
Les ruines de ce qui fut jadis Prague, baignaient dans un silence obituaire. Le soleil déclinait doucement, donnant au ciel une teinte rose orangée. Quelques nuages s’étiraient, venant couvrirent l’azur de leurs formes onirique passant du blancs cotonneux à un embrassement d’or cuivré.
Le Chaos régnait en maitre dans les avenues, rues... les immeubles éventrés laissaient voir de appartements sinistrés, des bureaux retournés, des corps déchiquetés qui s’agitaient doucement sous la caresse du vent. Mais les charognards eux, avaient festoyés de cette orgie de chairs.
Sur la tourelle d’un char calciné, un corbeau finissait de picorer les restes d’une cervelle cuite du pilote qui n’avait pas eut le temps de s’extraire de son blindé. Ses orbites noircies par le feu, regardait le bec s’enfoncer avec ferveur dans la boit crânienne et ressortir avec des bouts séchés grisâtre.
Mais malgré tout, quelques humains avaient survécus et se terraient dans les décombres, dans les caves ; beaucoup avaient fuit vers l’est avant que l’enfer s’abatte ici, eux ceux qui n’avaient pas voulut croire le Prophète étaient morts… Personnellement, j’avais survécu car le matin même du jour J, j’avais été affecté à la maintenance électrique d’un grand parking souterrain du nouveau centre commercial. Oh j’avais bien sentis des vibrations et entendu un léger grondement, mais ne me doutais pas de ce qui s’était passé en surface. Ma stupeur fut totale quand je vis le 3eme niveau effondré, bloquant tout accès à la surface sous des tonnes de béton. Je ne devais mon salut, qu’a un petit escalier de service qui débouchait directement dans la galerie commercial…qui était totalement dévasté.
« Viens ! les Skrulls vont pas tarder à se pointer.. Le jour baisse dangereusement… et je veux pas finir entre leurs mains…si tu voies ce que je veux dire. » me dit Tania.
Sa voix légèrement rocailleuse m’arracha à ma contemplation de ce paysage de désolation…, je remis mon M16 en bandoulière et la rejoint près du Van. Elle mesurait 1.65, brune cheveux court, avec des yeux couleur de jade. Elle portait un pantalon de camouflage militaire et un tee shirt noir, sous le quel pointait ses seins bien galbés. Du haut de ses 25 ans, elle avait un corps sculpté, du au sport qu’elle pratiquait. « Courir et la gym, c’est ma drogue » m’avait elle confié. Moi c’était la baiser ma drogue. Oh nous nous connaissions pas avant le chaos ; nous nous étions rencontrés au hasard d’une rue, alors qu’elle ramassait des munitions abandonnées par l’armée… depuis nous étions les meilleures amies du monde et accessoirement nous baisions ensemble … juste pour déstresser.
Je contournais le véhicule, et ouvrit la porte afin de me hisser derrière le volant. Le Van avait été aménagé par Jorko, un mécano gras comme un cochon et à qui je ne confirai même pas ma propre pisse. C’était un immonde salopard, mais question mécanique, il était le meilleur. Il savait réparer et faire rouler tout ce qui avait un moteur. Un soir, dans notre plaque, il avait essayé de se faire Tania… pensant que son 1.76m et ses 98kg lui donnerait l’avantage… sauf que ce fut lui qui beugla le premier quand elle tenta de lui trancher les couilles avec son couteau de chasse.
Le trajet fut rapide jusqu’aux abords de Prague. Nous bifurquâmes vers la Nieztlechtic station, puis, le van cahota sur la petite route qui menait vers l’arrière de la gare de triage, vers le bâtiment de maintenance. « Le furet » nous ouvrit la porte coulissante pour que nous puissions nous garer à l’intérieur, et la referma une fois fait. Lui c’était plutôt l’opposé de Jorko, grand mince, blond, les yeux gris délaver, venant des Balkans… dont personne ne savait rien... si ce n’était que ce fils de pute était zoophile ! Grand bien lui fasse ! « Qu’il nique ses chèvres, du moment qu’il ne touche pas à Tania. » Bon accessoirement, il faisait aussi la bouffe et s’occupait de la cb et du générateur.
