seins magnifiques, ils sont là, offerts à ma concupiscence, mais inatteignables. je le regarde les caresser, les titiller du bout de la langue, elle jette sa tète en arrière contre le dossier," Plus bas" souffle t'elle... je descends encore le rétro!
Ses jambes sont largement écartées, il a complètement remonté sa jupe, et caresse son sexe, s'immisce dans sa culotte, je ne distingue rien de précis, mais je discerne qu'il dessine ses lèvres du bout des doigts, elle halète, ondule sous ses caresses ses mains sont partout sur elle... Il lui glisse qques mots à l'oreille, puis elle me demandes : -"Tu bandes?" Je réponds par l'affirmative.
-"Tu me montres?", je n'ai pas le temps de répondre que je vois son reflet disparaître du miroir, elle s'installe derrière mon fauteuil, je sens ses mains qui passent autour de moi, elle palpe mon sexe tendu, puis commence à défaire ma boucle de ceinture et mes boutons... Je sens ses doigts qui glissent sur mon caleçon. Sa paume frotte ma queue en partant de la base jusqu'a mon gland qui boue déjà. puis ses doigts qui viennent remonter mes testicules... "Tu m'aides", me susurre t'elle a l'oreille. Je me redresse pour qu'elle fasse glisser mon pantalon sur mes cuisses... elle s'empare que ma bite , elle tâte, scrute, examine, parcours ma queue et mes couilles...
"Mmmmmm, que c'est bon..." mais je ne sais pas si elle parle de ses explorations tactiles ou de ce que lui fait son homme. Je me concentre sur la conduite, faisant au mieux afin de m’insérer dans le flux de la circulation... mon cœur bat la chamade, je suis terriblement excité par cette femme qui me "visite" sous les yeux de son mec, les deux semblent y trouver du plaisir, leurs baisers sont de plus en plus fougueux...
-"Plus que 300 mètres, et nous devrions voir votre voiture"
Ses mains m'abandonnent a mon grands regret, je regarde ses doigts reboutonner son chemisier, et ses seins disparaître. elle mets de l'ordre dans ses cheveux, dans ses habits. Lorsqu'elle ouvre la portière , le joyeux tumulte qui animait l’arrière de mon véhicule semble s’évaporer subitement... De l'air frais, je reprends mes esprits! Je baisse ma vitre, en ajustant sa jupe, elle me demande :" N'auriez vous pas fait un léger détours? ...
Le point de départ, c'est un homme que j'appellerai Rolland, qu'elle a croisé brièvement lors d'un mariage duquel j'étais absent pour raisons professionnelles. Quelques semaines après, il a réussi a se procurer le numéro de téléphone de ma compagne et l'a contactée... (le cuistre!)
Il est plutôt bel homme d'après elle, et fraichement divorcé. Passé l'étonnement de cette prise de contact, elle n'est pas dupe de ses intentions (qu'il peine a dissimuler). Et bien qu'ayant été claire sur notre engagement, le gars continue d'alimenter la conversation... Elle m'en avait parlé aussitôt, mais cette situation l'amuse et se elle se demande jusqu'ou le gars voudra aller (ce sera peut être l'objet d'un futur récit?). Nous avons évoqué la possibilité qu'elle accepte une de ses nombreuses invitations, mais tout ne se passera pas comme il le désire
"Rolland"
"Elle"...
Je marcherai d'un pas mesuré, presque lent, c'est comme cela que vous me reconnaîtrez. J'aurais l'air de flâner, mais je sais très bien où je vais. Dans cette rue piétonne où chacun va et vient, je me démarquerai, vous me remarquerez. Nous aurons arrangé implicitement ce rendez-vous, mais notre rencontre aura l'air fortuite et inattendue.
Je marcherai seule. Vous, posté devant une vitrine, regarderez mon reflet passer, ce sera votre signal. Vous m' aurez vue arriver au loin, bien sûr, mais vous savez que je ne veux pas que nos regards se croisent encore. Vous suivrez donc cette silhouette.
Là, marchant quelques mètres devant vous, je sentirai vos yeux sombres se poser sur moi. Vous contiendrez votre envie dévorante, et suivrez la ligne de mes bas à couture, vous appréciez le galbe de mes mollets, remontant maintenant vers la jupe que vous jugez probablement trop longue. Vous vous rêvez déjà remontant le long de mes cuisses, mais n'allons pas trop vite en besogne. Mon blouson ne vous laisse pas deviner autre chose de moi, mais je sais que vos yeux sont rivés sur le balancement de mes hanches. Malgré l'hiver, je suis réchauffée par la sensation de votre regard caressant. Je sais que votre imagination vagabonde déjà, et je veux prolonger ces instants où je perçois votre carrure dans le reflets des vitrines, votre allure, vos cheveux poivre et sel, votre démarche souple. Furtivement que je vous épie, je vous observe, je vous scrute. Intérieurement, je souris, je frissonne.
J'avance à mon rythme, et vous m'accompagnez en gardant vos distances. Je vous précéderai ainsi jusqu'à la terrasse d'un café. C'est là que je vais retrouver mon homme, mon amant, mon Amour. Il se lève pour m'accueillir, m'embrasse comme lui seul peut le faire, passionnément. Je lui offre ma bouche sans retenue, sachant que vous m'observez. Il m'enlace et j'aime me serrer contre lui, je suis si bien dans ses bras. Pendant ce temps, vous vous installez, non loin. Il sait aussi que vous êtes là, nous vous avons choisi ensemble. Il me laisse cette liberté que d'être désirée par vous, ne l'oubliez pas. Je le respecte pour cela, je l'aime pour cela.
Nous commandons un café, je fouille dans mon sac pour en sortir mon paquet de cigarette, mais je ne trouve pas de briquet, c'est à ce moment que vous trouverez le moyen d'engager la conversation, de manière légère, spontanée, peut être spirituelle, en m'offrant du feu...
je protège la flamme en effleurant vos mains. Je vois votre regard porté sur le gonflement du blouson occasionné par mes seins, il est en cuir suffisamment souple pour que vous vous rendiez compte de leurs volumes
"Lui"
Elle relève la tête en tirant la première bouffée de sa cigarette. elle souffle la fumée et me remercie , je lui réponds :"Avec plaisir..." dans un large sourire.
-"Un plaisir partagé est un plaisir double..." enchaîne t'elle d'un air taquin.
Je suis stupéfait de sa réponse qui ressemble presque à une "attaque frontale".
-"Dans ce cas, me permettrez vous de me joindre à vous?" et joignant le geste à la parole, j'attrape une chaise et m'installe à leur table, et j’enchaîne
-"Moi aussi je suis adepte de ces plaisirs coupables..." dis je en sortant mon paquet de cigarettes de la poche de ma veste, "mais avec un café, c'est dur de résister".
