Torpeurs
Re: Torpeurs
Cédille, voici un récit qui ne manque pas d'aire.
V., qui fait dans le facile, d'accord.
V., qui fait dans le facile, d'accord.

Re: Torpeurs
Beaucoup de choses m'arrivent comme des gifles en pleine figure en ce moment, j'essaie s'en expulser certainesJak67 a écrit :Ce qui devait rester fantasme,
revient comme une gifle en plaine figure.
Merci V.Vintage a écrit :Cédille, voici un récit qui ne manque pas d'aire.
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Re: Torpeurs
Cédille ? Y a plus de "Torpeurs" ?
Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Torpeurs
Ben j'espère que tu nous feras une belle torpeur d'ici peu 

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Torpeurs
« Attaches la, elle a trop gigoté la dernière fois ! »
Elle le regarde et aperçoit cette étincelle de sadisme traverser son iris
Son cœur bat, la bête est là tapie dans ses entrailles, son démon intérieur se réveille,
Elle sait que ça ne sert a rien de lutter qu’il va la prendre, la dévorer au rythme des coups
Elle a encore cette angoisse de jeune première, elle aimerait fuir,
Se rétracter alors que : si, elle savait que ce soir les lanières et les cordes attaqueront sont épidermes
Et elles les désirs sournoisement, elle se ment, non elle ne peut pas aimer ça, son masochisme nouvellement assumé l’intrigue encore.
Les cordes l’enserrent, se resserrent, leur dresseuse les manipule avec une grâce
Et une légèreté qui l’impressionne encore.
Leur odeur monte a ses narines aux rythmes des nœuds qui se lient.
Elle se surprends a les imaginer s’incrustant dans sa peau,
L’enserrant dans leur étau comme un homme le ferai avec ses bras
Elle se sent en sécurité ainsi ligoté, impossible de bouger, déstabilisé mais déjà dans son monde
L . ouvre ses bras, l’embrasse, les lanières elles la caresse, elle se tends, ondule,
L’odeur du cuir, l’odeur des cordes, le parfum d’une peau féminine, tout se trouble,
Elle les aime ces lanières, elles sont comme des amies
De perverses amies qui se jouent d’elle, sa peau chauffe, elles deviennent plus sèchent
Elle reconnait ce rythme si singulier, ses cuisses la chauffe, ses fesses la chauffe.
Elle devrait se soustraire et pourtant déjà elle les imagine caressant ses seins,
La bête la grignote, la ronge au rythme des coups qui brûle son épiderme.
Un instant de répit, les cordes se délit et pourtant déjà elles lui manquent
Elle se réinstalle, cambre sa croupe autant que possible,
Lèche cette peau et ses seins offert a sa bouche,
les lanières reprennent leur vicieuse danse, à droite, à gauche,
Fesses, cuisses, intérieur, extérieur, ventre, sexe tout s’enflamme.
Elle ne sait plus, elle est en feu quand une piqûre plus vive la déroute
Elle essaie de voir qu’est ce que s’est même si elle s’en doute : le précieux
Les lanières reprennent et la piqure se fait morsure.
Elle leur est offerte, abandonné à la raison, le plaisir la ravage
Les morsures, les brûlure des lanières, les morsures, les brûlures
Tout se vrille dans son corps, la jouissance pointe son nez,
Elle aimerait se retourner et leur offrir son ventre et ses seins,
les sentir partout a la fois, démultiplier les donneurs pour son unique corps
Elle n’a même pas remarquer que seules les morsures désormais la mange
Elle plane loin quand la jouissance explose dans sa tête et traverse tout son corps
Les morsures continuent, elle devrait s’arrêter mais en a encore envie
Raison ou désir ? Se laisser encore transporter ? Revenir a la réalité
Son corps doit faiblir, elle ne le sent plus il n’est plus a elle, plus totalement
Impossible de parler, L. le fera pour elle, une main vient la caresser, l’apaiser, la fesser avec tendresse…
Merci Liza et Vintage pour ce formidable duo
Elle le regarde et aperçoit cette étincelle de sadisme traverser son iris
Son cœur bat, la bête est là tapie dans ses entrailles, son démon intérieur se réveille,
Elle sait que ça ne sert a rien de lutter qu’il va la prendre, la dévorer au rythme des coups
Elle a encore cette angoisse de jeune première, elle aimerait fuir,
Se rétracter alors que : si, elle savait que ce soir les lanières et les cordes attaqueront sont épidermes
Et elles les désirs sournoisement, elle se ment, non elle ne peut pas aimer ça, son masochisme nouvellement assumé l’intrigue encore.
