Torpeurs

Des récits qui ne manqueront pas de réveiller vos sens et votre imagination...
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Laphoenix75 a écrit ::aime:
j'en suis toute :cinglé: :love: :cinglé: :love:
Meiyov

Re: Torpeurs

Message par Meiyov »

Très jolie texte.
j'aime bien comment tout est dit en toute discrétion
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci Meiyov, une simple lettre :jap:
DeLsEp9

Re: Torpeurs

Message par DeLsEp9 »

Cedille92 a écrit :Merci Meiyov, une simple lettre :jap:

Une simple lettre,

mais qui en dit long, si long sur ton ressenti.
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Jak67 a écrit :

Une simple lettre,

mais qui en dit long, si long sur ton ressenti.
Celle que je suis tout simplement...

Dommage que ceux qui ont lu également non pas posté : DTP, Tenro...
Supprimé

Re: Torpeurs

Message par Supprimé »

Désolé, j'ai lu aussi, j'avais l'impression d'un peu jouer les voyeurs, donc je ne voulais pas commenter qui plus est !
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Dom_Tatto_Paris a écrit :Désolé, j'ai lu aussi, j'avais l'impression d'un peu jouer les voyeurs, donc je ne voulais pas commenter qui plus est !
Il n'y a pas de voyeurisme quand je publies un texte.
Bien au contraire ;) Alors ton ressenti ?
Dernière modification par Invité le 03 août 2011, 10:17, modifié 1 fois.
BjEd9a10

Re: Torpeurs

Message par BjEd9a10 »

c'est étonnant comme on peut se laisser aller envers un total inconnu.. allez au delà de sa peur.. et se laisser aller totalement... ce "texte" ou lettre est magnifique.. :love: :jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Yuna a écrit :c'est étonnant comme on peut se laisser aller envers un total inconnu.. allez au delà de sa peur.. et se laisser aller totalement... ce "texte" ou lettre est magnifique.. :love: :jap:
Oui c'est étonnnant comme une femme peut se laisser aller envers un inconnu ... C'est troublant parfois , surprennant et agréable aussi

Cedille j'imagine que tu racontes du vécu ? Quel a été la suite de cette rencontre charnelle et inoubliable ?
Une lettre courte mais très plaisante a lire.
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Yuna a écrit :c'est étonnant comme on peut se laisser aller envers un total inconnu.. allez au delà de sa peur.. et se laisser aller totalement... ce "texte" ou lettre est magnifique.. :love: :jap:
Absolument je ne me pensais pas capable de cela jusqu'à Lui
Cokin29 a écrit :
Oui c'est étonnnant comme une femme peut se laisser aller envers un inconnu ... C'est troublant parfois , surprennant et agréable aussi

Cedille j'imagine que tu racontes du vécu ? Quel a été la suite de cette rencontre charnelle et inoubliable ?
Une lettre courte mais très plaisante a lire.
Absolument Cokin, il s'agit de la première rencontre avec celui qui est aujourd'hui mon Seigneur et a qui j'appartiens corps et âmes
Biquette
Administrateur
Messages : 67526
Inscription : 12 mars 2011, 16:03
A remercié : 3575 times
A été remercié : 4650 times
Contact :

Re: Torpeurs

Message par Biquette »

C'est trés trés beau :)
Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci ma Bikette :jap:
XjEd9a9

Re: Torpeurs

Message par XjEd9a9 »

J'avais commencé à lire consultante il fut un temps... Bien écris...mais long, bien trop long pour la feignasse que je suis :daikirai:
Mais, je m'y remettrais peut être un jour :o !

Sinon, hier, je suis tombé sur ça via LTDSM et :

J'aime beaucoup ton style : pervers mais pas vulgaire...
J'aime aussi énormément le contenu parce que c'est un univers très fantasmagorique pour moi... Mais pour moi, ça reste du fantasme :jap:

Oui, j'aime ce que tu fais mais il a des mots que je lie entre les lignes qui m'apparaissent pire encore que ce que tu écris et, en fait (pour tout te dire mais ce n'est pas une critique du tout envers tes choix de vie, juste un ressentit) tes textes me mettent très mal-à-l'aise... On sent une passion incommensurable pour celui que tu appelles ton Seigneur, c'est beau, bien écrit, excitant... Mais, derrière le beau, c'est quelque chose de bien plus sombre que je lis : une sorte de fatalité... J'arrive pas très bien à expliquer ce que je ressens en fait mais voilà...

Sinon, cette lettre est magnifique dans ce qu'elle donne de toi et en même temps on imagine bien tout ce que tu n'as pas écris et dont il devient également possesseur... Mais c'est une femme qui m'apparait comme détruite par la vie qui se donne, elle s'est complétement brisée jusqu'à n'être plus que sa "putain", comme un dernier recours : rendre fier un homme au moins une fois, la lueur du dernier espoir qui se fraie un chemin dans toute cette pénombre environnante... C'est beau...mais c'est surtout triste et dérangeant...

Mais, merci de nous l'avoir fait partager...


