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BjEd9a10

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Message par BjEd9a10 »

bon j'avoue qu'il y a un passage que j'ai zappé avec la ceinture.. je ne pouvais pas lire...

j'ai repris plus loin... excitant... :miam: :cecyls:
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Merci ma belle, y'a pas de soucis, je comprends je ne force personne a lire ;)
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

6h50 : «… tout de suite un petit bijou, une reprise des White Stripes : Seven Nation Army par Ben l’Oncle Soul. Bon réveil en douceur avant les infos de la rédac… » Les premières notes atteignent mon cerveau et je me laisse envouter par ce son doux et délicieusement soul : « terrible j’adore, il faut absolument que je trouve qui est Ben l’Oncle Soul et que je post sur facebook cette reprise », mon cerveau a démarré au quart de tour et mon corps se remue de lui-même au son de cette voix et de la basse.
Ma journée commence bien et c’est bon signe, dehors un soleil radieux illumine le ciel, je me sens super bien. Je prends mon verre de jus d’orange et fume ma cigarette, j’en profite pour rallumer mon téléphone, immédiatement cinq sms tombent : quatre pour m’indiquer des messages vocaux et un de Jérôme : Belle nuit à toi ma douce, ne te prends pas trop la tête. Immédiatement mon cerveau se remets en marche, mais je préfère balayer cette guerre intérieur d’un revers en écoutant mes messages vocaux : le premier est de mon manager « Marine, je reçois le candidat demain soir, on pourrait aller ce faire un restaurant tous les trois rappelles moi pour que je puisse faire ma réservation au resto, a plus bisous »

Moi : « bisous, pfff… qu’il est con ! Remarque resto payé par la boite : ok »

Les trois suivants sont d’Alex et Emmy, visiblement bien amochés m’expliquant que je loupe la soirée de ma vie, qu’elle est énoooooorme « et ben j’ai hâte de voir leur tête tout à l’heure ».
Je me connecte a internet et trouve le morceau que je cherche, et le publie sur ma page « décidément j’adooore cette chanson ».

Je file sous la douche, m’habille avec le premier jean et haut que je trouve à ma portée et en route pour le travail. Sur le chemin je fais l’effort de rappeler Ju pour lui dire ok pour le restaurant ce soir, heureusement je tombe sur sa boite vocale.

En arrivant au travail, je trouve Alex entrain de se servir double dose d’aspirine, la mine déconfite, l’haleine encore chargée d’alcool.

Moi : « alors il parait que c’était ENOOOOOORME »

Alex : « chut Marine, soit cool, j’ai une migraine »

Moi : « Alex, t’es débutant, combien de fois je t’ai dit : pas de mélange c’est ça qui te flingue »

Alex : « Merci pour tes conseils d’expert de pilier de bar, mais je m’en passerai »

Moi : « ok pas d’humour, je vais allez voir ailleurs si j’y suis »

Alex : « pardon Marine, mais pas facile aujourd’hui »

Moi : « non c’est bon, je comprends combien de fois je suis arrivée au travail dans des états pire que ça »

Alex : « pas faux, c’est Emmy par contre je pense qu’on ne la verra pas aujourd’hui »

Moi : « ouch ! Malade ? »

Alex : « oui elle a finit la soirée aux toilettes »

Moi : « ah oui quand même »

Alex : « et on peut savoir a qui est du cette mine radieuse ? »

Moi : « personne une bonne nuit de sommeil et de la bonne musique au réveil, il fait beau, l’été approche »

Alex : « c’est ça et les oiseaux gazouilles… sérieux, en tout cas ça va mieux qu’hier soir »

Moi : « oui petite baisse de moral c’est tout, mais une bonne nuit de sommeil et ça va mieux »

Alex : « ok je te vois plus tard… »

Moi : « au fait c’est ce soir que je voix LE candidat, je te racontes ça demain »

Alex : « ok ça roule »

En arrivant dans l’open-space je fais le tour, de tout le monde en gardant le meilleur pour la fin : Jérôme. A qui je ne peux m’empêcher d’appuyer plus particulièrement ma bise.
Je me connecte sur mon poste et regarde les 92 mails qui sont tombés hier « ah pas envie, pas envie, pas envie. Café clope ? Oui café clope, bien Marine ». Je me lève propose le café, ils me répondent qu’il ont déjà pris le leur y compris Jérôme dont je pensais qu’il m’accompagnerait bien volontiers « fais chier ».

Une fois à la machine à café, je prends mon expresso sucré ou plutôt mon sucre au café et me dirige vers l’ascenseur, j’avais le secret espoir que Jérôme me rejoindrai mais rien. Le pire c’est que je sens que mon corps a déjà envie de lui « je deviens nympho mais j’aime me sentir dans cet état, mon sexe déjà ruisselant et prêt a l’accueillir ? ».
Une fois dehors, j’allume ma cigarette, et m’éloigne un peu de l’entrée pour sortir du nuage de fumée ambiant lorsque je sens une présence derrière moi. Un doigt se pose sur ma nuque et aussitôt mes reins se cambrent et je gonfle ma poitrine, la présentant sous son meilleur jour.

Jérôme : « au doigt et à l’œil, j’aime beaucoup ça »

Moi : « il faut croire que mon corps aime également »

Jérôme : « serais-tu déjà humide ? »

Moi : « absolument »

Jérôme : « et tu aimerais qu’on aille dans le parking et que je te baise comme la dernière des chiennes »

Moi : « proposition intéressante et alléchante, bien sûre que j’aimerai ça »

Jérôme : « t’es en chaleur Marine ? »

Moi : « OUI et j’aime ça »

Jérôme : « parfait, mais je n’ai pas de temps malheureusement aujourd’hui »

Moi : « alors dommage, mais si jamais tu trouves cinq minutes, penses à moi »

Jérôme : « bien sûre. Mais n’oublies pas que je ne fais pas dans le vite fait et que JE décide »

Moi : « je n’oserai pas, Dieu m’en garde »

Jérôme : « et sinon ta soirée »

Moi : « bonne, j’ai pu réfléchir, mais j’ai toujours un dernier verrou a faire sauter sur cette satanée porte »

Jérôme : « bien, préviens moi quand ta décision sera prise mais si tu veux en discuter, tu sais que je suis là »

Moi : « oui je sais, il faut juste que je trouve la clé »

Sur ceux nous remontons, pour une fois seule dans l’ascenseur, je ne peux m’empêcher de venir me coller a lui comme si un aimant dirigeait mon corps vers le sien, comme si j’avais besoin de absolument de son énergie, sa chaleur corporelle. Il me repousse avec tendresse et un nœud se forme dans mon estomac « pourquoi il me repousse, je veux pas moi ». Je le regarde suppliante.

Jérôme : « et ta décision n’est pas encore prise ? »

Moi : « hein ? »

Jérôme : « laisses toi bercée par ton instinct primaire Marine, regardes comment ton corps réagit de lui-même, il sait qui est son propriétaire »

Nous sortons et il en profite pour me claquer les fesses. Mes reins se cambrent pour lui offrir mon meilleur profil « hummm cette claque ».
DeLsEp9

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Message par DeLsEp9 »

:miam: :miam:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

19h30 : la journée file a une vitesse épatante, je ne la vois pas passée, je n’ai pas eu le temps de manger et au final vu que je vais au restaurant ce soir, se n’est pas grave, « je me gaverai comme ça ».
Je m’apprête a partir quand mon téléphone vibre, sms de Jérôme : rdv dans les toilettes femmes.
Je n’en crois pas mes yeux, dans les toilettes du boulot, en même temps a part Emmy, qui est finalement venue, il ne doit pas rester beaucoup de filles à l’étage « de toute façon j’en ai envie».
Je m’empresse de fermer mon pc, regrouper mes affaires et je ne peux m’empêcher de marcher spécialement vite jusqu’au toilettes.

Arrivée devant la porte, je sens mon cœur battre dans ma poitrine comme jamais, je ne sais pas se qui va se passer, mais je suis heureuse, je sais que je souris aux anges comme la dernière des cruches, la seule pensée du sexe de Jérôme et je me sens fondre.

J’ouvre enfin la porte, toute les portes sont closes, « dans laquelle peut il être ? ». Je ne bouge plus essayant d’entendre un bruit pour me guider quand un nouveau sms tombe : 2 essais pour me trouver où tampis pour toi
« mon dieu c’est cruel, et je suis sûre qu’il en a autant envie que moi », mais je vais le trouver, j’ai 6 portes face à moi, cela ne doit pas être si dure que ça.
Je ferme les yeux, ouvre mes oreilles pour entendre un bruit, un souffle, mais rien ne vient.

Les battements de mon cœur remontant dans mes tempes, je n’arrive pas a me concentrer « Marine, concentres toi, il faut que tu le trouve, pense à lui, penses à son corps… ». Il me semble percevoir sa respiration mais je ne suis pas sûre, je laisse mon corps me guider vers la dernière porte, celle du fond, celle des toilettes handicapées « évidement, les plus grandes ». Je plaque tout mon corps à la porte, mon oreille essaye de distinguer si il est bien dans celle-là « si tu y arrives du premier coup t’es un chef », ma main sur la poignée je ne peux m’empêcher de trembler et de penser que si je me trompe alors je n’aurai plus qu’une infime chance de le trouver, mais si je ne me suis pas trompée…

J’ose enfin ouvrir la porte, je l’entrebâille d’ailleurs, comme un enfant ferait pour regarder discrètement la télé sans se faire voir de ses parents et je le vois, magnifique, beau le regard froid et tendre à la fois, un dieu, « mon dieu, ma récompense enfin ».
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Je me faufile, verrouille la porte et avance vers lui, j’hésite telle une gamine a son premier rendez vous entre me jeter dans ces bras et attendre une instruction de lui. Mon corps tremblote, mon sexe s’ouvre et mon souffle est déjà court, mon cœur pourrais sortir de ma poitrine si il n’était pas enfermé dans ma cage thoracique. Il me fait signe de m’avancer vers lui et je m’exécute je ne suis plus qu’à quelques centimètres de lui quand il m’attrape ferment le coude et me presse contre lui en m’embrassant. Nos lèvres se soudent et nos langues se retrouvent enfin, ce baiser enflamme tout mes sens, je sens la chair de poule s’installer sur ma peau, ses mains viennent détacher mon élastique et jouer avec mes cheveux, pressant un peu plus mon visage contre le sien. Puis sa main agrippe ma tignasse au niveau de ma nuque et recule mon visage du sien fermement.

Jérôme : « toujours aussi en chaleur que ce matin »

Moi : « oui… je suis trempée »

Jérôme : « une vrai salope alors ? »

Moi : « je suis ta salope » un sourire invitant et le regard mutin

Jérôme : « est ce là ta décision ?»

Moi : « je crois… oui… »

Jérôme : « alors suces moi »

Maintenant toujours sa prise sur mes cheveux il me fait plier les genoux et je descends, ma main commençant à caresser la bosse de son pantalon, je sens son vit déjà bien dur prêt à venir dans ma bouche, et j’en salive d’envie. Je ne me connaissais pas ainsi mais depuis peu, depuis Jérôme, j’aime cela, donner des caresses buccales, le sentir gonfler, se durcir aux rythme de ma langue, palpiter et me délecter de ce nectar.
Agenouillée, face à sa braguette que j’ouvre pour m’emparer de sa queue, je suis heureuse, je vais m’appliquer du mieux que je peux, je me découvre d’une dévotion rare pour cet homme et son plaisir alors que je ne le connaissais pas il y a encore quelques mois.
Je n’ai même pas envie qu’il me prenne, si il le fait alors cela n’en sera que meilleur, le sentir au fond de moi, toute ces pensées se mélangent dans ma tête en même temps, mon sexe dégouline de plus belle sur le haut de mon entre cuisse et enfin le bout de ma langue goûte ce sexe chaud. Je la passe longuement sur son gland puis sur toute sa longueur, suit le chemin de ses veines, l’enduit de salive avant de l’engouffrer « mmmmmm ».

Je commence les allers retour entre mes lèvres et je le sens durcir sous ce traitement, je relève mon regard pour le voir, il me regarde, ses yeux déjà emplis du plaisir que je lui donne. Sa main caresse mon visage, ses doigts viennent jouer avec son gland à travers mes joues contre lequel il vient taper, avant de s’entremêler dans mes cheveux. La prise se raffermit il me guide sur le rythme à prendre, qu’en bonne élève, je suis.
Je le sens palpiter sous ma langue, il soupire, me dis que ma bouche est vraiment bonne et je redouble d’effort malgré ma mâchoire que je sens se crisper.
Puis il me relève, me sourit, vient m’embrasser et d’un geste vif, plaque mon visage et mon corps en feu contre le carrelage froid des toilettes, mes tétons pointes durement et commence à me faire mal, mon string est imprégné de ma mouille, et le sentir ainsi collé à mon cul ne fais qu’attiser la bucher logeant au fond de mon bas ventre.

Jérôme : « défais ton jean »

Je m’exécute, je détache ma ceinture et fais glisser mon jean sur mes fesses puis mes jambes, Jérôme finit par l’enlever, alors qu’il commence à jouer avec mes seins de ses mains, je me rends compte que je me colle moi-même au carrelage mais je n’ai pas envie de bouger, la position est érotisant a souhait « que je dois être belle », en me visualisant cependant je la corrige, me cambrant pour lui offrir mon cul. Ses doigts sortent mes seins et pincent fortement mes tétons, je hoquette de surprise puis ne peut m’empêcher de soupirer. Ils les caressent longuement, les tendant encore plus qu’ils ne l’étaient, des courants électriques parcourent mon corps prenant naissance sous ses doigts.
Puis il vient s’occuper de mes fesses, il caresse les marques encore visibles que la ceinture a laissée sur elles. Ils dessinent des arabesques avant de s’insinuer dans ma raie. Son doigt la parcoure, pour lui offrir un accès plus aisé, j’appuie mes bras de tout leur long sur le mur au dessus de ma tête et me cambre détachant mon bassin du mur, offerte pour une fouille corporelle.