Les cordes l’enserrent, se resserrent, leur dresseuse les manipule avec une grâce
Et une légèreté qui l’impressionne encore.
Leur odeur monte a ses narines aux rythmes des nœuds qui se lient.
Elle se surprends a les imaginer s’incrustant dans sa peau,
L’enserrant dans leur étau comme un homme le ferai avec ses bras
Elle se sent en sécurité ainsi ligoté, impossible de bouger, déstabilisé mais déjà dans son monde
L . ouvre ses bras, l’embrasse, les lanières elles la caresse, elle se tends, ondule,
L’odeur du cuir, l’odeur des cordes, le parfum d’une peau féminine, tout se trouble,
Elle les aime ces lanières, elles sont comme des amies
De perverses amies qui se jouent d’elle, sa peau chauffe, elles deviennent plus sèchent
Elle reconnait ce rythme si singulier, ses cuisses la chauffe, ses fesses la chauffe.
Elle devrait se soustraire et pourtant déjà elle les imagine caressant ses seins,
La bête la grignote, la ronge au rythme des coups qui brûle son épiderme.
Un instant de répit, les cordes se délit et pourtant déjà elles lui manquent
Elle se réinstalle, cambre sa croupe autant que possible,
Lèche cette peau et ses seins offert a sa bouche,
les lanières reprennent leur vicieuse danse, à droite, à gauche,
Fesses, cuisses, intérieur, extérieur, ventre, sexe tout s’enflamme.
Elle ne sait plus, elle est en feu quand une piqûre plus vive la déroute
Elle essaie de voir qu’est ce que s’est même si elle s’en doute : le précieux
Les lanières reprennent et la piqure se fait morsure.
Elle leur est offerte, abandonné à la raison, le plaisir la ravage
Les morsures, les brûlure des lanières, les morsures, les brûlures
Tout se vrille dans son corps, la jouissance pointe son nez,
Elle aimerait se retourner et leur offrir son ventre et ses seins,
les sentir partout a la fois, démultiplier les donneurs pour son unique corps
Elle n’a même pas remarquer que seules les morsures désormais la mange
Elle plane loin quand la jouissance explose dans sa tête et traverse tout son corps
Les morsures continuent, elle devrait s’arrêter mais en a encore envie
Raison ou désir ? Se laisser encore transporter ? Revenir a la réalité
Son corps doit faiblir, elle ne le sent plus il n’est plus a elle, plus totalement
Impossible de parler, L. le fera pour elle, une main vient la caresser, l’apaiser, la fesser avec tendresse…
Merci Liza et Vintage pour ce formidable duo
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Re: Torpeurs
Magnifique



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Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :
Merci Liza et Vintage pour ce formidable duo
Cedille92 a écrit :Ça a été même plus que ça un moment unique de partage a 3



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Torpeurs



Merci pour ce superbe récit en tout cas

Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
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Re: Torpeurs
Et moi ??? Rien ???



Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Torpeurs
Inspirée par une jolie image que malheureusement je ne peux pas mettre ici faute de moyen
Elle se regarde, s’admire, mutine devant le miroir de cette grande demeure hors du temps. Elle profite encore de ce moment où elle est seule, parce qu’elle sait que dès qu’il apparaitra se ne sera plus pareil.