PS : si tu veux, je peux virer mon poste :jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci Bloody.
Et je ne vois pas de critique, tous les points de vue sont les bienvenues :jap:
De part notre vécu, notre ressenti face a certains textes, certains mots est différent.

A l'exception de cette lettre, les autres textes sont un mélange de fanstasmes, vécu et envie profonde. Ils sont tous écrit en one shot et j'ai souvent la sensation d'avoir vomi qqchose quand je mets le point final d'un de ses textes.

Femme détruite, je l'ai été, il m'a fallu des années pour reprendre le dessu mais j'y suis arrivé, il y a donc peut être toujours une part d'obscurité en moi mais je pense comme en chacun de nous.
Je sais que le titre de putain est très souvent reçu comme négatif alors qu'il ne l'est en rien, bien au contraire, c'est même moi qui l'ai choisi. Le rendre fière oui mais il n'est pas mon dernier espoir, toute dévotion et infini respect que j'ai pour lui et pour se qu'il m'a révélé de moi, j'ai aussi ma vie.
Cette lettre par contre a effectivement été écrite dans un contexte bien spécifique et qui n'était pas des plus joyeux je te l'accorde.

Et non non ne vires pas ton post, chacun est libre de s'exprimer
XjEd9a9

Re: Torpeurs

Message par XjEd9a9 »

Merce de m'avoir répondu :)

Mais, je comprends ce que tu veux dire par "vomir ces textes" il m'arrive des fois aussi d'avoir ce sentiment... :jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Bloodberry a écrit :Merce de m'avoir répondu :)

Mais, je comprends ce que tu veux dire par "vomir ces textes" il m'arrive des fois aussi d'avoir ce sentiment... :jap:
Pas de soucis ma belle, au contraire je suis pour la discussion et les points de vue divergeant.

:jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

POurquoi "t'etre lachée" avec cet homme , qu'est ce qui t'as motivé , t'as plus chez lui , quelles raisons pour sauter le pas?
Quel est l'element déclencheur .
j'espere ne pas etre trop curieux mais je suis un homme et ne comprends pas toujours , alors je veux m'enrichir, ne pas rester bête :daikirai:
Tu peux aussi me répondre en MP :jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Oui MP :jap:
DeLsEp9

Re: Torpeurs

Message par DeLsEp9 »

Ce que j'adore dans tes textes,

ce sont les questions qu'ils soulèvent.

Et surtout la simplicité avec laquelle tu réponds.


On vois que cette vie est ancrée au fin fond de ta personne.
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Jak67 a écrit :Ce que j'adore dans tes textes,

ce sont les questions qu'ils soulèvent.

Et surtout la simplicité avec laquelle tu réponds.


On vois que cette vie est ancrée au fin fond de ta personne.
Merci Jak.

Elle est ma vie simplement et me la compliquer ne servirait a rien, je laisse cela aux autres, je me contente de la vivre et d'en profiter comme si demain elle n'était plus
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

La putain et son Roi (ce texte peut choquer) - 1

Sa gorge s’enserre, elle est dans le taxi, il l’a prévenu que ce soir elle serait se qu’elle a toujours désirée et réclamée : sa putain.

Elle tremble mais refuse de se l’avouer, elle joint ses mains l’une a l’autre et essaie de garder son calme. Elle se concentre, se dit qu’elle ne devra pas faire de faux pas, qu’elle doit tout faire pour qu’il soit fière d’elle. La taxi s’arrête devant un luxueux hôtel des beaux quartiers, elle ose a peine le regarder dans le rétroviseur, un sourire narquois se dessine sur les lèvres du chauffeur : « est il au courant ? » L’idée tourne en boucle, le plus discrètement possible, elle réajuste ses bas, paie et descend. Un sms tombe : Rdv au petit salon. Elle rentre, le portier la dévisage comme si il savait lui aussi se qu’il s’apprête a se dérouler. Elle se dit qu’il l’a voit pour lui avoir envoyé le message, elle le cherche mais ne le trouve pas. Son cœur s’alourdie, le nœud qui lui tord les tripes depuis plusieurs heures s’enserre un peu plus.

Une fois dans le hall, elle détaille le magnifique lustre illuminé, les fauteuils clubs confortable, les voyageurs en transit ou personnel s’afférant (que du beau monde se dit elle). Elle cherche une indication pour savoir où se rendre mais rien. Elle va devoir demander à la réception, elle a honte, une boule sert maintenant sa gorge, les larmes pourraient couler avec tant de facilité mais elle s’y refuse. Prenant une dernière inspiration elle demande : « Bonsoir, j’ai rendez vous au petit salon ». Le réceptionniste lève les yeux et la dévisage mais un sourire moqueur s’y dessine également, elle lit dans ses yeux « encore une pute ». Il lui donne l’explication mais elle a du mal a mémoriser l’itinéraire, elle le fait répéter honteuse, immédiatement il appelle un garçon qui la guidera.