Apres avoir mangé et prit une « douche », je filais dans la pièce qui servait de chambre à Tania et moi, et me glissais nu sous la couverture en prenant le soin de planquer mon firestar entre le matelas et le mur, recouvert par l’oreiller. Un bruit d’eau me fit comprendre que la miss était sous la douche. Ma main droite fila sous la couverture et choppa mon sexe qui reposait tranquillement. J’attrapais le gland entre le majeur, l’index et le pouce et commençais à le secouer. Quelques instants plus tard, ma queue était raide et bien tendu… quand la porte s’ouvrit pour laisser entrer Tania, emmitouflé dans un peignoir de bain marron, les cheveux mouillés…
« Putain, tu pourrais m’attendre pour te branler ! Vous êtes vraiment des égoïstes les « frenchies » » me balança t elle en fermant la porte d’un coup de pied.
Je la regardai d’un œil amusé, tout en continuant doucement mon va et vient… Elle ne s’embarrassa pas de bienséance, et vira littéralement la couverture qui me recouvrait. Elle vira son peignoir et s’allongea en travers du lit, posant ses lèvres sur mes couilles. D’un geste un peu sec, elle vira mes mains et sa bouche avala ma bite dressée à l’extrême. Sa langue jouait merveilleusement sur mon gland gonflé de désir. Sa main droite chopa mes testicules et les malaxa fermement. Elle savait que j’adorai ce type de pipe… Je fermais les yeux et laissais l’experte faire. Elle alternait à merveille la pipe et la branlette, léchait divinement chaque cm de peau qui recouvrait mon service trois pièces. Encore 5 mn de ce traitement et j’étais sur de lui exploser à la gueule…ou dans la bouche au choix.
Elle du le sentir car elle s’arrêta et tourna sa tête vers moi.
« Toi me bouffer le cul sinon moi te castrer » me dit-elle en exagérant l’accent slave.
Avant que je n’eu le temps de répondre, elle me chevaucha rapidement, dans un impeccable 69. La vision idyllique qui s’offrait à moi aurait fait triquer un mort ! Ses fesses fermes, rondes qu’elle écartait volontairement, laissait apparaitre son anus exempt de toute pilosité (comme sa chatte dailleurs). Mon visage se plaqua entre ses deux vallées et ma langue vint chatouiller son petit trou offert. Puis je la poussais à l’intérieur, goutant ses fragrances, la douceur de cette peau, pendant qu’un doigt espiègle jouait avec sa fente. La salope…. Elle ne faisait plus rien, elle se laissait faire.
Je descendis ma bouche et léchait ses lèvres délicatement avant de les entrouvrir, et de m’attaquer au nacre rosé, luisant d’humidité. Par provocation, et surtout par plaisir, j’enfonçais la 1ere phalange de mon doigt dans son anus. Je la senti se contracter légèrement… Mais elle ne me repoussa pas ; un branlage de l’œil de bronze débuta donc pendant que ma bouche vorace se régalait de son clito. La mouille commençait à envahir sérieusement mon visage, avec cette odeur enivrante qui me rappelait celle d’une branche de pommier cassée. Elle rampa sur mes jambes, puis se mit en position de levrette, m’offrant un des deux accès ... à ma guise !
Je me mis à genoux derrière elle et frotta mon sexe contre ses fesses, puis le guida doucement vers l’entrée maintenant détrempé de sa chatte ; je poussai légèrement, et la pénétra dans un soupir de bien être. Ma main droite s’abattit sur sa croupe tendue, laissant une empreinte rosée. Elle se contracta.
« Tu vas bouger un peu ? Ou il faut que je te pilonne comme un mortier de 80 ? » lui demandais je.
Un souffle roque étranger à nos ébats, filtrait de derrière la porte.
« Jorko, enfant de putain ! Va te branler ailleurs !! Et dégage ton œil porcin de ce trou de serrure si tu ne veux pas que je te colle une bastos ! »braillais je tout en continuant à dessouder la donzelle.
L’énervement m’avait fait accélérer le mouvement et donner des coups de reins plus profonds et plus fort… si je continuais à taper dur, je m’attendais à voir mon gland ressortir par sa bouche. Un grognement animal et le pas lourdot qui s’éloigne me fit comprendre que Jorko n’avait pas prit mes menaces à la légères. Elle appréciait en attendant et à en croire ses râles qui montaient crescendo.