La tenue qu’elle porte la rends encore plus désirable, elle joue avec l’image qui se reflète comme elle le fera devant l’œil d’un photographe, doigts dans la bouche, lèvres pulpeuses appelant aux baisers, seins pigeonnants ostensiblement dans ce corset de satin et dentelles. Malgré la légèreté de cet ensemble elle ne sent pas la fraicheur de la pièce, son feu intérieur, le feu qui la consume secrètement est bien trop vif pour ressentir se qui se passe autour d’elle.
Elle a senti la flamme s’allumer dès qu’elle a reçu le sms avec le lieu, l’heure du rendez vous et la tenue qu’il souhaitait la voir porter, c’était il y a plus d’une semaine et pourtant il ne l’a pas quitté. Au contraire il s’en amplifié au fur et a mesure que les jours passaient, ne parlons de tout a l’heure quand elle a commencé a enfiler le string, le corset et qu’elle s'est glissé dans ses escarpins.
Elle est perdu dans ses pensées, dans l’image que ce miroir lui renvoies, en fait elle préfère s’y noyer plutôt que d’imaginer se qu’il va lui faire. Lui c’est son Homme avec un grand « H », celui qui a révéler la femme qui sommeillait en elle, qui a pansé ses blessures même les plus enfouies et qui la élever dans sa vie et le monde comme jamais elle n’aurait cru cela possible. Certaines les appelles Maître, Seigneur, Dominateur, pour elle c’est son Homme tout simplement. Leur rencontre s’est fait un soir dans un bar depuis ils ne se sont plus quittés et se qu’elle aime par-dessus tout dans leur relation c’est quand il lui donne des rendez vous comme celui de cet après midi : un instant rien qu’à eux, unique, dans des lieux souvent surprenants, tout droit sorti d’un rêve. Elle ne peut s’empêcher d’ailleurs de se demander par quel moyen ou contact a-t-il trouver cette demeure dans laquelle elle se trouve a l’attendre le plus patiemment possible bien que son pouls irréguliers et l’humidité de sa fente la trahisse.
Elle entends une voiture se garer, des pas qui se rapprochent mais elle reste les yeux plongés dans le miroir comme si il pouvait lui servir de bouclier face au regard emplie de magnétisme de son Homme. La porte s’ouvre, il la regarde, elle voit son regard partir de ses talons et remonter le long de ses mollets, puis ses cuisses, caresser la rondeur de sa croupe, qu’elle cambre a son passage. Il ne la touche qu’avec les yeux et pourtant elle les sent comme une brise qui sur son passage a réveiller son épiderme.
Il s’approche sans rien dire, retire uniquement son manteau, qu'il balance non challement sur le sofa trainant là, ses yeux rivés aux siens, elle lui sourit a mesure qu’il se rapproche quand il vient se coller a elle, un soupir s’échappe de sa bouche incontrôlable. Le frottement du tissu sur sa peau a moitié nue l’embrase, il vient déposer un baiser dans son cou, elle rejette sa tête en arrière et s’abandonne cherchant ses lèvres qu’elle trouve. Ils s’embrassent doucement, sensuellement tels deux amants assoiffés de l’autre et devant profiter de chaque seconde s’offrant à eux.
Alors qu’elle allait pour se retourner et se blottir dans ses bras, il la stoppe « ne bouges pas », ces mots ont déclenchés un frisson, sa respiration se fait approximative, elle ouvre les yeux et plonge avec dévotion dans ses prunelles a Lui : l’éclair qui vient de les traverser est reçu comme un électrochoc par son corps.
Il lui fait reposer les mains à plat sur la cheminée, les couvrants de siennes pour qu’elle ne bouge pas et il lui murmure, lui chuchotte doucement des mots, se qu’il voudrait d’elle, se qu’il va lui faire. Les mots se déversent dans son oreille et coule sur sa peau, atteignent chacune de ses cellules jusqu'à son sexe en fusion, son string ne fera plus barrage encore très longtemps, elle se sent trahie par son propre corps mais comment détester une si délectable trahison.