Le garçon la guide, elle se laisse porter, elle se dit que dans quelques minutes enfin elle le verra, son cœur bat au même rythme de son sexe en fusion. Elle n’aime pas se sentir ainsi dévorée par la crainte, la peur et l’envie, elle n’aime pas ça, elle adore. Quand elle pense a son sexe ruisselant elle sourit. Le garçon frappe a une lourde porte en bois, elle reconnait sa voix : « entrez ».

Le garçon ouvre la porte en lui souhaitant bonne soirée, il est là, beau, en costume, sa cravate sur un accoudoir, assis dans un fauteuil de cuir noir, un verre de vin à la main. Elle rentre mais restes figée, elle ne sait pas quoi faire, elle se noie dans son regard, ce regard qui la transperce a chaque fois, la faisant devenir chose et femme en même temps. Il lui dit : « approche ma belle », cette nomination la rassure, l’encourage, elle s’approche doucement, mesurant ces pas qu’elle ne veut pas trop rapide alors qu’elle crève d’envie de courir et de lui sauter dessus.

Une fois à sa hauteur avec une grâce qui est sienne, il se lève et la contourne avant de venir se plaquer dans son dos, elle soupir, ses lèvres rencontrent son cou alors qu’elle relâche instinctive sa tête en arrière, ses reins, eux se creusent et ses seins se gonflent. Elle défait le manteau hâtive de lui présenter ses nouveaux sous vêtements, alors qu’il la fait se retourner elle l’envoie valser, leur lèvres se pressent, leur langues se retrouvent et entame le ballet sensuel et torride à la fois, telle un tango qu’elles connaissent par cœur. Il vient empoigné son cul, qu’il palpe, elle fait de même avec le sien, qu’elle presse contre son bas ventre, pour mieux sentir sa queue contre sa chatte. Elle s’y frotte, elle se presse contre lui alors que la main ferme trouve sa prise dans ses cheveux. Elle est immobilisé, elle sourit, elle n’est plus que sa putain de ce simple geste, elle s’offre, plonge dans son regard et laisse le démon s’emparer d’elle.

Il la guide contre la table ou il lui demande de s’allonger, elle s’exécute, il sait qu’elle aime ça et elle sent son sexe couler de plus belle. Il lui attache lentement les bras, la laissant imaginer toute ces choses qu’il va peut être lui faire.

Elle halète a ces simples pensées, en gémit, sa tête repose trop prêt du bord se dit elle, elle sait pourquoi c’est fait la peur la parcourt a nouveau, mais elle sait qu’il ne lui fera pas de mal, curieuse ambiguïté quand on connait leur jeu, mais la confiance est là : infinie.

Une fois attachée, il la laisse un instant la regarde, commente son corps a mesure qu’il le touche, les mots la caresses et la frappent chacun leur tour, choisis et alternés à la perfection, la rendant plus chienne a chaque nouvelle phrase. Il vient jouer avec ses seins, les caresses, les aspire, les tords, les mords, elle gémit, cri, la première gifle tombe « ta gueule j’veux pas t’entendre ».

Elle mords ses lèvres et il continue a la commenter, la détailler, la ramener dans les souvenirs de se qu’elle a fait pour lui, de se qu’elle lui a demander, elle n’a même pas remarqué que ses jambes se sont resserrer et se frotte l’une contre l’autre pour calmer le feu, elle se tortille, elle couine, elle n’est plus femme mais animal. Lorsqu’il arrive a son sexe glabre, il lui fait remarquer le ridicule de ses gestes, elle se stop net, « écartes ». Elle s’écarte, s’offre, elle sait déjà qu’elle mouille, que la réflexion cinglante va tomber, mais son corps obéit et s’offre.
« Tu coules pire qu’un chienne, t’es pas possible, je vais te faire lécher pour nettoyer ta souillure »

La phrase l’enflamme, elle s’imagine se léchant, elle a honte et elle aime, toujours ce combat intérieur qui la dévore. Ses doigts s’enfoncent doucement et viennent parfaitement là où il faut, elle s’en étonne encore de la facilité avec laquelle il arrive a faire ça. « Ecoutes, tu entends et tu sens comme t’es trempée ? ».
Le clapotis de ses doigts est impressionnant, elle sent qu'elle inonde, elle ne devrait pas et son sexe se tends vers Lui incontrôlable


suite a venir
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

La putain et son Roi - 2


Elle s'empale sur ses doigts, quand soudain elle en sent un s'insinuer plus bas. Elle le sent se positionner sur son étoile. Elle est hors d'haleine, la peur et le plaisir la dévore, elle avance son bassin et se laisse envahir. Elle s'enfonce elle même, non son corps a prit le pouvoir et elle le laisse faire, sa tête tourne, elle a du mal a soulever les paupières. Elle se laisse dévaster par son plaisir quand soudain elle sent sa langue lécher l'intérieur de ses cuisses, elle tremble, tout son corps est emplie de spasme de ce simple geste. La langue se joue d'elle, alors que deux doigts sont maintenant fichés dans son cul. Elle est en feu elle gémit de plus en plus, elle n'en peux plus, elle veut jouir mais veut retarder son orgasme indéfiniment. Il lui mord maintenant les cuisses, elle réclame : encore. Il s'arrête net, et la mord d'un coup, attrapant avec une force inouïe son sexe, juste au dessus du clito, elle a mal et pourtant la douleur est bonne.