-"Vous résistez aussi à la tentation?" me lance alors son compagnon? Essaierait 'il de me désarçonner? J’éclate de rire, et je réponds qu'avec le café je préfère le sucre, mais que mettre du piment me parait une bonne idée. sourires entendus, je frissonne moi aussi.
Pendant que nous devisons gaiement, je la regarde croiser et décroiser ses jambes, chacun de ces mouvement fait remonter sa jupe légèrement. Elle a sa main posée dans la sienne, elle le lâche seulement pour se réajuster, afin de continuer à croiser et décroiser les jambes. Je suis déjà en train de la désirer, mes yeux caressent ses mollets et remontent, frôlent l’intérieur des ses cuisses jusque là où mon regard peut porter. J'imagine ses seins lourds et volumineux, je voudrais déjà les presser, les palper, les embrasser, les sucer... J'imagine qu'elle le devine un peu, elle me sourit, et mon désir s’accroît encore! A tel point que je dois m'excuser pour me rendre aux toilettes. Je me lève aussi prestement que possible en essayant de dissimuler au mieux la bosse de mon pantalon, mais leurs rires alors que je m’éloigne me laisse penser qu'ils ont remarqué mon trouble. J'ai juste besoin de libérer mon sexe tendu de sa gangue et de le replacer afin qu'il ne soit pas compressé. j'ai observé sa bouche lorsqu'elle buvait son café, j'ai imaginé ses baisers, le gout de ses lèvres, ses mains sur ma poitrine, les miennes autour de sa taille, sur ses hanches pour la presser contre moi...
je ferme ma braguette et sort des toilettes, mais quelle n'est pas ma surprise lorsque je la trouve appuyée contre le lavabo de ce vestibule.
-"j'attends mon tour." me dit elle d'un ton ironique en me montrant la porte voisine. la situation devient presque incongrue mais je décide de m'avancer vers elle. Elle glisse sur le coté pour que je puisse me laver les mains, mais je peux sentir son parfum capiteux, enivrant. Elle se contente de sourire et de me regarder. je romps le silence elle lui avouant que je la trouve très belle, très désirable... Comme seule réponse, je sens sa main qui parcours mon pantalon, ses doigts qui glissent sur le tissu, qui devinent ma queue raidie. le rouge me monte aux joues, je me tourne vers cette femme pour l'embrasser quand le son d'un verrou qui se libère nous fait tressaillir, sa main se dérobe, quelqu'un sort, elle disparaît derrière cette porte qui venait à peine de s'ouvrir.
Je rejoins son compagnon à terrasse du café. Je suis un peu gêné et peine à faire redescendre la tension en moi.
-"Je suis épaté par votre couple, vous avez l'air très amoureux..."
-"Merci, J’espère qu'on continuera à vous étonner" Dit il d'un ton laconique.
J'avale ma salive...
-"Votre compagne est délicieuse".
-"C'est bien ce que je me suis dit lorsque je l'ai goûtée"...
Ses allusions font vagabonder mon imagination, j'imagine leurs étreintes. Comment gémit-elle lorsqu'il enfouit sa tète entre ses jambes? J'aimerais aussi qu'elle s'offre à moi... Je lève les yeux, et je la vois revenir vers nous, la démarche assurée, presque désinvolte. Elle n'a pas refermé son blouson, je suis presque hypnotisé par le balancement de sa poitrine. Comme je voudrais passer mes mains sous son chemisier... Elle s'installe en croisant ses jambes gainées de nylon. un téléphone sonne, c'est celui de son homme, il regarde l’écran avec une mine contrariée, il dit qu'il est désolé mais il doit répondre, se lève et s’éloigne. Je décide d’être direct.
-"J'ai très envie de vous..."
Elle rallume une cigarette
-" C'est très agréable à entendre, mais je l'avais remarqué!"
Elle me taquine. Je la regarde dans les yeux. En reposant son briquet, elle fait tomber la petite cuillère de sa tasse, je me baisse pour la ramasser sans oublier d'effleurer ses jambes. Délicatement, mais suffisamment pour qu'elle comprenne que j'ai envie de la toucher.
-"Vous savez ce que peux éprouver un homme lorsqu'il a une femme telle que vous entre les bras?"
-"Il me semble que nous pourrions continuer cette conversation ailleurs". C'est la voix de l'homme qui a terminé sa conversation téléphonique...
-"Avec plaisir, mon chéri" dit-elle. Je repense à ce qu'elle m'a dit qques minutes plus tôt. J’appelle le serveur pour régler les consommations.
Je sens qu'elle aime se faire désirer, être convoitée ... En quittant la terrasse, je leur ai proposé de venir chez moi , ils ont accepté. j'en suis presque surpris. à chaque instant je m'attend à ce qu'ils prennent la tangente, qu'ils esquivent...
Ils sont garé à l'autre bout de la ville. Pour leur éviter de marcher, je propose de les amener à leur véhicule, le mien est stationné tout prés... "Si vous faites le taxi, nous monteront derrière" a t'elle dit, j'ai trouvé cela amusant. Ils marchent l'un contre l'autre, il a passé son bras autour de sa taille, il la serre. ils échangent des baisers gourmands, je vois leurs lèvres se joindre , leurs langues se mêler. Elle se met sur la pointe des pieds pour l'embrasser. je regarde ses courbes sans intervenir. Arrivés à ma voiture, elle s'adosse contre la portière coté conducteur et me lance "Chauffeur, vous connaissez le chemin?" en me barrant le passage.
Il ne m'en faut pas plus pour m'approcher d'elle, l'enlacer. je me colle à ce corps que je désire. Je passe mes mains sous son blouson, en partant de ses hanches je remonte vers ses seins généreux, que je pétris lentement par dessus son chemisier. Elle me refuse sa bouche, mais je l'embrasse dans le cou,. son compagnon nous regarde, il a l'air excité, je remarque qu'il caresse son sexe, par dessus son pantalon.
Ma main s’introduit dans son corsage et caresse un sein pendant que l’autre main remonte sa jupe et pour atteindre son entrejambe. je caresse son sexe par dessus le tissus.
Elle dit rien, elle a les yeux fermés, je trouve du plaisir à ce petit jeu. Soudain, elle me repousse... "En route, Chauffeur!"
Comme convenu, ils montent à l’arrière, je m’installe à ma place.
A peine ai-je démarré, je remarque qu'il se jette sur elle, il l'embrasse, lèche sa peau de la naissance de ses seins jusqu’à ses lobes d'oreilles, je le vois mordiller, elle s'abandonne, il chuchote, elle murmure...
