L'humiliation.

[Ten]

Je ne crie jamais, tout juste je gémis, ce sont les coups de martinet et/ou paddle qui sont bruyants.

[Topmaso]

Dites que vous bricolez.

[Ten]

La nuit ? on est trop respectueux pour faire ça

[Topmaso]

Faut capitonner alors.

[Topmaso]

J'avais une correspondante qui, rien que pour moi, s'était fait de jolies couettes puis s'était entartée. Elle avait fait des photos. La totale : crème, coulis de chocolat et œufs. C'était adorable. Et ça m'a fait de l'effet. J'adorerais la remercier en live.

[Topmaso]

La nuit ? on est trop respectueux pour faire ça

Tu es drôlement libre d'en parler comme ça.

[Ten]

Pourquoi tu dis ça ?
Parce que je suis directe dans mes questions/réponses ?

[Ten]

Faut capitonner alors.

Faut surtout que mes fils se barrent de chez nous



Les voisins après je m'en fous un peu, puis ça ne sera pas tous les soirs non plus.

[Topmaso]

Pourquoi tu dis ça ?
Parce que je suis directe dans mes questions/réponses ?

Oui, et j'apprécie.

[Ten]

Oui, et j'apprécie.

Je n'ai rien à cacher, et je suis assez fière de notre vie du coup je reste assez cash
Nîmois est plus "diplomate" que moi, mais il reste assez franc aussi.

[Topmaso]

Moi, j'hésite à me confier. Je commence à sortir un peu de ma réserve.

[Ten]

C'est pas évident pour tout le monde de se livrer, encore plus pour les hommes je crois bien.

[Topmaso]

C'est pas évident pour tout le monde de se livrer, encore plus pour les hommes je crois bien.

C'est encore moins évident de trouver quelqu'un qui adhère à sa vision ou qui la comprend.

[Topmaso]

Mon envie, reproduire cette photo avec Elle et m'en servir comme avatar :

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[Topmaso]

J'ai retrouvé ce petit texte que j'avais posté sur le topic "Dites-le avec des fleurs"
Lily pris la tarte, me l'aplatit sur le visage avec un gracieux mouvement de poignet, très féminin, puis la remonta jusqu'au sommet de mon crâne, traçant un long sillage de crème blanche dans ma chevelure noire et luisante.
Un « oh ? » de surprise retentit dans le restaurant et nous devînmes la cible de tous les regards. Nullement intimidée, Lily, avec une moue mutine, écarta la crème qui me couvrait les yeux d'un revers de ses index : elle voulait que je ne perde rien du spectacle.
Elle pris deux tartes et passa derrière moi.
Je me tenais bien droit, attendant le coup...
Elle les abattit alors de part et d'autre de ma tête, dans un grand jaillissement de crème.
Puis, elle commença à l'aplatir depuis le sommet de mon crâne jusqu'en bas de mon visage, me couvrant la figure sous une épaisse coulée blanche et onctueuse, prenant bien soin de toujours me dégager les yeux et mélangeant soigneusement la crème à mes cheveux, pour qu'elle s'imprègne.
D'un doigt, elle en recueillit un peu et, portant son index à ses lèvres rubis, elle goûta ce dessert qu'elle m'offrait.
Elle eut un sourire gourmand.
Tout autour, les femmes gloussaient, et immortalisaient l'instant sur leur mobile tandis que les hommes, gênés pour moi, feignaient ne rien voir.
Lily captura un œuf dur sur la table voisine, me fit ouvrir la bouche, langue sortie, et l'y enfonça.
J'eus un léger mouvement de recul mais j'acceptais son présent.
Puis elle pris une saucière remplie d'un coulis de chocolat.
Elle dégagea ma raie médiane avec son ongle afin d'en faire couler le liquide tout du long.
De lourdes traînées noires se peignirent sur ma figure crémeuse, coulant du front, gouttant de mon nez...
Lily repassa derrière moi puis en versa dans mon col de chemise, entre mes omoplates, avant de passer le plat de sa main pour mieux l'étaler.
Puis elle me fit lever en m'empoignant par le col.
Les bras ballants, je la vis écarter le rebord de mon pantalon et verser le reste de la saucière dans mon caleçon.
Des femmes applaudirent l'exploit.
Alors, elle forma au sommet de ma tête un petit monticule de crème chocolatée et y déposa une cerise confite en riant de son petit rire enfantin et charmant.
Elle me fit placer ensuite à quatre pattes puis saisit deux tartes, et m'en aplatit une sur le visage, et l'autre sur le postérieur, simultanément. Elle remonta la seconde depuis le bas de mes reins jusqu'à la nuque.
Sur le coup, je brisais l'œuf dans ma bouche.
Je dû alors soigneusement le mâcher et l'avaler.
Enfin, elle condescendit à m'adresser la parole : « Oublie encore une seule fois mon anniversaire et je te refais ta fête. »
Elle m'autorisa à baiser la pointe de ses chaussures en signe de contrition.
Puis, sans me faire l'aumône d'un regard, elle sortit en secouant sa crinière brune et bouclée, sous les applaudissements des convives.
Je restais immobile, en proie au quolibets.
La serveuse, une blonde à queue de cheval et aux beaux yeux verts, vint malicieusement me coincer l'addition dans la bouche.
Bon anniv' Lily.