Une larme de douleur et de plaisir mêlée coule, il s'arrête et vient lécher la morsure, avant de s'emparer de son sexe. Il la dévore, tout se vrille en elle, sa langue a Lui sur son sexe, chose inespérée, ses doigts s'enfoncent un peu plus dans ses entrailles alors que l'autre main attrape l'un de ses seins et le presse. Elle est ailleurs, les oui, non, encore et stop sortent de façon désordonné de sa bouche, les doigts maléfiques reprennent possession de sa chatte en feu alors que sa langue la dévore, elle est au paradis, pour elle sentir sa langue est si rare qu'elle est transportée comme jamais, il remonte sur son ventre, jusqu'à arriver a son visage.

Il l'embrasse tendrement tranchant d'un coup avec la dureté dont il vient de faire preuve et elle complètement dérouté.
"regardes moi" elle ouvre les yeux le regarde et voit son vit a porter de langue. Elle le veut, l'obsession de cette queue la dévore. Elle se tord, tire sur ses liens pour l'avoir en bouche. Elle ose "s'il vous plait mon Seigneur"
"quoi? Qu'est ce que t'as petite pute?"
"votre queue, s'il vous plait, laissez moi la prendre en bouche"

Il approche la laisse uniquement gober son gland. Mais lui retire aussi tôt : "se sera ta récompense si tu travaille bien"
Elle hoquète, la peur la reprends.

Elle le regarde, suppliante quand déjà elle entends qu'on frappe a la porte. Elle aimerait s'enfuir, elle essaie de se recroqueviller : impossible, ses satanés liens l'en empêche. Elle a envie de pleurer, elle entend les voix commenter "la jolie petite pute qu'il a trouvé la"
Elle se hait, le hait lui aussi de lui infliger ça et en même temps elle aime. Elle abandonne, la lutte est inutile de toute façon et se laisse porter, les liens se défont, il la redresse de cette main ferme
"messieurs admirez comme elle mouille notre petite pute". Ce soir, il la prostitue, c'est la première fois et elle devrait se révulser mais elle bouillonne intérieurement.

Elle voit l'échange des billets, elle a envie de vomir et en même temps elle imagine ces 6 hommes autour d'elle, elle imagine déjà leur queues qu'elle va devoir lécher et de la salive envahit sa bouche.
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

La putain et son Roi - 3 (suite et fin)


Les hommes la regarde comme un vulgaire morceau de viande, comme une chose, la chose qu’elle est pour Lui. Sa main n’a pas lécher sa prise, il la fait descendre de table et la retourne « lèches », elle se penche et lèche, se lèche, elle essaie d’oublier la position qu’elle a, l’offrande qu’elle est et les regards qui brûlent sa peau. Une claque tombe, elle se cambre du mieux qu’elle peut, elle s’ouvre a leur yeux qui la dégoute et en même temps l’enflamme. Elle se focalise sur sa main, sur sa voix, essaie de comprendre leur conversation mais se ne sont que des murmures qui parviennent a ses oreilles. Elle se dit que c’est certainement mieux ainsi, elle n’a pas réellement envie de savoir se qu’il va se passer, la seule angoisse qui la dévore est qu’il ne la laisse pas seule avec eux.
Elle se perd dans ses pensées, elle essaie de se rappeler comment elle en est arrivé là, la première fois où elle lui en a parlé, comment cette envie est née en elle et continue a lécher mécaniquement. Elle est tellement absorbé qu’elle n’entends pas, c’est quand sa tête heurte le sol qu’elle réalise qu’une fois de plus elle s’est perdu. Elle était pourtant bien dans son cocon intérieur, mais la main qui la fait se relever en attrapant sa crinière lui déclenche un frisson, un mélange de terreur et de bonheur intrinsèquement mêler en elle.

