Chaleur

[Supprimé]

Elle était seule à l’appartement, je n’avais pas pu prendre un jour de repos.
Pourtant c’était assez calme au travail.

En rentrant pour le repas de midi, je l’ai trouvé à la cuisine, en train de sortir des salades du frigo. Mais ce n’était pas cela qui avait le plus attiré mon regard ; c’était sa tenue. Elle avait juste une nuisette, courte, et surtout, transparente.

Ce matin, je n’avais pas osé la réveiller. Pourtant mon érection de fin de nuit était flagrante. Mais elle dormait profondément.

Alors, en la voyant offerte à mon regard, dans la cuisine, j’ai été obligé de la saisir, pas violement, mais fermement !! Je l’ai plaqué contre la table, je l’ai forcé à s’allonger sur le dos dessus, et tandis que mes mains s’occupaient de ses plantureux seins, ma bouche se posait contre sa chatte et ma langue s’activait sur celle-ci et en son délicieux intérieur.

Rapidement j’ai bu son nectar, et en tout aussi peu de temps j’ai entendu ses râles exprimés les sensations que ressentaient sont clitoris.

Nous avons pris un maigre repas, après que je l’aie pénétrer avec ma queue bien raide et dure, peut être pas autant qu’elle l’avait été le matin, mais avec vigueur, le pantalon descendu au niveau des chaussures, le boxer encore quasiment en place. La table bougeait à chaque coup de reins.

A mon retour au bureau j’avais encore le goût en bouche de sa chatte. Je tentais de le conserver, pour maintenir le souvenir de cette jouissance. Je me suis remis à mes dossiers, mais mon esprit était bien ailleurs.

Je me suis connecté sur msn, et j’étais persuadé qu’elle serait sur le net. Bingo ! Elle était là. Je lui ai exprimé le fort plaisir qui avait été le mien de la prendre à la volée, comme cela. Elle m’expliqua qu’elle également, elle avait énormément apprécié. Elle était d’ailleurs toute chaude encore, bien plus que la température extérieure pourtant très estivale. Et qu’elle ne sortirait pas, qu’elle resterait au frais à l’appartement, en tentant de se calmer.

La connaissant, je doutais qu’elle réussisse. Ou alors, d’une certaine manière …

Nous échangeâmes comme cela quelques séries de conversations, pendant que je tentais de bosser, et nos propos étaient suffisamment lubriques pour maintenir la chaleur intérieure de chacun. Elle me dit qu’elle s’était servie un rhum coca, rempli de glaçons … Elle me donnait ainsi encore plus d’envies …

Un moment, mon mobile bipa. Un texto venait d’arriver. Je le consultai et je découvris une photo, d’elle, nue, le verre dans une main, positionné entre ses seins, la paille prise dans sa bouche pulpeuse, la langue légèrement sortie et effleurant ses lèvres … et en détaillant l’image je vis qu’elle s’était empalée sur son plug … posé sur le lit, l’autre main se frottant le clitoris …

D’un coup, d’un seul, je me suis retrouvé extrêmement dur !! Le boxer était un rempart bien fragile pour se qui m’arrivait. J’ai aussitôt ressenti le désir de lui retourner son texto par une photo de moi prise en l’instant. Je me rendis aux toilettes et je flashé mon sexe, sortant du pantalon, fermeture ouverte. Je lui envoyai immédiatement la prise faite.

Elle me répondit par msn, m’indiquant qu’elle était toute retournée, le plug bien en place, mais dans son petit trou désormais, puisqu’il était beaucoup lubrifié par l’action de sa chatte. Elle était très humide et se procurait du plaisir fort, que ses cris étaient intenses, et que ma photo était en grand format sur l’écran de son PC.

J’avais du mal à me tenir !! Tendu, comprimé par mes habits, le désir à fleur de peau.