Jérôme : « superbe Marine, tu es superbe »

Je sursaute, une de mes fesses chauffe, j’ai à peine sentie la claque qui vient de tomber, je gémis, une deuxième tombe et son doigt passe sous la ficelle de mon string et revient parcourir ma raie culière, il masse mon œillet que je sens réagir et accepter sans problème le doigt qu’il y enfonce « incroyable ». Il reste ainsi à me doigter savamment mon petit trou, je soupire, halète, mon brasier intérieur ne se fait que plus ardent, je miaule presque sous ce traitement quand sa deuxième main vient se placer sur mon clitoris, je sens une nouvelle onde me parcourir quand ces doigts viennent le pincer pour le décalotter. Il me masturbe fortement se qui me transporte vers les étoiles.

Jérôme : « mais tu es en feu ma belle »

Moi : « hummm… oui… »

Deux doigts viennent dans mon antre, me fouillent et commencent eux aussi a me limer, je n’en peux plus, mes jambes flageolent, j’ai du mal a ne pas m’écrouler par terre devant tant de bonheur et les vagues électriques qui parcourent mon corps, je gémis, je me moque de qui pourra nous entendre, mais contenir plus longtemps tout cela en moi me semble impossible quand il s’arrête :

Jérôme : « tais toi Marine, ou j’arrête et je te laisse ainsi »
Vintage
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Re: Consultante....

Message par Vintage »

t'as l'air de crouler sous le boulot toi... :d


V., qui a ratTrAPE le retard et qui attend de CONSULTER la suite.
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Vintage a écrit :t'as l'air de crouler sous le boulot toi... :d


V., qui a ratTrAPE le retard et qui attend de CONSULTER la suite.
J'arrive a faire plusieurs chose en même temps ;)

Cédille, besoin d'une consultante/assistante peut être pour vous aidez :ange:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Je m’exécute, me mord les lèvres, essaye d’avaler chacun de ces cris qui veulent sortir de ma gorge. Il me pistonne alternativement ou simultanément mes deux orifices, la vague va me submerger quand il retire ses doigts de mon sexe et les remplace par ce chibre énorme. Mes chairs s’écartent sur son passage, il s’enfonce lentement en moi, si lentement que j’ai l’impression que jamais il n’arrivera à me posséder entièrement avant que je n’explose mais je me retiens, je veux jouir sur son sexe en action, je sais que le moment où il me pilonnera déclenchera un orgasme tellement hors du commun qu’il faut je tienne bon.
Mais il prend sont temps et commence un long ballet tout en douceur synchronisant admirablement son doigt pour m’amener plus haut. Je soupire, ma gorge se serre, ma tête tourne, je ne peux retenir plus longtemps les larmes qui commencent à couler sur mon visage reflet de la tempête intérieure qui déferle, je lui suis totalement offerte et j’aime ça. Il accélère mais je ne me sens pas totalement prise, je me retourne et m’entends lui dire :

Moi : « mets un deuxième doigt, s’il te plait »

« Qui est ce qui vient de dire ça ? » Je suis surprise de lui demander et pourtant quand il s’exécute je me sens comblée parfaitement, je me pilonne sur son pieu et lui pilonne mon étoile, mes soupirs se transforment en râle mesuré au rythme que j’impose. Je sens tout mon corps se contracter, exploser et je me bâillonne moi-même en posant une main sur mes lèvres pour que mon cri ne se fasse pas entendre.
Jérôme retire ses doigts et me rattrape in extremis et m’enserre dans ses bras, empaler sur son vit, seule chose qui me maintienne encore debout. Il me plaque contre le mur, continue son va et vient diffusant mon orgasme dans chacune de mes cellules corporelles. Il s’arrête, s’enquière de mon état, je soupire un : « a merveilles ». Je trouve le courage de rouvrir mes yeux, le froid du carrelage m’aide à reprendre mes esprits. Il reste ainsi bien haut dans mon sexe sans bouger, j’aime cette sensation, nos bassins encastrés l’un l’autre commencent des huit, pendant qu’il me tourne la tête. Je l’embrasse, nous restons ainsi un moment puis je le regarde :

Moi : « je veux te finir avec ma bouche »

Jérôme : « Mmmm et cochonne avec ça »

Il se retire, je me retourne, l’embrasse fougueusement avant de me laisser glisser contre le mur et de me retrouver face à ma merveille, toute sa hampe est luisante de mon jus résultant du plaisir qu’il vient de me donner. J’entreprends de la lécher, de la nettoyer, c’est son foutre désormais que je veux, d’une main je viens caresser ses bourses tellement tendus que je sais qu’il ne va pas tarder à venir et j’en suis fière.
Je m’applique dans mon pompage, ma main caressant ces bourses ayant glissé vers son œillet que je sens palpitant. Mes lèvres quitte sa queue, ma langue glisse sur toute la longueur, vient lécher ses couilles pleines et gonflées avant de venir jouer sur son étoile à lui. Je le sens frémir au premier contact, il continue a se masturber au dessus de me visage pendant que je joue sur ce petit bout de chair si lisse forçant en douceur sa pastille, encouragée par ses soupirs.

J’entends le premier râle et faisant le chemin arrière avec ma langue j’avale son chibre au plus profond de ma gorge et lorsqu’il tape contre mes amygdales, je sens ses jets atterrirent directement dans ma gorge, je déguste son nectar et les jets suivants puis m’emploie nettoyer son sexe de toute trace de sperme. Il se retire signe que mon œuvre est finie, il vient s’asseoir à califourchon sur moi et nous restons ainsi dans les bras l’un de l’autre, essayant de reprendre nos forces dans le corps de l’autre.
Je suis heureuse, planant à dix milles pieds, quand je réalise que je suis attendue pour mon rendez vous. J’essaie de bouger mais le poids de Jérôme m’en empêche, je lui chuchote

Moi : « je crois qu’on m’attends »

Jérôme : « oui moi faut je me rentre, je suis vidé et dans tout les sens du terme »

Nous nous sourions mutuellement et nous embrassons, tout en se redressant, il attrape mon jean, me lâchant la main, je vacille il me rattrape

Jérôme : « ça va ? »

Moi : « oui j’ai du me relever trop vite, et vu que je n’ai rien mangé ce midi… »

Jérôme : « il faut que tu manges Marine, j’aime tes rondeurs, ça claque mieux » en me faisant un clin d’œil.

Je me hisse jusqu'à son visage pour un dernier baiser et il sort de la cabine. Je finis de m’habiller, me réajuste et sors à mon tour, je me retrouve face à l’immense glace parcourant tout le mur et je me souris. Je bois un peu d’eau, récupère mes affaires, et me mets en chemin.

Dans le bus, je sens une odeur particulière, je regarde autour de moi ayant l’impression que tout le monde me regarde mais une fois de plus je dois rêver. Et pourtant en amenant ma main à mon nez je me rends compte que c’est moi qui dégage cette odeur si particulière, celle du sexe, pour une fois l’expression « sentir le sexe » prend tout son sens. Je souris à ma réflexion intérieure, mes yeux se posent sur l’extérieur et je m’aperçois que je descends au prochain arrêt.
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Et parceque j'ai un long week end en perspective :d


Arrivée en bas de l’immeuble de ma société, je m’autorise tout de même une cigarette, je croise d’anciens collègues dont je prends des nouvelles avant de monter direction le bureau de Ju pour rencontrer LE candidat.

Lorsque je sors de l’ascenseur une odeur familière vient chatouiller mes narines, je reste un moment interdite, hésitant entre l’odeur que je dégage et celle que je perçois, mais non c’est un parfum flottant dans l’air. Je m’engage dans le couloir direction le bureau de Julien, tout en passant de bureau en bureau pour saluer tout le monde, le minimum quand je passe à ma boite tout de même, les cloison sont en fait d’immense baie vitrée fumé jusqu'à 1m40 du sol, permettant de voir aisément qui est dans le bureau et qui est dérangeable ou d’adresser un signe de la main dans le cas contraire.
Je croise même le PDG qui ne peut s’empêcher de s’intéresser à la mission « qu’est ce que ça peut lui foutre franchement du moment qu’il empoche ma prestation »

Le bureau de Ju est le dernier tout au fond, le temps que je dise bonjour à droite à gauche, l’odeur toujours présente m’intrigue de plus en plus et je sens même mon cœur s’emballer de lui-même quand celle-ci se fait plus forte. J’attribue cela à la partie de baise que je viens d’avoir dans les toilettes et mes sens en fusion, mais lorsque j’arrive devant le bureau de Ju, je m’arrête nette.
« C’est pas possible, c’est pas lui, non, si. Si c’est lui, cette odeur, ce parfum, son parfum, non, si » ma tête tourne je me recule pour reprendre mon souffle avant que Ju ne m’aperçoive, « même mon pire cauchemar ressemblerait à un conte pour enfant face a se que je vais vivre ce soir », la brèche de mon cœur s’ouvre d’un coup sec, la douleur me plie en deux et je cours aux toilettes.
J’y reste le temps de reprendre mes esprits « help, c’est pas possible, non pas lui, pas maintenant, pas comme ça… Marine il faut que tu te calmes, respires, voilà comme ça ». L’assistante qui me trouve assise par terre la tête entre les jambes, me demande si tout va bien.

Moi : « oui, un simple vertige, j’ai pas déjeuné ce midi »

Sophie : « t’es sûre que ça va aller »

Moi : « oui t’inquiètes, t’aurai pas un sucre ? »

Sophie : « si bouges pas je vais t’apporter ça. »

Moi : « Merci »

Quelques minutes plus tard, Sophie revient et me tends un sucre et un verre d’eau, de toute façon je n’ai pas le choix, il faut que j’y aille, je ne vais pas passer la fin de la soirée cachée ici.

Je me relève, prends une grande respiration et reprends le couloir, tel un condamné dans le couloir de la mort, arrivée devant le bureau de Ju, j’ouvre la porte, mon cœur a un loupé :

Ju : « ah Marine enfin te voilà enfin, justement laisses moi te présenter… »

Marine : « Olivier… »

Olivier : « Marine ? »

« mon ex, mon ex est Le candidat que Ju veut voir intégrer l’équipe, l’Amour de ma vie, celui qui m’a piétiner le cœur, brisé mon être, violé mon âme dans son entièreté, et je devrais le voir tout les jours… »

Ju : « vous vous connaissez ? Ah ba c’est super »

Olivier : « oui on… on était ensemble… »

Ju : « ah déjà bosser ensemble ? »

Olivier : « non on était ensemble, en couple et on a rompu »

« sa voix, j’avais oublié le son de sa voix, tellement douce, belle, elle a bercée ma vie pendant des années… »

Ju : « Marine ? Ça va ? »

Moi : « Je… oui… je… houa hou… Olivier et bah si je pensais te trouver ici. Tu changes de boite alors ? »

Olivier : « Oui j’ai… »

Je n’écoute pas le moindre mot de se que qu’il me dit, non je le détaille des pieds à la tête encore plus beau que le jour où il m’a dit qu’il me quittait parce qu’il en aimait une autre « aïe, putain de douleur », ses yeux verts toujours aussi coquin et pétillant… j’y plonge sans le vouloir, à la recherche de quelque chose.

Olivier : « … et visiblement tu en as rien à foutre de se que je te dis, sinon tu aurais réagis quand je t’ai dit que je comptais bouffer le chat à Noël »

Moi : « hein ? Quoi pardon, mais je… tu me laisse le temps de me remettre »

Olivier : « oui pardon, je comprends, on ne s’est quitté dans les meilleurs termes c’est vrai, je vais aller faire un tour et je vous laisse tous les deux »

Moi : « oui s’il te plait »

« Pas dans les meilleurs termes : notre rupture, le jour où il m’a avoué qu’il en aimait une autre, où j’ai appris qu’il me trompait depuis des années » rien qu’à cette pensée je sens des larmes de rage monter en moi. Ma belle journée vient de s’obscurcir en à peine quelques minutes.
Vintage
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Re: Consultante....

Message par Vintage »

T'as raison. Deux doigts, sinon rien. :jap:



"Juste un doigt, merci."

"Mais... Vous ne voulez pas un whisky avant ?"

V., on a ses références, n'est ce pas...
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Je vois qu'on a les mêmes :bik:

Cédille, pas certaine que se soit une bonne chose :whistle:
lau

Re: Consultante....

Message par lau »

Cedille92 a écrit :Je vois qu'on a les mêmes :bik:

Cédille, pas certaine que se soit une bonne chose :whistle:

Il y a pire!! :hippa:

qu'est-ce qu'il fait chaud par ici :diable:

lau, visiteuse
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Toujours chez moi :d

Bienvenue Lau la visiteuse

Cédille, qui se demande si on ne se connait pas :siffle1:
BjEd9a10

Re: Consultante....

Message par BjEd9a10 »

j'attends la suite avec impatience... :cecyls:
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Re: Consultante....

Message par Vintage »

Cedille92 a écrit :
Cédille, qui se demande si on ne se connait pas :siffle1:

V., ne se demande pas lui. Smileyquisifflotte... :ange:
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Re: Consultante....

Message par Invité »

Vintage a écrit :

V., ne se demande pas lui. Smileyquisifflotte... :ange:
Cédille, qui se disait aussi que ça ne pouvait pas être qu'une coïncidence :whistle:
lau

Re: Consultante....

Message par lau »

Cédille, qui se disait aussi que ça ne pouvait pas être qu'une coïncidence


ce bondage me disait quelque chose aussi

lau, qui affectionne la cédille
Supprimé

Re: Consultante....

Message par Supprimé »

coooooool
Supprimé

Re: Consultante....

Message par Supprimé »

Youhouuuuuuuuuuu y'a pas de suite?

:cry: :cry: :cry:

Sinon tout lu :cingle: Merciiii
Invité

Re: Consultante....