« A genoux » elle prends sa position, ouvre largement ses cuisses, la boule se forme dans sa gorge, elle se cambre, elle tremble et en même temps elle sent son sexe palpiter et perler. Il vient se pencher a son oreille et lui chuchote « ne me déçois pas ma pute, penses a ta récompense », un frisson la transperce, la queue de son Roi. Elle ferme les yeux comme pour se nourrir et figer ses mots dans son esprit, sur sa peau. Il s’éloigne, la peur l’envahit, le cercle se forme, elle ne le voit plus, elle est entouré, elle ne sait pas quoi faire, comment faire, elle l’entends : « messieurs elle est a vous ». Elle sursaute a cette phrase, elle aimerait se lever et partir le plus loin possible, se n’est pas elle, elle ne peut pas, elle ne veux plus. Elle ne le voit pas, elle le cherche alors que les mains s’emparent de son corps, le trouble la happe.
Elle aime ces mains, elle devrait détester mais elle aime se sentir ainsi assailli de toute part peut importe qui ils sont, elle s’offre et c’est bon. Elle repense a ses mots « ma pute » elle adore, oui elle est une pute, la sienne et elle adore ça, les queues se présentent à elle et elle les prend sans rechigner, parce qu’elle aime ça. Elle les suce les unes après les autres quand elle se présente et elle s’applique, y met toute sa volonté, la seule chose qui l’importe qu’il soit fière d’elle, l’un des hommes vient se déverser dans sa bouche. Une main la redresse, a cet instant elle l’aperçoit, il est là dans le fauteuil de cuir noir, elle lui sourit et se laisse guider. On l’installe a califourchon sur un fauteuil, à peine positionné que déjà l’un d’eux la pénètre, les mains continuent leur caresses, elle chavire alors qu’un gland reprend possession de ses lèvres. Elle n’arrive plus a les distinguer, elle réalise qu’ils jouissent les uns après les autres, certains plusieurs fois peut être, sur son corps, elle se voulait chose, objet, ce soir elle l’est : un dévidoir, un sac a foutre, un pute, des trous, elle n’est plus rien, plus humaine et pourtant elle adore, elle se sent libérée.
Un changement de position et enfin elle retrouve son regard, elle s’y accroche, elle s’y noie. Elle se laisse envahir par le plaisir que ses yeux lui donnent en se posant sur son corps, elle les ressent comme si c’était ses mains, jouant et s’attardant sur ces tétons avant de les malmener, puis son ventre dans lequel il enfoncerait ses ongles, elle soupire, gémit, elle n’est plus qu’avec lui. Elle remarque a peine qu’ils ont arrêté et qu’un seul la besogne encore avant d’exploser sur son ventre.
Ils partent, la laisse couverte de sperme, elle se regarde, essaie de distinguer qui est cette femme dans le reflet du miroir. Elle est sale, répugnante et pourtant elle se sent bien, il s’approche d’elle « viens je vais te doucher ».

Il ouvre la porte elle se retrouve en sous vêtement dans les couloirs mais elle s’en fout. Tout est flou, elle ne se rappelle plus de tout, l’ascenseur les amène a une chambre et elle se presse dans la salle de bain. Elle monte dans la baignoire toute habillée quand il arrête son geste alors qu’elle allait ouvrir l’eau « j’ai dit que s’était moi qui te douchais, a genoux ». Elle tremble, elle vient de comprendre, elle aimerait fuir et pourtant elle reste, redresse la tête, elle voit sa main sortir le sexe bandé, « regardes moi ». Elle s’arrime a ses yeux et frissonne quand elle sent le jet chaud sur sa peau, sensation étrange qui s’empare d’elle, elle devrait se sentir encore plus sale, alors qu’elle se sent fière, elle ferme les yeux pour se laisser envahir par cette nouvelle sensation.
Quelque chose gronde dans son ventre, dans son corps, le jet chaud s’est tari, elle vient lécher le gland pour le nettoyer instinctive petite putain. Alors qu’il ouvre la douche et la redresse, elle se déshabille et jette ses sous vêtement maculés de sperme et d’urine.

Il se déshabille, la rejoint sous l’eau bienfaitrice et s’enfonce en elle sauvagement, comme pour imprimer au plus profond de ses entrailles a qui elle appartient. Elle n’en peux plus et explose sous ses coups de boutoirs, elle jouie, elle hurle, ses jambes cèdent, elle se retrouve à genoux devant lui, elle le prends entre ses lèvres (sa récompense… enfin, pense t elle), le dévore, l’aspire comme une folle, elle veut s’abreuver de lui. Quand il explose, enfin, elle déguste, s’attarde sur son vit pour ne pas en laisser une goutte.
Une fois dans le lit, elle se blottie contre lui et vient chuchoter a son oreille : « merci mon Roi, merci pour tout ».
Laphoenix75

Re: Torpeurs

Message par Laphoenix75 »

c'est juste poignant de tes émotions, de ta dualité intérieure...
déroutant...
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci ma belle, le plus déroutant a été d'enfin écrire cette chose qui couvait en moi depuis des mois.

Et le nouveau trouble qui me dévore est de savoir si oui ou non cela se réalisera :jap:
Laphoenix75

Re: Torpeurs

Message par Laphoenix75 »

Cedille92 a écrit :Merci ma belle, le plus déroutant a été d'enfin écrire cette chose qui couvait en moi depuis des mois.

Et le nouveau trouble qui me dévore est de savoir si oui ou non cela se réalisera :jap:
au moins c'est sorti....le reste tu verras en temps et en heure..
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Ouais j'aime trop le ressenti que j'ai là : je me sens libérée
Laphoenix75

Re: Torpeurs

Message par Laphoenix75 »

:jap:
Elle

Re: Torpeurs

Message par Elle »

Waouuuu, superbe, émouvant, et tellement plein d'émotions, j'ai adoré :gigi:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci ma belle :aime:
Vintage
Emérite
Messages : 1835
Inscription : 11 mai 2011, 10:39
A été remercié : 7 times

Re: Torpeurs

Message par Vintage »

ha une bonne douche qui touche la mouche sur ta bouche, ca fait toujours son petit effet.