Elle m’envoya quelques minutes plus tard une vidéo par messagerie, où je la découvris étendue sur le lit, se caressant les seins, les tétons pointant, et manipulant son vibromasseur, en mode très fort, et si je ne pouvais entendre ses cris, car mon PC au taf ne dispose pas de hauts parleurs, je les imaginais parfaitement. La vidéo ne durait qu’une petite minute. Peu et beaucoup à la fois.

Je n’en pouvais plus !!
Il fallait que je me calme moi aussi, à ma façon.
Je lui indiquai que je revenais, que j’allais faire un séjour aux toilettes, pour me branler sérieusement, me libérer de la charge de désir et d’envie qu’elle me procurait par ses mots et ses images. Et que je lui passerais une photo pour preuve.

Elle me répondit qu’elle aimerait plutôt me voir dans l’action. Qu’elle voulait aussi que je la regarde jouir.

Chose quasi impossible, étant au bureau. Il y avait bien l’ordinateur portable du taf, qui est doté d’une cam, mais il faudrait prendre des risques, et être sûr de ne pas être dérangé. Pourtant, il y a bien une pièce qui est éloignée, inutilisée, à l’abri des regards, et en cette période de vacances, le peu de personne présent permettrait de tenter la chose.

J’hésitais, d’une certaine façon je me tâtais …

Elle me relançait, me provoquait, me passant encore une photo d’elle, prise par son vibro, en position de levrette cette fois …

Je n’en pouvais plus …


(à suivre …)

[Biquette]

J'espère que t'es en train d'écrire la suite Quad

[Supprimé]

J'espère que t'es en train d'écrire la suite Quad

eh oh !!
il faut que je respire un bon coup avant de m'y remettre

[Supprimé]

Que serait le sexe sans tous nos gadgets qui nous transforment, à défaut de Cecil B. Demille, en John Biroute ?

La suite, la suite... Ben oui, c'est pas tout d'allécher le chaland. Il faut qu'on en ait pour nos yeux !

[Biquette]

eh oh !!
il faut que je respire un bon coup avant de m'y remettre

Ayé, t'as assez respiré ?

[Supprimé]

Ayé, t'as assez respiré ?

pas encore

[Biquette]

J'comprends, vu ton age, faut du temps...

[Supprimé]

J'comprends, vu ton age, faut du temps...

je te laisse de l'avance

[Biquette]

Bien aimable

[Supprimé]

Mais tu ne viendras pas te plaindre quand je t'aurai alpaguée

[Biquette]

Bien sûr que non

[Supprimé]

[Supprimé]

la suite :


J'étais aux 400 coups !!
Compètement excité.
J'aurais pu sauter sur la première collègue qui passait par là !!!

J'ai réfléchi, mais je me suis surtout laissé guidé par mon désir.

Le désir de goûter à la chair, de caresser les courbes, de boire le nectar, de sentir les mains sur mon corps, les lèvres me dévorer ...

Le vrai.
L'irremplaçable.

Alors, j'ai tout plaqué.

Je n'étais pas le chef pour rien.

J'ai pris mes jambes à mon cou, je me suis dépêché de sauter dans la voiture. Pendant ce temps je lui passais des sms pour lui expliquer que mon local tranquille était bien disponible, pour lui dire que ces photos me procuraient une envie mégapuissante, qu'elle pourrait admirer très bientôt. Qu'il ne me restait plus qu'à me connecter.
Mais que la liaison wifi n'était pas top ...
Ca allait venir.

L'appartement ne se trouavait qu'à une dizaine de minutes, en roulant un peu vite, de mon bureau.

Je me suis garé dans le parking souterrain de l'immeuble. Toujours aussi raide !! Surtout, après avoir stoppé le moteur, en ayant visualisé sa dernière photo : elle était debout sur le lit, les jambes écartées, un super vibro en action en elle ... Ces seins se tendaient à moi, autant que le vibro était tendu en elle !

J'arrivais dans l'ascenseur, lui précisant que j'avais tout installé dans le bureau tranquille, et que je lançais enfin la connexion msn, le wifi étant enfin accessible. Dans l'ascenseur, j'ai profité du miroir pour me prendre en photo, retenant mon souffle qu'il ne s'arrête nulle part. Mon sexe était sorti du pantalon, t du boxer ... la chemise déboutonnée totalement ... Je lui ai envoyé immédiatement, afin qu'elle la découvre lorsque je sonnerais à la porte de l'appartement.