Message par Invité »

Les voici, les voila les suites, j'aurai normalement le temps de poster dans la journée toute l'histoire :

Ju : « Marine, ça va ? »

Moi : « je suis désolée Ju mais c’est non, en tout cas pour qu’il intègre la mission »

Ju : « mais on peut en discuter quand même »

Moi : « cet homme m’a brisé Ju, il est hors de question que je bosse avec… »

Une image de moi à la machine à café entourée d’Alex, Jérôme et Olivier traverse mon esprit, et c’est absolument impossible « oh mon dieu ».

Ju : « ok mais il a le profil parfait, regarde ce CV »

Moi, en m’emparant du CV qu’il me tend : « Ju c’est mon ex, je connais son C… Il est marié ?... Avec cette pute… »

Ju : « Marine calme toi, s’il te plait »

Moi : « alors là c’est au dessus de mes forces… Désolée Ju mais c’est non, Non et NON… »

Ju : « putain Marine tu ne peux pas être pro trente secondes et juste voir l’intérêt commun de la mission »

Moi : « l’intérêt de la mission, j’ai sombré en dépression pendant plus d’un an quand il m’a quitté alors les intérêts de la mission parlons en justement. Tu sais quoi ? On va appeler Alex et comme ça il va te dire se qu’il en pense d’Olivier… ».

Je n’ai même pas senti Olivier revenir dans mon dos, il se tient dans l’encadrement de la porte du bureau.

Olivier : « Alex est sur la mission ? »

Moi : « c’est le client et le chef de projet ! »

Olivier : « oh alors effectivement il faudrait mieux qu’on abandonne »

Moi : « AH ! Tu vois Ju… »

Ju : « bien je vois que vous êtes en accord au moins sur quelque chose. Je vais voir pour les autres missions alors Olivier, mais cela n’empêche pas qu’on se fait tout de même le restaurant ? »

Moi : « je… »

Olivier : « allez Marine, on a tellement de chose à se raconter »

Moi : « oui tu pourrais me raconter ton MARIAGE »

Olivier : « ok, effectivement se n’est peut être pas une si bonne idée »

Moi : « Merci »

Ju : « On se prend quand même une coupe ? »

Moi : « va pour une coupe mais pas plus, j’ai quelqu’un à voir »

Je sens le regard interrogatif qu’Olivier porte sur moi a cette réflexion. Nous nous dirigeons vers la cuisine et sortons une bouteille de champagne, « oh moins ça va me détendre » et je profite d’une cigarette pour appeler Alex.

Alex : « putain Marine, tu fais chier j’étais entrain de sombrer dans un super rêve »

Moi : « ouais je m’en cague, j’ai besoin de toi »

Alex : « qu’est ce qu’il se passe ? J’espère que c’est grave parce que… »

Moi : « Le candidat Alex, le candidat... »

Tout se brouille, je viens de retomber sur le seul homme que j’espérais ne pas revoir de ma vie, mon ex vie de couple défile a une vitesse impressionnante devant mes yeux.

Alex : « Ah ouais alors il est bien ? »

Moi : « … »

Alex : « Marine ? »

Moi : « c’est Olivier Alex… C’est Oliv »

Alex : «QUOI ? »

Moi : « C’est Oliv, Olivier, mon Olivier, mon ex… »

Alex : « putain j’arrive, je vais lui expliquer ma façon de penser »

Moi : « Alex calme toi. Est-ce que tu pourrais venir me chercher à ma boite dans 1h environ ? »

Alex : « oh que oui j’y serais, compte sur moi, et passes moi ton commercial s’il te plait »

Moi : « non Alex, je ne pense pas que se soit nécessaire »

Alex : « Marine… »

Je retourne vers la cuisine et tendant le téléphone à Julien : « Ju c’est pour toi, Alex… »

Je me retrouve seule à seule avec Olivier, la première fois depuis des années, je le regarde, tout se mélange dans ma tête. A la fois je le trouve toujours aussi… waouh… et en même temps je le hais profondément, une colère froide s’empare de moi.

Olivier : « en tout cas tu as l’air resplendissante »

Moi : « je… merci »

Olivier : « tu es en couple, non ? Et si je ne te connaissais pas aussi bien, je dirai que tu viens t’envoyer en l’air, tu as ton sourire d’après orgasme »

Moi : « euh… effectivement en fait, oui je viens de me faire une bonne partie de baise avant de venir »

Olivier : « oh une partie de baise ? Tu as changé alors… »

Moi : « tu m’as blessé, jamais je n’aurai cru ça possible »

Olivier : « désolé Marine, mais le cœur ne se contrôle pas toujours »

Moi : « effectivement le mien est mort le jour de notre rupture »

Olivier : « je suis sincèrement désolé, je ne sais pas quoi te dire d’autre »

Moi : « il n’y a rien à dire d’autre, tout a été dit, j’ai mis du temps à remonter la pente mais j’y suis arrivé »

Il me scrute, avec son regard vert perçant, celui auquel je n’ai jamais pu résister, il lit en moi, je sais qu’il est sincère, mais jamais je ne pourrais lui pardonner. La douleur dans ma poitrine est vive, les larmes sont là, enfouis mais prêtes à jaillir au moindre signal. Je pensais en avoir versé assez pour lui, visiblement non, je suis passé d’un orgasme fabuleux à la douleur en quelques minutes.
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Moi : « tu t’es marié ? Avec Elle ? »

Olivier : « je ne pense pas que cela soit une bonne idée d’en parler, non ? Et toi, alors un copain ? Amoureuse ? »

Moi : « tu t’es marié avec elle… je n’arrive pas a le croire… m’as-tu jamais aimé ? »

Olivier : « je t’ai aimé Marine, n’en doutes pas… mais je l’ai rencontré et… »

Moi : « je ne veux plus en parler, ça ne sert a rien tu as raison »

Olivier : « et toi alors ? »

Moi : « amoureuse non, un copain non plus, c’est différent, j’ai… »

« un Homme avec un grand H, non c’est plus que ça j’ai un Dom, oui Jérôme est mon Dom, l’homme a qui j’appartiens, je suis sienne et il est mien, mon corps est à lui, il peut en disposer comme bon lui semble puisqu’il le fait jouir comme personne, il révèle de jour en jour la femme et la femelle que je suis ». La dernière serrure vient de sauter, je prends cette réalité en pleine figure mais je me sens légère, soulagée d’avoir pris définitivement ma décision. « D’ailleurs je vais demander à Alex de me déposer chez Jérôme, j’ai envie de lui dire, maintenant je suis prête, il le faut »

Olivier : « tu as ? Marine toujours autant dans tes rêves »

Moi : « non laisses tomber, je ne veux pas en parler »

Olivier : « bien comme tu voudras, en tout cas tu as changés »

Moi : « merci »

Je trépigne comme une gamine, j’ai envie de Jérôme, de lui dire que oui je me remet entièrement à lui. J’avale ma coupe d’un trait, lui tire un sourire, le plus beau des sourires, tout prend un sens.

Ju revient, la mine déconfite « Alex vient de lui gueuler dessus le connaissant » et me rends mon téléphone.

Ju : « effectivement il va falloir que je trouve un autre client pour toi Olivier »

Olivier : « je m’en doutais, je connais Alex, enfin… »

Moi : « oui enfin… tu veux plutôt dire qu’il faudrait mieux que tu ne croises pas Alex de sitôt »

Olivier : « oui, j’ai jamais d’ailleurs compris ce type, a croire qu’il est amoureux de toi »

Moi : « ah ça faisait longtemps, on est ami avec Alex et c’est tout, il me protège, je te rappelle que c’est lui qui m’a récupéré en miettes après notre séparation »

Olivier : « ok un point pour toi. Au fait et ta famille, tout le monde va bien ? »

Moi : « j’ai enterré mon oncle il y a une semaine mais sinon oui tout va bien je te remercie »

Olivier : « ok d’accord, je vais arrêter la pour les questions alors »

Un silence s’installe dans la pièce, je n’ai pas envie d’être agréable, je me sens mauvaise, si je pouvais lui arracher les yeux, avec sa coupe de champagne je le ferai.

Ju : « et sinon Marine alors racontes nous ta mission, comment ça se passe ? »

Je passe prêt de 40 minutes a discuter de la mission, et des différents problèmes que l’on rencontre, en regardant mon téléphone toute les dix minutes dans l’attente du coup de fil d’Alex. Enfin il sonne,

Moi : « je vais vous laisser, on m’attends »

Olivier : « ok, en tout cas ça fait plaisir de te revoir, et maintenant qu’on est de la même boîte on va certainement se recroiser » me dit il me laissant un clin d’œil appuyé.

Moi : « c’est ça compte la dessus »

Ju : « bonne soirée Marine »

Moi : « tchao »

Je récupère mes affaires et sors en quatrième vitesse de l’immeuble, Alexandre garé devant l’immeuble en double file m’attends. Je monte dans sa voiture, il a un regard qui en dit long sur la situation.

Alex : « alors ? »

Moi : « et bah j’ai eu l’impression que j’allais mourir quand je l’ai vu mais, finalement ça a été »

Alex : « si je pouvais monter, je te promets qu’il comprendrait le fond de ma pensée »

Moi : « je sais mais il n’en vaut pas la peine. Et tu connais pas la meilleure ? Il s’est marié avec Elle »

Alex : « Oh putain l’enfoiré, ça va toi ? »

Moi : « oui enfin je ne sais pas c’est… je pense qu’on est jamais prêt a entendre que l’homme que l’on considérai comme l’amour de sa vie est marié avec la femme avec laquelle il vous a trompé mais je suis passé à autre chose, lui aussi, plus rapidement que moi c’est tout »

Alex : « Marine t’es sûre ? »

Moi : « oui bien sûre ne t’inquiètes pas. Je peux te demander un service ? »

Alex : « tout se que tu voudras, tu peux même abuser de mon corps si tu veux »

Moi : « t’es con Alex… »

Alex : « oui mais au moins je t’ai fait sourire, et si tu savais le nombre de filles… »

Moi : « … oui je sais qui rêverai d’être à ma place et profiter de ton corps de d’Apollon »

Alex : « sérieux tu trouves ? »

Je ne me suis pas rendu compte de se que je viens de lui dire, c’est sorti naturellement, en même temps, c’est la stricte vérité, Alex a un corps de rêve comme taillé dans le marbre.

Moi : « oui je pensais que tu le savais, avec toute tes conquêtes, se n’est pas uniquement dû a ton humour de merde »

Alex : « aïe, merci pour le corps et l’humour. Tu voulais me demander quelque chose ? »

Moi : « est ce que tu peux me déposer chez Jérôme ? »

Alex : « hein hein, chez Jérôme… »

Moi : « se que t’es con ce soir »

Alex : « alors vous êtes ensemble ? »

Moi : « non et toi, Rose ? »

Alex : « et bien je me suis dit qu’il fallait quand même lui donner une chance et on verra »

Moi : « quelle maturité d’un coup. Tu lui as parlé ? »

Alex : « euh… »

Moi : « t’es naze Alex, tu ne peux pas décider ça tout seul, il faut que tu lui parle bordel »

Alex : « oui et bah je n’ai pas eu le temps, mais ce week-end je vais le faire »

Moi : « t’es bien un mec, tu remets ça a plus tard. Après m’avoir déposé chez Jérôme tu pourrais passé chez elle pour discuter »

Alex : « non ce soir je suis ko et si tu ne m’avais pas réveillé je serai sous ma couette »

Moi : « désolée, je n’aurai pas du t’appeler »

Alex : « c’est fait pour ça les amis, non ? Et je ne veux pas que tu penses que tu me déranges. Souviens toi la promesse que je t’ai fait : je serai toujours là pour toi Marine, peut importe se qu’il se passe »

Moi : « je sais, merci »
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Nous arrivons à ce moment là devant chez Jérôme, Alexandre sort de la voiture et vient m’ouvrir la portière, il me prend dans ces bras et me sert fort, je sens les battements de mon cœur s’apaiser, son odeur m’enivre, il me chuchote « qu’il sera toujours, toujours là pour moi » ; Je rouvre les yeux avant de me laisser aller dans. Il dépose un baiser sur mon front, remontes dans sa voiture, de mon côté je sors mon téléphone pour textoté Jérôme :
Moi : Slt je suis en bas, je peux monter ?
Jérôme : ok, 58B12.

Une fois dans le hall, je me regarde devant la glace, détache mes cheveux et réajuste mes vêtements. En attendant l’ascenseur, je continues a me regarder, et naturellement je commence a me déshabiller « je suis venue pour m’abandonner a lui alors autant lui offrir mon corps » : je retire mon haut, puis mon jean ne gardant que mes sous vêtement et mes chaussures à talon, j’attrape mes habits sous le bras, mon cœur bat la chamade, ma gorge s’assèche et se sert en voyant l’ascenseur se rapprocher du rez de chaussée, « si jamais quelqu’un se trouve dans l’ascenseur ? », mais quelque chose de plus fort me pousse, je sais qu’il sera fière de moi, en me voyant arrivée ainsi.

Enfin les portes s’ouvrent et comme je le craignais un couple est à l’intérieur, je suis figée, terrorisée et pourtant je dois le faire « se que tu peux être conne des fois, allez calme toi, respires penses a Jérôme », je prends une grande inspiration et rentre la cabine. Je suis uniquement vêtue de mon soutien gorge et d’un string, mes mains sont encombrées par mes affaires et mon sac, inutile donc d’essayer de cacher mes fesses.
En montant, je demande au couple d’appuyer sur le dernier étage, la voix étranglée, les portes se referment, le mari se penche pour appuyer sur le bouton frôlant ma peau et déclenchant en moi des frissons incontrôlés, je décide de baisser la tête face ma déchéance « Jérôme, Jérôme, Jérôme » la seule chose a laquelle j’arrive à penser est cet homme qui m’attends.
En levant les yeux je tombe sur mon reflet dans les portes métalliques et le regard pervers du mari et de sa femme ne se gênant pas pour me reluquer. La femme détaillent mes courbes jusqu'à se qu’elle aperçoit les marques et écarquillent les yeux sans pouvoir se détacher de mon cul, elle essaie sans doute de deviner se qui a pu causer de telles marques. Le mari lui, qui visiblement a un coup dans le nez vu l’odeur d’alcool qui règne dans la cabine, me mate ignoblement, je me sens comme transpercée par leur regard, je sens les larmes monter et ma respiration s’accélérer, je sais que si Jérôme était là ça irait mieux, j’ai peur, mon corps commence même a trembler.
Enfin l’ascenseur s’arrête et ils descendent, au moment de sortir, le mari se retourne en bloquant les portes.

