Elle entre dans son bureau, elle ne sait pas pourquoi mais elle n’est pas à l’aise avec lui, son regard, son ton autoritaire et pourtant voilà plusieurs nuits que ses rêves salaces tournent autour de lui. Elle est troublé, jamais elle n’avait ressenti cela envers aucun hommes.
Il est là, assis à son bureau « comme un pacha pense t elle », immédiatement il lui demande de s’installer elle au paper board et de lui exposé le problème. Elle prends une grande respiration et pendant qu’elle débite ses explications, des pensées lubriques lui traversent la tête. Elle sent ses tétons pointés sous son chemisier, elle se retourne le plus discrètement possible quand elle s’aperçoit qu’il lui matte odieusement le cul. L’instant de colère passé, elle décide de le provoquer, « je vais le faire bander ce con se dit elle intérieurement ». Elle se cambre légèrement, d’un coup d’œil furtif voit un sourire se dessiner sur ses lèvres et un éclair traversé son regard, pendant qu’elle continue son explications de texte.
Quelque chose vient de lui être lancé et atterrit directement sur son cul, elle est choqué par cette attitude et se retourne prête a trucider l’auteur de cet acte plus que déplacer, lorsque non chalemant il lui dit : « c’est la merde à ce point, je n'ai même pas connaissance de la dead-line , que proposes tu comme solution ? ». C’est donc lui qui vient de lui jeter quelque chose sur les fesses « il va me le payer, tu veux jouer alors on va jouer môssieur le patron ». Lorsque son regard se pose sur le sol elle y voit une gomme et sans même y réfléchir elle se baisse, le cul dans sa direction a lui, sans plier les genoux. Elle ramasse la gomme et la dépose sur le rebord du paperboard.
Aux bruits de raclement qui envahie la salle, elle se rend compte que pendant un instant elle avait zappé qu’ils n’étaient pas seul dans son bureau. Elle reprends aussitôt contenance et propose un scénario avec un travail en binôme, pendant qu’elle s’embrouille dans ses explications, espérant faire oublier, qu’elle vient de se comporter comme une salope en pleine séance de travail, lui se lève et contourne son bureau, elle ne peut plus ignorer la bosse largement visible de son manager, elle est dérouté quand elle sent son corps réagir mais ne veut pas s’avouer vaincu quand il lui balance : « Tu nous refais le planning : une dead line tenable et une tache par binôme, toi je te veux avec moi, je te laisse répartir les autres ». Elle se sent soudain prise au piège d’un jeu qu’elle a elle-même provoqué.
Ses mains tremblent, elles sent ses tétons durs et en même temps un nœud se forme dans sa gorge. Alors qu’elle répartit les équipes lui n’a pas bougé et continue a la regarder, la déshabiller du regard, elle se sent soudainement nue, son cœur pulse dans sa poitrine a lui en faire mal. Les équipes sortent du bureau, elle se sent soudainement démuni face a son patron mais ne veut pas s’avouer vaincu. D’un regard dédaigneux, elle s’approche de lui, lui tends le stylos du tableau en prenant peine d’effleurer volontairement la trique d’enfer qu’il affiche désormais : « A vous boss, alors on attaque par où ? »
Elle a à peine le temps de finir sa phrase, qu’il referme sa main sur son poignet « tu me fais quoi là ? » son ton est dur, presque glacial mais la lueur qu’elle voit dans ses yeux ne trompe pas. Immédiatement elle saisie le double sens de la phrase et glisse son genou contre ces couilles. Ils restent un moment a se défier du regard, cherchant lesquels des deux va céder le premier, elle frotte délicatement son genou le poussant dans ses derniers retranchements quand il se met a détacher sa cravate et lui passer autour de son cou. Ce simple geste, anondin a première vue, vient de lui déclencher un frisson surréaliste. Elle a froid et chaud en même temps, sa peau devient granuleuse et se laisse soudainement guidé par lui.
« C’est bien se que je pensais : un simple geste et la chienne soumise qui sommeille en toi se réveille ». Elle aimerait pouvoir lui répondre, se débattre et pourtant la situation lui plait. Elle s’abandonne un instant, c’est lorsqu’elle se retrouve le visage contre le mur rugueux et les mains attachées au dessus de sa tête qu’elle prends conscience du jeu qu’elle a déclenché. Elle ne peux plus bouger uniquement crier et pourtant elle ne le désir absolument pas. Elle se laisse aller, presqu’offerte a son bon vouloir. Il la caresse a travers le tissu de son chemisier, attrapes ses tétons tellement dardés qu’il n’a aucun mal a les trouver et les pincer violement. Elle soupir, ne peux résister, elle aime se qu’il lui fait, un soupir s’échappe de ses lèvres.
Il défait un à un avec une délicatesse déroutante les boutons et soulève son soutien gorge, il vient les lécher, les mordiller avant de les mordre franchement. Elle gémit, se laisse faire, elle aime et se dit qu’elle aime beaucoup la tournure que prend cette réunion et encore plus son jeu.
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A suivre