Puis elle s'installe au milieu de la banquette, elle me regarde dans le rétroviseur, en soupirant. Au bout de quelques secondes, je comprends qu'il faut que j'incline le rétroviseur pour regarder plus bas. Il a ouvert son chemisier , libérant se seins magnifiques, ils sont là, offerts à ma concupiscence, mais inatteignables. je le regarde les caresser, les titiller du bout de la langue, elle jette sa tète en arrière contre le dossier," Plus bas" souffle t'elle... je descends encore le rétro!
Ses jambes sont largement écartées, il a complètement remonté sa jupe, et caresse son sexe, s'immisce dans sa culotte, je ne distingue rien de précis, mais je discerne qu'il dessine ses lèvres du bout des doigts, elle halète, ondule sous ses caresses ses mains sont partout sur elle... Il lui glisse qques mots à l'oreille, puis elle me demandes : -"Tu bandes?" Je réponds par l'affirmative.
-"Tu me montres?", je n'ai pas le temps de répondre que je vois son reflet disparaître du miroir, elle s'installe derrière mon fauteuil, je sens ses mains qui passent autour de moi, elle palpe mon sexe tendu, puis commence à défaire ma boucle de ceinture et mes boutons... Je sens ses doigts qui glissent sur mon caleçon. Sa paume frotte ma queue en partant de la base jusqu'a mon gland qui boue déjà. puis ses doigts qui viennent remonter mes testicules... "Tu m'aides", me susurre t'elle a l'oreille. Je me redresse pour qu'elle fasse glisser mon pantalon sur mes cuisses... elle s'empare que ma bite , elle tâte, scrute, examine, parcours ma queue et mes couilles...
"Mmmmmm, que c'est bon..." mais je ne sais pas si elle parle de ses explorations tactiles ou de ce que lui fait son homme. Je me concentre sur la conduite, faisant au mieux afin de m’insérer dans le flux de la circulation... mon cœur bat la chamade, je suis terriblement excité par cette femme qui me "visite" sous les yeux de son mec, les deux semblent y trouver du plaisir, leurs baisers sont de plus en plus fougueux...
-"Plus que 300 mètres, et nous devrions voir votre voiture"
Ses mains m'abandonnent a mon grands regret, je regarde ses doigts reboutonner son chemisier, et ses seins disparaître. elle mets de l'ordre dans ses cheveux, dans ses habits. Lorsqu'elle ouvre la portière , le joyeux tumulte qui animait l’arrière de mon véhicule semble s’évaporer subitement... De l'air frais, je reprends mes esprits! Je baisse ma vitre, en ajustant sa jupe, elle me demande :" N'auriez vous pas fait un léger détours? ...
Dernière modification par Invité le 07 juin 2022, 15:44, modifié 1 fois.
Re: Mes récits amoureux
Ravi que cela vous plaise! C'est une sorte de catharsis, afin d'exorciser une situation qui pourrait me déplaire...
Re: Mes récits amoureux
Une archive de 2020 à propos d'une histoire bcp plus ancienne (je pensais avoir tout classé sur un DD de sauvegarde, mais je sais plus où c'est rangé)
Ingrid
J'ai connu Ingrid sur un site de rencontre, on n'a pas évoqué le virtuel. On a bu un café, on s'est plu... c'est une jolie femme au physique généreux, de belles hanches larges, des cuisses puissantes des fesses rondes. Au fil de la conversation, je découvre une femme simple, discrète et sensible, fraichement célibataire avec qui je partage une fêlure, un deuil que nous n'arrivons pas à faire. Un rapport à la mort qu'elle exorcise en faisant du théâtre amateur. J'aime coucher avec elle. Un coté docile, et malgré cela une énergie débordante dans l'acte amoureux. Peu à peu, en me parlant de sa passion pour le théâtre, elle me fit part de son gout pour les mises en scène, les scenarios. Donc nous nous amusons a improviser des scènes de "premières rencontres" entre de "faux inconnus". Je joue le rôle d'un plombier intervenant sur sa chaudière, d'un mécanicien. tantôt rustre, et irrévérencieux, ou timide, pendant qu'elle incarne la femme au foyer parfois aguichante, ou au contraire tellement réservée que je dois la forcer et abuser d'elle. Je prends rdv à son bureau pour régler un pseudo litige administratif, et je la drague de manière insistante mais discrète devant ses collègues (elle m'avouera que ça l'avait bcp excitée). On se donne rendez vous dans des soirées en feignant de se rencontrer pour la première fois.
Une petite pause, regardez donc ce film court ...
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(en espérant que vous comprenez l'anglais...)
C'était drôle, excitant, enthousiasmant. On arrivait régler notre "jeu d'acteurs" pour que ce soit "crédible". ça restait une relation de sex-friends mais c'est ce que nous voulions à l'époque, je pouvais voir d'autres femmes et je savais qu'elle voyait d'autres hommes à l'occasion. Notamment le metteur en scène de sa troupe amateur. On est allé voir une pièce: "la venus à la fourrure" . une histoire qui traite des jeux de domination soumission entre une actrice et son metteur en scène (je vous conseille de le lire si vous voulez, et d'éviter la version filmée par Polanski) . ça nous a interpellé, notamment moi, sur les enjeux "psychologiques" d'une telle relation... Les pourquoi, les Comment, et surtout le Avec Qui? et ça m'a ramené a des films que j'avais vu , notamment Histoires d'O, Emmanuelle et la biographie d'Anaïs Nin que j'avais lu qques temps plus tôt... Elle à manifesté le désir d'expérimenter ces choses, autant pour le décorum, qui je trouve est primordial car il donne un cadre à ces jeux mais aussi pour ce qui ce joue à l'intérieur de ces jeux (la dimension psychologique) Elle aimait jouer sur ma frustration... Je me souviens, cette femme voulait que je me branle lorsque je lui léchais la chatte, mais qui m'interdisait de jouir, ou bien, elle venait se frotter contre mon sexe mais ne voulait pas que je bande...
Lorsque j’étais dominant, j'aimais bcp lancer des défis, assez classiquement qu'elle se caresse dans des lieux incongrus (voiture, bureau, magasins de fringues, chez des amis) ou avec des objet "pas prévus à cet effet". j'aimais aussi qu'elle fasse monter le plaisir et je l’arrêtais avant d'atteindre l'orgasme... Mais j'ai surtout voulu qu'elle aille dans des magasins de bricolage, ou des garages dans des tenues sexy, voire un peu provocantes, ou sans culotte pour la livrer aux regards concupiscents d'autres hommes ... qu'on aille se promener en ville alors qu'elle est nue, ou en sous vêtements sous son manteau, puis soudain lâcher son bras, m’éloigner un peu et lui laisser faire qques pas seule au milieu de la foule... je trouvais ça terriblement excitant! c’était assez soft, je n'aime pas les scenarii d'humiliation ou la souffrance physique extrême...