Le mari : « j’en ai baisé des catins de ton genre, je peux te dire que tu as de la chance que ma femme soit là »

Je n’ai pas le temps de lui réponde qu’il relâche les portes qui se referment, je ne peux pas retenir plus longtemps les larmes, « j’ai honte, j’ai terriblement honte de moi, comment ai-je pu avoir l’idée de faire ça ? ». Les portes se rouvrent dans l’appartement de Jérôme, il se tient là beau comme jamais uniquement vêtu d’un bas de jogging et surpris de ma tenue. Je sors de la cabine, lâche mes affaires et me jettent dans ces bras.

Jérôme : « on peut savoir se que tu fous dans mon ascenseur en sous-vêtements Marine ? »

Moi : « Je… je… je… surprise… et… »

Jérôme : « Ok ma belle, calmes toi, chut, qu’est ce qui s’est passé, tu es charmante dans cette tenue mais je ne crois pas que l’exhibe soit ton truc, non ? »

Moi : « je… j’ai finis de réfléchir… et je ne savais pas comment te le dire, alors… »

Jérôme : « et bien exactement comme tu es entrain de me le dire, et tu aurais pu garder tes habits pour cela »

Moi : « je voulais t’abandonner mon corps tel qu’il est »

Jérôme : « alors si c’est tel qu’il est, présentes le moi comme tu penses que tu dois me le présenter pour voir si j’accepte »

Je panique, je ne veux pas le décevoir, je ne sais pas quoi faire, j’avais visiblement pas réfléchie à tout, j’essaie de me rappeler les deux trois positions que doit prendre une soumise face à son Dom que j’ai lu sur internet, et la plus simple mais la plus évidente me vient en tête.
Il me laisse ainsi et part se chercher une cigarette « j’en voudrais bien une moi aussi », lorsqu’il revient vers moi, j’ai l’impression d’être devant un précipice et que c’est le point de non retour et pourtant soudain un calme m’envahit, mes bras se lèvent d’eux-mêmes et mes mains viennent se plaquer sur ma nuque au même moment mes cuisses s’écartent et mes reins se cambrent. Je ne respire plus, je le regarde une dernière fois et ferme mes yeux.
Il ne dit rien mais je sens son corps proche du mien, il tourne autour de moi, je l’entends tirer sur sa cigarette. Plusieurs fois il fait le tour, j’avale par le nez de petits et infimes goulets d’air mais le strict minimum, soudain je sens son souffle sur mes lèvres et son visage proche du mien et ses lèvres qui viennent se poser sur les miennes.
A ce contact mon corps a un sursaut et commence a trembler. Quittant mes lèvres, il me murmure un « ne bouge surtout pas, reste comme ça tu es parfaite ». Et pourtant j’ai peur, je ne sais pas se qui va m’arriver, ma respiration se fait beaucoup plus courte.
Un doigt se pose sur mon sillon mammaire et cours sur ma peau jusqu'à mon sexe déclenchant des frissons de plaisir. Je crève d’envie d’ouvrir les yeux, je me dis même que « je pourrais les entre ouvrir sans qu’il s’en aperçoit mais justement si il s’en aperçoit ? », j’abandonne immédiatement cette idée saugrenue qui pourrait déclencher… « je ne veux pas le savoir ». Il passe maintenant sur mon dos et caresses mes fesses, les plotes comme de la viande pour en tester la qualité, attrape mes hanches, et vient y frotter son sexe que je sens déjà dure contre mon cul, mon bassin bouge pour lui signifier que j’aime ça. Puis sa main vient sortir mes seins de leur écrin de dentelle.
Supprimé

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Message par Supprimé »

:jump: :jump: :jump: J'lirai ça tranquille ce soir

MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIII
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La partie qui a été la plus dure a écrire de toute l'histoire pour moi

Jérôme : « on dirait qu’ils sont content de me voir »

Moi : « oui » dans un murmure a peine audible

De même il joue avec mes seins, les sous pèses, les plotent, les caresses avant de pincer durement mes tétons, une plainte m’échappe, la réaction est immédiate, l’étau de la pince se fait encore plus insupportable et malgré la douleur, je ravale la seconde plainte prête a sortir.

Jérôme : « Très bien tu apprends vite. Désormais, cette position sera la tienne quand on se verra en privée en naturellement. Je ne te veux pas nue à moins que je ne te le précise mais en sous vêtements et pas tes culottes en dentelles à la con, je te veux excitante, bandante. Tu es à ma disposition quand je le décide sauf contrainte familiale ou professionnelle dont tu m’avertiras au préalable. Je te veux épiler de près, oublies tes jeans, désormais c’est robe/jupe et bas ou porte jarretelle obligatoire, ainsi je pourrai te prendre beaucoup plus facilement.
Naturellement au travail tu restes Marine ma collègue sauf si j’en décide le contraire, j’ai accès à ton agenda je sais donc quand tu es disponible. Donc si je t’envoie un sms ou un message instantané tu t’exécutes. Je vais être sévère avec toi, dur et exigeant mais c’est pour ton bien et c’est se que tu attends de moi, n’est ce pas ? »

Moi : « oui »

Jérôme : « oui qui ? »

Moi : « oui Jérôme »

Jérôme : « bien tu me dois le respect qui m’incombe il va falloir que tu encres cela dans ta petite tête de pute. Je peux t’insulter, t’humilier et te baiser comme bon me semble. Si tu estimes que c’est trop, que tu n’en peux plus alors tu auras simplement à dire "Stop". Je commence a connaître ton corps mais pas encore assez, tu verras dans quelques temps se ne sera plus nécessaire, je saurai se que tu peux endurer ou non.
Tu vas pleurer Marine, souffrir parfois mais tu en ressortiras grandie à chaque fois. Rien n’est gratuit, tout se que je fais est pour toi et uniquement pour toi. Désormais mon plaisir passe avant le tien et si tu me contente alors je déciderai de te faire jouir ou non. Je vais te faire jouir comme jamais, ton plaisir m’appartient mais je pense que c’est déjà le cas depuis longtemps, désormais je dirigerais également tes masturbations. »

Moi : « ah bon ? »

Jérôme : « ça te pose un problème peut être ? »

Moi : « non comme tu voudras »

Jérôme : « ce n’est pas comme je LE veux mais comme je LE décide »

Moi : « Bien Jérôme »

Jérôme : « c’est mieux, je préfère. Tu es célibataire, je m’effacerai donc si jamais tu trouves un homme qui te comble et que tu en éprouves le besoin, c’est normal. J’attends des réponses à toutes les questions que je vais te poser, je veux que tu te confies à moi si jamais tu as des doutes ou questions. A compter de maintenant tu m’appartiens, tu suivras mes directives et surtout Marine, surtout, je vais t’apprendre à fermer ta grande gueule une bonne fois pour toute. »

Tout se qu’il vient de me dire s’encre en moi comme une marque au fer chaud sur ma peau puisqu’il s’agit de mes nouvelles conditions de vie. Malgré l’angoisse, la peur, je sais que mon choix est fait et que j’en ressortirai grandie, qu’enfin mes barrières tombent et uniquement pour mon plaisir.

Jérôme : « Nous irons en douceur, laisses moi décider de quand est le bon moment pour chaque chose donc se trimballer en sous vêtement dans mon ascenseur tu oublies à moins que se soit moi qui te l’ai demandé. Je ne te veux pas passive mais active, j’attends de toi que tu participes pleinement à ta soumission »

Moi : « d’accord » dans un souffle

Jérôme : « bien maintenant, rouvres les yeux, et poses moi les questions que tu veux pendant que je vais me chercher une cigarette »

Moi : « je… je ne sais pas si j’en serai capable. »

Jérôme : « et bien tu renonces déjà ? »

Moi : « non, c’est différent, j’ai peur de te décevoir, j’ai l’impression d’avoir une pression de dingue tout d’un coup »

Jérôme : « Marine, Marine, Marine. Nous n’irons pas plus vite que se que nous faisons déjà, inutile de se précipiter »

Moi : « d’accord mais et si je te déçois ? »

Jérôme : « tu ne me décevras pas, sinon je prendrai les mesures qui s’imposent »

Il revient vers moi, attrape mon téton droit et joue avec, il le fait rouler entre ses doigts, se qui détrempe mon string un peu plus, je sens ma cyprine imprégner le haut de mes cuisses, mais je ressoude l’entre-croisement de mes mains pour m’empêcher de ne faire un geste involontaire. Il vient maintenant le lécher, le mordiller, puis le mordre franchement, je serre les mâchoires et ravale mon cri, même si mes épaules sous l’impulsion de la douleur se voutent « ne cède pas Marine, ne cède pas ».

Je me redresse bien droite, reprends ma position initiale et le voit sourire à mon mouvement. Sa main quitte mes seins pour mon ventre et vient maintenant sur mon genou. Deux doigts remontent le long de mes cuisses, en même temps il me présente sa cigarette pour que je tire dessus, j’ai l’impression de reprendre des forces par cette simple bouffée de nicotine. Il s’arrête sur mon sexe et frotte mon clitoris, avant de les passer sous la ficelle de mon string et les laisser là, à la source de mon plaisir sans bouger, je gémis de bonheur
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Misslililove a écrit ::jump: :jump: :jump: J'lirai ça tranquille ce soir

MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIII
De rien :daikirai:

oui bah je pense que tu vas en avoir au moins pour plusieurs jours en fait
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Jérôme : « une vraie petite putain, bonne à baiser, regardes comme tu mouilles » dit il enfonçant puissamment ces doigts dans ma grotte.

Je lui souris pour abonder dans son sens, le mot "putain" m’enflamme, « j’aime ce mot, je le trouve... Mmm » , je sens tout mon sexe s’ouvrir en attente du sien qui est si bandé que l’élastique du jogging ne colle plus à sa peau. Il me présente ses doigts imprégnés de mon jus à mes lèvres et je m’empresse de les lécher comme j’ai envie de le faire avec sa queue. Je me délecte et je lui montre mon pompage, mes yeux emplies de lubricité rivés dans les siens, mon corps est prêt, est chaud, a envie de lui « qu’il me baise comme bon lui semble, du moment qu’il me baise et qu’il en jouisse » .

Jérôme : « humm, tu m’excites, t’as envie de ma queue à la place de mes doigts ? »

[#0000ff]Moi : « humm… Oui »

Jérôme : « c’est un petit oui, soit plus enthousiaste, donne moi envie »

Moi : « oui, j’ai envie de te sucer Jérôme, de te sentir glisser entre mes lèvres, de te pomper et de boire ton foutre »

Jérôme : « et bien tu vois quand tu t’appliques, c’est bien mieux »

Moi : « Merci Jérôme »

Jérôme : « t’aimes ça me pomper petite femelle ? »

Moi : « Oh oui »

Jérôme : « Alors tu vas apprendre a sucer sans les mains, à genoux chienne »

Je m’exécute et m’agenouille, mes mains sont toujours vissées sur ma nuque, l’angoisse se fait mienne je me suis toujours servie de mes mains, « je ne sais pas si j’en suis capable mais je dois y arriver » , je sors la langue, vient lécher son gland turgescent et sa hampe sur toute sa longueur, je contracte mes abdos et mes cuisses pour m’assurer plus de stabilité, puis je l’embouche. Sa queue est toujours aussi délicieuse, chaude et lisse, je me délecte du plaisir que je lui donne, je le sens gonfler sous mes assauts et ma cyprine couler sur mes cuisses alors je continue, essayant de le prendre toujours plus profondément et de lubrifier au maximum.

Il me laisse faire ainsi un moment en finissant sa cigarette quand soudain il agrippe mes cheveux et m’empale sur son pieu de chair, par réflexe j’essaie de me retirer mais sa prise est forte et la pression exercée trop lourde, il me baise la bouche mais j’aime ça qu’il profite ainsi de mes lèvres. Lorsqu’il tape contre mes amygdales les larmes viennent, je déglutis pour faire passer la nausée, il retire alors son sexe de ma bouche et vient caresser mon visage et mes larmes, mais je ne veux pas m’avouer si vite vaincue, j’en veux encore, je veux lui prouver que je peux être meilleure. Il prend son membre en main et vient caresser mon visage avec son gland, j’essaie de l’attraper quand il le passe a proximité de ma bouche, je désire son sexe comme jamais, comme si ma vie en dépendait. Il le dépose enfin sur mes lèvres, je le regarde et lui sourit puis j’avale goulument ma gourmandise. Je commence un va et vient, le sentir glisser entre mes lèvres et durcir m’enflamme, ma cyprine coule d’avantage, mes bras me font mal mais je m’en fous, je le ressors de ma bouche pour venir lécher son gland, son frein et m’attaquer a ses couilles, la position n’est pas facile mais j’en ai bien trop envie, « envie qu’il soit satisfait de moi » , qu’il jouisse et me fasse peut être jouir, ses doigts toujours dans mes cheveux ont relâchés leur emprise même si ils restent présent. Jérôme me guide, m’encourage et j’apprécie, je réessaie deux, trois fois de le prendre en gorge profonde mais la nausée est trop forte et pourtant comme j’aimerai… Je vois ses bourses se tendre je sais qu’il n’est pas loin de la jouissance, quand il se retire une nouvelle fois de mon emprise.

Jérôme : « lèves toi »

Il m’attrape par le dessous du bras et m’aide à me relever, il me fait avancer jusqu’au dossier du canapé et me bascule, je suis pliée en deux, offerte, ma tête repose sur l’assise, quand je le sens me retirer mon string, mes cuisses s’écartent, mes reins se cambrent pour lui montrer combien tout mon abricot le réclame et le désire.

