et je leur ai désormais donné des titres
je continuerai a publier sur les 2 forums pas de panique
Torpeurs
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Invité
Re: Torpeurs
Sensations
Je sors de mon sommeil… douleurs dans le bras… mes épaules me tirent… le mouvement m’est impossible… je réalise… attachée… impossible de bouger… mains ficelées dans mon dos… comment a-t-il fait ? Je le cherche… ne le vois pas… instant de panique… angoisse dévorante… ma peau à peine éveillée se réveille violement… sursaut de mes cellules internes… mon cerveau tape… la boule est dans ma gorge… mes yeux me brûlent… des larmes… déjà des larmes…
Un bruit se fait entendre… apaisement immédiat de mes sens en éveil… il est là… je réfléchie… et si se n’était pas lui… pourquoi ? Pourquoi me fait il ça… J’ai naturellement envie de lui alors pourquoi me fait il ça ?
Une présence est derrière moi… je sens la chaleur d’un corps… impossible de dire si c’est lui… mon cœur tape violement dans ma poitrine… ma tête tourne… mon corps se mets a trembler…
Une main se pose sur mes fesses… je reconnais la Sienne… reconnaissable parmi milles… abandon immédiat de mon corps… je disparais… je ne suis plus que se qu’il désirera de moi… j’halète de ce simple geste… ma vulve explose… ma croupe se cambre… je suis femelle en attente…
Sensation étrange que cette chose que je sens caresser mon sexe trempé… chatouillement…caresse… mon ventre se tend… je sens la chose aller et venir sur ma fente… la parcourt sans chemin précis… je me tends d’autant plus… je soupirs… le plaisir, le désir… le plaisir grondant en moi comme une lave en fusion… le désir déferlant de ma nuque et explosant dans mes reins… position ridicule dans laquelle je dois être… celle de la chienne impudique et en chaleur que je suis… la honte me dévore et pourtant je coule…
La chose continue son ballet… je gémis… mon bourreau ne prononce pas un mot… mais je sens son sourire carnassier… je voudrais disparaître dans les méandres… mais des râles incontrôlables sortent de ma gorge…
Il s’arrête… net… « NON »… la claque tombe sur une fesse… mon corps tremble… en réclame encore… position subitement inconfortable… alors que je réfléchis a comment m’installer… lui s’est échappé… le froid… la peur... mon corps se transit… les larmes reviennent… je ferme les yeux… je me concentre… pars loin… loin de cette chambre glaciale… je repense a lui et nos corps à corps torrides… je sombre…
Des griffures sur ma peau me réveille… impossible de voir… le noir est mien… je suis aveugle… instant de panique… non seul ma vision est obstruée… mes mains libérés découvrent un bandeau sur mes yeux… chaleur dans mon dos… douleur torpeur… une chose me griffe… mon corps se tends sous ses nouvelles sensations… mes seins se durcissent… je me cambre une nouvelle fois… je m’offre aux griffures… soupire « plus fort »… les pics s’enfoncent dans ma peau… mon corps cherche leur brûlure… je gémis… mon sexe s’ouvre a nouveau… je ne devrais pas… pourquoi me fait il ça… j’ai perdu toute notion de temps… mon corps tremble… en attente… contrâble petite chienne que je suis a cet instant précis…
Les griffes maléfiques et bienfaisantes s’arrêtent… le froid glacial les remplaces… un glaçon… des glaçons parcourent les brûlures… contraste étonnant…contraste saisissant… le glaçon est placé sur le haut de ma croupe et s’écoule le long de ma fente… le froid calme la fournaise… ou attise t il encore plus la lubricité dont je fais preuve… je ne bouge pas…recherche chaque petite gouttelette… aime le chemin qu’elles se fraient… de temps à autre arrêtant sa course sous la contraction de ma rondelle qui l’avale… de temps en temps se finissant sans mon antre brûlante…
Pincement vif sur le bout de mes seins… au lieu de creusé pour me protéger… mes seins se projettent vers la main que les touche… picotement vifs qui irradient sur toute ma poitrine… il m’a mis les pinces que j’aime tant… je sens le sourire glorieux qui se dessine sur mes lèvres… la main s’amuse avec… son visage si proche du mien… mais je ne bouge pas… je le laisse… j’aime qu’il me touche... j’aime lui offrir ainsi mon corps…
Ses lèvres se pressent contre les miennes… je fonds… disparais pour un autre monde… pendant que ses mains glissent sur ma peau… dessinent les marques des griffes ou celle des glaçons… ses doigts viennent en moi… me fouillent… spasmes incontrôlés de mon corps… reflet parfait du plaisir qui me ronge… mes bras ne me tiennent plus… mon torse tombe sur le lit… lui offrant totalement mes trous… qu’il en dispose… qu’il en fasse se qu’il veut du moment qu’il me touche… transe irréelle qui s’empare de moi…
Quant ses lèvres s’emparent et aspirent mon bouton gorgé, j’explose… hurle… spasme violent… bête sauvage dévastée par l’orgasme… et lui qui ne s’arrête pas…
Son gland se pose sur ma rondelle… il ne bouge pas… j’en deviens folle… je me tortille… je recule sur son chibre… elle cède... je me pilonne… me baise… dernière des salopes avide de jouissance… je le veux encore plus profondément en moi… Je me redresse… sa jouissance m’obsède… son foutre chaud que je veux boire… faites qu’il ne m’en prive pas… je me défonce sur son pieu… l’orgasme revient… il est là proche… tapie dans mes reins… mais c’est le sien que je veux… je me retire
Nouvelle angoisse… je le sens s’éloigner… les larmes reviennent… non pas maintenant… le désespoir m’envahit… je m’affale sur le lit… me morfond quand sa main agrippe mes cheveux et me traine par terre… il défait mon bandeau… mon cœur s’enflamme… c’était bien lui… je m’agenouille et me jette sur ce vît et ce gland cramoisi que j’aime tant… je salive… le lèche… parcours chacune des veines de ce mandrin de chair… il sursaute… réaction encourageante… caresse sur mon visage… je le regarde quand je le prends en bouche… je l’avale… son gland butte… je force… je l’aspire… le pompe… petite putain avide de foutre… mes lèvres me brûlent… mes mâchoires me font mal… mais je le veux et je ne m’arrêterai pas… sa main agrippe ma crinière… il me baise la bouche… je me laisse faire… je sens son jus parcourir sa hampe… état de bonheur incontrôlable qui devient mien… je me déchaîne… il me laisse faire… il vient… explose… je n’avale pas… me délecte un moment de ce nectar si désiré avant de m’en nourrir…
Je sors de mon sommeil… douleurs dans le bras… mes épaules me tirent… le mouvement m’est impossible… je réalise… attachée… impossible de bouger… mains ficelées dans mon dos… comment a-t-il fait ? Je le cherche… ne le vois pas… instant de panique… angoisse dévorante… ma peau à peine éveillée se réveille violement… sursaut de mes cellules internes… mon cerveau tape… la boule est dans ma gorge… mes yeux me brûlent… des larmes… déjà des larmes…
Un bruit se fait entendre… apaisement immédiat de mes sens en éveil… il est là… je réfléchie… et si se n’était pas lui… pourquoi ? Pourquoi me fait il ça… J’ai naturellement envie de lui alors pourquoi me fait il ça ?