[Topmaso]

Être un personnage de BD qu'on puisse tordre, battre et déformer à l'envi est aussi un de mes fantasmes. (Avec la complicité de Sucrette.)
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[Invité]

Ca existe déjà
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[Topmaso]

Ca existe déjà
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Il en a de la chance mais je n'ai pas le charisme de Ryô Saeba.

[Topmaso]

J'adore me représenter brimé par ma complice.
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[vvsm8714]

Bonsoir,

L'humiliation est un de mes moteurs dans ce qui me relie à la soumission. Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet, mais par exemple, une Maîtresse qui m'a dominé virtuellement pendant neuf mois me nommait " sous merde", et elle et moi l'avons écrit 1464 fois dans nos conversations skype durant cette période. Ce fut tout simplement magique à vivre.
cordialement.

[Topmaso]

Moi, elle m'appelait "Petite Crotte."
Trop mignon !

[LeSien]

Bonjour à toutes et à tous,

Je suis, en ce qui me concerne, extrêmement demandeur (trop peut être même selon Madame) d'humiliation. Pour ce qui me concerne, cette humiliation peut trouver son expression dans des détails. Par exemple, me faire porter en extérieur des chaussures trop petites (relativement, je ne marche pas non plus sur les mains) ou, encore, me demander de manger les mains attachées dans le dos.

Il peut y avoir, aussi, des choses que je vois humiliantes et que je suis sans doute le seul à voir ainsi. C'est le fruit de mon parcours et de mes expériences qui crée cette lecture déformée. Exemple concret, porter des chaussons de gymnastique (vous savez, comme ceux qu'on porte quand on fait cours de sport à l'école) en extérieur est très humiliant ... et excitant à mes yeux.

Je crois que l'humiliation est un reflet de nos sensations les plus intimes et qu'il n'y a pas deux expériences similaires.

[Ray-J]

Personnellement, dans le rapport d/s, ce qui m'attire, c'est l'humiliation plus que les coups.
A partir du moment où j'ai accepté le collier, j'aime me soumettre aux caprices de mes partenaires.
Est-ce que vous partagez cette attirance ?

Même si lors de mes pratiques je me retrouve tout le temps dans des positions "humiliantes" (j'aime me faire marcher dessus, sentir, embrasser, lécher des pieds, servir de repose pieds...) jusqu'à présent, aucune des Femmes avec qui j'ai pratiqué ne m'a forcé à faire ce que je n'aimais pas.

Cela dit, je ne suis pas contre l'idée d'approfondir ma soumission, quitte à y rajouter un peu d'humiliation.
Je précise que je ne suis pas réellement un soumis, je suis plus un fétichiste qui aime la douleur provoquée par certaines manières. (entre autres )

[Topmaso]

Même si lors de mes pratiques je me retrouve tout le temps dans des positions "humiliantes" (j'aime me faire marcher dessus, sentir, embrasser, lécher des pieds, servir de repose pieds...) jusqu'à présent, aucune des Femmes avec qui j'ai pratiqué ne m'a forcé à faire ce que je n'aimais pas.

Cela dit, je ne suis pas contre l'idée d'approfondir ma soumission, quitte à y rajouter un peu d'humiliation.
Je précise que je ne suis pas réellement un soumis, je suis plus un fétichiste qui aime la douleur provoquée par certaines manières. (entre autres )

Lécher les pieds, j'adore.

[Topmaso]

Le thème de ce topic n'inspire pas beaucoup, apparemment.

[MASROST]

Me trouver être humilié en plein action sexuelle, cela je l'ai vécu. J'aime me faire humilier, devoir exécuter des ordres asse abaissants. Il fut des années de cela, durant trois années, sexuellement , j'étai en proie à la vicelardise d'une fille, ou d'une femme au gout très prononcé des choses du sexe, qui aimait en décider de moi, choisir elle même tant les moments, les lieux, le supports, par exemple, le lit, au sol, dans ou sur le wc même, sous la douche, que cela soit aussi, en extérieur, en sous bois, aussi les conditions, et les positions. Elle aimait tout décider entre nous, décider de me déshabiller quand et comme elle l'entendait, qui allait jusqu'à m'assister sur le wc où elle me regardait faire, sous ses yeux et ses regards car aimait observer tout de moi, de mon corps entier. Je me faisait doigter, et même si son doigt était quelque peu souillé, me le faisait flairer, lécher, puis sucé jusqu'à ce que son doigt soit propre. Dégueu, j'attest, très abaissant ou humiliant, serte, mais j'aimais malgré tout car très excitant, tant pour moi, que pour elle qui de fait, parvenait ainsi à obtenir de me voir être très excité, de me voir et entendre gémir, jouir à bloque, ainsi qu'elle même d'ailleurs. Oui, elle avait des regards bien vicelards, des mots crus, très vulgaires, en plus des gestes, ou des actes.

[LML]

Si un jour je me remettais en couple, il faudrait que ma femme soit une dominatrice qui sache jongler entre la sévérité, l'humiliation, les contraintes, les coups (cravache, martinet... ce qui lui tombe sous la main...)
Qu'elle sache me rappeler mon appartenance.