Jérôme : « donnes moi tes mains »

Je lui donne mes mains, il attrape chacun de mes pouces et les enferment dans sa main droite quand sa main gauche vient jouer sur ma fente, je ne peux retenir mes gémissements, je fond sous ses caresses, il enfonce deux phalanges et uniquement les phalanges dans mon fourreau brulant alors que je sens son sexe bandé contre ma cuisse et reste ainsi un moment sans les enfoncer plus, il me lèche les fesses, le dos, me mord même par moment, ce traitement bestial me liquéfie encore plus.
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Ma tête tourne alors que je suis dans l’incapacité du moindre mouvement, ma respiration est approximative et certainement insuffisante pour oxygéner mon corps quand il commence un lent va et vient avec ses doigts. Des plaintes de bonheur s’échappent de ma gorge alors qu’il me fouille plus profondément avant de me pilonner franchement de ses doigts, je réalise qu’il n’y en a pas deux mais trois « c’est impossible et pourtant c’est bien réel, il me pénètre de trois doigts et j’aime ça » .

Jérôme : « t’aimes ça salope ? »

Moi : « humm… oh oui Jérôme… j’aime ça »

Jérôme : « dis le »

Moi : « j’aime ça Jérôme, j'adore ça »


Je n’en peux plus, je vais exploser si il continue, je suis en sueur, folle de désir, ma vulve se contracte sur ses doigts quand il les retire et me pénètre de tout son chibre chaud mais doucement, lentement. Je gémis, mon corps se raidit. Je lui demande de venir plus vite et il se retire, la claque tombe sur le coté de ma fesse durement, je sursaute ne l’ayant pas vu arriver et il vient se plaquer sur moi en partie et attrape mes cheveux à leur base au niveau de ma nuque pour me faire me redresser et dans le creux de mon oreille :

Jérôme : « Ta gueule Marine, je décide comment j’ai envie de te baiser, c’est clair »

Moi : « Pardon Jérôme, excuse moi mais c’est tellement bon »

Jérôme : « seul moi peut décider de te faire jouir ne l’oublies pas et ma décision pour ce soir n’est pas encore prise, je pourrais très bien te laisser comme ça »

Mon corps se met a trembler à ces mots, mon cœur se sert, le plaisir est là, puissant mais je dois être sage, « fermes ta gueule Marine, fermes ta gueule, je ne pourrais jamais survivre dans cet état là » . Il revient en moi et reprends sa lente et délicate danse en mon con. Chacune de ses mains enferme les miennes, relevant mon buste et me cambrant les reins comme jamais. Des larmes de rage roulent sur mes joues tellement j’aimerai qu’il me pistonne mais il est toujours doux, trop doux pour que je puisse jouir alors je décide d’abandonner, d’arrêter de supplier. Je me tais et il retire son vit ne laissant en moi que son gland, se qui m’amène au bord du naufrage, je suis prise sans être prise, il est le bourreau de mon plaisir et telle la condamnée je dois accepter la sentence qui est mienne. Tout mon corps bouillonne intérieurement et tremble en même temps alors que mon cerveau est éteint car lui a succombé depuis longtemps. Les larmes de désespoirs ont remplacées celles de la colère, je veux qu’il me fasse jouir, dans un sanglot je lui demande :

Moi : « je t’en supplie Jérôme… fais moi jouir… ne me laisse pas ainsi… je ne mérite pas ça même si… toi seule peut le décider »

La réponse est sans appel, il s’enfonce brusquement en moi et atterrit directement sur ma matrice, le choc me fait pousser un cri mais un cri de plaisir, un second coup de rein et mon orgasme explose sauvagement, je suffoque alors qu’il continue de me pistonner augmentant les décharges électriques et les spasmes qui me traversent quand il me mord durement l’épaule et vient à son tour. On reste ainsi un moment, tout le poids de son corps reposant sur le mien et lorsqu’il se retire de moi, sans force je me laisse glisser sur le sol, choqué par l’intensité, la violence et la nouvelle forme de plaisir que je viens de découvrir. Je ferme les yeux, je suis allongée à moitié nue sur le parquet du salon, mes oreilles bourdonnent et j’entends à peine Jérôme quand il me parle.

Jérôme : « Marine ? ça va ? »

Je suis incapable de lui dire mot, il me prends dans ses bras, j’ouvre mes yeux pour le regarder mais je le distingue à peine tellement ils sont dans le vague, je suis bien contre sa peau, je me blottis contre sa toison.

Jérôme : « Alors Marine, on a du mal a s’en remettre ? »

Moi : « … »

Jérôme : « Marine t’es encore avec moi ? »

Moi : « waouh, je… je ne savais pas cela possible…c’était… »

Jérôme : « mais encore… essayes avec des mots »

Moi : « j’ai adoré, merci, merci, merci Jérôme c’était incroyable »

Jérôme : « et se n’est que le début jeune femelle »

Nos lèvres se soudent dans un ballet torride et il m’aide a me relever, mes jambes tremblent encore tétanisées, j’ai la plus grande difficulté à mettre un pieds devant l’autre et pourtant je dois rentrer chez moi. Je m’écroule sur son canapé et reste un instant sans bouger attendant que mes forces reviennent, il allume une cigarette et me la tend, je l’attrape pendant qu’il se dirige dans sa salle de bain pour prendre une douche. Alors que j’entends l’eau couler, je trouve enfin la force de me redresser pour me rhabiller « je dois me rentrer, je dois me rentrer » .
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Jérôme réapparait quelques minutes plus tard, uniquement couvert d’une serviette, je n’ose pas bouger, pour la première fois je me rends compte que quelque chose a changer en moi, je ne sais pas quoi faire, comme si mon être tout entier était anesthésié par sa simple présence. Il me prends dans ses bras et me caresse longuement le visage puis il plante ses yeux dans les miens, il me sonde je le sais

Jérôme : « comment tu te sens ? »

Moi : « ça va bien, très bien même »

Jérôme : « qu’as-tu pensé de ce soir ? »

Moi : « que c’était bon mais j’ai l’impression d’être insatiable »

Jérôme : « comment ça ? »

Moi : « je… j’en veux plus… encore plus… »

Jérôme : « chienne en manque ? Décidément je vais m’amuser avec toi »

Moi : « oui chienne en manque de la queue de son Maître »

Jérôme : « Mmm… parfait alors. Rentres chez toi ma belle et ce soir en te couchant, je veux que tu réfléchisse a se que je t’ai dit et se qu’il vient de se passer. Si tu as besoin n’hésites pas a m’appeler »

Moi « d’accord… bonne soirée »

Jérôme : « bonne soirée à toi aussi »

Au moment où je récupère mon sac et appelle l’ascenseur, le téléphone de Jérôme sonne, il décroche, me dépose un baiser sur le front et me laisse prendre le chemin du retour.
Je m’empare du mien pour appeler un taxi, arrivée en bas de chez lui, je me pose sur les marches. Je suis en apesanteur et en même temps ça bouillonne en moi, mon cœur bat la chamade alors que je repense a se qu’il vient de se passer : « qui était cette jeune femme ? Est-ce vraiment moi ? C’est se que je suis une femme qui aime se faire traiter de putain pour prendre un pied phénoménal ? » .
Le taxi en klaxonnant me tire de ma rêverie, je monte dedans et donne mon adresse avant de retourner a mes pensées jusqu'à se que je sente le regard insistant du chauffeur. Je le regarde dans le rétroviseur et remarque un petit sourire en coin, il me lance un clin d’œil , soudain je percute que je dois sentir le sexe, « je l’ai fait deux fois en à peine quelques heures avec Jérôme et je n’ai pas pris de douche » . Je sens le rouge me monter aux joues et la honte presque des larmes, « qui suis-je réellement, je ne peux pas croire que la personne chez Jérôme et la personne dans ce taxi soit la même et unique personne » .
Et pourtant si, une douleur lancinante à l’épaule me le confirme : les dents de Jérôme gravées sur ma peau en tatouage temporaire en sont la preuve, je passe mes doigts dessus pour me souvenir. « J’ai aimé m’abandonner totalement à lui, n’être plus qu’un objet de plaisir » , et rien qu’en y repensant, cette claque, cette morsure, ce pistonnage, je sens des nouveaux frissons me parcourir comme si j’étais affamée, prête a nouveau a me faire baiser par n’importe qui… « je deviens folle c’est certain ou alors je suis réellement faite pour cela… Oui femme respectable et pourtant chienne au fond d’elle, aimant le sexe et l’assumant, ayant envie de plus, toujours plus, de repousser ces limites à la recherche uniquement de l’orgasme de sa vie, du plaisir a donner et de l’entière satisfaction de son partenaire » .

Arrivée devant chez moi, c’est le taxi en posant une main sur mon genou qui me fait reprendre pieds dans la réalité. Je lui paye la course et au moment de descendre il me semble entendre qu’il aimerait bien une petite gâterie, se n’est qu’arrivée devant chez moi en regardant la voiture partir que je réalise qu’il a bien osé me dire ça « oh le connard » .
La première chose que je fais en pénétrant chez moi, est de me faire couler un bain et m’occuper de la bête poilue, ma journée a été des plus intenses, j’ai besoin de me ressourcer et d’une bonne nuit de sommeil.
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Je plonge dans l’eau chaude et parfumée, tous mes muscles se délassent et je ferme les yeux en repensant à la soirée que je viens de passer : « Olivier et Jérôme, deux opposés et pourtant deux hommes de ma vie, même si l’idée de ranger Jérôme au simple statut d’homme ne me convient pas, non il est tellement plus que ça... un pygmalion, oui mon Pygmalion... et Olivier qui s'est marié avec elle, pendant que je sombrai dans une lente dépression, heureusement qu’Alex a été là… Alex, mon Alex, mon confident… et si je lui avais dit oui ce soir pour abuser de lui… ce corps magnifique rien que pour moi… ses lèvres sur ma peau… Humm sur mes seins… mon ventre… et… » Au moment où j’allais commencer de douces caresses sur mon coquillage, la phrase de Jérôme résonne dans ma tête "diriger tes masturbations" « comme si il pensait qu’il sait mieux que moi comment me faire jouir… et en même temps cet orgasme ce soir… violent, puissant, presque irréel, il a tellement de chose a me fait découvrir sur moi-même ». Je me laisse glisser dans l’eau chaude et en passant ma main entre mes cuisses je m’aperçois que je mouille au simple souvenir de celui-ci. Une fois ma toilette faite, je ressors du bain et vais m’écrouler sous ma couette encore enroulée dans la serviette humide. En fermant les yeux je repense à l’ensemble des conditions énumérées et l’angoisse me prends quand je m’aperçois que je n’ai pas se que j’ai fait du seul et unique porte jarretelle que j’ai dans ma garde robe « demain il va absolument falloir que j’aille faire un stock ».
Après m’être retournée pendant quarante minutes à la recherche du sommeil, je me relève « de toute façon je ne dormirai pas tant que j’en aurai pas le cœur net » et commence à fouiller dans toute mes affaires, quand enfin je le retrouve tout au fond d’un tiroir et j’ouvre le tiroir a chaussette pour m’assurer de l’existence toujours présente de mon éternel paire de bas « sauvée ».
Je me recouche sous la couette nue cette fois ci et sombre en repassant dans ma tête la soirée et la voix de Jérôme énumérant les règles de notre relation.



«…aujourd’hui c’est pluie sur toute la région parisienne alors sortez les parapluies, et tout de suite Cream – I feel free. Bon réveil sur la radio… ». Les premières notes me parviennent et je m’étire avant que la bête poilue ne vienne se blottir contre moi et ronronner. Je l’entoure de mes bras et profite de la musique en me laissant bercée par les ronronnements. Je suis si bien à ce moment précis même si j’aimerai que Jérôme soit là pour me faire chavirer dès le matin.
Après quelques minutes à penser aux caresses que je pourrais recevoir tout mon corps est brulant de désir, mon sexe est déjà mouillé et je me caresserai bien si seulement je pouvais « pfff c’est nul ». Je me lève, enfile un t-shirt et vais prendre un verre de jus d’orange et fumer ma clope. Dehors c’est le déluge, je resterai bien sous ma couette en me faisant porter pâle mais la masse de travail qui m’attends me convainc d’accélérer le mouvement et puis je veux montrer à Jérôme que j’ai bien respectée les consignes d’habillement qu’il m’a donné. Une fois sous la douche, je ne peux résister quand je sens les jets chaud rentrer en contact de mon bouton gorgé, et la vague qui nait en moi m’encourage a continuer, je continue a passer et repasser ses jets fabuleux qui m’emmènent dans les affres de la volupté quand je réalise que je ne dois pas. C’est le cœur lourd que j’arrête, mais désormais le corps bouillonnant, mes tétons sont dardés, mon abricot juteux, en enfilant mes vêtements, le frottement du tissu déclenche de nouveaux frissons de plaisir, je ne me connaissais pas si réceptive « mais c’est tellement bon ».

Le trajet dans les transports est un cauchemar, j’ai l’impression que tout le monde peut voir mes jarretelles et en même temps cela m’exciterai d’autant plus si un homme le découvrait « ça va vraiment pas ce matin faut je me calme ». J’essaie de me focaliser sur autre chose mais mon esprit bouillonne, j’imagine les mains de Jérôme sur mes cuisses, je me redresse immédiatement sur la banquette et gonfle mes seins, en regardant à travers la vitre du métro je croise le regard d’un homme sur mes seins et je ne peux m’empêcher pour le provoquer de passer mes doigts sur mon décolleté avant de tirer sur mon haut en faisant mine de le réajuster pour lui montrer mes mamelons bien dures et lui lance un clin d’œil en sortant de la rame « je suis vraiment une salope quand je m'y mets ».
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En arrivant je passe voir Alexandre comme à mon habitude.
Alex : « mais c’est quoi cette tenue ? »

Moi : « envie de changer »

Alex : « ah ouais, et bien pour un changement ça envoi, c’est Jérôme qui va être content »

Moi : « j’espère bien que ça lui plaira »

Alex : « et au fait tu as bien finis ta soirée hier soir ? » me dit il en me lançant un clin d’œil

Moi : « oui très bien, et toi tu as regagné ta couette ? Encore merci pour hier soir au fait »

Alex : « oui je suis tombé comme une masse et ne me remercie pas, je t’ai fait une promesse et tu sais que je ne reviens pas sur mes promesses »

Moi : « oui mais… »

Alex : « allez arrêtes et au prix auquel je paie ta prestation c’est scandaleux que tu ne sois pas déjà à travailler »

Moi : « bien je vais m’y mettre tout de suite client adoré »

En arrivant sur l’open-space je passe dire bonjour à tous et à ma grande surprise Jérôme n’est pas là, je sens mon cœur se serrer, « et dire que je me suis habillée comme il m’a dit et qu’il n’est pas là pour le voir ».