Une présence est derrière moi… je sens la chaleur d’un corps… impossible de dire si c’est lui… mon cœur tape violement dans ma poitrine… ma tête tourne… mon corps se mets a trembler…
Une main se pose sur mes fesses… je reconnais la Sienne… reconnaissable parmi milles… abandon immédiat de mon corps… je disparais… je ne suis plus que se qu’il désirera de moi… j’halète de ce simple geste… ma vulve explose… ma croupe se cambre… je suis femelle en attente…
Sensation étrange que cette chose que je sens caresser mon sexe trempé… chatouillement…caresse… mon ventre se tend… je sens la chose aller et venir sur ma fente… la parcourt sans chemin précis… je me tends d’autant plus… je soupirs… le plaisir, le désir… le plaisir grondant en moi comme une lave en fusion… le désir déferlant de ma nuque et explosant dans mes reins… position ridicule dans laquelle je dois être… celle de la chienne impudique et en chaleur que je suis… la honte me dévore et pourtant je coule…
La chose continue son ballet… je gémis… mon bourreau ne prononce pas un mot… mais je sens son sourire carnassier… je voudrais disparaître dans les méandres… mais des râles incontrôlables sortent de ma gorge…
Il s’arrête… net… « NON »… la claque tombe sur une fesse… mon corps tremble… en réclame encore… position subitement inconfortable… alors que je réfléchis a comment m’installer… lui s’est échappé… le froid… la peur... mon corps se transit… les larmes reviennent… je ferme les yeux… je me concentre… pars loin… loin de cette chambre glaciale… je repense a lui et nos corps à corps torrides… je sombre…
Des griffures sur ma peau me réveille… impossible de voir… le noir est mien… je suis aveugle… instant de panique… non seul ma vision est obstruée… mes mains libérés découvrent un bandeau sur mes yeux… chaleur dans mon dos… douleur torpeur… une chose me griffe… mon corps se tends sous ses nouvelles sensations… mes seins se durcissent… je me cambre une nouvelle fois… je m’offre aux griffures… soupire « plus fort »… les pics s’enfoncent dans ma peau… mon corps cherche leur brûlure… je gémis… mon sexe s’ouvre a nouveau… je ne devrais pas… pourquoi me fait il ça… j’ai perdu toute notion de temps… mon corps tremble… en attente… contrâble petite chienne que je suis a cet instant précis…
Les griffes maléfiques et bienfaisantes s’arrêtent… le froid glacial les remplaces… un glaçon… des glaçons parcourent les brûlures… contraste étonnant…contraste saisissant… le glaçon est placé sur le haut de ma croupe et s’écoule le long de ma fente… le froid calme la fournaise… ou attise t il encore plus la lubricité dont je fais preuve… je ne bouge pas…recherche chaque petite gouttelette… aime le chemin qu’elles se fraient… de temps à autre arrêtant sa course sous la contraction de ma rondelle qui l’avale… de temps en temps se finissant sans mon antre brûlante…
Pincement vif sur le bout de mes seins… au lieu de creusé pour me protéger… mes seins se projettent vers la main que les touche… picotement vifs qui irradient sur toute ma poitrine… il m’a mis les pinces que j’aime tant… je sens le sourire glorieux qui se dessine sur mes lèvres… la main s’amuse avec… son visage si proche du mien… mais je ne bouge pas… je le laisse… j’aime qu’il me touche... j’aime lui offrir ainsi mon corps…
Ses lèvres se pressent contre les miennes… je fonds… disparais pour un autre monde… pendant que ses mains glissent sur ma peau… dessinent les marques des griffes ou celle des glaçons… ses doigts viennent en moi… me fouillent… spasmes incontrôlés de mon corps… reflet parfait du plaisir qui me ronge… mes bras ne me tiennent plus… mon torse tombe sur le lit… lui offrant totalement mes trous… qu’il en dispose… qu’il en fasse se qu’il veut du moment qu’il me touche… transe irréelle qui s’empare de moi…
Quant ses lèvres s’emparent et aspirent mon bouton gorgé, j’explose… hurle… spasme violent… bête sauvage dévastée par l’orgasme… et lui qui ne s’arrête pas…
Son gland se pose sur ma rondelle… il ne bouge pas… j’en deviens folle… je me tortille… je recule sur son chibre… elle cède... je me pilonne… me baise… dernière des salopes avide de jouissance… je le veux encore plus profondément en moi… Je me redresse… sa jouissance m’obsède… son foutre chaud que je veux boire… faites qu’il ne m’en prive pas… je me défonce sur son pieu… l’orgasme revient… il est là proche… tapie dans mes reins… mais c’est le sien que je veux… je me retire
Nouvelle angoisse… je le sens s’éloigner… les larmes reviennent… non pas maintenant… le désespoir m’envahit… je m’affale sur le lit… me morfond quand sa main agrippe mes cheveux et me traine par terre… il défait mon bandeau… mon cœur s’enflamme… c’était bien lui… je m’agenouille et me jette sur ce vît et ce gland cramoisi que j’aime tant… je salive… le lèche… parcours chacune des veines de ce mandrin de chair… il sursaute… réaction encourageante… caresse sur mon visage… je le regarde quand je le prends en bouche… je l’avale… son gland butte… je force… je l’aspire… le pompe… petite putain avide de foutre… mes lèvres me brûlent… mes mâchoires me font mal… mais je le veux et je ne m’arrêterai pas… sa main agrippe ma crinière… il me baise la bouche… je me laisse faire… je sens son jus parcourir sa hampe… état de bonheur incontrôlable qui devient mien… je me déchaîne… il me laisse faire… il vient… explose… je n’avale pas… me délecte un moment de ce nectar si désiré avant de m’en nourrir…
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Invité
Re: Torpeurs
A ses ordres
Sa main prends possession de ma gorge… la serre… je fonds… sensation étrange que celle là… celle de n’être plus que poupée. Son regard vrille le mien, regard insoutenable qu’est le sien… folie… il n’est plus que folie… je m’abandonne… m’offre… me tends…
- baises moi
- tais toi
Frisson glacé qui me parcourt… défiance du regard… la gifle tombe… implacable… incalculable… ma chatte dégoulinante s’ouvre… pourquoi mon corps me fait ça… pourquoi lui me fait ça… mes yeux s’embuent… les larmes perlent…
-a quatre patte chienne
Je m’exécute… mes reins se creusent… position obscène… femelle en attente d’être saillie par Son Mâle… je n’ai plus de résistance… je le veux… sentir son pieu… me faire baiser… pilonner… défoncer… saccager… mon ventre le veux… mon corps le veux… mon âme le veux…
Ma respiration se saccade… mon corps tremble… il ne me touche pas… je l’entends respirer… ferme les yeux… ressens sa chaleur, la chaleur de son corps prêt du mien… je l’entends bouger… dois je me retourner ou ne pas bouger… dilemme cornélien qui est soudain mien… du coin de l’œil je le cherche…
-ne bouges pas, tu vas adorer
Mon corps se bloque … un bruit de métal… un glissement... sa ceinture… j’halète… ma peau se hérisse… souvenirs délicieux qui me reviennent… je coule le long de mes cuisses… lui offre encore plus ma croupe…
Le premier coup tombe… sec… claque… je gémis… la chaleur se faire ressentir…s’insinue… je lui tends mon cul… j’en veux plus… les coups s’abattent… les picotements et la brûlure envahissent mon corps a chaque nouvelles marques… je voudrais dire stop mais mon corps en veux plus… douleur ou plaisir… plaisir ou douleur… je ne suis plus… je suis loin…
Nouvelle sensation… une caresse cette fois… mes bras me lâchent… je tombe face contre le carrelage froid… mon cul… son cul… sa chose toujours offerte… position verrouillée… reins creusés… j’en veux plus de Lui…
Ses doigts me fouillent… je soupirs… mon ventre se tend… le réclame… l’orgasme est là puissant… arrive… vague déferlante…
-interdiction de jouir