Bref, en lisant d'abord, puis en pratiquant nous avons inventé nos jeux de domination/soumission... Depuis, Je me suis éloigné des relations domination/soumission si ce n'est comme un "extra". Pourtant ce type de relation restent fascinantes. Parfois je me dis que celui (ou celle) qui à le pouvoir, c'est celui (ou celle) qui accepte de s'abandonner, de se soumettre, sans lui (ou elle) le dominant n'est plus rien...
Je vous laisse avec une chanson de Vaya Con Dios (et les images d'histoire d'O)
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Il vaut mieux le livre de Pauline Réage et éviter le film qui est terriblement Kitch...
Ingrid
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C'était drôle, excitant, enthousiasmant. On arrivait régler notre "jeu d'acteurs" pour que ce soit "crédible". ça restait une relation de sex-friends mais c'est ce que nous voulions à l'époque, je pouvais voir d'autres femmes et je savais qu'elle voyait d'autres hommes à l'occasion. Notamment le metteur en scène de sa troupe amateur. On est allé voir une pièce: "la venus à la fourrure" . une histoire qui traite des jeux de domination soumission entre une actrice et son metteur en scène (je vous conseille de le lire si vous voulez, et d'éviter la version filmée par Polanski) . ça nous a interpellé, notamment moi, sur les enjeux "psychologiques" d'une telle relation... Les pourquoi, les Comment, et surtout le Avec Qui? et ça m'a ramené a des films que j'avais vu , notamment Histoires d'O, Emmanuelle et la biographie d'Anaïs Nin que j'avais lu qques temps plus tôt... Elle à manifesté le désir d'expérimenter ces choses, autant pour le décorum, qui je trouve est primordial car il donne un cadre à ces jeux mais aussi pour ce qui ce joue à l'intérieur de ces jeux (la dimension psychologique) Elle aimait jouer sur ma frustration... Je me souviens, cette femme voulait que je me branle lorsque je lui léchais la chatte, mais qui m'interdisait de jouir, ou bien, elle venait se frotter contre mon sexe mais ne voulait pas que je bande...
Lorsque j’étais dominant, j'aimais bcp lancer des défis, assez classiquement qu'elle se caresse dans des lieux incongrus (voiture, bureau, magasins de fringues, chez des amis) ou avec des objet "pas prévus à cet effet". j'aimais aussi qu'elle fasse monter le plaisir et je l’arrêtais avant d'atteindre l'orgasme... Mais j'ai surtout voulu qu'elle aille dans des magasins de bricolage, ou des garages dans des tenues sexy, voire un peu provocantes, ou sans culotte pour la livrer aux regards concupiscents d'autres hommes ... qu'on aille se promener en ville alors qu'elle est nue, ou en sous vêtements sous son manteau, puis soudain lâcher son bras, m’éloigner un peu et lui laisser faire qques pas seule au milieu de la foule... je trouvais ça terriblement excitant! c’était assez soft, je n'aime pas les scenarii d'humiliation ou la souffrance physique extrême...
Bref, en lisant d'abord, puis en pratiquant nous avons inventé nos jeux de domination/soumission... Depuis, Je me suis éloigné des relations domination/soumission si ce n'est comme un "extra". Pourtant ce type de relation restent fascinantes. Parfois je me dis que celui (ou celle) qui à le pouvoir, c'est celui (ou celle) qui accepte de s'abandonner, de se soumettre, sans lui (ou elle) le dominant n'est plus rien...
Je vous laisse avec une chanson de Vaya Con Dios (et les images d'histoire d'O)
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Re: Mes récits amoureux
Un récit authentique
Pentecôte douce
On a pas profité du long we de Pentecôte pour s'éclipser. Du coup, des amis qui partaient en escapade nous ont demandé de passer chez eux afin de s'occuper de leurs animaux de compagnie. L'avantage, c'est qu'on peut profiter de leur piscine. Ils habitent un pavillon en bordure de rivière, assez tranquille, ils n'ont qu'un voisin...
Et quel voisin! c'est un personnage atypique, qui vit seul dans une baraque qui semble tomber en ruine. Un peu ermite, son jardin se divise en 2 parties, un potager luxuriant et de l'autre coté, un tas de bazar de vide grenier qu'il récupère, répare parfois, et revend rarement... Bref, ça contraste avec le gazon et les plantes d'ornement de nos amis. Evidement, il n'y a qu'un muret qui sépare les deux terrains, donc de son potager, il a vu sur la piscine, malgré qques arbustes.
Nous sommes donc arrivés le dimanche matin, je suis allé taper la causette avec ce gars que je connais un peu. Ma compagne reste en retrait, puis se joint nous... Elle porte une petite robe d'été, qui ne manque pas de faire son effet. Elle se tient a coté de moi, discrètement, je caresse se fesses, je m'enhardie même a soulever sa robe, imaginant qu'il ne voit pas grand chose mais qu'il devine les privautés que je me permets et auxquelles elle consent volontiers. Lorsqu'il est nerveux, le gars se met a bégayer, et ça ne tarde pas. Je remarque son regard qui se fixe sur elle, pendant que je lui demande comment il s'y prend pour faire rougir les tomates...
Bref, au bout d'un moment, nous le laissons à ses occupations maraichères pour nous occuper des animaux et du repas.
Ce type intrigue ma compagne... On a du mal a se figurer ce que c'est que la solitude de cet homme, qui a été marié et qui, malgré son âge, doit avoir des envies, des besoins... Je sais par une indiscrétion de mon ami qu'il a eu des soucis d'argent a cause de l'abus de téléphone rose (ou un truc dans le genre). J'en rajoute un peu en lui disant que j'ai cru deviner une érection qu'il masquait en mettant sa main dans sa poche, et qu'il était probablement déjà en train de se branler en pensant à elle... ça la trouble, ça l'amuse, et ça fini par l'exciter un peu. Imaginer la frustration de cet homme et à quel point elle pourrait devenir "palpable"...
Aprés le repas, nous nous installons sur la terrasse pour prendre le café, pour nous apercevoir que le voisin s'affaire dans le jardin malgré un soleil de plomb. Pour moi, il n'y a pas de doutes, il doit jeter des coups d'oeil de temps en temps... N'y prêtant guère attention, nous faisons comme à notre habitude, elle vient sur mes genoux, je caresse ses jambes, passe mes mains sous sa robe, nous nous embrassons langoureusement. J'en viens à faire glisser sa robe par terre pour qu'il profite du spectacle, lorsqu'il passe le long du muret il est une dizaine de mètres, il ne peut pas ne pas nous voir. Au bout de qques minutes, elle rentre dans la maison pour quitter sa culotte et mettre son maillot de bain. Je ne vois pas trop la différence puisqu'elle fait du monokini. Mais je comprends qu'on va aller se baigner. Entre le terrain et la riviere, il y a un petit chemin qui est emprunté par qques riverains, des promeneurs et des VTTistes. La piscine est abritée des regards par un mur aussi haut que celui du voisin d'où dépassent qques lilas. Les passants ne remarqueraient rien mais qqu'un qui s'attarderait pourrait nous voir...