Je m’installe et mets un moment à trouver une position assez confortable mais le nez dans le pc, les écouteurs dans les oreilles, j’oublie vite que je porte une jupe et des porte jarretelles, quand une petite fenêtre apparait en bas à gauche.

Emmy : « j’y passerai bien mes doigts »

Moi : « de quoi tu me parles »

Emmy : « les magnifiques jarretelles que je vois de mon bureau »

Je relève la tête à la recherche d’Emmy et lorsque je croise son regard, elle me lance un clin d’œil et me décoche un sourire fantastique, je rougis instantanément et baisse la tête.
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Emmy : « ne réagis pas comme ça, mais avoue que c’est sexy »

Moi : « euh… Merci :-))) »

Emmy : « sérieusement Marine, tu me fais un effet… tu as vraiment de la chance que je sois en couple ma belle »

« Putain elle me fait quoi, je suis déjà à bloc et elle me chauffe ». La journée s’annonce longue, longue, très longue et Jérôme qui n’est pas là et que je ne vois pas connecté, si il a décidé de tester ma résistance, il est fort parce que je suis à deux doigts de retourner chez moi me changer parce que le regard lubrique que me lance Emmy, et la pensée des toilettes lors de cette soirée « humm Marine, restes calme, respires, oublies tes idées perverses »

Emmy : « ça va ma belle, tu sais si je peux te soulager d’un trop plein de tension »

Moi : « Emmy, s’il te plait je suis à bloc là »

Emmy : « humm »

Moi : « stp arrêtes c pas drôle et je suis pas super confort en plus »

Emmy : « tenue imposée par Jérôme, hein ? »

Moi : « oui, et il est même pas là pour le voir, fais chier ce con »

Emmy : « ouh la attention a se que tu dis de lui »

Moi : « qu’est ce que ça peut te faire, tu vas lui balancer ? »

Emmy : « si ça se trouve… »

Moi : « t’es pas sérieuse ? »

Emmy : « hein je te fais douter »

Moi : « c’est pas drôle Emmy, stp ? »

Emmy : « je pourrais profiter de la situation pour te demander quelque chose que tu ne pourrais pas refuser en échange de mon silence »

Moi : « quoi ???!!! »

Emmy : « déstresse ma belle je déconne mais fais attention à ta position si tu ne veux pas allumer tout le bureau, moi je suis déjà… ;-) »

Moi : « me fais pas des coups comme ça, c pas cool »

Emmy : « et dis toi que se n’est que le début »

Moi : « t’es o courant ? »

Emmy : « j’ai un ami qui est Dom, je connais donc un peu … »

Moi : « ah et alors ça se passe comment ? »

Emmy : « chaque relation est différente et a part, tu vivras la tienne »

Moi : « tu sais où il est Jérôme ? »

Emmy : « t’aimerais bien le savoir »

Moi : « tu le sais ? »

Emmy : « peut-être, peut-être pas… »

Moi : « Emmy, allez soit sympa »

Emmy : « en rendez vous chez le client »

Moi : « et il revient quand ? »

Emmy : « aucunes idées par contre »

Emmy : « on déj ensemble ce midi ? »

Moi : « j’ai des courses a faire »

Emmy : « je peux venir ? »

Moi : « yep, sous-vêtements, tu m’aideras comme ça »

Emmy : « ça roule »

Nous coupons là notre conversation et je prends alors conscience de la grossière erreur que je viens de faire, je suis à bloc, tout mon corps a chaud et faim, Emmy me chauffe et je l’embarque avec moi pour l’achat de mes sous vêtements « la reine des connes quand je m’y mets ».
J’essaie de me concentrer tant bien que mal sur mon PC mais impossible, je m’imagine des scènes très osées avec Emmy dans la boutique « je déraille complètement ».
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Midi arrive et elle est déjà plantée devant mon bureau à taper du pied comme une gamine impatiente.

Emmy : « allez on y va ? »

Moi : « oui c’est bon on a le temps »

Emmy : « le temps de manger un truc et de faire les courses, j’ai réunion à 13h30 alors se serait bien d’accélérer le mouvement »

Moi : « je peux y aller seule tu sais »

Emmy : « hors de question, j’ai dit que je t’accompagnais alors je viens »

Moi : « ok »

Je me lève essayes de gagner du temps devant se qui s’annonce comme un instant torride. Emmy est vraiment très belle et sait exactement comment m’allumer. Nous déjeunons au japonais en moins d’une demi heure et nous voilà arrivés dans la boutique de lingerie. Comme a mon habitude je fais un tour des présentoirs en notant quels ensembles sont portables avec porte jarretelles ou non. Deux, trois guêpières attirent également mon intention mais je n’en ai jamais portés, la vendeuse vient immédiatement vers moi me proposant son aide mais Emmy est déjà là se présentant comme ma styliste, les bras déjà chargés.

Moi : « ma styliste, t’en as de bonne toi ? »

Emmy : « absolument, et tu vas me faire le plaisir d’aller essayer tout ça »

Moi : « mais tu as pris tout les modèles du magasin ou quoi ? »

Emmy : « non uniquement ceux qui feront ressortir ta carnation mate et qui mettront Jérôme en appétit, fais moi confiance. »

Moi : « ok si tu le dis »

Je me dirige vers la cabine et une fois dedans je m’emploie a remettre les ensembles les uns avec les autres « elle n’a pas mauvais gout, c’est sexy tout ça, mais peut être trop », et enfile le premier ensemble, une guêpière noir en tulle absolument magnifique, le froissement sur le bustier fait que je pourrais presque le porter ainsi uniquement sous une veste, le décolleté galbe magnifiquement mes seins, je suis entrain d’ajuster mes jarretelles quand Emmy rentre dans la cabine. Je me retrouve en guêpière et shorty dentelle uniquement devant elle, elle s’agenouille devant moi et tire sur la jarretelle pour la réajuster à la perfection et fait courir ses mains le long de mon ventre tendant correctement le bustier et se place derrière moi et regarde mon reflet dans la glace.

Emmy : « non pas assez… je ne sais pas… trop simple peut être »

Moi : « quoi ? Tu déconnes, c’est hyper sexy »

Emmy : « tu trouves ça sexy ? »

Moi : « bah ouais quand même »

Emmy : « Marine t’es excitante ok la dedans mais pas bandante. Crois moi, il faut que Jérôme quand il te voit est envie de te prendre immédiatement comme bon lui semble »

Moi : « ok je te crois »

Emmy : « allez vires moi ça et enfiles celui-ci »

Je me re déshabille et enfile le soutif, hyper pigeonnant, mes seins déjà plus imposants que la moyenne sont comme servis sur un plateau, on pourrait manger dessus « c’est trop, beaucoup trop ».

J’enfile les portes jarretelles et le string et me regarde « affolant, je suis affolante dans cet ensemble, même moi je me fais envie ». Je me contemple dans la glace reconnaissant à peine ma silhouette si magnifiquement mise en valeur par cet ensemble plus que provocateur, quand Emmy rentre.

Emmy : « voilà, là t’es bandante, t’as saisie la différence ? »

Moi : « ah ouais, c’est trop je ne peux pas me balader comme ça ? »

Emmy : « oh début ça te fera bizarre mais après tu n’y feras plus attention, par contre attends le porte jarretelle se porte plutôt comme ça.

Le contact de ses mains sur ma peau m’électrise, elle attrape le pj qu’elle relève légèrement et réajuste les jarretelles, ses doigts passent entre mes fesses et les attaches, je ne peux m’empêcher de retenir un soupir.

Emmy : « humm ce soupir »

Moi : « désolée mais comme je t’ai dit je suis un peu tendu »

Emmy : « je vois ça »

Mêlant le geste à la parole, elle vient caresser l’un de mes tétons érigés a travers le tissu.

Moi : « s’il te plait Emmy »

Emmy : « j’aurai aimé te rencontrer plus tôt, je suis sûre qu’on se serait bien amusée toute les deux. Allez suivant »
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Elle ressort aussi vite de la cabine, me laissant la peau hérissée, les tétons pointant de désir presque a m’en faire mal.
Je réessaye un nouvel ensemble bordeaux et chair, il est simplement magnifique, de loin on dirait que les fines courbes bordeaux brodées sur le tulle chair sont directement dessinées sur ma peau, je vais pour m’emparer du pj mais il est différent de se que je connais, plus haut et large, ne sachant comment le mettre je dois me rendre à l’évidence que je dois appeler Emmy. Elle doit être juste derrière le rideau puisqu’elle arrive immédiatement à l’appel de son nom.

Emmy : « qu’est ce que je peux faire pour toi ? »

Moi : « euh, comment dire, je ne sais pas comment on mets ça ? »

Emmy : « ça ? c’est un serre taille ma belle, regarde c’est comme ça que ça se porte »

Elle m’accroche le serre taille, c’est magnifique, outrageusement sexuel comme objet, je ne peux m’empêcher de sourire à mon reflet et de me tourner dans tous les sens pour me regarder sous tous les angles possibles et inimaginables.

Emmy : « t’es torride et j’aime beaucoup cet ensemble, je pense que je vais le prendre pour moi aussi »

Moi : « j’adore, c’est canon, je me sens belle la dedans »

Emmy : « tu l’es Marine, et je peux te dire que ça se voit, regarde ce sourire »

Moi : « j’adore, j’adore, j’adore… »

Emmy : « tu n’as jamais porté de serre taille ? »

Moi : « non je ne connaissais pas »

Emmy : « et bah tu vois tu auras au moins appris une chose aujourd’hui grâce a moi »

Moi : « merci merci merci »

Dans un élan de bonheur, je lui saute au cou me rendant compte bien trop tard de mon geste, tout mon corps est pressé contre le sien, ses mains sont posées sur mes hanches. Je prends l’air naturel malgré la rigidité soudaine de mon corps pour desserrer notre étreinte, je sais qu’Emmy doit être aussi perturbée que moi mais à sa différence je suis en sous vêtements et ses mains enflamment ma peau. Nous restons un moment nos lèvres à quelques centimètres de celles de l’autres et sans savoir pourquoi je presse les miennes contre les siennes.

Elles sont douces, chaudes et bien pleines, la barrière de ses dents cède enfin et ma langue vient gouter la sienne, d’abord doucement puis plus sensuellement, nos langues se jouent l’une de l’autre, se cherchant, se caressant, se titillant avant de s’entremêler. Ses mains fourragent mes cheveux alors les miennes caressent ses courbes partant de sa nuque a son fessier rebondi, un cul sublime rond et ferme, je ne peux retenir un soupir quand elle agrippe fermement mes fesses et vient me plaquer contre la paroi de la cabine, c’est la vendeuse nous demandant si on a besoin d’aide et si tout va bien qui nous fait reprendre nos esprits.

Moi : « je… je suis désolée, je n’aurai pas dut mais… »

Emmy : « ne t’excuse pas, c’est moi qui ai commencé en te chauffant ce matin, se n’est qu’un juste retour des choses, et puis tes baisers sont délicieux »

Moi : « oui mais ça craint, tu le diras pas à Jérôme, hein ? »

Emmy : « je ne suis pas sûre que Jérôme voit ça d’un si mauvais œil, mais non je ne lui dirais rien puisque tu le feras »

Moi : « quoi ? »

Emmy : « est ce que tu as déjà menti à Jérôme ? »

Moi, interdite devant cette affirmation : « je… Non jamais, c’est vrai »

Emmy : « c’est se que je dis, tu lui diras, ton corps te trahira même si tu essayes de lui cacher »

Moi : « mais je veux pas lui cacher, juste qu’il soit pas en colère contre moi »

Emmy : « ah ça c’est autre chose, tu verras bien. Allez encore 3 ensembles a enfiler, je veux te voir dans le rouge et après j’y vais »

Moi : « ok »

Emmy ressort de la cabine, j’enfile l’ensemble rouge qui est en satin, une fine bretelle assemble uniquement les morceaux de tissu, le minimum de tissu, seul le porte jarretelle entièrement en satin avec un nœud devant habille ma taille. J’appelle Emmy qui valide a nouveau cet ensemble.

Emmy : « super beau »

Moi : « mais avec quelle couleur de bas je peux mettre ça ? »

Emmy : « des rouges ou des chairs ma belle »

Moi : « des rouges ? »

Emmy : « oui ça se fait, c’est sympa ça ne fait qu’une seule couleur comme ça, regardes sur internet, sinon tu peux même trancher avec des blancs, a toi de voir »

Moi : « bah je regarderai ça alors. Merci pour tout Emmy »

Emmy : « n’hésites pas si tu as besoin de conseils en sous-vêtements, c’est mon dada, j’adore ça. Allez je file, je te dis à tout à l’heure »

Je reste dans la cabine a essayer les autres ensembles, deux guêpières et un ensemble violet faisant ressortir magnifiquement ma peau et me rhabille. En arrivant a la caisse, la vendeuse me regarde avec un regard qui en dit long.