V., à moins que ce ne soit tout le contraire, ou un savant mélange de toutes ces lettres... :jap:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Vintage a écrit :ha une bonne douche qui touche la mouche sur ta bouche, ca fait toujours son petit effet.


V., à moins que ce ne soit tout le contraire, ou un savant mélange de toutes ces lettres... :jap:
Un mélange de toussa dirons nous :jap:

Cédille, qui a encore du mal a réalisé qu'elle avait tout ça en elle :soupir1:
Vintage
Emérite
Messages : 1835
Inscription : 11 mai 2011, 10:39
A été remercié : 7 times

Re: Torpeurs

Message par Vintage »

Toussa !

Sors de ce corps tout de suite !


V., pis c'est qui ce Toussa d'abord ? :d
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Vintage a écrit :Toussa !

Sors de ce corps tout de suite !


V., pis c'est qui ce Toussa d'abord ? :d
Attends que je digère l'écriture de ce texte et je suis certaine que j'en aurai un nouveau qui va surgir

Cédille, my Lord's inspiration inside :love:
DeLsEp9

Re: Torpeurs

Message par DeLsEp9 »

J'ai lu

c'est tellement toi :modo: :modo: :modo: :modo:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Merci Jak

Ouais ça fait peur hein, je te rassure j'arrive a me faire peur toute seule
Laphoenix75

Re: Torpeurs

Message par Laphoenix75 »

Bouh :o

:altazen: quoi t'as pas eu peur :bik:
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Laphoenix75 a écrit :Bouh :o

:altazen: quoi t'as pas eu peur :bik:
Nan :o MPP
Invité

Re: Torpeurs

Message par Invité »

Exhibition

Il lui a juste dit ce soir je vais te faire vivre l'un de tes rêves.
Elle est déjà tremblante, elle cherche lequel cela peut être. Elle regarde une dernière fois sa tenue conforme a se qu'il Lui a imposé : sous vêtements qui ne craignent rien, bas auto fixant, un coup d'œil dans son sac : son vibro y trône comme si sa place était toute trouvée.

Elle prend la route, le chemin en train lui semble interminable, a deux reprises elle se dit que si pour une fois il pouvait y avoir une panne cela lui permettrait de repousser l'inévitable échéance de se qui va de dérouler ce soir.
Malheureusement le train roule sans encombre, les villes défilent et elle se raccroche a se qu'elle peut son image a Lui présente dans son esprit et au fait que ce soir elle sera avec Lui, elle va le voir et il la connait jamais il ne Lui ferait faire quelque chose dont elle n'en serait pas capable.
Elle descend du train, cherche le lieu de rendez vous qu'il lui a indiqué, elle le cherche, elle ne le voit pas. Une nouvelle angoisse monte en elle, et si elle avait mal compris, elle relit les indications tout a l'air conforme.

Elle attend, la peur et l'angoisse s'attaque a ses veines, elle a l'impression que son cœur va surgir de sa poitrine tellement il bat fort. Elle regarde les minutes s'égrener et toujours aucun signes de Lui. Elle hésite, son téléphone dans la main : peut-elle l'appeler pour lui signifier son arrivée, non elle ne doit pas, et si...
Elle réalise que cette attente est certainement voulu de sa part, il la veut vulnérable et il a gagné, elle l'est. Elle est déjà prête à le supplier de ne pas le faire même si elle ne sait pas de quoi il en retourne. Et puis elle n'a qu'à s'en prendre à elle, la prochaine fois elle gardera ces idées et fantasmes pour elle.
Une main vient enserrer ses cheveux à leur base et un corps de colle à elle. Elle ne l'a même pas entendu arrivée tellement elle était perdu dans les méandres de son cerveau, mais cette prise est unique, son cœur a un loupé, elle vibre et devient de ce simple geste sa chose. Elle se laisse aller contre son torse pendant que Ses lèvres se posent délicatement dans sa nuque et son coup. Sa peau se hérisse, elle sent son sexe pulser et couler de plus belle. Elle a honte, elle n'aime pas ne pas maitriser son corps, même si cela est uniquement dût de son fait.

Elle halète en silence, il la retourne et vient la prendre dans ses bras et l'embrasser doucement, elle fond, elle ne devient plus qu'une poupée par ce simple geste.
Il défait leur étreinte et lui demande comment elle va, sa voix la trahira en déraillant au moment de lui dire ça va. Il sourit, il lui parle calmement elle puise en Lui cette force qui est sienne.
"Allez viens" elle le suit, sans un mot, de focalisant sur le son de ses pas a Lui, elle puise, elle puise sans fin, elle commence à se calmer. Elle lève les yeux et le regarde de dos, pleins d'idées les plus perverses les unes que les autres traverse son esprit.

