
LTDSM
Re: Le mur // LTDSM //
LTDSM : soulagée que cette période de "tension" prennent fin. C'est con à dire, mais j'suis également apaisée de pouvoir redevenir autre chose que la confidente et "la compagne", pouvoir enfin retrouver le versant D/s un peu mis de côté dernièrement et une certaine fougue moins présente depuis quelques temps. Je crois que ce week-end a permis de poser les choses et de repartir sur de meilleures bases. 

Re: Le mur // LTDSM //
LTDSM, je viens de rajeunir de quelques années... Grâce à quelques coups de rasoir ! 

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Re: Le mur // LTDSM //
Nan; me dis pas que tu t'es rasé




Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Le mur // LTDSM //
J'ai laissé le bouc et le collier qui va avec, juste viré les pattes et les joues ! 

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Re: Le mur // LTDSM //
Ouf 
Photo ?

Photo ?

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Ouais 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Le mur // LTDSM //
Voila ! 

Dernière modification par LTxI8N7 le 23 mars 2013, 16:17, modifié 1 fois.
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Re: Le mur // LTDSM //
Ah ouais, c'est mieux effectivement :bounce
:bounce

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Le mur // LTDSM //
LTDSM, besoin de vos avis sur SOS, merci 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Le mur // LTDSM //
LTDSM : j'aime l'Homme, j'ai envie de le lui dire, il me manque, j'ai hâte d'être aux prochaines vacances. Oui, je sais on s'en fout 

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Re: Le mur // LTDSM //
ah purée merci pour le tuyau bikette!
(chuis bigleuse!) (ça lui fait marrant avec la barbe... ça lui va pas si mal en fin de compte ça lui donnerait presque l'air adulte. presque!)


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Re: Le mur // LTDSM //
je vais lui volerKireseth a écrit :ah purée merci pour le tuyau bikette!![]()
(chuis bigleuse!) (ça lui fait marrant avec la barbe... ça lui va pas si mal en fin de compte ça lui donnerait presque l'air adulte. presque!)

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Re: Le mur // LTDSM //
Je t'en prieKireseth a écrit :ah purée merci pour le tuyau bikette!![]()
(chuis bigleuse!)

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Le mur // LTDSM //
Hé, du calme les tourtereaux, c'est ma barbe dont vous parlez !
Si vous continuez sur cette voie savonneuse, vous allez m'obliger à vous kidnapper tous les deux, vous attacher l'un à l'autre et jouer à qui suppliera le plus vite d'arrêter de fouetter/chatouiller.

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Dernière modification par LTxI8N7 le 23 mars 2013, 14:23, modifié 1 fois.
Re: Le mur // LTDSM //
C'est mignooooooonKireseth a écrit :LTDSM : j'aime l'Homme, j'ai envie de le lui dire, il me manque, j'ai hâte d'être aux prochaines vacances. Oui, je sais on s'en fout

Re: Le mur // LTDSM //
Y'a des jours où quoi qu'je fasse, quoi qu'il se passe, je me sens misérable et j'ai juste envie de tout envoyer valser. Là maintenant, je crois que je suis dans un de ces jours...
Re: Le mur // LTDSM //
faut pas penser ça, je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire mais demain est un nouveau jour avec de nouvelles occasions de changer ce qui ne va pas.obasT a écrit :Y'a des jours où quoi qu'je fasse, quoi qu'il se passe, je me sens misérable et j'ai juste envie de tout envoyer valser. Là maintenant, je crois que je suis dans un de ces jours...
Plein de courage

Re: Le mur // LTDSM //
A ce niveau, je pense que ce qui ne va pas se trouve quelque part parmi mes neurones, mais merci...
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Re: Le mur // LTDSM //
c'est pourtant des marques d'admirationobasT a écrit :Hé, du calme les tourtereaux, c'est ma barbe dont vous parlez !![]()
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mais je suis pas sur que tu lui fasse peur avec ça, sauf peut étre si tu insiste sur le coté chatouille
Re: Le mur // LTDSM //
Hitman a écrit :
c'est pourtant des marques d'admiration![]()
mais je suis pas sur que tu lui fasse peur avec ça, sauf peut étre si tu insiste sur le coté chatouille
non mais merde quoi t'es obligé de filer toutes les astuces sur mes points faibles à l'ennemi!

je HAIS les chatouilles...

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Re: Le mur // LTDSM //
bien obligé sinon tu vas l'aider à nous enlever pour étre martyriser... je tien a survivre
Re: Le mur // LTDSM //
Tiens, j'ai dit les chatouilles un peu au hasard en me disant qu'avec un peu de chance, ça ferait mouche (vu que le fouet elle dirait probablement : "encore !" cent fois avant "stop !", probablement plus, à la lire), content de l'apprendre, merci ! 