Dans l'eau, rien d'insolent ou de coquin, c'est lorsque nous sortons profiter de la morsure du soleil que les choses s'accélèrent, on s'installe cote à cote sur l'herbe mais trés vite, je ne me gène pas pour lécher ses seins et glisser ma mains entre ses cuisses... Mon sexe se tend, elle retire mon maillot, s'installe entre mes jambes et commence à me sucer, sans qu'on se préoccupe du bonhomme... Je m'abandonne au plaisir de cette fellation. Je regarde sa langue virevolter sur mon gland qui disparait peu après dans sa bouche...Je comprends qu'elle ne s'arrêtera pas tant que je n'aurait pas lâché prise. Quand soudain, je vois passer un chapeau de paille dans le jardin d'en face. J'ai du tressaillir car elle s'est interrompue un instant pour me dire: "Ne t'occupe pas de lui. Qu'il regarde si ça lui fait plaisir mais je ne veux pas qu'il nous dérange"
J'ai fermé les yeux, elle a remit ses lèvres autour de mon sexe... je me suis laissé emporter par ses divines caresses. J'ai juste relevé la tête pour lui annoncer que mon plaisir était imminent. Elle a posé sa main sur mes testicules pour les sentir se contracter, et comme elle voulait voir ma semence surgir, elle a pris soin de ne me lâcher qu'au dernier moment... Elle m'a regardé jouir avec un sourire de contentement, puis s'est allongée a mes cotés. Nous avons échangé des baisers, des gestes tendres, des caresses affectueuses et l'après midi s'est égrainé lentement entre bain de soleil et
En fin de journée, nous décidons de suivre le chemin qui borde la rivière. Elle remet sa robe mais je lui demande de ne pas mettre de culotte, avec un peu de chance, un coup de vent opportun viendra dévoiler ses fesses. Le temps est lourd, mais l'orage ne viendra pas et la petite brise qui anime les branches des arbres qui bordent le cours d'eau ne fera pas connaitre l'humeur taquine de ma compagne. Nous rentrons pour manger.
Vers 9h, nous sommes sur la terrasse, le jardinier d'à coté arrose ses légumes et, Ô surprise, elle se dirige vers la piscine, quitte sa robe et, sans attendre, décide d'avancer le traditionnel bain de minuit dans sa version dépouillée. Je suis surpris et amusé. Serait-ce le vin qui la désinhibe ? Je reste à ma place mais je préfère la regarder plutôt que de scruter les réactions du legumiste d'à coté. Je l'ai rejoint quand la lumière du jour a commencé à décliner, non sans avoir allumé l'éclairage autour de la piscine. Lorsque nous sommes dans l'eau, on ne peut vraisemblablement pas nous voir. C'est sans doute pour cela qu'elle s'assoit sur la margelle. Je m'immerge pour refaire surface entre ses jambes, et enfouir mon visage entre ses cuisses qu'elle ouvre complaisamment.
J'aime lécher son sexe, remonter le long de ses lèvres, les entrouvrir, gouter son plaisir naissant, embrasser son pubis puis faire rouler son clitoris sous ma langue, descendre pour plonger ma langue dans son sexe, sucer, aspirer, lécher encore et de plus en plus fort. Sa main vient se poser sur mon crane pour me guider, m'indiquer là ou il faut que j'insiste, quand il faut que je relâche la pression afin que cela dure, je m'appuie sur les mains pour remonter afin de m'occuper de ses tétons, dévorer délicatement ses seins, et l'embrasser goulument avant de continuer le cunnilingus qui je l'espère, déclencheras des vagues de plaisir... ses murmures, sa respirations haletante ne me laissent plus douter de l'effet que ma langue produit, je redouble d'ardeur, je m'accroche à ses seins, puis je soulève ses fesses pour la déguster comme une glace italienne, de son anus a son clitoris. Dans ces moments là, rien ne compte si ce n'est l'envie de lui donner du plaisir. au bout de qques minutes je sens qu'elle se laisse aller, les spasmes du plaisir la parcourent, elle me repousse, serre le cuisses afin de me faire cesser... elle se laisse glisser dans l'eau, nous nous enlaçons, nous embrassons... "Tu crois qu'il nous observe? "Me demande t'elle. La maisonnette est plongée dans l'obscurité, s'il est là, on ne peut pas le deviner. "Tu aurais voulu qu'il manifeste sa présence? " lui répondis je?
- "J'aurais aimé le voir se branler, c'est une idée qui m'excite, même si ça pourrait paraitre glauque..."
-"Vu comme il te dévorait du regard, je serais pas étonné qu'il ait pensé a toi..."
-"Je me vois deviner sa présence et ressentir en moi la même envie monter de mon bas-ventre. Mais cette fois-ci, je lui donnerais ce dont il a envie. J’aurais envie de satisfaire ce désir, de mettre un terme à une frustration sexuelle que cet homme d’âge avancé doit ressentir. Je lui offrirais mon profil où il devinerait mes seins et me regarderait les caresser lentement… il devinerait le bout de mes seins tendus et rêverait de les toucher, de les embrasser… je lui présenterais ma croupe, penchée en avant lui offrant le spectacle de mon sexe entre mes cuisses légèrement ouvertes et il verrait ma main caresser mes lèvres gonflées. Je me retournerais alors pour le regarder fixement en continuant mes attouchements. Je l’encouragerais à laisser libre cours à son plaisir, à passer sa main sur son sexe endormi depuis si longtemps. J’aimerais qu’il consente à me montrer son sexe tendu, à exhiber le désir que je provoque et à se branler frénétiquement. Je lui offrirais tout… mes seins que je pétrirais… mes jambes que j’entrouvrirais assise… ma chatte qu’il aura envie de palper, d’embrasser, de sucer… Je rêverais de voir cet homme heureux de connaître à nouveau le bonheur d’une érection et d’être autorisé à assouvir ce besoin pressant… de le voir ému au bord de la jouissance. C’est à ce moment-là que je lui sourirais et que je m'éclipserai"
-"Oh, la garce!!!"
Nous éclatons de rire, et décidons de rentrer. En passant en voiture de l'autre coté de la maisonnette, une des fenêtres est éclairée. Une silhouette se dessine. Je hausse les sourcils, nous ne saurons pas s'il nous a espionné. Mais ce qu'elle vient de me dire m'a bouleversé!