L'ascenseur s'arrêta au 5ème, étage du 7ème ciel, je sorti, et j'attendis que le mms soit bien réceptionné. A ce moment là je sonnai.

Je n'entendis pas de mouvement dans l'appartement, et après quelques secondes de patience, je me décidai à pénétrer dans l'antre du sexe !!!
Je fis doucement, sans bruit.
Je refermai la porte, et j'entrepris de me dévêtir.
Mon sexe était toujours très tendu, et m'ouvrait le passage en direction de la chambre.
J’en n'entendais absolument aucun bruit.
Je commençais à me poser des questions.

D'un coup, alors que je venais de passer devant la porte de l'une des pièces de l'appartement, je sentis une pression sur mes fesses, et une main se saisir de ma queue !!
Elle m'avait prise par surprise, l'arroseur arrosé !!

Elle me tenait fermement la queue et s'était rapidement placée devant moi, me tirant par ma queue, me tractant comme une remorque, et me disant qu'elle allait s'occuper de mon sort, moi quil se foutait d'elle, la laissant mariner dans son jus toute seule, la laissant s'exciter devant son écran, étant obligée de mater des mecs bien membrés pour tenter de se calmer !!!!!!

Arrivé dans la chambre elle me plaça devant l'une des galeries photos qu'elle matait. Le mec était en effet sulfureux, enfin je le ressentis comme cela, pas grand chose à voir avec mon sexe appeal ... Mais manifestement, c'est moi qui allait en profiter, car elle me fit assoir sur le lit, me bascula pour que je me trouve allongé sur le drap, et elle entreprit de lâcher ma queue de sa main pour la prendre avec sa bouche.

Wouah !!!!

Elle s'occupa de ma bite avec beaucoup de savoir faire, alternant coups de langues sur le sexe, dans toute sa longueur, parcourant également mes boules, jouant avec, revenant au gland, caressant le tout avec ses lèvres, avec sa langue, avec ses mains.
Je me retenais de ne pas mettre un terme prématuré à ces délices.

Elle me caressait également mes fesses, titillant également mon petit trou. Le pénétrant aussi d'un doigt, puis revenant l'humidifier avec sa langue. Elle y glissa un, puis deux doigts, me donnant un plaisir grandissant.
Je sentis quelques instant après, une sensation de pénétration plus large, plus rigide encore, plus excitante surtout.
Me rendant compte que l'objet qui m'envahissait l'anus commençait à émettre des secousses légères, je compris qu'elle me plaçait son vibromasseur préféré, celui avec lequel elle avait joué lors de sa dernière photo ... J'allais crier de jouissance ... Je savourais d'avance, le plaisir intense qu'allait me procurer sa gigantesque fellation, et sa monstrueuse pénétration.

Elle allait et venait autant avec sa bouche qu'avec se main tenant le vibro.
Je me contractais pour bien cambrer tout mon corps sur ces deux sensations qui jumelées étaient sexecellentissimes !

Je finis par me laisser aller, criant de plaisir, la sentant prendre en elle sa part de gourmandise ...

Elle m'avait vidé !!!

J'étais au delà du 7ème ciel, finalement.

Je me suis détendu. Tranquillement, elle, me caressant doucement le corps, et s'allongeant contre moi.
Elle me laissa quelques minutes de repos.

Elle se rapprocha avec sa bouche de mon oreille, et me dit à voix basse : "baise-moi !!!". Elle suintait de désir, et le seul son de sa voix me provoqua, et me redonna la flamme.
Mes yeux étaient fermés.

Lorsque je les ouvris, la vue de son corps me donna le reste.



A la fin de la journée, on était épuisé, surtout moi ...
La chaleur n'était pas retombée, mais les explosions avaient été successives.

[Biquette]

Superbe

[Supprimé]