Re: Le mur // LTDSM //
ltdsm je viens de regarder les photos de mon ex couple... dieu que je l'aimais cette fille 

Re: Le mur // LTDSM //
Pada a écrit :ltdsm je viens de regarder les photos de mon ex couple... dieu que je l'aimais cette fille

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Re: Le mur // LTDSM //
Pada a écrit :ltdsm


Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Le mur // LTDSM //
Pada a écrit :ltdsm je viens de regarder les photos de mon ex couple... dieu que je l'aimais cette fille

si tu as besoin de parler n'hésite pas à mp

Re: Le mur // LTDSM //
Pada a écrit :ltdsm je viens de regarder les photos de mon ex couple... dieu que je l'aimais cette fille

Re: Le mur // LTDSM //
C'est normal, c'est un deuil à faire et ça prend du temps. Tu as tout à fait le droit d'être encore triste, c'est humain. 

Re: Le mur // LTDSM //
Tu l'aimais c'est normalPada a écrit :Merci à toutes... putain c'est dur de décrocher de ce satané cafard ><


Mais jte souhaite force et courage



Re: Le mur // LTDSM //
Tu l'aimais c'est normalPada a écrit :Merci à toutes... putain c'est dur de décrocher de ce satané cafard ><


Mais jte souhaite force et courage



Re: Le mur // LTDSM //
Mec, faut que t'acceptes le fait que des fois dans la vie, t'as des périodes où t'as pas le moral et que c'est toujours transitoire : ça finit par passer, il faut juste un peu serrer les dents en attendant !Pada a écrit :Merci à toutes... putain c'est dur de décrocher de ce satané cafard ><