Peut être lorsque nous y retourneront?
Pentecôte douce
On a pas profité du long we de Pentecôte pour s'éclipser. Du coup, des amis qui partaient en escapade nous ont demandé de passer chez eux afin de s'occuper de leurs animaux de compagnie. L'avantage, c'est qu'on peut profiter de leur piscine. Ils habitent un pavillon en bordure de rivière, assez tranquille, ils n'ont qu'un voisin...
Et quel voisin! c'est un personnage atypique, qui vit seul dans une baraque qui semble tomber en ruine. Un peu ermite, son jardin se divise en 2 parties, un potager luxuriant et de l'autre coté, un tas de bazar de vide grenier qu'il récupère, répare parfois, et revend rarement... Bref, ça contraste avec le gazon et les plantes d'ornement de nos amis. Evidement, il n'y a qu'un muret qui sépare les deux terrains, donc de son potager, il a vu sur la piscine, malgré qques arbustes.
Nous sommes donc arrivés le dimanche matin, je suis allé taper la causette avec ce gars que je connais un peu. Ma compagne reste en retrait, puis se joint nous... Elle porte une petite robe d'été, qui ne manque pas de faire son effet. Elle se tient a coté de moi, discrètement, je caresse se fesses, je m'enhardie même a soulever sa robe, imaginant qu'il ne voit pas grand chose mais qu'il devine les privautés que je me permets et auxquelles elle consent volontiers. Lorsqu'il est nerveux, le gars se met a bégayer, et ça ne tarde pas. Je remarque son regard qui se fixe sur elle, pendant que je lui demande comment il s'y prend pour faire rougir les tomates...
Bref, au bout d'un moment, nous le laissons à ses occupations maraichères pour nous occuper des animaux et du repas.
Ce type intrigue ma compagne... On a du mal a se figurer ce que c'est que la solitude de cet homme, qui a été marié et qui, malgré son âge, doit avoir des envies, des besoins... Je sais par une indiscrétion de mon ami qu'il a eu des soucis d'argent a cause de l'abus de téléphone rose (ou un truc dans le genre). J'en rajoute un peu en lui disant que j'ai cru deviner une érection qu'il masquait en mettant sa main dans sa poche, et qu'il était probablement déjà en train de se branler en pensant à elle... ça la trouble, ça l'amuse, et ça fini par l'exciter un peu. Imaginer la frustration de cet homme et à quel point elle pourrait devenir "palpable"...
Aprés le repas, nous nous installons sur la terrasse pour prendre le café, pour nous apercevoir que le voisin s'affaire dans le jardin malgré un soleil de plomb. Pour moi, il n'y a pas de doutes, il doit jeter des coups d'oeil de temps en temps... N'y prêtant guère attention, nous faisons comme à notre habitude, elle vient sur mes genoux, je caresse ses jambes, passe mes mains sous sa robe, nous nous embrassons langoureusement. J'en viens à faire glisser sa robe par terre pour qu'il profite du spectacle, lorsqu'il passe le long du muret il est une dizaine de mètres, il ne peut pas ne pas nous voir. Au bout de qques minutes, elle rentre dans la maison pour quitter sa culotte et mettre son maillot de bain. Je ne vois pas trop la différence puisqu'elle fait du monokini. Mais je comprends qu'on va aller se baigner. Entre le terrain et la riviere, il y a un petit chemin qui est emprunté par qques riverains, des promeneurs et des VTTistes. La piscine est abritée des regards par un mur aussi haut que celui du voisin d'où dépassent qques lilas. Les passants ne remarqueraient rien mais qqu'un qui s'attarderait pourrait nous voir...
Dans l'eau, rien d'insolent ou de coquin, c'est lorsque nous sortons profiter de la morsure du soleil que les choses s'accélèrent, on s'installe cote à cote sur l'herbe mais trés vite, je ne me gène pas pour lécher ses seins et glisser ma mains entre ses cuisses... Mon sexe se tend, elle retire mon maillot, s'installe entre mes jambes et commence à me sucer, sans qu'on se préoccupe du bonhomme... Je m'abandonne au plaisir de cette fellation. Je regarde sa langue virevolter sur mon gland qui disparait peu après dans sa bouche...Je comprends qu'elle ne s'arrêtera pas tant que je n'aurait pas lâché prise. Quand soudain, je vois passer un chapeau de paille dans le jardin d'en face. J'ai du tressaillir car elle s'est interrompue un instant pour me dire: "Ne t'occupe pas de lui. Qu'il regarde si ça lui fait plaisir mais je ne veux pas qu'il nous dérange"
J'ai fermé les yeux, elle a remit ses lèvres autour de mon sexe... je me suis laissé emporter par ses divines caresses. J'ai juste relevé la tête pour lui annoncer que mon plaisir était imminent. Elle a posé sa main sur mes testicules pour les sentir se contracter, et comme elle voulait voir ma semence surgir, elle a pris soin de ne me lâcher qu'au dernier moment... Elle m'a regardé jouir avec un sourire de contentement, puis s'est allongée a mes cotés. Nous avons échangé des baisers, des gestes tendres, des caresses affectueuses et l'après midi s'est égrainé lentement entre bain de soleil et
En fin de journée, nous décidons de suivre le chemin qui borde la rivière. Elle remet sa robe mais je lui demande de ne pas mettre de culotte, avec un peu de chance, un coup de vent opportun viendra dévoiler ses fesses. Le temps est lourd, mais l'orage ne viendra pas et la petite brise qui anime les branches des arbres qui bordent le cours d'eau ne fera pas connaitre l'humeur taquine de ma compagne. Nous rentrons pour manger.
Vers 9h, nous sommes sur la terrasse, le jardinier d'à coté arrose ses légumes et, Ô surprise, elle se dirige vers la piscine, quitte sa robe et, sans attendre, décide d'avancer le traditionnel bain de minuit dans sa version dépouillée. Je suis surpris et amusé. Serait-ce le vin qui la désinhibe ? Je reste à ma place mais je préfère la regarder plutôt que de scruter les réactions du legumiste d'à coté. Je l'ai rejoint quand la lumière du jour a commencé à décliner, non sans avoir allumé l'éclairage autour de la piscine. Lorsque nous sommes dans l'eau, on ne peut vraisemblablement pas nous voir. C'est sans doute pour cela qu'elle s'assoit sur la margelle. Je m'immerge pour refaire surface entre ses jambes, et enfouir mon visage entre ses cuisses qu'elle ouvre complaisamment.