L’ordre est une claque… mes muscles se bandent… les larmes coulent… pourquoi me fait il ça… je ravale ma salive… m’exécute… me retiens… la lutte intérieur est sans pareil… son chibre me pilonne… me retenir… ne pas jouir… me retenir… ne pas jouir… je le sens coulisser… chaque mouvement est comme un détonateur que je dois ignorer… ne pas le décevoir… subir... pour Lui… sinon il m’abandonnera… je ne le veux pas… je ne pourrai pas…
-tu peux jouir ma jolie putain
Sa main prends possession de ma gorge… la serre… je fonds… sensation étrange que celle là… celle de n’être plus que poupée. Son regard vrille le mien, regard insoutenable qu’est le sien… folie… il n’est plus que folie… je m’abandonne… m’offre… me tends…
- baises moi
- tais toi
Frisson glacé qui me parcourt… défiance du regard… la gifle tombe… implacable… incalculable… ma chatte dégoulinante s’ouvre… pourquoi mon corps me fait ça… pourquoi lui me fait ça… mes yeux s’embuent… les larmes perlent…
-a quatre patte chienne
Je m’exécute… mes reins se creusent… position obscène… femelle en attente d’être saillie par Son Mâle… je n’ai plus de résistance… je le veux… sentir son pieu… me faire baiser… pilonner… défoncer… saccager… mon ventre le veux… mon corps le veux… mon âme le veux…
Ma respiration se saccade… mon corps tremble… il ne me touche pas… je l’entends respirer… ferme les yeux… ressens sa chaleur, la chaleur de son corps prêt du mien… je l’entends bouger… dois je me retourner ou ne pas bouger… dilemme cornélien qui est soudain mien… du coin de l’œil je le cherche…
-ne bouges pas, tu vas adorer
Mon corps se bloque … un bruit de métal… un glissement... sa ceinture… j’halète… ma peau se hérisse… souvenirs délicieux qui me reviennent… je coule le long de mes cuisses… lui offre encore plus ma croupe…
Le premier coup tombe… sec… claque… je gémis… la chaleur se faire ressentir…s’insinue… je lui tends mon cul… j’en veux plus… les coups s’abattent… les picotements et la brûlure envahissent mon corps a chaque nouvelles marques… je voudrais dire stop mais mon corps en veux plus… douleur ou plaisir… plaisir ou douleur… je ne suis plus… je suis loin…
Nouvelle sensation… une caresse cette fois… mes bras me lâchent… je tombe face contre le carrelage froid… mon cul… son cul… sa chose toujours offerte… position verrouillée… reins creusés… j’en veux plus de Lui…
Ses doigts me fouillent… je soupirs… mon ventre se tend… le réclame… l’orgasme est là puissant… arrive… vague déferlante…
-interdiction de jouir
L’ordre est une claque… mes muscles se bandent… les larmes coulent… pourquoi me fait il ça… je ravale ma salive… m’exécute… me retiens… la lutte intérieur est sans pareil… son chibre me pilonne… me retenir… ne pas jouir… me retenir… ne pas jouir… je le sens coulisser… chaque mouvement est comme un détonateur que je dois ignorer… ne pas le décevoir… subir... pour Lui… sinon il m’abandonnera… je ne le veux pas… je ne pourrai pas…
-tu peux jouir ma jolie putain
Dernière modification par Invité le 05 mai 2011, 17:24, modifié 1 fois.
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Invité
Re: Torpeurs
Masturbation
- Branles toi ma chienne, continues
Depuis combien de temps mes doigts sont ainsi a me malmener ? Je ne sais plus, je ne sais même pas comment j’ai pu accepter ça ? comment puis je être tombée si bas et en tirer tellement de plaisir.
J’entends les voix autour de moi et les commentaires déplacés, je voudrais m’arrêter mais je ne peux pas. Mes doigts ne sont plus miens mais totalement siens … ils lui obéissent à lui.. Mon Maître…
- C’est ça coule pour moi ma jolie putain
Ses mots m’attisent, m’enflamment… je tremble… j’ai mal… mes doigts me font mal… mon clitoris me fait mal… chaque nouveaux gestes s’ajoutent à la déferlante de plaisir qui rugie en moi prête a exploser… ma tête tourne… je suis en apesanteur… sa voix me maintient dans cet état
- Parfaitement impudique, tu commences a me faire bander, offres toi plus à ma vue
Je me cambre comme si je le pouvais plus, mes genoux s’écartent l’un de l’autre… offerte… vulgaire… poupée de chair dans les mains de son Créateur… chienne au pieds de son Maître… putain aux ordres de son Roi.
- Regardes moi, regardes dans quel état je suis
Mes yeux se posent sur ce chibre gonflé… des décharges électriques parcourent mon corps… je veux ce vît… j’en ai envie… besoin… ma bouche se remplie de salive… je salive… oui je salive tellement je veux le lécher… le pomper… m’abreuver à la source direct de son vice
- Ca te démange de ne pas pouvoir le prendre dans ta gueule, ma petite putain ?
Un soupir est lâcher… réponse positive… mes yeux se baissent… ils me trahissent… l’envie doit s’y lire… je ne doit pas le convoiter ainsi… non mais je le désire tellement… je suis folle… mes doigts violente mon intimité et je ne peux les arrêter.
- Tu sais comment demander n’est ce pas ?
Je m’arrête et me jette à ses pieds… les embrasses… me redresse face à son vît.
Les commentaires sont toujours là… comme des gifles que l’on me donnent sans me toucher… m’humiliant un peu plus… la honte me ronge… et pourtant le plaisir est là
- Dois je vous pompez Maître et vous vider avec ma bouche ?
- Pas pour le moment
Sa réponse me blesse… elle me transperce le corps… les larmes reviennent… je les ravale… ne pas pleurer… lui seul décide…
- Aujourd’hui je veux te voir jouir pour moi et dépêches toi je pourrai changer d’avis
Je me réinstalle à quatre pattes… croupe offerte… trous offert… chienne avide de jouissance pour Lui. Je ne suis plus, je suis transcender
- Parfait continues ! T’arrêtes pas et je veux t’entendre gueuler…
Ses mots me consument… je suffoque… mes oreilles bourdonnent… mes yeux se ferment… ma tête heurte le sol… la boule est là incandescente, dévorant mes chairs… je dois la retenir… ne pas jouir…
- Jouie fort ma putain
Plus possible de respirer… le cri est bestial… animal… mon corps s’affale… animé de spasmes… l’orgasme est puissant… me transporte… loin… je suis bien
- Accroche toi à ma voix ma belle, accroche toi à ma voix et reviens
- Branles toi ma chienne, continues
Depuis combien de temps mes doigts sont ainsi a me malmener ? Je ne sais plus, je ne sais même pas comment j’ai pu accepter ça ? comment puis je être tombée si bas et en tirer tellement de plaisir.
J’entends les voix autour de moi et les commentaires déplacés, je voudrais m’arrêter mais je ne peux pas. Mes doigts ne sont plus miens mais totalement siens … ils lui obéissent à lui.. Mon Maître…
- C’est ça coule pour moi ma jolie putain
Ses mots m’attisent, m’enflamment… je tremble… j’ai mal… mes doigts me font mal… mon clitoris me fait mal… chaque nouveaux gestes s’ajoutent à la déferlante de plaisir qui rugie en moi prête a exploser… ma tête tourne… je suis en apesanteur… sa voix me maintient dans cet état
- Parfaitement impudique, tu commences a me faire bander, offres toi plus à ma vue
Je me cambre comme si je le pouvais plus, mes genoux s’écartent l’un de l’autre… offerte… vulgaire… poupée de chair dans les mains de son Créateur… chienne au pieds de son Maître… putain aux ordres de son Roi.
- Regardes moi, regardes dans quel état je suis
Mes yeux se posent sur ce chibre gonflé… des décharges électriques parcourent mon corps… je veux ce vît… j’en ai envie… besoin… ma bouche se remplie de salive… je salive… oui je salive tellement je veux le lécher… le pomper… m’abreuver à la source direct de son vice
- Ca te démange de ne pas pouvoir le prendre dans ta gueule, ma petite putain ?
Un soupir est lâcher… réponse positive… mes yeux se baissent… ils me trahissent… l’envie doit s’y lire… je ne doit pas le convoiter ainsi… non mais je le désire tellement… je suis folle… mes doigts violente mon intimité et je ne peux les arrêter.