Re: Le mur // LTDSM //
Tiens, j'avait écrit un texte qui parlait plus ou moins de ça :
Fluctuations.
C'est comme ça que ça fonctionne. Tu peux en avoir conscience, savoir précisément comment ça va influencer ton ressenti, tu ne peux que le subir et être toi-même spectateur de ton propre corps. La dualité dans l'existence découle peut-être de ce simple fait, on passe tous par des phases positives et négatives; il y a une alternance cyclique de ces deux états chez chaque individu, et elle s'appuie sur les évènements, les expériences vécues en temps réel et les relations aux autres, tout un tas de combinaisons qui amènent l'individu à se situer dans un certain niveau de bien-être. C'est comme ça que ça marche.
Mais quand tu as des troubles de ce mécanisme, les choses deviennent plus compliquées, le système lui-même perd toute logique. Tu marches constamment sur un champ de mines, tu espères juste à chaque fois que tu auras de la chance, le pied suffisamment bienheureux pour éviter pour une longue durée de replonger. Un jour, tu peux être plus motivé que jamais, avoir la pêche et être prêt à soutenir tes proches, faire face à toutes les crasses possibles, et le lendemain, sur un déclic bizarre, inattendu, tout se casse la gueule : le moindre petit commentaire négatif de la part d'un ami paraît être un ultimatum ou un signe d'antipathie profonde, et tout ce qui peut générer de la paranoïa en engrange, de manière méthodique et implacable. Et ça descend, encore et encore; tu peux t'en rendre compte et essayer de relativiser, mais ça ne t'aide pas plus. A long terme, tu cherches; le moyen d'arrêter cette descente permanente quand elle se présente, pour pouvoir repartir de plus belle sans avoir à trop en prendre dans la tête, la solution qui t'empêchera de court-circuiter tous tes neurones à cause des idées noires qui te viennent. Rien ne te permets d'y échapper, seule la patience et l'isolement peuvent t'aider à passer ça sans trop de dommages collatéraux.
Dans les phases négatives, il n'y a rien de plus nombriliste que toi-même, tout ne passe que par toi-même, tes pensées et la souffrance que tu ressens. Tu jurerais qu'il n'y a pas pire blessures que celles qui ne se voient pas. Pourtant tu n'as probablement jamais vécu les pires choses qui pourraient t'arriver. Mais c'est comme ça, tu as cette impression et elle ne voudra de toute façon pas te quitter.
La contrepartie, c'est la remontée. Belle, magnifique et agréable, toute chose prend un intérêt nouveau; tu repars d'autant plus fortement que tu es descendu bas précédemment. Tu passes loin au-dessus des préoccupations qui devraient t'accabler, des plus futiles aux plus importantes. Tu deviens une force de vie inaltérable, de la joie et de l'affection à transmettre. Les projets les plus fous paraissent réalisables et motivants. En fait, plus ce que tu entreprends peut dire "je suis vivant et j'en profite", et plus tu vas foncer dans le tas. Tu te moques de tes propres intérêts, tu as passé suffisamment de temps à t'occuper de toi-même quand ça n'allait pas que tu ne peux que t'occuper des autres et de leur bonheur; d'ailleurs tu le sens, ça t'exaltes d'agir ainsi et de vivre comme ça. Ton empathie s'étend et tu pourrais facilement porter les soucis de dizaines de personnes sur tes épaules. Bref, tu ne peux qu'en profiter, et essayer d'oublier qu'à tout instant tout peut basculer à nouveau dans l'autre sens, tu sais même que trop y penser pourrait précipiter la chose, alors tu évites.
Mais elle finira par revenir, cette foutue descente qui te hante. Et tout devient aléatoire et échappe au rationnel; tu peux vivre un évènement traumatisant, triste ou marquant dans une phase positive. Alors tu survoleras la situation, peut-être que la chose finira par te toucher, mais pour l'heure ça attendra. Et puis tu peux vivre des évènements heureux et réjouissants, mais ils deviennent fades, se gâchent par le simple fait que ton état moral est dans le rouge. En allant plus loin, des situations plus extrêmes peuvent se produire. Tu peux atteindre l'enfer psychique le plus total, celui qui agrippes et refuses de te laisser remonter. Tu te laisses emporter dans une frénésie d'autodestruction et de déni de toi-même; un abandon, qui te fait être là physiquement, mais ta présence se limite à ça. Tu reproduis les mêmes schémas foireux en permanence. En fin de compte tu ne fais qu'attendre le déclic qui te fera remonter, comme si un poids te faisait couler et que la chaine qui t'y attache comprenait un dispositif d'ouverture aléatoire. Et puis de très rares fois, quand les circonstances et ton état concordent, tu peux ponctuellement monter très haut, et tu te dis que finalement, tout ça vaut sans doute le coup d'être enduré, juste pour ces moments là.
Quand tu dois gérer ça, il y a forcément des distances que tu te dois de prendre, vis à vis du monde, et des autres. Parce que tes états fluctuants, s'ils se combinent avec certaines composantes de l'esprit, constituent alors des mélanges explosifs et incontrôlables. Si on devait accéder à la folie en conséquence de ces inversions de pôles, ce sont ces mélanges qui en constitueraient les voies les plus rapides. Les sentiments les plus violents tels que la haine sont à proscrire, et plus globalement tout comportement qui peut mener à des situations négatives, ou compliquées. Toute activité ou projet qui devraient t'obliger à mentir pour les mener à leur terme sont à éviter, parce que c'est le manque de cohérence entre tes pensées qui est le plus gros moteur de ces phases polaires.
A terme, avec les années qui s'écoulent et le vécu qui s'accumule, je me pose la question. De savoir si ces aberrations de mon esprit tendent à se compliquer d'avantage, ou si aller à la découverte de moi-même me permettra d'apprendre à gérer et contrôler ces états. C'est mon fardeau personnel, mais c'est aussi ma force motrice, qui m'anime et me fais me battre, probablement celle qui engendrent mes idéaux et ma façon d'être, aussi bizarre et étrange que je peut l'être; un jour, je m'autoriserai à être, et me sentir normal.
Fluctuations.