Elle rêve qu'il se retourne et la trousse ainsi a même la rue comme une pute de bas étage, celle qu'elle est entre ces mains.
Elle le heurte, elle n'a même pas remarqué qu'il s'était arrêter de marcher, elle se confond immédiatement en excuse. Il accepte, "ouf" pense t elle si en plus elle devait accumuler le poids d'une erreur non excusée elle n'y arriverait pas. Il le sait c'est pour ça qu'il l'a excusé certainement. Elle monte dans la voiture. Elle cherche le nombre de scénario qu'elle a pût lui confier où ils devraient prendre la voiture : "trop il y en a trop, et si ça trouve la voiture n'a rien à voir avec..."

La gifle envoi sa tête heurter la vitre "si t'en fous de se que je te dis, j'ai aussi vite fait te remettre dans le train". Les larmes montent, un nœud l'empêche de prononcer le moindre mot, elle plonge son regard implorant dans ses yeux, Sa main vient recueillir l'une de ses larmes, et lui présente, elle lèche sa larme, goute son doigt avec une infinie délicatesse.

"Veuillez accepter mes excuses mon Seigneur, je ne voulais pas..."
"Je sais ma belle, mais il faut que tu m'écoutes"

Ses simples mots l'apaisent, elle devient sereine, elle veut qu'Il soit fier d'elle et elle a hâte de connaître se qu’il lui réserve. Elle l’écoute lui dire les mots qui l’envoutent, ceux qui la glacent tout en l’enflammant.

« As-tu amené se que je t’ai demandé ? »
« Oui mon Seigneur »
« Bien alors excites moi petite catin, les pieds sur le tableau de bord et branles toi avec toi »

Elle se penche pour attraper son vibro puis installe ses pieds comme il a demandé, sa robe remonte instantanément ne laissant plus rien couvert de ses cuisses et du string en dentelle noir qui couvre son sexe glabre. Elle laisse reposer le vibro contre sa chatte brulante d’envie en l’allumant le plus lentement possible. Puis elle s’empare du haut, qu’elle déboutonne et découvre ses seins qui ne demandaient que cela de venir montrer leur darde à Ses yeux, elle lui présente en les sortant de leur écrin de dentelle, il lèche 2 de ses doigts et vient les tordre, les presser fermement avant de les caresser

« Ils ont l’air content de me voir on dirait »

Elle répond par un sourire éclatant de joie, ce simple toucher la consume, elle se sent ruisseler d’avantage. Il plonge sa main dans son entre cuisse et la dépose sur les dentelles noires.

« T’es pire qu’une chienne, ton string est trempé alors que je ne t’ai encore rien fait »

Elle vibre a ces mots et soupire de désir, furtivement son regard s’arrête sur son entre cuisse a Lui, elle voit une bosse commencé à se former, elle est heureuse : elle l’excite mais elle veut mieux faire.
Alors qu’elle laisse les vibrations l’envahir, elle caresse et malmène ses tétons, un klaxon la ramène a elle et alors qu’elle va pour fermer ses cuisses instinctivement

« Interdiction de bouger » Elle rouvre ses cuisses comme si elles étaient compressées soudainement dans un étau, elle se reconcentre sur les vibrations diabolique qui maintenant repose directement sur son clitoris.

« C’est ça frotte toi comme la chienne que tu es » Et elle s’exécute, elle frotte obscènément ce vibro contre sa chatte en fusion. Elle halète, couine, elle sait qu’elle n’a pas encore le droit de jouir et profite de chacune des sensations de plaisir qui l’envahit, la lutte commence, tenir tant qu’il ne l’autorisera pas.

« Racontes moi, tu aimes être obscène pour moi ? » Elle se confie à Lui sans maitriser le flot des mots qui sort de sa bouche et qu’une autre personne semble dire à sa place, elle est transcender ailleurs dans ce monde où elle n’est plus rien que sensations. Elle demande entre deux soupirs, le droit d’augmenter les vibrations, il lui accorde, elle augmente, se qu’elle n’avait pas prévu c’est que cette fois ci, avec cet engin infernal la douleur de son clitoris dur et en feu se ferait ressentir plus vite que d’habitude. Tant pis, elle ne va pas lui faire l’affront de lui demander maintenant l’autorisation de jouir, elle peut tenir encore et cette douleur bien que sourde, se conjugue avec le plaisir. Elle continue de se branler, au deux ou trois klaxons suivants, le même automatisme reviendra avant que le vice de la maltraitance qu’elle s’inflige ne prenne le dessus.

Elle est vulgaire, lui raconte des scénarios abracadabrantesques, des mélanges d’exhibition et de voyeurisme, de lesbianisme et de bukkake, elle est ailleurs, dans ce monde que seul Lui arrive à lui faire atteindre, ce monde où il peut lui demander elle s’exécutera même si sa tête refuse.
Il allume une cigarette et temps à autre lui présente pour qu’elle tire une latte, elle aime beaucoup ce geste : tirer une latte sur Sa cigarette comme un cadeau merveilleux, comme on donne a manger dans le creux de la main.