La vendeuse : « et bien c’est se qu’il s’appelle faire le stock »

Moi : « oui, j’ai un homme assez exigeant en matière de sous-vêtements »

La vendeuse : « je suis sûre qu’il va beaucoup aimer vous voir dedans »

Moi : « merci »

La vendeuse : « je vais tout de même vous conseiller ce porte jarretelle, noir tout simple et qui ainsi s’assortie avec n’importe quel ensemble que vous auriez déjà »

Moi : « ah oui, pas bête »

La vendeuse : « vous aurez besoin des bas également ? »

Moi : « ah euh oui, merci »

Après tout je ne suis plus a cela prêt, alors autant prendre les bas. Lorsque je vois le montant s’afficher, une boule se forme dans ma gorge mais je sais que c’est pour Jérôme et qu’il saura content de me voir dans de ces ensembles et puis une touche de féminité ne me fera pas de mal.
Je retourne au travail et mon cœur se serre de nouveau quand je m’aperçois que Jérôme n’est toujours pas là, entre le baiser échangé avec Emmy, l’achat de ces ensembles et mon bas ventre en ébullition, je donnerai n’importe quoi pour qu’il arrive et me prenne là maintenant comme bon lui semble.
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Je me replonge dans mon boulot, les écouteurs pour rester concentrer sur mes fichiers et l’après midi se passe ainsi quand une fenêtre s’ouvre en bas de mon pc, je vois le nom de Jérôme et en relevant la tête je m’aperçois qu’il est arrivé mais je ne sais pas depuis quand.

Jérôme : « bonjour »

Moi : « bonjour Jérôme »

Jérôme : « comment vas-tu ? »

Moi : « le corps en ébullition »

Jérôme : « chienne en manque ? »

Moi : « hummm »

Jérôme : « fais moi voir se qu’il y a sous ta jupe »

Discrètement ma main remonte ma robe pour laisser apparaître la jarretelle.

Jérôme : « plus haut »

Je prends une grande respiration et ma main relève un peu plus ma robe jusqu'à mon fessier, je suis incapable de regarder ailleurs que mon pc, je sais que je suis rouge comme une pivoine.

Jérôme : « charmant Marine, CA donne faim »

Moi : « merci »

Jérôme : « bien retires ton string »

Moi : « quoi ici ? »

Jérôme : « ai-je vraiment besoin de répondre à cette question ? »

Moi : « mais… Jérôme, stp »

Jérôme : « dépêches toi »

Je relève la tête pour planter mes yeux dans les siens, je l’implore du regard, « on est au boulot comment je vais faire pour ne pas me faire remarquer ? » , ma gorge se noue et mon cœur s’affole, mais son regard n’appelle vraiment pas à la contestation. C’est tremblante que je passe discrètement mes mains sous ma robe pour attraper les rebords de mon string et je le baisse jusqu'à mes genoux, je suis incapable de regarder ailleurs que fixement devant moi, « je ne veux pas savoir si on me regarde » , je ferme les yeux et pense à Jérôme qui lui me regarde, je sentirai presque ses yeux sur moi. Une fois les genoux passés, je laisse le string tomber à terre et le récupère le plus discrètement possible et le fourre dans mon sac.

Jérôme : « c’était si difficile que ça ? »

Moi : « non tu as raison »

Jérôme : « parfait, je vais aller me chercher un café, lorsque je reviendrai j’aurai une vue imprenable sur tes cuisses largement ouvertes, je veux voir ta petite chatte, est ce bien compris ? »

Moi : « oui »

Jérôme : « oui ? »

Moi : « oui Jérôme »

Je le vois se lever et se diriger vers la cafétéria, j’essaie de me concentrer sur les bruits de la machine à café afin de savoir quand il reviendra, mais le brouah ambiant m’empêche de distinguer son pas ou sa voix. Je me vois obligé de laisser mes cuisses ouvertes en espérant que personne d’autre ne remarquera l’absence totale de barrière à mon intimité ruisselante.
Mon corps tremble légèrement, ma respiration se fait approximative et pourtant j’aime cette sensation, me dire qu’il va voir mon abricot détrempé et affamé de son chibre, « peu importe qui pourrait voir cela puisque seul lui peut en prendre possession » .

Je suis incapable de me concentrer sur autre chose, j’ai l’impression que mon corps irradie de l’intérieur tellement j’ai envie de lui, « de ses mains sur mon corps, de ses lèvres, qu’il pince mes tétons, qu’il malaxe mes seins, qu’il me fesse, qu’il me baise, qu’il jouisse dans ma bouche… aaaaaah, il faut que je me calme »
Je regarde fixement l’entrée de l’open-space où il va apparaitre, j’entends soudain sa voix s’approcher, je me redresse et écarte largement mon compas, il doit avoir une vue imprenable, son regard sur mon coquillage m’enflamme encore plus, d’autant qu’il se dirige vers moi.
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Jérôme : « salut Marine, comment ça va ? Désolé mais tout à l’heure je t’ai vu concentré, je voulais pas déranger »

Moi : « ah euh salut Jérôme »

Nous nous faisons la bise comme si de rien n’était, le simple contact de sa peau contre la mienne est un torrent dévastateur pour mon entre jambe, je referme immédiatement les jambes et sifflement de mécontentement s’échappe d’entre ses dents, je les rouvre immédiatement. Il s’installe à côté de moi, prétextant un fichier que l’on doit regarder et vient me murmurer à l’oreille :

Jérôme : « alors jolie petite femelle on dirait que tu mouilles »

Moi : « mouiller est faible par rapport à l’état de mon sexe »

Jérôme : « c’est se que je vois, tu ne t’es pas masturbée ? »

Moi : « non »

Jérôme : « pourquoi ? »

Moi : « parce que tu me l’as interdit »

Jérôme : « bien et tu en as envie »

Moi : « oooh ouiii j’en ai envie » dans une plainte que je ne peux maîtriser

Jérôme : « affamée ? »

Moi : « oui je ne savais même pas qu’il était possible d’arriver dans cet état d’excitation »

Jérôme : « c’est ça être CHIENNE »

Moi : « alors ça me plaît, même si c’est dur »

Jérôme : « parfait, tu n’as rien de prévu de perso ce soir ? »

Moi : « non, pourquoi ? »

Jérôme : « à 20h tu te lèves, prends tes affaires et descends au parking et tu m’attends, tu as compris ? »

Moi : « bien comme tu voudras »

Mon cœur s’enflamme, qu’a-t-il l’intention de me demander, de me faire faire, j’ai tellement envie de lui, je sens une nouvelle onde parcourir ma colonne vertébrale et un peu de ma mouille couler le long de ma fente. Il se lève et me laisse dans cet état pour finir la journée.
Autant dire qu’à 20h pétante je me lève, de toute façon je fais preuve d’une inefficacité notoire depuis plus de deux heures alors autant arrêter le supplice et je me dirige vers le parking.

Je regarde avant de partir Jérôme qui ne bouge pas d’un cil, son attitude me glace le sang malgré le feu d’intérieur qui me consume, je me dirige vers l’ascenseur et appuie sur le bouton du parking.
Une fois sur le palier, je sens l’angoisse monter en moi à mesure que mon excitation grandie, je suis complètement paumée, mes pensées se troublent, je me tends lorsque l’ascenseur s’ouvre mais se n’est pas Jérôme, je sens les regards interrogateurs des occupants, qu’est ce qu’une fille peut faire ainsi à attendre dans le parking, curieusement aucun ne me pose la question. Je baisse les yeux incapables d’affronter leur regard et préfère me coller dans un coin espérant de toutes mes forces que je pourrai disparaitre dans les murs. Le même manège se reproduit à chaque ouverture des portes je baisse le regard préférant ignorer qui passe.

Le temps me parait une éternité, j’ai l’impression que cela fait déjà une heure que je suis ainsi a faire le pied de grue et pourtant cela doit faire quelques minutes. La porte s’ouvre à nouveau, mes yeux toujours rivés sur le sol tout en me collant un peu plus au mur quand une paire de chaussure rentre dans mon champ de vision, c’est lui, « enfin ». Mon cœur s’enflamme et mon corps tremble. J’ose enfin relever la tête, ses yeux me vrillent, ma tête se mets a tourner, mon cerveau vient de s’arrêter, je suis comme anesthésiée à son simple regard.

Jérôme : « et bien alors Marine, qu’est ce que tu fais ainsi dans le coin »

Moi : « je… je t’attendais »

Jérôme : « et tu ne t’es pas dit que vers ma voiture se serait mieux ? »

Moi : « ah je … je n’y ai pas pensé »

Jérôme : « c’est pas grave, allez suis moi »

Je lui emboite le pas, je m’en veux de ne pas avoir pensé à sa voiture. Lorsque nous arrivons devant sa voiture, il s’arrête net et se retourne, ses lèvres viennent m’embrasser et je fonds, je me sens soudainement toute petite face au simple bonheur que son baiser me procure, pendant que je réponds à son baiser sa main attrape mes cheveux à la racine et il me décolle de lui.

Jérôme : « les mains sur le capot, cuisses écartées et relève ta jupe »

Moi : « quoi ? Ici »

Jérôme : « tu penses peut-être mieux savoir que moi, se qui est le mieux pour toi ? »

Moi : « je... Non pardon, tout de suite Jérôme »

Jérôme : « bien je préfère »

Je relève ma jupe lentement essayant de profiter des dernières secondes de dignité qu’il me reste, puis j’aspire une grande goulée d’air, pose mes mains sur le capot de la voiture, ferme mes yeux et me cambre en écartant mes cuisses. La position est obscène, j’ai honte et peur de qui pourrait nous surprendre malgré le peu de voitures étant encore présentes. Mes jambes flagellent malgré toute l’énergie que je mets à maitriser les tremblements de mon corps, mon souffle est court et pourtant je suis excitée, je le sens, l’air frais caressant mon intimité offerte est un véritable supplice.

Jérôme : « humm regardez moi cette croupe, t’as véritablement un cul à faire bander n’importe quel homme, mais cambre toi encore, je veux te voir à ton maximum »

Je m’exécute sans réfléchir, je creuse mes reins à leur maximum, jusqu'à en avoir mal et plus je me cambre, plus je sens mes orifices se dévoiler à son regard. La boule logée au creux de mon ventre grossie encore plus, je me sens perler d’avantage. Il vient poser ses mains sur mes reins et appuient pour me faire me plier un peu plus.

Jérôme : « toujours envie de te branler petite pute ? »

Moi : « hum… oui Jérôme »
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Il enfonce un doigt dans mon abricot brulant, je gémis de plaisir, me sentir enfin remplie par lui est une délivrance, un bonheur inouï. Il introduit un deuxième doigt et me fouille frénétiquement avant d’étaler un peu de mon jus sur mon clitoris et de le caresser, le triturer, l’étirer, le pincer, je ne peux retenir mes gémissements, je fonds sous le traitement qu’il m’impose. Quand soudain il s’arrête, vient se coller à moi et me présente ces doigts dégoulinants de mon miel, je les prends immédiatement en bouche et les suce, les lèche m’appliquant comme je le ferai avec son vit.

Jérôme : « regardes toi Marine, tu devrais avoir honte, tu es là sur le capot de ma voiture, impudique et offerte a gémir sous mes doigts, alors que n’importe qui pourrait nous surprendre »

Moi : « je sais mais c’est tellement bon »

Jérôme : « en tout cas la frustration te réussie t’es chaude et dégoulinante »

Moi : « merci »

Je sursaute, je n’ai pas sentie le coup venir et pourtant immédiatement la marque chaude de ses doigts impriment mes fesses, une seconde claque tombe, le bruit résonne dans le parking à moitié désert.

Jérôme : « merci qui ? »

Moi : « merci Jérôme »

Jérôme : « c’est mieux, allez branle toi »

Moi : « quoi ici ? »

Jérôme : « oui, ah moins que tu n’en ais en fait pas envie et que tu m’ais menti »

Moi : « non, j’en ai très envie mais ici »

Jérôme : « personne ne le verra et je n’ai pas dis que tu avais autorisation de jouir »

Mon ventre se tord à la simple idée que je vais devoir me masturber sans l’orgasme dévastateur que je sens bouillir dans mon ventre depuis ce matin. Ma main vient à la rencontre de mon sexe « une vrai fontaine » et trouve sans soucis mon bouton gorgé à souhait, palpitant sous le passage de mes doigts. Je m’enfonce plus loin dans mon intimité et pénètre lentement mon fourreau brulant et humide, un soupir s’échappe de mes lèvres. Je sens son regard sur moi, ses yeux détailler chacun des détails de l’ourlet de ma fente ainsi offerte.

Jérôme : « c’est bien Marine, laisses toi aller, imagine que c’est mes doigts »

Un couinement s’échappe de ma bouche à cette simple idée, je me courbe et mes yeux se ferment d’eux même. Tout se brouille dans ma tête, le plaisir de mes caresses et l’interdiction de jouir, la peur de se faire surprendre et les mots qu’il me susurre. Mes doigts humides vont et viennent dans ma fente avant de s’emparer de mon clitoris gonflé comme jamais, je me branle dans ce parking et je ressens cela comme une délivrance, je prends mon temps, déguste chacune des ondes que je déclenche et qui parcourent mon corps, leur intensité me surprend jamais je n’avais ressenti ça, la présence de Jérôme, la chaleur dégagée par son corps, tout cela me transporte, j’ai envie de m’abandonner totalement mais tout doit être maitrisé « surtout ne pas jouir, ne te laisse pas emporter », mes mâchoires se crispent. J’écarte un peu plus mes jambes sous l’effet du plaisir, je suis tout abandonner à mon unique plaisir, au plaisir qu’il m’accorde enfin et sentir son regard sur moi dans un geste si intime et si personnel est d’autant plus excitant.