Je sentais le torrent de feu me monter des reins doucement… Mon index était entièrement enfoncé dans son cul, pendant que mon majeur tentait de si introduire aussi… ce qu’il fit superbement ! Je m’arrêtais un temps ; juste le temps de la branler analement. J’écartais son trou du mieux que je pouvais… « Vas y » me lâcha t elle, prête à jouir.
Ma bite quitta sa chatte inondée et poussa délicatement dans son cul. Putain qu’il est serré ce trou de balle ! Mais c’est que du bonheur. Je repris donc ma chevauché fantastique, mes couilles tapant allégrement contre son cul… Oh putain… je sentais que si je donnais encore trois quatre coups de reins, j’allais lui remplir la mine !!!Je poussais à fond, lui arrachant de petits cris. Elle se branlait furieusement de son coté ; avait elle l’intention de jouir en même temps que moi ???
« SKRULLS SUR ZONEEEEEEEEEE » beugla « le furet » au moment ou j’éclatais, inondant sa fabrique à Suchard de ma crème pâtissière.
« Putain de bordel de merde !!! Ils ont décidés de faire chier ce soir ou quoi »m’exclamais je.
Je ne su jamais si ce fut ma jouissance ou l’intrusion du Skrull qui déclencha son orgasme, mais elle enfonça ses doigts profondément en elle et se raidit, comme si elle prenait une décharge électrique. J’eu juste le temps de me dégager avant que ma queue se fasse broyer dans l’étau de son cul.
Je me levais rapidement, prit mon firestar, et fonça dans la salle de bain, enfin ce qui faisait office de salle de bain, pour nettoyer vite fait le matos. Puis je m’habillais rapidos et enfilais mes rangers.
« Le Skrull se rapproche du bâtiment… mais là, il … dévore un chat ?! Pas d’autre en vue » avertit « Le furet » le nez devant l’écran de contrôle des cameras de surveillances.
J’attrapais mon M16, enleva la sécurité, et armait ce dernier. Je déverrouillais la porte et l’ouvrit doucement. Dehors, la nuit était tombée depuis 2 heures environs. Seul l’éclairage extérieur du bâtiment diffusait une lumière jaune orangé. Je sortis doucement, sans bruit… Je le vis, à 15metres environ, agenouillé et penché vers le sol. Un bruit de sucions et de chaires qui se déchirent arrivèrent jusqu’à mes oreilles. Sa peau blafarde et tachée de crasse suintait une espèce de mucus huileux et nauséabond. Son crane ne portait que les vestiges de ce que l’on aurait pu appeler « des cheveux », d’une couleur gris sale. Il devait mesurer dans les 1.60m à tout casser… Mais le vent, aussi léger soit il, soufflait vers lui... et mon odeur me trahi. Il tourna lentement sa tête hideuse. Ses yeux entièrement noirs me fixèrent cruellement, ne voyant en moi, qu’un repas amélioré. La Particularité des Skrulls résidait aussi dans le faite qu’il n’avait pas de nez. Juste deux fosses nasales d’où s’écoulait un liquide sombre et visqueux. Sa bouche barbouillée de sang, s’ouvrit pour laisser sortir un cri strident, que filtraient des crocs jaunis et noirâtres. Je levais doucement mon M16 au niveau de mon visage et le mit en joue dans ma ligne de mire. Il sifflait, comme une vipère pris au piège. Mon doigt bascula le sélecteur en mode coup par coup. Sa langue léchait avidement ses lèvres quasi inexistantes pour se délecter des dernières gouttes de sang.
Mon doigt pressa la gâchette, le coup claqua, le Skrull s’effondra face contre terre. L’arrière de son crane s’était volatilisé. Déjà une mare noire se formait sous son corps. L’avantage avec les balles doum doum, c’est que ça vous fait un trou de la taille d’une pièce de 20 cts quand ça rentre et la taille d’une pizza senior quand sa ressort.
Je réenclenchais la sécurité de mon arme et rentrai, prenant le soin de verrouiller la porte derrière moi.
« Skrull explosé » dis-je simplement au « furet ».