- Tu sais comment demander n’est ce pas ?
Je m’arrête et me jette à ses pieds… les embrasses… me redresse face à son vît.
Les commentaires sont toujours là… comme des gifles que l’on me donnent sans me toucher… m’humiliant un peu plus… la honte me ronge… et pourtant le plaisir est là
- Dois je vous pompez Maître et vous vider avec ma bouche ?
- Pas pour le moment
Sa réponse me blesse… elle me transperce le corps… les larmes reviennent… je les ravale… ne pas pleurer… lui seul décide…
- Aujourd’hui je veux te voir jouir pour moi et dépêches toi je pourrai changer d’avis
Je me réinstalle à quatre pattes… croupe offerte… trous offert… chienne avide de jouissance pour Lui. Je ne suis plus, je suis transcender
- Parfait continues ! T’arrêtes pas et je veux t’entendre gueuler…
Ses mots me consument… je suffoque… mes oreilles bourdonnent… mes yeux se ferment… ma tête heurte le sol… la boule est là incandescente, dévorant mes chairs… je dois la retenir… ne pas jouir…
- Jouie fort ma putain
Plus possible de respirer… le cri est bestial… animal… mon corps s’affale… animé de spasmes… l’orgasme est puissant… me transporte… loin… je suis bien
- Accroche toi à ma voix ma belle, accroche toi à ma voix et reviens
-
Invité
Re: Torpeurs
La cave 1
Je ne sens même plus le froid où l’humidité qui m’avait saisie quand j’ai pénétrée dans cette pièce… week-end exceptionnel m’a-t-il dit… lorsque je ressortirai, je ne serai plus jamais la même : plus femelle… plus putain… plus chienne… plus sienne...
Le temps s’est arrêté… les tremblements aussi… les marques sont indolores… les larmes asséchées… pas résonnants dans le couloir… l’angoisse me dévore… qu’attends t il encore de moi… je lui ai tout donné… mon corps… mon âme… toute ma pudicité… je n’ai plus de barrière… ils les a toute brisée… m’a tout pris… je lui ai tout donné sans rechigner…
J’attrape la chaine qui relie mes poignets… m’y accroche comme a une bouée… j’ai peur… les larmes se remettent a couler… je me recroqueville tant bien que mal… cliquetis dans la porte… je ferme les yeux… je ne veux pas voir… pas savoir…
Les pas s’approchent… j’essaie de disparaître… la présence est là… chaude… elle irradie… elle s’approche… touche mon épaule… je fonds… Sa main… je revis…
Ses doigts me touchent… mon sang se remet a pulser dans mes veines… douleur subite de mon cœur qui bat a nouveau… les larmes de peur sont désormais larmes de joies.
- Doucement ma jolie putain
- Pardonnez moi
- Te pardonner de quoi ?
- De pleurer ainsi, je ne le devrais pas
Ma tête flanche mécaniquement… mes lèvres rencontrent ces pieds… je les embrasses… les lèches… m’y accroche autant que mes chaînes me le permettent… je tire sur mes épaules… son contact m’est vital…
- Relèves toi que je te regarde
Je me relève… trop vite… ma tête vacille… mes chaines trop courtes... mouvement impossible… je percute le mur… retombe à terre… m’installe à genoux… je l’entends rire de ma bêtise… la honte est mienne… ma tête rentre un peu plus dans mes épaules… si seulement je pouvais disparaître…
-Tiens toi correctement !
Je me redresse… me cambre… offre mes mamelles et ma croupe… lui offre mon corps… son corps… état lamentable dans lequel il doit être… une nouvelle vague de honte me submerge… indécence qu’est la mienne… comment puis je me montrer ainsi a Lui… je ravale mon sanglot… trop tard il l’a vu…
- Qu’y a-t-il ?
- J’ai honte Maître
- Honte de quoi ?
- Honte de vous présentez ainsi mon corps, le vôtre dans cet état déplorable
- Tu le trouves déplorable ?
- Non mais sale donc peu désirable enfin…
- Tais toi !
La gifle tombe… implacable… déstabilisation de ma position… me redresser… tenir bon… qu’il soit fière de moi…
- Rappelles moi qui l’a embellie de ces marques ?
- Vous mon Maître
- Alors crois tu que je ne le trouve pas à mon goût ?
- Si… veuillez m’excuser pour cette réflexion stupide
- Stupide ? Complètement conne mais je vais mettre cela sur le coup de la fatigue. Après tout voilà deux jours que tu es enfermée ici, dans cette crasse, marquée de ma main et nourrie uniquement de mon foutre. Tu te voulais putain, maintenant tu en es une, la mienne, MA putain. Et tu n’as pas tord : une douche te fera le plus grand bien.
- Merci infiniment mon Maître
Caresse sur la joue… mon corps sursaute… mon âme s’enflamme… il redresse ma tête… mon regard plonge dans le sien… qu’il est beau… un ange… un Dieu… mon Dieu… émotion face a cet être… mon cœur s’emballe quand il dépose un baiser sur mon front.
- Allez viens… suis moi… tu t’en es très bien sortie ma belle…
../..
Je ne sens même plus le froid où l’humidité qui m’avait saisie quand j’ai pénétrée dans cette pièce… week-end exceptionnel m’a-t-il dit… lorsque je ressortirai, je ne serai plus jamais la même : plus femelle… plus putain… plus chienne… plus sienne...
Le temps s’est arrêté… les tremblements aussi… les marques sont indolores… les larmes asséchées… pas résonnants dans le couloir… l’angoisse me dévore… qu’attends t il encore de moi… je lui ai tout donné… mon corps… mon âme… toute ma pudicité… je n’ai plus de barrière… ils les a toute brisée… m’a tout pris… je lui ai tout donné sans rechigner…
J’attrape la chaine qui relie mes poignets… m’y accroche comme a une bouée… j’ai peur… les larmes se remettent a couler… je me recroqueville tant bien que mal… cliquetis dans la porte… je ferme les yeux… je ne veux pas voir… pas savoir…
Les pas s’approchent… j’essaie de disparaître… la présence est là… chaude… elle irradie… elle s’approche… touche mon épaule… je fonds… Sa main… je revis…
Ses doigts me touchent… mon sang se remet a pulser dans mes veines… douleur subite de mon cœur qui bat a nouveau… les larmes de peur sont désormais larmes de joies.
- Doucement ma jolie putain
- Pardonnez moi
- Te pardonner de quoi ?
- De pleurer ainsi, je ne le devrais pas
Ma tête flanche mécaniquement… mes lèvres rencontrent ces pieds… je les embrasses… les lèches… m’y accroche autant que mes chaînes me le permettent… je tire sur mes épaules… son contact m’est vital…
- Relèves toi que je te regarde
Je me relève… trop vite… ma tête vacille… mes chaines trop courtes... mouvement impossible… je percute le mur… retombe à terre… m’installe à genoux… je l’entends rire de ma bêtise… la honte est mienne… ma tête rentre un peu plus dans mes épaules… si seulement je pouvais disparaître…
-Tiens toi correctement !
Je me redresse… me cambre… offre mes mamelles et ma croupe… lui offre mon corps… son corps… état lamentable dans lequel il doit être… une nouvelle vague de honte me submerge… indécence qu’est la mienne… comment puis je me montrer ainsi a Lui… je ravale mon sanglot… trop tard il l’a vu…
- Qu’y a-t-il ?
- J’ai honte Maître
- Honte de quoi ?
- Honte de vous présentez ainsi mon corps, le vôtre dans cet état déplorable
- Tu le trouves déplorable ?
- Non mais sale donc peu désirable enfin…
- Tais toi !
La gifle tombe… implacable… déstabilisation de ma position… me redresser… tenir bon… qu’il soit fière de moi…
- Rappelles moi qui l’a embellie de ces marques ?