C'est comme ça que ça fonctionne. Tu peux en avoir conscience, savoir précisément comment ça va influencer ton ressenti, tu ne peux que le subir et être toi-même spectateur de ton propre corps. La dualité dans l'existence découle peut-être de ce simple fait, on passe tous par des phases positives et négatives; il y a une alternance cyclique de ces deux états chez chaque individu, et elle s'appuie sur les évènements, les expériences vécues en temps réel et les relations aux autres, tout un tas de combinaisons qui amènent l'individu à se situer dans un certain niveau de bien-être. C'est comme ça que ça marche.
Mais quand tu as des troubles de ce mécanisme, les choses deviennent plus compliquées, le système lui-même perd toute logique. Tu marches constamment sur un champ de mines, tu espères juste à chaque fois que tu auras de la chance, le pied suffisamment bienheureux pour éviter pour une longue durée de replonger. Un jour, tu peux être plus motivé que jamais, avoir la pêche et être prêt à soutenir tes proches, faire face à toutes les crasses possibles, et le lendemain, sur un déclic bizarre, inattendu, tout se casse la gueule : le moindre petit commentaire négatif de la part d'un ami paraît être un ultimatum ou un signe d'antipathie profonde, et tout ce qui peut générer de la paranoïa en engrange, de manière méthodique et implacable. Et ça descend, encore et encore; tu peux t'en rendre compte et essayer de relativiser, mais ça ne t'aide pas plus. A long terme, tu cherches; le moyen d'arrêter cette descente permanente quand elle se présente, pour pouvoir repartir de plus belle sans avoir à trop en prendre dans la tête, la solution qui t'empêchera de court-circuiter tous tes neurones à cause des idées noires qui te viennent. Rien ne te permets d'y échapper, seule la patience et l'isolement peuvent t'aider à passer ça sans trop de dommages collatéraux.
Dans les phases négatives, il n'y a rien de plus nombriliste que toi-même, tout ne passe que par toi-même, tes pensées et la souffrance que tu ressens. Tu jurerais qu'il n'y a pas pire blessures que celles qui ne se voient pas. Pourtant tu n'as probablement jamais vécu les pires choses qui pourraient t'arriver. Mais c'est comme ça, tu as cette impression et elle ne voudra de toute façon pas te quitter.
La contrepartie, c'est la remontée. Belle, magnifique et agréable, toute chose prend un intérêt nouveau; tu repars d'autant plus fortement que tu es descendu bas précédemment. Tu passes loin au-dessus des préoccupations qui devraient t'accabler, des plus futiles aux plus importantes. Tu deviens une force de vie inaltérable, de la joie et de l'affection à transmettre. Les projets les plus fous paraissent réalisables et motivants. En fait, plus ce que tu entreprends peut dire "je suis vivant et j'en profite", et plus tu vas foncer dans le tas. Tu te moques de tes propres intérêts, tu as passé suffisamment de temps à t'occuper de toi-même quand ça n'allait pas que tu ne peux que t'occuper des autres et de leur bonheur; d'ailleurs tu le sens, ça t'exaltes d'agir ainsi et de vivre comme ça. Ton empathie s'étend et tu pourrais facilement porter les soucis de dizaines de personnes sur tes épaules. Bref, tu ne peux qu'en profiter, et essayer d'oublier qu'à tout instant tout peut basculer à nouveau dans l'autre sens, tu sais même que trop y penser pourrait précipiter la chose, alors tu évites.
Mais elle finira par revenir, cette foutue descente qui te hante. Et tout devient aléatoire et échappe au rationnel; tu peux vivre un évènement traumatisant, triste ou marquant dans une phase positive. Alors tu survoleras la situation, peut-être que la chose finira par te toucher, mais pour l'heure ça attendra. Et puis tu peux vivre des évènements heureux et réjouissants, mais ils deviennent fades, se gâchent par le simple fait que ton état moral est dans le rouge. En allant plus loin, des situations plus extrêmes peuvent se produire. Tu peux atteindre l'enfer psychique le plus total, celui qui agrippes et refuses de te laisser remonter. Tu te laisses emporter dans une frénésie d'autodestruction et de déni de toi-même; un abandon, qui te fait être là physiquement, mais ta présence se limite à ça. Tu reproduis les mêmes schémas foireux en permanence. En fin de compte tu ne fais qu'attendre le déclic qui te fera remonter, comme si un poids te faisait couler et que la chaine qui t'y attache comprenait un dispositif d'ouverture aléatoire. Et puis de très rares fois, quand les circonstances et ton état concordent, tu peux ponctuellement monter très haut, et tu te dis que finalement, tout ça vaut sans doute le coup d'être enduré, juste pour ces moments là.
Quand tu dois gérer ça, il y a forcément des distances que tu te dois de prendre, vis à vis du monde, et des autres. Parce que tes états fluctuants, s'ils se combinent avec certaines composantes de l'esprit, constituent alors des mélanges explosifs et incontrôlables. Si on devait accéder à la folie en conséquence de ces inversions de pôles, ce sont ces mélanges qui en constitueraient les voies les plus rapides. Les sentiments les plus violents tels que la haine sont à proscrire, et plus globalement tout comportement qui peut mener à des situations négatives, ou compliquées. Toute activité ou projet qui devraient t'obliger à mentir pour les mener à leur terme sont à éviter, parce que c'est le manque de cohérence entre tes pensées qui est le plus gros moteur de ces phases polaires.
A terme, avec les années qui s'écoulent et le vécu qui s'accumule, je me pose la question. De savoir si ces aberrations de mon esprit tendent à se compliquer d'avantage, ou si aller à la découverte de moi-même me permettra d'apprendre à gérer et contrôler ces états. C'est mon fardeau personnel, mais c'est aussi ma force motrice, qui m'anime et me fais me battre, probablement celle qui engendrent mes idéaux et ma façon d'être, aussi bizarre et étrange que je peut l'être; un jour, je m'autoriserai à être, et me sentir normal.
Re: Le mur // LTDSM //
en retard maisPada a écrit :ltdsm je viens de regarder les photos de mon ex couple... dieu que je l'aimais cette fille

Re: Le mur // LTDSM //
Merci encore Tsabo et Freak, je relirais tout ça demain à tête reposée, pour l'instant c'est dodo ^^