Elle se tortille sur ses talons, se frotte contre lui, elle halète, ferme les yeux comme pour mieux ressentir ses paroles et lui continue, un sourire pervers en coin et sentant sa queue bander au rythme de son cul qui l’éveille. Il la laisse faire, elle essaie de se maitriser, de ne pas se laisser submerger par le plaisir, de contrôler même si elle se sent flancher au fur et a mesure. « Regardes toi » elle rouvre ses yeux et plonge dans les yeux de la femme qui est face a elle, elle y lit tout la lubricité, le plaisir, l’envie, le désir qui la submerge.
Toujours au creux de son oreille il lui décrit les réactions de son corps a elle, « comment fait il ? Comment fait il ça sans me toucher et le décrire parfaitement » la question tourne aussi vite que les ondes de chaleur qui partant de son ventre se diffusent dans son corps. Il retire ses mains des siennes et vient la caresser, la nuque, son cou, ses épaules, sortir ses seins qui étaient au bord de l’implosions dans ce corset et jouer avec les pointes dardées a leur maximum. Il les caresses, les pinces, les maltraite durement avant de les câliner : chaud et froid, violence et douceur : un océan de sensations dans lequel elle se perd. Il enfonce ses doigts dans sa chair, il la griffe d’abord sur ses seins puis sur ses fesses qui a pour effet de la faire se cambrer et s’offrir a ses doigts.
L’envie est trop forte, l’orgasme proche, une main quitte la cheminée pour passer entre ses cuisses et jouer avec son bouton et son sexe détrempé de cyprine. « Certainement pas, interdiction de te masturber et aujourd’hui je suis généreux je vais t’y aider ». Elle le voit détacher sa cravate, un peur soudaine l’envahie, il attrape son poignet et vient l’attacher a l’un des chandeliers de la cheminée. Il fait de même avec l’autre. La voila offerte et sans défense, et pourtant l’image que lui renvoi le miroir l’excite, elle se trouve belle et en rien vulgaire.
Il se joue de son corps, l’embrassant, la caressant, la griffant, la fessant mais évitant soigneusement son sexe, elle ne mouille plus, elle ruisselle, un torrent se déchaine dans son corps, la bouleverse, une larme perle sur sa joue signe qu’elle n’a plus de résistance et dans un gémissement sanglotant « je vous en supplie, prenez moi ou arrêtez mais achevez moi je n’en peux plus ».
« regardes toi » et alors qu’elle se regarde, le regarde, il s’enfonce en elle, doucement, ses yeux papillonne alors que ses chairs s’écartent sur son passage. Il l’achève mais en douceur, lentement, savamment, elle a l’impression de suffoquer, les va et vient sont doux, trop doux comparé a l’incendie qui fait rage en elle depuis plusieurs minutes, elle se cabre, cherche, cherche a se défoncer elle-même sur ce chibre pour jouir mais impossible, elle ne peut que le regarder, se regarder au bord du naufrage sans chavirer vraiment. Et alors qu’elle commence a se faire une raison « je veux t’entendre » lui murmure t il alors que sa main vient jouer avec son clitoris exposé et bandé tel un mini sexe. La vague la happe, le cri est bestial, l’orgasme la plie sous sa force, elle tombe encore empalée dans les limbes de la jouissance, un monde ailleurs…
Elle se regarde, s’admire, mutine devant le miroir de cette grande demeure hors du temps. Elle profite encore de ce moment où elle est seule, parce qu’elle sait que dès qu’il apparaitra se ne sera plus pareil.
La tenue qu’elle porte la rends encore plus désirable, elle joue avec l’image qui se reflète comme elle le fera devant l’œil d’un photographe, doigts dans la bouche, lèvres pulpeuses appelant aux baisers, seins pigeonnants ostensiblement dans ce corset de satin et dentelles. Malgré la légèreté de cet ensemble elle ne sent pas la fraicheur de la pièce, son feu intérieur, le feu qui la consume secrètement est bien trop vif pour ressentir se qui se passe autour d’elle.