Jérôme : « t’as envie de quoi là Marine ? »

Moi : « de me faire remplir »

Jérôme : « et ouvre les yeux quand tu me parles, regardes moi »

Moi : « humm… oui Jérôme »

Jérôme : « et de te faire remplir par n’importe quelle queue ? »

Moi : « non… c’est… la tienne dont j’ai envie »

Jérôme : « et pourquoi la mienne ? »

Moi : « humm… je»

Jérôme : « qu’est ce qu’il se passe Marine, tu es incapable de me répondre, dévastée par le plaisir ? »

Moi : « oui… je… ta queue… parce que… c’est…humm… la…»

Jérôme : « essaies encore en me faisant une phrase claire, sinon on n’arrête là et je te laisse comme ça »

Moi : « j’ai envie de ta queue parce que c’est la meilleure que je connaisse »

La phrase sort de ma bouche comme un cri, mes oreilles bourdonnent, je me maintiens d’une main sur le capot de sa voiture essayant de maitriser mon plaisir et la jouissance extraordinaire qui pointe son nez, j’ai du mal a réfléchir, je suis entièrement plongé dans la volupté que ressent tout mon corps, ma respiration est totalement irrégulière et lui qui me demande de répondre à ses questions « pourquoi ? pourquoi il me fait ça ? » , les larmes commencent a monter en même temps que mon plaisir.
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Jérôme : « humm… c’est plaisant a entendre. Alors branles toi plus fort »

Moi : « je… je ne peux pas… »

Jérôme : « et pourquoi ça ? » dit il en agrippant mes cheveux

Moi : « parce que je sens que je vais jouir »

Jérôme : « dommage que tu n’es pas l’autorisation, tu sais se que tu dois faire pour jouir »

Moi : « te demander… l’autorisation»

Jérôme : « c’est bien putain tu apprends vite, ça te plait de te branler devant moi »

Moi : « oooh ouiii »

Jérôme : « alors dis le »

Moi : « j’aime me branler devant toi »

Jérôme : « encore »

Moi : « j’aime me branler devant toi Jérôme »

Jérôme : « encore, ne t’arrêtes pas »

Je suis tiraillée entre ces mots que je répète tel un automate et qui s’ajoutent au plaisir que je me donne et la honte, je préfèrerai me cacher dans un trou de souris mais je suis incapable du moindre geste autre que ceux qu’il me demande de faire, pour la première fois je me rends compte que mon corps n’obéis qu’à sa volonté propre. Je continues de répéter ces phrases même si la prononciation se fait de plus en plus approximative, sans m’en rendre compte j’ai même changer la phrase en « j’aime me branler pour toi » .
Je sens deux de ses doigts s’enfoncer en moi, pendant que de l’autre main relâche mes cheveux pour venir flatter mes courbes, je chavire , j’essaie de formuler ma demande mais je n’y arrive pas, je suis dans une autre dimension. Sa main qui me caresse, vient maintenant dans ma raie culière, agacer ma rondelle, ses deux doigts qui me liment savamment le sexe et ma main que je ne maitrise plus triture, tord mon bouton tendu et bandé. Dans un effort qui me parait surhumain je lui dit : « s’il te plait Jérôme, laisses moi jouir »


Jérôme : « c’est pas comme ça qu’on demande, je sais que tu peux mieux faire »

Moi : « s’il te plait… m’autorises tu… a jouir… »

Jérôme : « allez Marine, on ne demande pas ainsi, tu y es presque »

Moi : « je t’en supplie… Jérôme…. autorises tu…. la… petite putain… que je suis… a jouir »

Mes larmes coulent tellement c’est bon, j’ai l’impression d’être une funambule sur un fil, l’orgasme est là, violent prêt a être expulsé par tout les pores de ma peau sans exception, mais si il dit non je saurai me contraindre à sa décision, je suis soumise à sa décision, pendue à ses lèvres.
Il retire ses doigts de mon con et vient se presser contre moi, une main entourant mes seins, l’autre entourant mon ventre et vient me susurrer à l’oreille : « tu peux jouir ma jolie petite putain » .

Il a enclenché le détonateur dans un murmure, je me cabre et hurle mon plaisir, j’explose, Jérôme me plaque contre lui quand de violents spasmes me traversent, j’entends à peine sa voix m’encourager a jouir bien fort, a profiter de cet orgasme, mes jambes cèdent et je tombe sur le capot, Jérôme essayant d’amortir ma chute en refermant sa prise. Je pleure, je suis dévastée, épuisée. Mon corps se recroqueville petit à petit dans l’étau des bras de Jérôme, qui embrasse mon visage, tout en caressant mes jambes et mes flancs, me maintenant fermement contre le capot pour m’éviter de tomber. Je m’accroche à sa voix pour émerger et tourne la tête pour joindre ses lèvres aux miennes.
Ce baiser est fabuleux, je veux lui dévorer la bouche pour le remercier de ce bonheur, de cet orgasme qu’il vient de m’accorder, j’arrive enfin a balbutier un « merci » . Il me sourit mais ne dit rien de plus, il rabaisse le bas de ma robe sur mes fesses et je me redresse devant lui.
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Jérôme : « toujours aussi plaisant de te voir jouir. Allez je te ramène »

Moi : « merci Jérôme »

Une fois dans la voiture, je m’enfonce dans le siège passager au maximum me laisse bercer par la musique. Je me repasse le film de se qu’il vient de se passer dans le parking, je n’arrive pas a croire que je sois tombée à ce niveau de lubricité et que je sois accroc au sexe à ce point là.

Jérôme : « a quoi penses tu ? »

Moi : « a se qui vient de se passer »

Jérôme : « oh et alors ? »

Moi : « je… je n’arrive pas a croire que j’ai fait ça, j’ai honte et en même temps je n’arrive pas a le regretter, c’est confus. C’était tellement bon, tellement fort et parallèlement… Putain je me suis branler dans un parking, qui d’autre fait ça, je deviens folle »

Jérôme : « rassures toi, tu n’es pas folle, tu découvres juste celle qui sommeillait en toi »

Moi : « mais non Jérôme, tu te rends compte de se que j’ai fait »

Jérôme : « bien sûre puisque c’est moi qui t’ai dit de le faire »

Moi : « et comment tu fais ce truc pour que je sois incapable de contrôler mon propre corps »

Jérôme : « il reconnait son propriétaire »

Moi : « t’as réponse à tout, c’est ça »

Le choc est violent, les larmes jaillissent, je ne l’ai pas vu arriver mais la chaleur de ma joue gauche me convainc que je n’ai pas rêvé, la gifle est tombée à une vitesse irréelle.

Jérôme : « change de ton quand tu me parles, je suis pas ton pote »

Moi : « excuse moi Jérôme»

Jérôme : « c’est mieux Marine, je préfère »

Moi : « je peux te poser une question ? »

Jérôme : « oui »

Moi : « comment tu savais que j’allais totalement m’abandonner ainsi ce soir »

Jérôme : « est ce que tu demandes au magicien de t’expliquer ses tours ? »

Moi : « non »

Jérôme : « alors laisses ma magie agir sans te poser plus de question »

Moi : « mais j’aurai pu ne pas y arriver »

Jérôme : « même si tu avais peur et honte, tu ne voulais pas me décevoir alors tu as repoussé tes limites et regarde le sourire que tu as maintenant »

Moi : « oui…»

Jérôme : « et je suis certain que le mec de la sécurité derrière son écran de télé a adoré le spectacle que tu lui as offert »

Je n’y avais pas songé une seule minute, un mélange de rage et de honte s’empare de moi, « comment a-t-il pu m’exhiber ainsi et en même temps je m’en fous, c’était tellement bon, tellement fort, comme si pendant un instant il n’y avait plus que lui Jérôme et moi chienne soumise et offerte à son bon vouloir »

Moi : « et bien j’espère qu’il a apprécié également, j’aimerai bien voir ce petit film d’ailleurs »

Jérôme : « tu le peux »

Moi : « comment ? »

Jérôme : « demain tu iras demandé la cassette, a toi d’être convaincante »

Moi : « je… »

Jérôme : « j’adore Marine quand tu parles sans réfléchir »

Je stoppe la conversation inutile d’en rajouter et je commence a réfléchir sur comment m’y prendre pour récupérer cette fichue vidéo.
Nous nous retrouvons dans les bouchons, quand je sens sa main courir sur l’intérieur de sa cuisse, au premier contact, instinctivement mes cuisses s’ouvrent faisant remonté ma robe sur les haut de mes cuisses, une douce claque m’indique de les ouvrir un peu plus et je m’exécute offrant ainsi mon intimité à la vue des passagers des voitures voisines. Je regarde paniqué à droite puis à gauche et tombe sur son regard qui me rassure immédiatement, je me détends et apprécie cette caresse divinement donnée. Ces doigts caressent le haut de mes cuisses, frôle mon sexe mais jamais n’y pénètre franchement avant de redescendre vers mon genoux, je sens mes tétons se durcir et mon souffle se fait plus fort.

Jérôme : « alors ta journée »

Moi : « rien de spécial et toi ? »

Jérôme : « prise de tête avec le client et c’est quoi ces achats ? »

Moi : « lingerie, j’ai du faire le stock pour te plaire »

Jérôme « parfait »

Ses doigts continuent leur manège, me faisant fondre à nouveau, mes cuisses s’écartent un peu plus pour lui laisser libre accès à mon abricot mûre, mais il continue ses arabesques sur mes cuisses et mes grandes lèvres sans jamais plus que dessiner l’ourlet de mon sexe avec la pulpe de son doigt.

Moi : « d’ailleurs il faut que je te dise quelque chose »

Jérôme : « et bien vas y »

Moi : « Emmy m’a accompagné »

Jérôme : « et ? »

Moi : « et elle m’a bien chauffée et je l’ai embrassée »

Jérôme : « juste embrassée ? »

Moi : « oui… enfin »

Jérôme : « racontes moi cela en détails »

Moi : « euh comment dire : on était dans la cabine, elle me conseillait sur les ensembles que j’essayais et à un moment j’étais super contente alors je lui ai sauté au cou et quand on a desserré l’étreinte, je l’ai embrassée, je ne sais pas se qui m’a traversé l’esprit, mais j’en avais envie, et voilà »

Ses doigts viennent maintenant s’enfoncer légèrement dans ma fente, uniquement la pulpe de ces doigts, je soupire et me tortille sur le siège.

Jérôme : « t’es qu’une petite chienne incapable de te tenir Marine »

Moi : « oui je sais, pardonnes moi mais… »

Jérôme : « mais quoi ? Je t’interdis une nuit de te masturber et tu es incapable de répondre à la première sollicitation qu’on te fait, t’es pitoyable Marine, franchement il va falloir que tu apprennes a te maîtriser tu devrais avoir honte de toi. Mais je suis sûre que tu aurais adoré te faire lécher par Emmy ? »
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Ses doigts s’enfoncent plus profondément dans ma fente ruisselante jouant avec mon clito hyper sensible en le pinçant se qui me fait sursauter avant de ressortir pour jouer sur mes cuisses et étaler mon miel dessus, je boue intérieurement

Moi : « Humm… »

Jérôme : « j’ai pas entendu ta réponse »

Moi : « oui j’aurai aimé »

Jérôme : « tu aurais aimé quoi petite putain ? »

Moi : « mm…oui j’aurai aimé qu’Emmy me lèche dans cette cabine »

Ma phrase sort en plantant son regard dans le sien, il sourit je vois un éclair traverser ses yeux, « que va-t-il me faire ? » et ses doigts se retirent de ma fente, je sens une vague glaciale se rependre dans tout mon corps.

Jérôme : « tu ne mérites pas que je te fasses jouir une deuxième fois et on va voir dans quel état tu es après trois jours. »

Moi : « quoi ? »

Jérôme : « ah oui je ne t’ai pas dit je ne suis pas là ce week-end et je ne serai pas joignable par contre, j’attends que tu m’envoies une photo de toi chaque jour. Et des clichés me montrant la petite chienne que tu es. »

Moi : « comme tu voudras Jérôme»

Jérôme : « et maintenant on va arriver chez toi, je vais t’accompagner, tu vas me servir un verre et pendant que je le dégusterai tu vas me sucez, compris ? »

Moi : « Bien Jérôme, tes désirs sont des ordres »

Jérôme : « c’est bien brave chienne »

Ma peau se hérisse, je n’aurai pas du lui dire, « en même temps c’est insignifiant comme baiser, bon ok pas temps que ça et j’ai intérêt a m’appliquer, je veux être la meilleure pour lui » . Une étrange angoisse s’empare de moi, j’ai la sensation d’avoir fait une erreur phénoménale et juste avant le week-end « et si il me quittait, si il m’abandonnait, oh non ». Je balaye cette idée de ma tête et me concentre, passe ma langue sur mes lèvres comme pour déjà les préparer.

Moi : « Jérôme ? »

Jérôme : « oui »

Moi : « je te présente mes excuses, je sais que je n’aurai pas du que seul toi dispose de mon corps, mais toutes ses sensations sont nouvelles pour moi et difficiles a contrôler »

Jérôme : « je le sais c’est pour ça que je devoir te punir pour que tu n’oublies plus jamais çà, mais tu comprends que je le dois, n’est ce pas ? »

Moi : « je… oui » dans un chuchotement

Ma voix s’étrangle, c’est la première fois que je vais connaître ça, j’ai peur, je me sens de nouveau petite fille face une punition donnée par mes parents suite à une bêtise, mon corps tremble « que je suis conne, franchement la reine des connes »

Jérôme : « ne tremble pas comme ça Marine, mais tu ne me laisse pas le choix et tu le sais au fond de toi ? »

Moi : « oui Jérôme, je le sais »

Bien sûre que je comprends, je me suis laissée dominer par un trop plein d’hormones, je dois apprendre a me contrôler mais après une telle jouissance passer a un tel extrême si vite, trop vite. En même temps je suis contente de ne pas lui avoir mentie, il ne pourra pas dire que je ne suis pas honnête envers lui et puis je vais survivre plein de femmes sont passées par là avant moi. Cette simple idée me réconforte autant que possible.
Nous sommes presque chez moi, mon sang ne fait qu’un tour quand je m’aperçois que pour une fois il y a pleins de places libres « a croire que c’est une conspiration contre moi, qu’ils se sont tous passés le mot aujourd’hui » . Il se gare, nous sortons de la voiture, un poids énorme s’abat sur mes épaules comme si c’était la fin du monde. Je n’arrive pas a retenir les tremblements de ma main au moment d’ouvrir la porte de mon portail, puis celle de ma porte, nous sommes enfin chez moi. Je n’ose plus bouger, ma gorge est terriblement sèche et se noue, il vient derrière moi.

Jérôme : « sers moi un verre de vin »
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