Chaleur
Publié : 25 juillet 2012, 16:53
Elle était seule à l’appartement, je n’avais pas pu prendre un jour de repos.
Pourtant c’était assez calme au travail.
En rentrant pour le repas de midi, je l’ai trouvé à la cuisine, en train de sortir des salades du frigo. Mais ce n’était pas cela qui avait le plus attiré mon regard ; c’était sa tenue. Elle avait juste une nuisette, courte, et surtout, transparente.
Ce matin, je n’avais pas osé la réveiller. Pourtant mon érection de fin de nuit était flagrante. Mais elle dormait profondément.
Alors, en la voyant offerte à mon regard, dans la cuisine, j’ai été obligé de la saisir, pas violement, mais fermement !! Je l’ai plaqué contre la table, je l’ai forcé à s’allonger sur le dos dessus, et tandis que mes mains s’occupaient de ses plantureux seins, ma bouche se posait contre sa chatte et ma langue s’activait sur celle-ci et en son délicieux intérieur.
Rapidement j’ai bu son nectar, et en tout aussi peu de temps j’ai entendu ses râles exprimés les sensations que ressentaient sont clitoris.
Nous avons pris un maigre repas, après que je l’aie pénétrer avec ma queue bien raide et dure, peut être pas autant qu’elle l’avait été le matin, mais avec vigueur, le pantalon descendu au niveau des chaussures, le boxer encore quasiment en place. La table bougeait à chaque coup de reins.
A mon retour au bureau j’avais encore le goût en bouche de sa chatte. Je tentais de le conserver, pour maintenir le souvenir de cette jouissance. Je me suis remis à mes dossiers, mais mon esprit était bien ailleurs.
Je me suis connecté sur msn, et j’étais persuadé qu’elle serait sur le net. Bingo ! Elle était là. Je lui ai exprimé le fort plaisir qui avait été le mien de la prendre à la volée, comme cela. Elle m’expliqua qu’elle également, elle avait énormément apprécié. Elle était d’ailleurs toute chaude encore, bien plus que la température extérieure pourtant très estivale. Et qu’elle ne sortirait pas, qu’elle resterait au frais à l’appartement, en tentant de se calmer.
La connaissant, je doutais qu’elle réussisse. Ou alors, d’une certaine manière …
Nous échangeâmes comme cela quelques séries de conversations, pendant que je tentais de bosser, et nos propos étaient suffisamment lubriques pour maintenir la chaleur intérieure de chacun. Elle me dit qu’elle s’était servie un rhum coca, rempli de glaçons … Elle me donnait ainsi encore plus d’envies …
Un moment, mon mobile bipa. Un texto venait d’arriver. Je le consultai et je découvris une photo, d’elle, nue, le verre dans une main, positionné entre ses seins, la paille prise dans sa bouche pulpeuse, la langue légèrement sortie et effleurant ses lèvres … et en détaillant l’image je vis qu’elle s’était empalée sur son plug … posé sur le lit, l’autre main se frottant le clitoris …
D’un coup, d’un seul, je me suis retrouvé extrêmement dur !! Le boxer était un rempart bien fragile pour se qui m’arrivait. J’ai aussitôt ressenti le désir de lui retourner son texto par une photo de moi prise en l’instant. Je me rendis aux toilettes et je flashé mon sexe, sortant du pantalon, fermeture ouverte. Je lui envoyai immédiatement la prise faite.
Elle me répondit par msn, m’indiquant qu’elle était toute retournée, le plug bien en place, mais dans son petit trou désormais, puisqu’il était beaucoup lubrifié par l’action de sa chatte. Elle était très humide et se procurait du plaisir fort, que ses cris étaient intenses, et que ma photo était en grand format sur l’écran de son PC.
J’avais du mal à me tenir !! Tendu, comprimé par mes habits, le désir à fleur de peau.
Elle m’envoya quelques minutes plus tard une vidéo par messagerie, où je la découvris étendue sur le lit, se caressant les seins, les tétons pointant, et manipulant son vibromasseur, en mode très fort, et si je ne pouvais entendre ses cris, car mon PC au taf ne dispose pas de hauts parleurs, je les imaginais parfaitement. La vidéo ne durait qu’une petite minute. Peu et beaucoup à la fois.
Je n’en pouvais plus !!
Il fallait que je me calme moi aussi, à ma façon.
Je lui indiquai que je revenais, que j’allais faire un séjour aux toilettes, pour me branler sérieusement, me libérer de la charge de désir et d’envie qu’elle me procurait par ses mots et ses images. Et que je lui passerais une photo pour preuve.
Elle me répondit qu’elle aimerait plutôt me voir dans l’action. Qu’elle voulait aussi que je la regarde jouir.
Chose quasi impossible, étant au bureau. Il y avait bien l’ordinateur portable du taf, qui est doté d’une cam, mais il faudrait prendre des risques, et être sûr de ne pas être dérangé. Pourtant, il y a bien une pièce qui est éloignée, inutilisée, à l’abri des regards, et en cette période de vacances, le peu de personne présent permettrait de tenter la chose.
J’hésitais, d’une certaine façon je me tâtais …
Elle me relançait, me provoquait, me passant encore une photo d’elle, prise par son vibro, en position de levrette cette fois …
Je n’en pouvais plus …
(à suivre …)
Pourtant c’était assez calme au travail.