Elle a senti la flamme s’allumer dès qu’elle a reçu le sms avec le lieu, l’heure du rendez vous et la tenue qu’il souhaitait la voir porter, c’était il y a plus d’une semaine et pourtant il ne l’a pas quitté. Au contraire il s’en amplifié au fur et a mesure que les jours passaient, ne parlons de tout a l’heure quand elle a commencé a enfiler le string, le corset et qu’elle s'est glissé dans ses escarpins.
Elle est perdu dans ses pensées, dans l’image que ce miroir lui renvoies, en fait elle préfère s’y noyer plutôt que d’imaginer se qu’il va lui faire. Lui c’est son Homme avec un grand « H », celui qui a révéler la femme qui sommeillait en elle, qui a pansé ses blessures même les plus enfouies et qui la élever dans sa vie et le monde comme jamais elle n’aurait cru cela possible. Certaines les appelles Maître, Seigneur, Dominateur, pour elle c’est son Homme tout simplement. Leur rencontre s’est fait un soir dans un bar depuis ils ne se sont plus quittés et se qu’elle aime par-dessus tout dans leur relation c’est quand il lui donne des rendez vous comme celui de cet après midi : un instant rien qu’à eux, unique, dans des lieux souvent surprenants, tout droit sorti d’un rêve. Elle ne peut s’empêcher d’ailleurs de se demander par quel moyen ou contact a-t-il trouver cette demeure dans laquelle elle se trouve a l’attendre le plus patiemment possible bien que son pouls irréguliers et l’humidité de sa fente la trahisse.
Elle entends une voiture se garer, des pas qui se rapprochent mais elle reste les yeux plongés dans le miroir comme si il pouvait lui servir de bouclier face au regard emplie de magnétisme de son Homme. La porte s’ouvre, il la regarde, elle voit son regard partir de ses talons et remonter le long de ses mollets, puis ses cuisses, caresser la rondeur de sa croupe, qu’elle cambre a son passage. Il ne la touche qu’avec les yeux et pourtant elle les sent comme une brise qui sur son passage a réveiller son épiderme.
Il s’approche sans rien dire, retire uniquement son manteau, qu'il balance non challement sur le sofa trainant là, ses yeux rivés aux siens, elle lui sourit a mesure qu’il se rapproche quand il vient se coller a elle, un soupir s’échappe de sa bouche incontrôlable. Le frottement du tissu sur sa peau a moitié nue l’embrase, il vient déposer un baiser dans son cou, elle rejette sa tête en arrière et s’abandonne cherchant ses lèvres qu’elle trouve. Ils s’embrassent doucement, sensuellement tels deux amants assoiffés de l’autre et devant profiter de chaque seconde s’offrant à eux.
Alors qu’elle allait pour se retourner et se blottir dans ses bras, il la stoppe « ne bouges pas », ces mots ont déclenchés un frisson, sa respiration se fait approximative, elle ouvre les yeux et plonge avec dévotion dans ses prunelles a Lui : l’éclair qui vient de les traverser est reçu comme un électrochoc par son corps.
Il lui fait reposer les mains à plat sur la cheminée, les couvrants de siennes pour qu’elle ne bouge pas et il lui murmure, lui chuchotte doucement des mots, se qu’il voudrait d’elle, se qu’il va lui faire. Les mots se déversent dans son oreille et coule sur sa peau, atteignent chacune de ses cellules jusqu'à son sexe en fusion, son string ne fera plus barrage encore très longtemps, elle se sent trahie par son propre corps mais comment détester une si délectable trahison.
Elle se tortille sur ses talons, se frotte contre lui, elle halète, ferme les yeux comme pour mieux ressentir ses paroles et lui continue, un sourire pervers en coin et sentant sa queue bander au rythme de son cul qui l’éveille. Il la laisse faire, elle essaie de se maitriser, de ne pas se laisser submerger par le plaisir, de contrôler même si elle se sent flancher au fur et a mesure. « Regardes toi » elle rouvre ses yeux et plonge dans les yeux de la femme qui est face a elle, elle y lit tout la lubricité, le plaisir, l’envie, le désir qui la submerge.