Soudain la voiture se gare, elle sort de sa torpeur et découvre des camions, elle suffoque, les nœuds se reforme dans sa gorge, elle sait, sa plus grande peur : qu’il exhibe ainsi a des routiers. Elle a du mal à trouver son air, elle le regard suppliante, mais dans ses yeux à Lui cette lueur de perversion et de sadisme mélangé brille.

« S’il vous plait mon Seigneur tout se que vous voudrez mais pas ça, je peux pas, je vous implore »
« Tu vas très bien t’en tirer ma belle et je sais que tu vas adorer ».

Il sort, elle reste pétrifiée dans la voiture, elle songe même un instant à s’enfermer dedans mais il l’en sait capable. Une dernière goulée d’air et elle sort.

« Ne te rhabilles pas, reste comme tu es ainsi troussée comme la dernière des putains et tu y retires tes sous vêtements et tu me les ramènes »

Elle tremble, marcher sur ce parking parfaitement éclairé, elle entend des voix autour d’elle, elle voit les rideaux des cabines qui ne sont pas encore tirée, il l’embrasse et la pousse doucement dans le dos. Elle entreprend la longue marche interminable, elle fixe la porte des toilettes et essaie de se renfermer dans son esprit mais les sifflements et les applaudissements qui bientôt font rage l’en empêche. Elle accélère le pas, risque à deux reprise de tomber de ses talons et retiens sa respiration, quand enfin elle franchi le pas des toilettes elle respire, et qu’elle erreur quand elle sent la puanteur environnante. Elle aurait du s’attendre a ça, naturellement que les toilettes allaient puer, comme ça elle ne serait pas tenter d’y rester. Elle s’enferme et retire le plus vite possible ses sous vêtement, lorsqu’elle ressort, son cauchemar prend forme, Il est là entrain de discuter avec 4 hommes. Elle ne se concentre que sur Lui, elle ne veut pas voir leur visage a eux, après tout elle connaît le scénario, c’est elle qui l’a écrite. Quand enfin elle arrive près d’eux, elle essaie de se frayer un chemin vers son Maître mais aussitôt il l’entoure.

« Comme vous pouvez le voir messieurs, je lui ai demandé de virer ses sous vêtements afin qu’elle soit plus facilement accessible »

La phrase résonne dans sa tête comme un coup de poing en pleins face, les mains calleuses commence à assaillir son corps, huit mains sur sa peau, défaisant doucement les derniers boutons de sa robe, elle est nue, offerte, les mains la parcoure, l’excite, les caresses alors qu’elles devraient la révulser sont bonnes. Elle ne devrait pas aimer ça, personne ne doit aimer ça et pourtant elle fond, les commentaires des routiers l’enflamment encore plus, ils ne le savent pas mes les insultes la fond vibrer d’avantage. Elle le regarde, toujours ce même sourire gravé sur ses lèvres et son bras qui bouge, sa queue, oui il se branle pendant qu’elle est assaillie par de parfait inconnu. Elle ne peut décoller son regard de ce chibre qui lui donne tant envie, il lui fait répéter des mots, elle répète noyer dans la luxure et l’envie, elle chavire mais ne jouie pas, non c’est de Lui dont elle veut jouir pas d’eux. Elle sent des doigts s’enfoncer en elle, parfois des doigts de mains différents, l’effet est saisissant, aucun trou n’est épargné, sa bouche avec laquelle elle offre un simulacre de fellation, alors qu’elle crève d’envie de le prendre lui, sa chatte et même son cul pourtant sa propriété exclusive.

« J’espère que vous en profité, messieurs mais les chiennes annales comme elle, n’aime qu’une chose, dis leur »
Aucun mot ne sort de sa bouche, elle ne peut pas leur dire, ils n’ont pas à savoir, c’est entre eux.

« Alors j’attends »
« Se faire saillir par leur Maître » dans un murmure.
« Te fous pas de ma gueule, t’étais plus loquace la dernière fois que tu voulais jouir »
« Les chiennes annales comme moi aime se faire sodomiser »

Le regard glaciale qu’il vient de lui jeter est sans équivoque, elle le cri comme pour rattraper la faute qu’elle vient de commettre : « les chienne annales comme moi aime se faire enculer par leur Maître mon Seigneur »
« Bien tu vois quand tu veux… »
« Dis le encore ! Et plus fort » alors que les mains continuent leur manège, elle répète inlassablement la phrase, ajoutant des variantes les plus vulgaires les unes que les autres, sa tête tourne, elle se laisse se reposer contre le torse derrière elle. Le plaisir est là dévastateur, elle le retient, elle ne doit pas, ne peux pas, quand elle entend cette phrase lointaine tellement le bourdonnement de ces oreilles assourdisse tout « jouie fort ma putain »
harwey
Timide
Messages : 148
Inscription : 07 juillet 2011, 22:47
A remercié : 86 times
A été remercié : 28 times
Contact :

Re: Torpeurs

Message par harwey »

MMMmmmhhh !
Mon cocktail BDSM : Dom avec un zeste de switch
Répondre