- Vous mon Maître
- Alors crois tu que je ne le trouve pas à mon goût ?
- Si… veuillez m’excuser pour cette réflexion stupide
- Stupide ? Complètement conne mais je vais mettre cela sur le coup de la fatigue. Après tout voilà deux jours que tu es enfermée ici, dans cette crasse, marquée de ma main et nourrie uniquement de mon foutre. Tu te voulais putain, maintenant tu en es une, la mienne, MA putain. Et tu n’as pas tord : une douche te fera le plus grand bien.
- Merci infiniment mon Maître
Caresse sur la joue… mon corps sursaute… mon âme s’enflamme… il redresse ma tête… mon regard plonge dans le sien… qu’il est beau… un ange… un Dieu… mon Dieu… émotion face a cet être… mon cœur s’emballe quand il dépose un baiser sur mon front.
- Allez viens… suis moi… tu t’en es très bien sortie ma belle…
../..
-
Invité
Re: Torpeurs
La cave 2
Je le suis dans ce dédalle de couloirs empruntés quelque jours auparavant, la lumière m’est insupportable… éclat trop violent pour mes yeux nocturnes… je me laisse guidée de sa chaleur et du bruit de ses pas. Il s’arrête… je m’arrête…
Il me plaque contre le carrelage froid… poignets maintenus fermement au dessus de ma tête… mes seins se tendent… il vient au creux de mon oreille… me fait couler de ces mots qui me glacent et rendent encore plus chienne… sa Main s’immisce entre mes cuisses
- Tu coules ma putain…
- Oui Maître
- Regardes toi, tu es sale, souillée, tu devrais avoir honte et pourtant tu coules
- pour vous, je coule pour vous
Ces mots m’ennivrent… je bois ces mots… qu’ils me saoulent… qu’ils me transportent dans cette transe… les larmes de joies et de honte se mêlent sur mes joues… il plaque tout son corps contre le mien… je tressaute… mes jambes tremblent incontrôlables…qui y’a-t-il encore de contrôlable en sa présence ? Rien… sa bouche dans mon oreille… les mots s’enchainent et se déchainent sur ma peau… ils résonnent dans chacune de mes cellules… je suffoque… l’air me manque… la jouissance est là… l’orgasme par de simples mots… impossible… les tremblements de mes jambes envahissent mon corps… tout se mélange en moi… j’halète… me débat… il me maintient… continues de déverser son vice en moi… je me tords… n’en peux plus… l’autorisation tombe… l’orgasme s’abat… me déchire… je tombe inconsciente…
Je me revois fière de mes nouveaux sous vêtements prestement achetés pour Lui… sa voiture se gare devant moi… j’y monte… il me parle… m’explique se qu’il va se passer ce week-end… se que je vais découvrir… la dureté d’une telle épreuve mais qu’il m’en sait capable… je me nourrie de cette force qu’il me transmet… la peur me grignote déjà.
Il se gare… mon cœur bat… mes mains tremblent… je le suis… pas de mot… regard baissé… un escalier… fraîcheur… humidité… haut le cœur… le nœud se forme dans ma gorge… peur invasive… ne pas le décevoir... ne pas le décevoir… l’idée tourne en boucle dans ma tête… la gifle tombe…
- Ecoutes moi quand je te parle
- veuillez m’excuser Maître
- Bien voici ton nouveau chez toi pour ce week-end
Ma tête se redresse… je découvre… rien… une cave… une pièce vide… des crochets ici et là… une armoire… une couverture… les larmes montent… je le regarde paniquée
- tout va bien se passer ma belle
Ce chuchotement efface mes doutes… la panique disparait… il s’approche… m’embrasse… son baiser m’embrase… ma tête tourne… morsure dans la nuque… je fonds… mon corps ondule…fuyant ou recherchant les morsures et les griffures
- Vire moi ça
Je me déshabille… je sais… uniquement en sous vêtement… je l’observe… il fouillent dans une caisse… me montre les attaches… je lui présente mes poignets… mon cœur s’emballe… je suis heureuse… il les installes et sors de sa poche une autre paires d’attaches… je tremble maintenant… ruisselle abondamment… il les fixes à mes chevilles.
Je me sens belle ainsi harnachée de sa Main… je lui souris… putain en attente et offerte
- Maintenant tu es prête
Je le suis dans ce dédalle de couloirs empruntés quelque jours auparavant, la lumière m’est insupportable… éclat trop violent pour mes yeux nocturnes… je me laisse guidée de sa chaleur et du bruit de ses pas. Il s’arrête… je m’arrête…
Il me plaque contre le carrelage froid… poignets maintenus fermement au dessus de ma tête… mes seins se tendent… il vient au creux de mon oreille… me fait couler de ces mots qui me glacent et rendent encore plus chienne… sa Main s’immisce entre mes cuisses
- Tu coules ma putain…
- Oui Maître
- Regardes toi, tu es sale, souillée, tu devrais avoir honte et pourtant tu coules
- pour vous, je coule pour vous
Ces mots m’ennivrent… je bois ces mots… qu’ils me saoulent… qu’ils me transportent dans cette transe… les larmes de joies et de honte se mêlent sur mes joues… il plaque tout son corps contre le mien… je tressaute… mes jambes tremblent incontrôlables…qui y’a-t-il encore de contrôlable en sa présence ? Rien… sa bouche dans mon oreille… les mots s’enchainent et se déchainent sur ma peau… ils résonnent dans chacune de mes cellules… je suffoque… l’air me manque… la jouissance est là… l’orgasme par de simples mots… impossible… les tremblements de mes jambes envahissent mon corps… tout se mélange en moi… j’halète… me débat… il me maintient… continues de déverser son vice en moi… je me tords… n’en peux plus… l’autorisation tombe… l’orgasme s’abat… me déchire… je tombe inconsciente…
Je me revois fière de mes nouveaux sous vêtements prestement achetés pour Lui… sa voiture se gare devant moi… j’y monte… il me parle… m’explique se qu’il va se passer ce week-end… se que je vais découvrir… la dureté d’une telle épreuve mais qu’il m’en sait capable… je me nourrie de cette force qu’il me transmet… la peur me grignote déjà.
Il se gare… mon cœur bat… mes mains tremblent… je le suis… pas de mot… regard baissé… un escalier… fraîcheur… humidité… haut le cœur… le nœud se forme dans ma gorge… peur invasive… ne pas le décevoir... ne pas le décevoir… l’idée tourne en boucle dans ma tête… la gifle tombe…
- Ecoutes moi quand je te parle
- veuillez m’excuser Maître
- Bien voici ton nouveau chez toi pour ce week-end
Ma tête se redresse… je découvre… rien… une cave… une pièce vide… des crochets ici et là… une armoire… une couverture… les larmes montent… je le regarde paniquée
- tout va bien se passer ma belle
Ce chuchotement efface mes doutes… la panique disparait… il s’approche… m’embrasse… son baiser m’embrase… ma tête tourne… morsure dans la nuque… je fonds… mon corps ondule…fuyant ou recherchant les morsures et les griffures
- Vire moi ça
Je me déshabille… je sais… uniquement en sous vêtement… je l’observe… il fouillent dans une caisse… me montre les attaches… je lui présente mes poignets… mon cœur s’emballe… je suis heureuse… il les installes et sors de sa poche une autre paires d’attaches… je tremble maintenant… ruisselle abondamment… il les fixes à mes chevilles.
Je me sens belle ainsi harnachée de sa Main… je lui souris… putain en attente et offerte
- Maintenant tu es prête
-
Invité
Re: Torpeurs
La décision
Elle est seule, assise sur ce rebord, elle attend... Un signe, quelque chose qui lui redonne l'envie ou vie tout simplement...
Elle repense à ces hommes, à tous ceux qui lui sont passés entre les cuisses.