Toujours au creux de son oreille il lui décrit les réactions de son corps a elle, « comment fait il ? Comment fait il ça sans me toucher et le décrire parfaitement » la question tourne aussi vite que les ondes de chaleur qui partant de son ventre se diffusent dans son corps. Il retire ses mains des siennes et vient la caresser, la nuque, son cou, ses épaules, sortir ses seins qui étaient au bord de l’implosions dans ce corset et jouer avec les pointes dardées a leur maximum. Il les caresses, les pinces, les maltraite durement avant de les câliner : chaud et froid, violence et douceur : un océan de sensations dans lequel elle se perd. Il enfonce ses doigts dans sa chair, il la griffe d’abord sur ses seins puis sur ses fesses qui a pour effet de la faire se cambrer et s’offrir a ses doigts.
L’envie est trop forte, l’orgasme proche, une main quitte la cheminée pour passer entre ses cuisses et jouer avec son bouton et son sexe détrempé de cyprine. « Certainement pas, interdiction de te masturber et aujourd’hui je suis généreux je vais t’y aider ». Elle le voit détacher sa cravate, un peur soudaine l’envahie, il attrape son poignet et vient l’attacher a l’un des chandeliers de la cheminée. Il fait de même avec l’autre. La voila offerte et sans défense, et pourtant l’image que lui renvoi le miroir l’excite, elle se trouve belle et en rien vulgaire.
Il se joue de son corps, l’embrassant, la caressant, la griffant, la fessant mais évitant soigneusement son sexe, elle ne mouille plus, elle ruisselle, un torrent se déchaine dans son corps, la bouleverse, une larme perle sur sa joue signe qu’elle n’a plus de résistance et dans un gémissement sanglotant « je vous en supplie, prenez moi ou arrêtez mais achevez moi je n’en peux plus ».
« regardes toi » et alors qu’elle se regarde, le regarde, il s’enfonce en elle, doucement, ses yeux papillonne alors que ses chairs s’écartent sur son passage. Il l’achève mais en douceur, lentement, savamment, elle a l’impression de suffoquer, les va et vient sont doux, trop doux comparé a l’incendie qui fait rage en elle depuis plusieurs minutes, elle se cabre, cherche, cherche a se défoncer elle-même sur ce chibre pour jouir mais impossible, elle ne peut que le regarder, se regarder au bord du naufrage sans chavirer vraiment. Et alors qu’elle commence a se faire une raison « je veux t’entendre » lui murmure t il alors que sa main vient jouer avec son clitoris exposé et bandé tel un mini sexe. La vague la happe, le cri est bestial, l’orgasme la plie sous sa force, elle tombe encore empalée dans les limbes de la jouissance, un monde ailleurs…
Re: Torpeurs
Inspirée.
Oui.
C'est le terme.
Le terme ?
V., que l'expiration manque d'air, et la voilà expiation.
Oui.
C'est le terme.
Le terme ?
V., que l'expiration manque d'air, et la voilà expiation.

Re: Torpeurs
Merci toiVintage a écrit :Inspirée.
Oui.
C'est le terme.
Le terme ?
V., que l'expiration manque d'air, et la voilà expiation.
Non je ne mettrai pas de terme et je ne manque par d'air au contraire
Ced, rrrrrrrrrr
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Re: Torpeurs
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Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a pas droit à une deuxième chance alors qu'on aurait su quoi en faire.
Re: Torpeurs
Ma fille, j'assume toujours ce que je fais.........................
quand j'adore.
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Cedille92 a écrit : Inspirée par une jolie image que malheureusement je ne peux pas mettre ici faute de moyen
Elle se regarde, s’admire, mutine devant le miroir de cette grande demeure hors du temps. Elle profite encore de ce moment où elle est seule, parce qu’elle sait que dès qu’il apparaitra se ne sera plus pareil.