J'aime lécher son sexe, remonter le long de ses lèvres, les entrouvrir, gouter son plaisir naissant, embrasser son pubis puis faire rouler son clitoris sous ma langue, descendre pour plonger ma langue dans son sexe, sucer, aspirer, lécher encore et de plus en plus fort. Sa main vient se poser sur mon crane pour me guider, m'indiquer là ou il faut que j'insiste, quand il faut que je relâche la pression afin que cela dure, je m'appuie sur les mains pour remonter afin de m'occuper de ses tétons, dévorer délicatement ses seins, et l'embrasser goulument avant de continuer le cunnilingus qui je l'espère, déclencheras des vagues de plaisir... ses murmures, sa respirations haletante ne me laissent plus douter de l'effet que ma langue produit, je redouble d'ardeur, je m'accroche à ses seins, puis je soulève ses fesses pour la déguster comme une glace italienne, de son anus a son clitoris. Dans ces moments là, rien ne compte si ce n'est l'envie de lui donner du plaisir. au bout de qques minutes je sens qu'elle se laisse aller, les spasmes du plaisir la parcourent, elle me repousse, serre le cuisses afin de me faire cesser... elle se laisse glisser dans l'eau, nous nous enlaçons, nous embrassons... "Tu crois qu'il nous observe? "Me demande t'elle. La maisonnette est plongée dans l'obscurité, s'il est là, on ne peut pas le deviner. "Tu aurais voulu qu'il manifeste sa présence? " lui répondis je?
- "J'aurais aimé le voir se branler, c'est une idée qui m'excite, même si ça pourrait paraitre glauque..."
-"Vu comme il te dévorait du regard, je serais pas étonné qu'il ait pensé a toi..."
-"Je me vois deviner sa présence et ressentir en moi la même envie monter de mon bas-ventre. Mais cette fois-ci, je lui donnerais ce dont il a envie. J’aurais envie de satisfaire ce désir, de mettre un terme à une frustration sexuelle que cet homme d’âge avancé doit ressentir. Je lui offrirais mon profil où il devinerait mes seins et me regarderait les caresser lentement… il devinerait le bout de mes seins tendus et rêverait de les toucher, de les embrasser… je lui présenterais ma croupe, penchée en avant lui offrant le spectacle de mon sexe entre mes cuisses légèrement ouvertes et il verrait ma main caresser mes lèvres gonflées. Je me retournerais alors pour le regarder fixement en continuant mes attouchements. Je l’encouragerais à laisser libre cours à son plaisir, à passer sa main sur son sexe endormi depuis si longtemps. J’aimerais qu’il consente à me montrer son sexe tendu, à exhiber le désir que je provoque et à se branler frénétiquement. Je lui offrirais tout… mes seins que je pétrirais… mes jambes que j’entrouvrirais assise… ma chatte qu’il aura envie de palper, d’embrasser, de sucer… Je rêverais de voir cet homme heureux de connaître à nouveau le bonheur d’une érection et d’être autorisé à assouvir ce besoin pressant… de le voir ému au bord de la jouissance. C’est à ce moment-là que je lui sourirais et que je m'éclipserai"
-"Oh, la garce!!!"
Nous éclatons de rire, et décidons de rentrer. En passant en voiture de l'autre coté de la maisonnette, une des fenêtres est éclairée. Une silhouette se dessine. Je hausse les sourcils, nous ne saurons pas s'il nous a espionné. Mais ce qu'elle vient de me dire m'a bouleversé!
Peut être lorsque nous y retourneront?
Re: Mes récits amoureux
Ce matin dans le jeu "Action ou Vérité", on m'a demandé si je me masturbe souvent... Voilà ma réponse!
Comme beaucoup de personnes sur cette terre, j'ai mon "jardin secret". Quand j'ai du temps libre j'aime me masturber où m'auto-érotiser. je dirais même que dans la mesure ou je suis relativement maître de mon emploi du temps, je peux le faire à ma guise...
Généralement, j'aime faire me caresser le matin, une fois que la maison est vide, calme et tranquille. L' ordi à portée de main (au singulier vu que l'autre s'affaire déjà dans mon pantalon). j'aime prendre mon temps, c'est un jeu sensuel avec moi même (pas que mais, j'y reviendrai).
Je me palpe d'abord à travers mon caleçon, je masse lentement tout le paquet que ma main englobe. c'est là que je commence à sentir mon sexe gonfler. Je laisse glisser mon pantalon sur mes chevilles, Je m'installe sur le sofa, je pose mon pc à coté de moi, et je commence naviguer sur la toile à la recherche d'une vidéo, ou d'une cam qui corresponde à mon envie du moment. Cela peut durer un certain temps, et j'entretiens une certaine fermeté par de lentes caresses sur mes testicules, je me fais frissonner en les effleurant du bout des doigts, puis je continue de me branler langoureusement, lascivement...Je prends le temps de ressentir mon corps dans les coussins, de trouver la position la plus confortable, afin que rien ne vienne parasiter le rituel qui s'annonce.
J'aime sentir mon sexe se tendre dans ma main, et laisser vagabonder mon imagination, ou mes souvenirs...j'aime sentir sa consistance, son poids, sa texture. Je remonte le long de ma hampe pour que le prépuce recouvre mon gland, je descend jusqu’à la base pour tendre le frein, je donne de l'ampleur au mouvement, puis je descend jusqu'au périnée avec de légères pressions. Après quelques frottements sur cette zone si érogène, je reprends ma queue en explorant les aspérités du corps caverneux. j'aime sentir mon pouce qui franchit la couronne du gland, je varie la pression, mon esprit flotte, je me rend peu à peu plus "disponible". Ce qui se passe alors sur mon écran n'est qu'un prétexte, un point de départ, un source d'inspiration. Si je regarde une scène de fellation, je repense à certaines fois plus mémorables. Où bien, j’échafaude le scénario d'une prochaine rencontre. L'essentiel étant de nourrir ma libido, et de stimuler ce désir qui embrase mon bas ventre. Je me remémore des sensations connues. je laisse mon corps me guider, répondre à l'appel de pulsions intimes. Mon imagination vagabonde, mon corps frissonne. Peu à peu, c'est comme si ma dureté prenait le contrôle, mes hanches ondules, mon corps se tend et se détend. je me sens envahi par une onde délicieuse qui me parcourt, tel le ressac de la mer. mon sexe en érection devient mon "centre de gravité". Je le ressens pleinement, comme s'il fallait que mon sexe soit turgescent pour appréhender mon corps dans sa totalité. Mon esprit n'est plus lisse comme la surface d'un lac, mais sous sous l'effet de la masturbation, il est comme animé par des ondulations qui deviennent des vagues de plaisir. Les images érotiques interférent avec d’autres ondes similaires, se bousculent, s'additionnent, se multiplient, enflent.