Ceux qui lui annonçaient qu'avec eux se seraient différent. Elle y a cru, elle voulait y croire, croire qu'avec lui ou lui se serait différent mais non...
Triste constat de son âme souillée, de son corps anéanti, anesthésié à la recherche de quoi? Elle ne le sait même plus.
Elle s'offre indifférente, ils la voulaient, ils l'ont eu tous sans exception, leur mots la convainquant a chaque fois.
Une putain, les hommes ont fait d'elle une putain, une prédatrice redoutable, capable de lire entre les lignes, entre les mots, de les faire danser aux bouts de ses doigts ou de sa langue si agile.
Elle en est fière, parfaite chienne ou amante torride, femelle désirable ou amoureuse transie. Elle joue le rôle qu'ils veulent la voir jouer à la perfection, composition innée, instinctive...
Son plaisir ne sera que bref mais pendant ces quelques instants elle se sentira femme et non plus simple putain, elle jouira peut être, sinon elle simulera à la perfection, elle maitrise désormais si bien son corps qu'elle s'effraie elle même.
Chacun des coups de boutoir la transpercera, arrachant un peu plus de l'humanité qu'il lui reste, si infime. Puis elle sourira, lui dira merci, reprendra le rôle qu'il veut lui voir jouer.
Certains lui offriront leur lit déjà trop avide de la rebaiser au réveil, d'autre une simple douche ou un baiser sur le front en guise de remerciement et certains rien...
Elle accepte, ne dis rien. Elle pense déjà à s'échapper et reprendre sa route.
Elle partira, le laissera, essuiera la larme qui se fraiera un chemin sur sa joue. Imperceptible petite goutte qui luira à peine avant qu'elle l'essuie machinalement : dernier signe qu'elle n'est pas totalement morte.
Pourtant ce soir tout a basculé, il est arrivé, lui a offert un verre, banal commencement pour elle : "parade précoucherie" dans son esprit. Quelques sourires, ces doigts qui effleurent sa peau pendant que la joute orale fait rage. Puis le baiser, les verres tintent, elle le laisse la resservir, elle est à peine saoule : les effluves de l’alcool peuvent ils embrumés un corps morne ?
Il lui demandera si elle souhaite un dernier verre dans un endroit plus calme, elle acceptera poliment, la question suivante la déstabilisera.
Elle est là sur le rebord de ce balcon, son cerveau en miettes, sa question l’a surprise, elle a pris l'excuse d'une cigarette pour pouvoir réfléchir à sa proposition. Elle aurait du être choquée et pourtant c'est à peine si son cœur a tressailli...
Est-ce là le signe ? La déchéance dans laquelle elle est tombée ? Elle fume, tire chaque latte de cette putain de cigarette comme si elle pouvait y trouver une réponse. Accepter ou non? Franchir la frontière… Elle sait qu'elle ne pourra jamais revenir en arrière, de simple putain elle deviendra pute.
Trop tard la cigarette qu'elle n'a pas sentie se consumer lui brûle les doigts. Elle se lève inerte, ses pieds avancent pour elle : y'aura t il vraiment une différence ? Pense-t-elle.
Elle le rejoint sa décision est prise
Elle est seule, assise sur ce rebord, elle attend... Un signe, quelque chose qui lui redonne l'envie ou vie tout simplement...
Elle repense à ces hommes, à tous ceux qui lui sont passés entre les cuisses.
Ceux qui lui annonçaient qu'avec eux se seraient différent. Elle y a cru, elle voulait y croire, croire qu'avec lui ou lui se serait différent mais non...
Triste constat de son âme souillée, de son corps anéanti, anesthésié à la recherche de quoi? Elle ne le sait même plus.
Elle s'offre indifférente, ils la voulaient, ils l'ont eu tous sans exception, leur mots la convainquant a chaque fois.
Une putain, les hommes ont fait d'elle une putain, une prédatrice redoutable, capable de lire entre les lignes, entre les mots, de les faire danser aux bouts de ses doigts ou de sa langue si agile.
Elle en est fière, parfaite chienne ou amante torride, femelle désirable ou amoureuse transie. Elle joue le rôle qu'ils veulent la voir jouer à la perfection, composition innée, instinctive...
Son plaisir ne sera que bref mais pendant ces quelques instants elle se sentira femme et non plus simple putain, elle jouira peut être, sinon elle simulera à la perfection, elle maitrise désormais si bien son corps qu'elle s'effraie elle même.
Chacun des coups de boutoir la transpercera, arrachant un peu plus de l'humanité qu'il lui reste, si infime. Puis elle sourira, lui dira merci, reprendra le rôle qu'il veut lui voir jouer.
Certains lui offriront leur lit déjà trop avide de la rebaiser au réveil, d'autre une simple douche ou un baiser sur le front en guise de remerciement et certains rien...
Elle accepte, ne dis rien. Elle pense déjà à s'échapper et reprendre sa route.
Elle partira, le laissera, essuiera la larme qui se fraiera un chemin sur sa joue. Imperceptible petite goutte qui luira à peine avant qu'elle l'essuie machinalement : dernier signe qu'elle n'est pas totalement morte.
Pourtant ce soir tout a basculé, il est arrivé, lui a offert un verre, banal commencement pour elle : "parade précoucherie" dans son esprit. Quelques sourires, ces doigts qui effleurent sa peau pendant que la joute orale fait rage. Puis le baiser, les verres tintent, elle le laisse la resservir, elle est à peine saoule : les effluves de l’alcool peuvent ils embrumés un corps morne ?
Il lui demandera si elle souhaite un dernier verre dans un endroit plus calme, elle acceptera poliment, la question suivante la déstabilisera.
Elle est là sur le rebord de ce balcon, son cerveau en miettes, sa question l’a surprise, elle a pris l'excuse d'une cigarette pour pouvoir réfléchir à sa proposition. Elle aurait du être choquée et pourtant c'est à peine si son cœur a tressailli...
Est-ce là le signe ? La déchéance dans laquelle elle est tombée ? Elle fume, tire chaque latte de cette putain de cigarette comme si elle pouvait y trouver une réponse. Accepter ou non? Franchir la frontière… Elle sait qu'elle ne pourra jamais revenir en arrière, de simple putain elle deviendra pute.
Trop tard la cigarette qu'elle n'a pas sentie se consumer lui brûle les doigts. Elle se lève inerte, ses pieds avancent pour elle : y'aura t il vraiment une différence ? Pense-t-elle.
Elle le rejoint sa décision est prise
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Biquette
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Re: Torpeurs
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
-
DeLsEp9
Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :La décision
mon premier Com pour ce texte court
avait été
toujours aussi sublime
j'ai fini en apnée
Lire encore et toujours l'autre vision
est troublant
très troublant
je compléterais
le regard d'une femme, d'une femelle sur elle même
décapant, incisif, réaliste,
allant au bout de ce ce que les hommes ont fait d'elle,
acceptant en façade, au départ,
puis assumant totalement ce qu'elle est,
dans le doute de ce qu'elle va devenir,
puis l’acceptation.
Du grand, du très grand Cedille
-
Invité
Re: Torpeurs
Jak67 a écrit :
mon premier Com pour ce texte court
avait été
toujours aussi sublime
j'ai fini en apnée
Lire encore et toujours l'autre vision
est troublant
très troublant
je compléterais
le regard d'une femme, d'une femelle sur elle même
décapant, incisif, réaliste,
allant au bout de ce ce que les hommes ont fait d'elle,
acceptant en façade, au départ,
puis assumant totalement ce qu'elle est,
dans le doute de ce qu'elle va devenir,
puis l’acceptation.
Du grand, du très grand Cedille
merci mon Jak 
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Invité
Re: Torpeurs
Et moi de te retrouver ici ma belle mclmMclm a écrit :contente de retrouver ton récit ici ma belle cedille
-
Invité
Re: Torpeurs
L'attente
Elle l'attends, depuis combien d'heures, de jours, des semaines, des mois.