La tenue qu’elle porte la rends encore plus désirable, elle joue avec l’image qui se reflète comme elle le fera devant l’œil d’un photographe, doigts dans la bouche, lèvres pulpeuses appelant aux baisers, seins pigeonnants ostensiblement dans ce corset de satin et dentelles. Malgré la légèreté de cet ensemble elle ne sent pas la fraicheur de la pièce, son feu intérieur, le feu qui la consume secrètement est bien trop vif pour ressentir se qui se passe autour d’elle.
Elle a senti la flamme s’allumer dès qu’elle a reçu le sms avec le lieu, l’heure du rendez vous et la tenue qu’il souhaitait la voir porter, c’était il y a plus d’une semaine et pourtant il ne l’a pas quitté. Au contraire il s’en amplifié au fur et a mesure que les jours passaient, ne parlons de tout a l’heure quand elle a commencé a enfiler le string, le corset et qu’elle s'est glissé dans ses escarpins.
Elle est perdu dans ses pensées, dans l’image que ce miroir lui renvoies, en fait elle préfère s’y noyer plutôt que d’imaginer se qu’il va lui faire. Lui c’est son Homme avec un grand « H », celui qui a révéler la femme qui sommeillait en elle, qui a pansé ses blessures même les plus enfouies et qui la élever dans sa vie et le monde comme jamais elle n’aurait cru cela possible. Certaines les appelles Maître, Seigneur, Dominateur, pour elle c’est son Homme tout simplement. Leur rencontre s’est fait un soir dans un bar depuis ils ne se sont plus quittés et se qu’elle aime par-dessus tout dans leur relation c’est quand il lui donne des rendez vous comme celui de cet après midi : un instant rien qu’à eux, unique, dans des lieux souvent surprenants, tout droit sorti d’un rêve. Elle ne peut s’empêcher d’ailleurs de se demander par quel moyen ou contact a-t-il trouver cette demeure dans laquelle elle se trouve a l’attendre le plus patiemment possible bien que son pouls irréguliers et l’humidité de sa fente la trahisse.
Elle entends une voiture se garer, des pas qui se rapprochent mais elle reste les yeux plongés dans le miroir comme si il pouvait lui servir de bouclier face au regard emplie de magnétisme de son Homme. La porte s’ouvre, il la regarde, elle voit son regard partir de ses talons et remonter le long de ses mollets, puis ses cuisses, caresser la rondeur de sa croupe, qu’elle cambre a son passage. Il ne la touche qu’avec les yeux et pourtant elle les sent comme une brise qui sur son passage a réveiller son épiderme.
Il s’approche sans rien dire, retire uniquement son manteau, qu'il balance non challement sur le sofa trainant là, ses yeux rivés aux siens, elle lui sourit a mesure qu’il se rapproche quand il vient se coller a elle, un soupir s’échappe de sa bouche incontrôlable. Le frottement du tissu sur sa peau a moitié nue l’embrase, il vient déposer un baiser dans son cou, elle rejette sa tête en arrière et s’abandonne cherchant ses lèvres qu’elle trouve. Ils s’embrassent doucement, sensuellement tels deux amants assoiffés de l’autre et devant profiter de chaque seconde s’offrant à eux.
Alors qu’elle allait pour se retourner et se blottir dans ses bras, il la stoppe « ne bouges pas », ces mots ont déclenchés un frisson, sa respiration se fait approximative, elle ouvre les yeux et plonge avec dévotion dans ses prunelles a Lui : l’éclair qui vient de les traverser est reçu comme un électrochoc par son corps.
Il lui fait reposer les mains à plat sur la cheminée, les couvrants de siennes pour qu’elle ne bouge pas et il lui murmure, lui chuchotte doucement des mots, se qu’il voudrait d’elle, se qu’il va lui faire. Les mots se déversent dans son oreille et coule sur sa peau, atteignent chacune de ses cellules jusqu'à son sexe en fusion, son string ne fera plus barrage encore très longtemps, elle se sent trahie par son propre corps mais comment détester une si délectable trahison.