En rentrant pour le repas de midi, je l’ai trouvé à la cuisine, en train de sortir des salades du frigo. Mais ce n’était pas cela qui avait le plus attiré mon regard ; c’était sa tenue. Elle avait juste une nuisette, courte, et surtout, transparente.
Ce matin, je n’avais pas osé la réveiller. Pourtant mon érection de fin de nuit était flagrante. Mais elle dormait profondément.
Alors, en la voyant offerte à mon regard, dans la cuisine, j’ai été obligé de la saisir, pas violement, mais fermement !! Je l’ai plaqué contre la table, je l’ai forcé à s’allonger sur le dos dessus, et tandis que mes mains s’occupaient de ses plantureux seins, ma bouche se posait contre sa chatte et ma langue s’activait sur celle-ci et en son délicieux intérieur.
Rapidement j’ai bu son nectar, et en tout aussi peu de temps j’ai entendu ses râles exprimés les sensations que ressentaient sont clitoris.
Nous avons pris un maigre repas, après que je l’aie pénétrer avec ma queue bien raide et dure, peut être pas autant qu’elle l’avait été le matin, mais avec vigueur, le pantalon descendu au niveau des chaussures, le boxer encore quasiment en place. La table bougeait à chaque coup de reins.
A mon retour au bureau j’avais encore le goût en bouche de sa chatte. Je tentais de le conserver, pour maintenir le souvenir de cette jouissance. Je me suis remis à mes dossiers, mais mon esprit était bien ailleurs.
Je me suis connecté sur msn, et j’étais persuadé qu’elle serait sur le net. Bingo ! Elle était là. Je lui ai exprimé le fort plaisir qui avait été le mien de la prendre à la volée, comme cela. Elle m’expliqua qu’elle également, elle avait énormément apprécié. Elle était d’ailleurs toute chaude encore, bien plus que la température extérieure pourtant très estivale. Et qu’elle ne sortirait pas, qu’elle resterait au frais à l’appartement, en tentant de se calmer.
La connaissant, je doutais qu’elle réussisse. Ou alors, d’une certaine manière …
Nous échangeâmes comme cela quelques séries de conversations, pendant que je tentais de bosser, et nos propos étaient suffisamment lubriques pour maintenir la chaleur intérieure de chacun. Elle me dit qu’elle s’était servie un rhum coca, rempli de glaçons … Elle me donnait ainsi encore plus d’envies …
Un moment, mon mobile bipa. Un texto venait d’arriver. Je le consultai et je découvris une photo, d’elle, nue, le verre dans une main, positionné entre ses seins, la paille prise dans sa bouche pulpeuse, la langue légèrement sortie et effleurant ses lèvres … et en détaillant l’image je vis qu’elle s’était empalée sur son plug … posé sur le lit, l’autre main se frottant le clitoris …
D’un coup, d’un seul, je me suis retrouvé extrêmement dur !! Le boxer était un rempart bien fragile pour se qui m’arrivait. J’ai aussitôt ressenti le désir de lui retourner son texto par une photo de moi prise en l’instant. Je me rendis aux toilettes et je flashé mon sexe, sortant du pantalon, fermeture ouverte. Je lui envoyai immédiatement la prise faite.
Elle me répondit par msn, m’indiquant qu’elle était toute retournée, le plug bien en place, mais dans son petit trou désormais, puisqu’il était beaucoup lubrifié par l’action de sa chatte. Elle était très humide et se procurait du plaisir fort, que ses cris étaient intenses, et que ma photo était en grand format sur l’écran de son PC.
J’avais du mal à me tenir !! Tendu, comprimé par mes habits, le désir à fleur de peau.
Elle m’envoya quelques minutes plus tard une vidéo par messagerie, où je la découvris étendue sur le lit, se caressant les seins, les tétons pointant, et manipulant son vibromasseur, en mode très fort, et si je ne pouvais entendre ses cris, car mon PC au taf ne dispose pas de hauts parleurs, je les imaginais parfaitement. La vidéo ne durait qu’une petite minute. Peu et beaucoup à la fois.
Je n’en pouvais plus !!
Il fallait que je me calme moi aussi, à ma façon.
Je lui indiquai que je revenais, que j’allais faire un séjour aux toilettes, pour me branler sérieusement, me libérer de la charge de désir et d’envie qu’elle me procurait par ses mots et ses images. Et que je lui passerais une photo pour preuve.
Elle me répondit qu’elle aimerait plutôt me voir dans l’action. Qu’elle voulait aussi que je la regarde jouir.
Chose quasi impossible, étant au bureau. Il y avait bien l’ordinateur portable du taf, qui est doté d’une cam, mais il faudrait prendre des risques, et être sûr de ne pas être dérangé. Pourtant, il y a bien une pièce qui est éloignée, inutilisée, à l’abri des regards, et en cette période de vacances, le peu de personne présent permettrait de tenter la chose.
J’hésitais, d’une certaine façon je me tâtais …
Elle me relançait, me provoquait, me passant encore une photo d’elle, prise par son vibro, en position de levrette cette fois …
Je n’en pouvais plus …
(à suivre …)