Mon sexe est maintenant bien raide, et je m'en saisis à pleine main. Le va et vient s’accélère, s’intensifie, et les sensations prennent le dessus. Il s'opère alors une sorte de déclic où mon univers fantasmagorique se débride, où l'excitation monte encore d'un cran, où les barrières tombent. Dés lors, les images érotiques s'entrechoquent, et mon corps et mon esprit veulent dire oui à toutes les sensations, à toutes les suggestions, à toutes les sollicitations. Mes pulsions s'expriment sans retenue. L'envie prend le pas sur tout autre considération. Je veux jouir, je vais jouir... Vient alors la libération, ce moment où mon gland gonflé, empourpré, bouillant explose. Mon esprit bascule, m'abandonne presque. Mes testicules se contractent, je sens ma semence jaillir et couler sur mes doigts, sur mon ventre.
Après ce maelstrom vient l'apaisement. Je suis détendu, délacé, apaisé. Je laisse venir les répliques du plaisir qui m'a traversé. Je continue de me caresser lentement, délicatement. Peu à peu, je reprends pied dans la réalité.
J'aime me caresser, je ne le cache pas, j'aime le faire avec ma compagne, et j'aimerai (avec ou sans S?) ne pas le cacher, m'exhiber, me montrer dans cet exercice intime (et obscène?)... Partager, échanger... j'aimerais aussi me prêter à des séances de masturbation dirigée, virtuelle ou pas, où je laisserai le contrôle à une (où un) complice qui serait mon "chef d'orchestre", qui donnerait le tempo, les nuances... Mais, bien sûr, cela ne peut s'envisager sans un minimum de connivence...
je vous souhaite une belle journée
Merci de m'avoir lu!
D.
Comme beaucoup de personnes sur cette terre, j'ai mon "jardin secret". Quand j'ai du temps libre j'aime me masturber où m'auto-érotiser. je dirais même que dans la mesure ou je suis relativement maître de mon emploi du temps, je peux le faire à ma guise...
Généralement, j'aime faire me caresser le matin, une fois que la maison est vide, calme et tranquille. L' ordi à portée de main (au singulier vu que l'autre s'affaire déjà dans mon pantalon). j'aime prendre mon temps, c'est un jeu sensuel avec moi même (pas que mais, j'y reviendrai).
Je me palpe d'abord à travers mon caleçon, je masse lentement tout le paquet que ma main englobe. c'est là que je commence à sentir mon sexe gonfler. Je laisse glisser mon pantalon sur mes chevilles, Je m'installe sur le sofa, je pose mon pc à coté de moi, et je commence naviguer sur la toile à la recherche d'une vidéo, ou d'une cam qui corresponde à mon envie du moment. Cela peut durer un certain temps, et j'entretiens une certaine fermeté par de lentes caresses sur mes testicules, je me fais frissonner en les effleurant du bout des doigts, puis je continue de me branler langoureusement, lascivement...Je prends le temps de ressentir mon corps dans les coussins, de trouver la position la plus confortable, afin que rien ne vienne parasiter le rituel qui s'annonce.
J'aime sentir mon sexe se tendre dans ma main, et laisser vagabonder mon imagination, ou mes souvenirs...j'aime sentir sa consistance, son poids, sa texture. Je remonte le long de ma hampe pour que le prépuce recouvre mon gland, je descend jusqu’à la base pour tendre le frein, je donne de l'ampleur au mouvement, puis je descend jusqu'au périnée avec de légères pressions. Après quelques frottements sur cette zone si érogène, je reprends ma queue en explorant les aspérités du corps caverneux. j'aime sentir mon pouce qui franchit la couronne du gland, je varie la pression, mon esprit flotte, je me rend peu à peu plus "disponible". Ce qui se passe alors sur mon écran n'est qu'un prétexte, un point de départ, un source d'inspiration. Si je regarde une scène de fellation, je repense à certaines fois plus mémorables. Où bien, j’échafaude le scénario d'une prochaine rencontre. L'essentiel étant de nourrir ma libido, et de stimuler ce désir qui embrase mon bas ventre. Je me remémore des sensations connues. je laisse mon corps me guider, répondre à l'appel de pulsions intimes. Mon imagination vagabonde, mon corps frissonne. Peu à peu, c'est comme si ma dureté prenait le contrôle, mes hanches ondules, mon corps se tend et se détend. je me sens envahi par une onde délicieuse qui me parcourt, tel le ressac de la mer. mon sexe en érection devient mon "centre de gravité". Je le ressens pleinement, comme s'il fallait que mon sexe soit turgescent pour appréhender mon corps dans sa totalité. Mon esprit n'est plus lisse comme la surface d'un lac, mais sous sous l'effet de la masturbation, il est comme animé par des ondulations qui deviennent des vagues de plaisir. Les images érotiques interférent avec d’autres ondes similaires, se bousculent, s'additionnent, se multiplient, enflent.
Mon sexe est maintenant bien raide, et je m'en saisis à pleine main. Le va et vient s’accélère, s’intensifie, et les sensations prennent le dessus. Il s'opère alors une sorte de déclic où mon univers fantasmagorique se débride, où l'excitation monte encore d'un cran, où les barrières tombent. Dés lors, les images érotiques s'entrechoquent, et mon corps et mon esprit veulent dire oui à toutes les sensations, à toutes les suggestions, à toutes les sollicitations. Mes pulsions s'expriment sans retenue. L'envie prend le pas sur tout autre considération. Je veux jouir, je vais jouir... Vient alors la libération, ce moment où mon gland gonflé, empourpré, bouillant explose. Mon esprit bascule, m'abandonne presque. Mes testicules se contractent, je sens ma semence jaillir et couler sur mes doigts, sur mon ventre.
Après ce maelstrom vient l'apaisement. Je suis détendu, délacé, apaisé. Je laisse venir les répliques du plaisir qui m'a traversé. Je continue de me caresser lentement, délicatement. Peu à peu, je reprends pied dans la réalité.
J'aime me caresser, je ne le cache pas, j'aime le faire avec ma compagne, et j'aimerai (avec ou sans S?) ne pas le cacher, m'exhiber, me montrer dans cet exercice intime (et obscène?)... Partager, échanger... j'aimerais aussi me prêter à des séances de masturbation dirigée, virtuelle ou pas, où je laisserai le contrôle à une (où un) complice qui serait mon "chef d'orchestre", qui donnerait le tempo, les nuances... Mais, bien sûr, cela ne peut s'envisager sans un minimum de connivence...
je vous souhaite une belle journée
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D.
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Re: Mes récits amoureux
Magnifique plume troublante vibrante limpide.
Tout semble tellement naturel merci pour tant de sensualité !
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Le libertin est coupable de ses générosités, comme l'avare de ses économies
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- Calme
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Re: Mes récits amoureux
Bonjour,
Plein de récit à lire d'un coup, mais ça m'a beaucoup plu. Merci pour les partages.
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