Des mois qu'elle traine son corps inerte, sans vie aucune. Aucun de ses partenaires n'a su le faire vivre comme Lui sait le faire.
Il lui a promis de venir mais elle ne peut s'empêcher de douter, de se dire qu'elle ne l'a pas convaincu.
Elle est plongée dans les méandres de son cerveau, son coeur bat a peine, elle doit se concentrer pour en distinguer les battements.
Son téléphone vibre elle le regarde essayant de retenir son emportement, mais ne peut retenir la chamade de son coeur quand elle y lit son nom.
Il est là, à sa porte elle doit aller l'accueillir. Elle tremble, immédiatement son cerveau bouillonne, elle risque à deux reprises de tomber, dans la cour pavée, de ses talons aiguilles. Elle réajuste sa tenue, prends une dernière goulée d'air, elle lui ouvre.
Il est là, beau, sublime, elle décrypte en quelques minutes sa tenue elle sait qu'à partir du moment où elle le regardera dans ses yeux, elle y plongera et son cerveau s'arrêtera.
Elle y plonge dévouée et s'y perds, seul Sa voix la guide pour retourner chez elle.
Elle le laisse rentrer, lui présente son humble logis, voir ce dieu chez elle, lui parait surréaliste d'un coup.
Elle ferme la porte, il l'y plaque, Sa main sur sa nuque, elle a repris sa prise, elle se laisse faire chienne en attente, offerte.
Il vient plaquer tout son corps contre le sien, elle vibre, sentir son souffle contre sa peau, sentir sa main épicentre du frisson qui vient de la parcourir. Elle aime, se cambre, lui offre son corps instinctivement. Il vient dans le creux de son oreille Lui parler, elle fond.
Elle le sent dure, sent son chibre, la queue de son Maitre contre le tissu de sa robe, elle halète déjà.
Il la touche elle n'en peut plus, se tortille, elle en veut plus, elle le veut lui.
Il claque des doigts et ses genoux cèdent, elle est à genoux à ses pieds.
Elle aime malgré la honte qui l'envahit, elle aime être ainsi a ses pieds, à sa place.
L'image la glace un instant avant qu'elle ne cède aux assauts de son corps.
Oui elle y est bien, elle se sent enfin elle même, elle n'attends que l'ordre, le prochain, celui qui la propulsera dans un monde de perfection...
Elle l'attends, depuis combien d'heures, de jours, des semaines, des mois.
Des mois qu'elle traine son corps inerte, sans vie aucune. Aucun de ses partenaires n'a su le faire vivre comme Lui sait le faire.
Il lui a promis de venir mais elle ne peut s'empêcher de douter, de se dire qu'elle ne l'a pas convaincu.
Elle est plongée dans les méandres de son cerveau, son coeur bat a peine, elle doit se concentrer pour en distinguer les battements.
Son téléphone vibre elle le regarde essayant de retenir son emportement, mais ne peut retenir la chamade de son coeur quand elle y lit son nom.
Il est là, à sa porte elle doit aller l'accueillir. Elle tremble, immédiatement son cerveau bouillonne, elle risque à deux reprises de tomber, dans la cour pavée, de ses talons aiguilles. Elle réajuste sa tenue, prends une dernière goulée d'air, elle lui ouvre.
Il est là, beau, sublime, elle décrypte en quelques minutes sa tenue elle sait qu'à partir du moment où elle le regardera dans ses yeux, elle y plongera et son cerveau s'arrêtera.
Elle y plonge dévouée et s'y perds, seul Sa voix la guide pour retourner chez elle.
Elle le laisse rentrer, lui présente son humble logis, voir ce dieu chez elle, lui parait surréaliste d'un coup.
Elle ferme la porte, il l'y plaque, Sa main sur sa nuque, elle a repris sa prise, elle se laisse faire chienne en attente, offerte.
Il vient plaquer tout son corps contre le sien, elle vibre, sentir son souffle contre sa peau, sentir sa main épicentre du frisson qui vient de la parcourir. Elle aime, se cambre, lui offre son corps instinctivement. Il vient dans le creux de son oreille Lui parler, elle fond.
Elle le sent dure, sent son chibre, la queue de son Maitre contre le tissu de sa robe, elle halète déjà.
Il la touche elle n'en peut plus, se tortille, elle en veut plus, elle le veut lui.
Il claque des doigts et ses genoux cèdent, elle est à genoux à ses pieds.
Elle aime malgré la honte qui l'envahit, elle aime être ainsi a ses pieds, à sa place.
L'image la glace un instant avant qu'elle ne cède aux assauts de son corps.
Oui elle y est bien, elle se sent enfin elle même, elle n'attends que l'ordre, le prochain, celui qui la propulsera dans un monde de perfection...
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Laphoenix75
Re: Torpeurs
:cinglé: :cinglé: toujours tes écrits si vivants...qui transmettent tant...par de simples mots...mais tellement percutants...
-
Invité
Re: Torpeurs
Laphoenix75 a écrit :
toujours tes écrits si vivants...qui transmettent tant...par de simples mots...mais tellement percutants...
merci -
DeLsEp9
Re: Torpeurs
Toujours aussi incisif, brut de coffrage, pour un résultat oh combien troublant.
J'adore toujours autant.
J'adore toujours autant.
-
Invité
Re: Torpeurs
Pour ma petite lumière Dust et Solib
Petite lumière elle est là
Flamboyant jour après jour
Elle s'élève dans ses mains à lui
Il a allumé la flammèche
Et maintenant la regarde danser
Vivre, vibrer entre ses mains
Transie dans l'attente
Elle suffoque, s'amenuise
Pour mieux rejaillir
Elle vit
Flamme éternel
Flamme intensive
Flamme du don de soi
Flamme de l'abandon
Elle est Sienne
Tout simplement
Petite lumière elle est là
Flamboyant jour après jour
Elle s'élève dans ses mains à lui
Il a allumé la flammèche
Et maintenant la regarde danser
Vivre, vibrer entre ses mains
Transie dans l'attente
Elle suffoque, s'amenuise
Pour mieux rejaillir
Elle vit
Flamme éternel
Flamme intensive
Flamme du don de soi
Flamme de l'abandon
Elle est Sienne
Tout simplement
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Supprimé
Re: Torpeurs
trés beau Cédille et je te répondrais ainsi
Que de désire ma belle cédille
Que de plaisir pour ta flamme qui brille
Que d'instant magique pour l'avenir
Que la main du maitre t'émoustille
Que sous sont emprise tu brilles
Que sous ses mots tout s'illumine
Que ton corps ne soit que flamme
Que tout devienne, plaisir
Que de désire ma belle cédille
Que de plaisir pour ta flamme qui brille
Que d'instant magique pour l'avenir
Que la main du maitre t'émoustille
Que sous sont emprise tu brilles
Que sous ses mots tout s'illumine
Que ton corps ne soit que flamme
Que tout devienne, plaisir
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Invité
Re: Torpeurs
Merci ma belle mclm mais la lumière dont je parle dans ce texte est Dust et personne d'autre.
moi la flamme brule en moi mais n'a pas encore trouvé son dompteur
moi la flamme brule en moi mais n'a pas encore trouvé son dompteur
-
Invité
Re: Torpeurs
La nuit
Elle attends démunie,
Elle a hâte que la nuit tombe.
Les journées sont longues,
Embellies par leurs échanges,
Mais elle a hâte de se plonger dans sa couette.
Elle sait que lorsque la nuit sera là,
Elle va le rejoindre dans ses rêves
Et pour une nuit elle sera a lui.
Elle pourra le toucher,
S'offrir a lui sans retenue,
Sans peur aucune.
Lui donner son corps,
Ressentir sa main,
Son souffle sur sa peau,
Ses lèvres contre les siennes.
Elle en frémit d'avance.
Elle ferme les yeux,
Se laisse guider,
Happer par sa voix.
Elle sombre, Il est là enfin,
Elle s'abandonne.
Libre enfin d'être Sienne,
Pour les heures a venir
Elle attends démunie,
Elle a hâte que la nuit tombe.
Les journées sont longues,
Embellies par leurs échanges,
Mais elle a hâte de se plonger dans sa couette.
Elle sait que lorsque la nuit sera là,
Elle va le rejoindre dans ses rêves
Et pour une nuit elle sera a lui.
Elle pourra le toucher,
S'offrir a lui sans retenue,
Sans peur aucune.
Lui donner son corps,
Ressentir sa main,
Son souffle sur sa peau,
Ses lèvres contre les siennes.
Elle en frémit d'avance.
Elle ferme les yeux,
Se laisse guider,
Happer par sa voix.
Elle sombre, Il est là enfin,
Elle s'abandonne.
Libre enfin d'être Sienne,
Pour les heures a venir
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DeLsEp9
Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :la source d'inspiration c'est le secret mon Jak
La source, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
No commentCedille92 a écrit :Et la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee on en est où
Dernière modification par DeLsEp9 le 16 mai 2011, 15:39, modifié 1 fois.
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DeLsEp9
Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :la source d'inspiration c'est le secret mon Jak
La source, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
No commentCedille92 a écrit :Et la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee on en est où
Cedille92 a écrit :
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Laphoenix75
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DeLsEp9
Re: Torpeurs
Laphoenix75 a écrit :T'as vu et après il nous traite de quiches
quote comme il faut et je tiendrais d'autres propos
-
Invité
Re: Torpeurs
ouais ba ça va pas être de la tarteLaphoenix75 a écrit : va falloir tuer la rebellion dans l'oeuf
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DeLsEp9
Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit : ouais ba ça va pas être de la tarte
Il est vrai que de temps en temps,
une par ci, une par là, cela remet les idées en place.
-
Invité
Re: Torpeurs
L'attente 2
L'ordre tombe elle le prends en bouche.
Elle aime ça le lécher, le sucer, l'aspirer comme si elle se nourrissait de son odeur.
Elle le dévore, ce mandrin de chair enfin dans sa bouche.
Elle se délecte de la moindre parcelle comme si elle le découvrait pour la toute première fois.
Elle ne veut pas laisser un seul millimètre carré non lubrifié. Elle l'aime trop pour cela. Elle se dévoue et de déchaine encore plus quand elle le sent gonfler entre ses lèvres. Il perle, elle déguste.
Sa main toujours dans ces cheveux, il la guide, lui impose le rythme qu'il veut.
Elle s'exécute, se laisse ainsi baiser la bouche et elle aime ça. Il la traite de chienne et elle ne peut contrôler le sourire qui se dessine sur sa bouche.
Elle sent son sexe couler, se lubrifier, en attente qu'il en prenne possession.
Il la relève, elle n'ose pas le regarder, elle a peur, peur de voir qu'il n'a pas aimé ou le sadisme de la pensée qui vient de lui traverser l'esprit.
Il la traine jusqu'au lit ou il la jette. Elle sait se qu'il veut d'elle. Tellement de temps qu'ils ne se sont vu et pourtant les automatismes sont là. Elle lui offre sa croupe, elle aime se sentir ainsi offerte. Elle ferme les yeux, attends, elle tremble, il ne la touche pas mais les commentaires sur son impudeur l'enflamment un peu plus, ses mots crus sont comme des baisers pour elle.
La honte la ronge et pourtant elle s'offre se cambre un peu plus. Ses griffes s'enfoncent violemment sur sa peau, la chaleur l'envahie, il rigole de la voir ainsi se tendre, en réclamant encore plus et se creuser essayant de se dérober. Duel du combat intérieur qui fait rage en elle. Ses mains s'abattent maintenant sur sa croupe, chaque fois que sa main tombe c'est une nouvelle ondes qui traversent la moindre de ses cellules.
Elle s'offre, réclamerait presque tant elle se sent enfin vivante sous ses coups.
Il la fouille, ces doigts préparent sa chatte ruisselante pour sa venue, il la veut chienne, il la veut putain, elle gémit de bonheur. Sentir ses doigts à lui en elle, elle s'offre toujours plus, part dans un autre monde, celui ou elle n'est plus que sa chose dont il dispose selon son bon vouloir.
Elle l'entends allumer une cigarette, installe le cendrier sur son cul, elle ne bouge plus, elle verrouille le moindre de ces muscles pour ne pas faire tomber le trophé qu'il vient d'y poser.
Ses habits tombent dans un froissement léger, elle se permet un regard, elle l'admire, il est beau, elle est ému qu'un tel homme puisse vouloir d'elle. Elle le voit fouiller dans ses poches, elle reconnait le bruit de la chaine, la chaine de ses pinces, ses tétons se tendent tandis qu'un sourire béat s'accroche a ses lèvres, elle se trouve belle quand il l'orne ainsi...
L'ordre tombe elle le prends en bouche.
Elle aime ça le lécher, le sucer, l'aspirer comme si elle se nourrissait de son odeur.
Elle le dévore, ce mandrin de chair enfin dans sa bouche.
Elle se délecte de la moindre parcelle comme si elle le découvrait pour la toute première fois.
Elle ne veut pas laisser un seul millimètre carré non lubrifié. Elle l'aime trop pour cela. Elle se dévoue et de déchaine encore plus quand elle le sent gonfler entre ses lèvres. Il perle, elle déguste.
Sa main toujours dans ces cheveux, il la guide, lui impose le rythme qu'il veut.
Elle s'exécute, se laisse ainsi baiser la bouche et elle aime ça. Il la traite de chienne et elle ne peut contrôler le sourire qui se dessine sur sa bouche.
Elle sent son sexe couler, se lubrifier, en attente qu'il en prenne possession.
Il la relève, elle n'ose pas le regarder, elle a peur, peur de voir qu'il n'a pas aimé ou le sadisme de la pensée qui vient de lui traverser l'esprit.
Il la traine jusqu'au lit ou il la jette. Elle sait se qu'il veut d'elle. Tellement de temps qu'ils ne se sont vu et pourtant les automatismes sont là. Elle lui offre sa croupe, elle aime se sentir ainsi offerte. Elle ferme les yeux, attends, elle tremble, il ne la touche pas mais les commentaires sur son impudeur l'enflamment un peu plus, ses mots crus sont comme des baisers pour elle.
La honte la ronge et pourtant elle s'offre se cambre un peu plus. Ses griffes s'enfoncent violemment sur sa peau, la chaleur l'envahie, il rigole de la voir ainsi se tendre, en réclamant encore plus et se creuser essayant de se dérober. Duel du combat intérieur qui fait rage en elle. Ses mains s'abattent maintenant sur sa croupe, chaque fois que sa main tombe c'est une nouvelle ondes qui traversent la moindre de ses cellules.
Elle s'offre, réclamerait presque tant elle se sent enfin vivante sous ses coups.
Il la fouille, ces doigts préparent sa chatte ruisselante pour sa venue, il la veut chienne, il la veut putain, elle gémit de bonheur. Sentir ses doigts à lui en elle, elle s'offre toujours plus, part dans un autre monde, celui ou elle n'est plus que sa chose dont il dispose selon son bon vouloir.
Elle l'entends allumer une cigarette, installe le cendrier sur son cul, elle ne bouge plus, elle verrouille le moindre de ces muscles pour ne pas faire tomber le trophé qu'il vient d'y poser.
Ses habits tombent dans un froissement léger, elle se permet un regard, elle l'admire, il est beau, elle est ému qu'un tel homme puisse vouloir d'elle. Elle le voit fouiller dans ses poches, elle reconnait le bruit de la chaine, la chaine de ses pinces, ses tétons se tendent tandis qu'un sourire béat s'accroche a ses lèvres, elle se trouve belle quand il l'orne ainsi...