Elle se tortille sur ses talons, se frotte contre lui, elle halète, ferme les yeux comme pour mieux ressentir ses paroles et lui continue, un sourire pervers en coin et sentant sa queue bander au rythme de son cul qui l’éveille. Il la laisse faire, elle essaie de se maitriser, de ne pas se laisser submerger par le plaisir, de contrôler même si elle se sent flancher au fur et a mesure. « Regardes toi » elle rouvre ses yeux et plonge dans les yeux de la femme qui est face a elle, elle y lit tout la lubricité, le plaisir, l’envie, le désir qui la submerge.
Toujours au creux de son oreille il lui décrit les réactions de son corps a elle, « comment fait il ? Comment fait il ça sans me toucher et le décrire parfaitement » la question tourne aussi vite que les ondes de chaleur qui partant de son ventre se diffusent dans son corps. Il retire ses mains des siennes et vient la caresser, la nuque, son cou, ses épaules, sortir ses seins qui étaient au bord de l’implosions dans ce corset et jouer avec les pointes dardées a leur maximum. Il les caresses, les pinces, les maltraite durement avant de les câliner : chaud et froid, violence et douceur : un océan de sensations dans lequel elle se perd. Il enfonce ses doigts dans sa chair, il la griffe d’abord sur ses seins puis sur ses fesses qui a pour effet de la faire se cambrer et s’offrir a ses doigts.
L’envie est trop forte, l’orgasme proche, une main quitte la cheminée pour passer entre ses cuisses et jouer avec son bouton et son sexe détrempé de cyprine. « Certainement pas, interdiction de te masturber et aujourd’hui je suis généreux je vais t’y aider ». Elle le voit détacher sa cravate, un peur soudaine l’envahie, il attrape son poignet et vient l’attacher a l’un des chandeliers de la cheminée. Il fait de même avec l’autre. La voila offerte et sans défense, et pourtant l’image que lui renvoi le miroir l’excite, elle se trouve belle et en rien vulgaire.
Il se joue de son corps, l’embrassant, la caressant, la griffant, la fessant mais évitant soigneusement son sexe, elle ne mouille plus, elle ruisselle, un torrent se déchaine dans son corps, la bouleverse, une larme perle sur sa joue signe qu’elle n’a plus de résistance et dans un gémissement sanglotant « je vous en supplie, prenez moi ou arrêtez mais achevez moi je n’en peux plus ».
« regardes toi » et alors qu’elle se regarde, le regarde, il s’enfonce en elle, doucement, ses yeux papillonne alors que ses chairs s’écartent sur son passage. Il l’achève mais en douceur, lentement, savamment, elle a l’impression de suffoquer, les va et vient sont doux, trop doux comparé a l’incendie qui fait rage en elle depuis plusieurs minutes, elle se cabre, cherche, cherche a se défoncer elle-même sur ce chibre pour jouir mais impossible, elle ne peut que le regarder, se regarder au bord du naufrage sans chavirer vraiment. Et alors qu’elle commence a se faire une raison « je veux t’entendre » lui murmure t il alors que sa main vient jouer avec son clitoris exposé et bandé tel un mini sexe. La vague la happe, le cri est bestial, l’orgasme la plie sous sa force, elle tombe encore empalée dans les limbes de la jouissance, un monde ailleurs…
Re: Torpeurs
Renaissance
« Et si je faisais une erreur ? » L’idée tourne en boucle dans sa tête depuis des jours, des semaines et au fur et à mesure que les heures s’égrènent elle ne peut s’empêcher d’essayer de trouver une excuse pour ne pas le faire. Voila 10 mois qu’ils ne se sont pas vu et pourtant cet après midi, elle montra dans Sa ville dans cet hôtel qu’elle a réservé sans aucune garantie qu’elle le verra.
La matinée de travail n’est qu’une vaste mascarade, elle n’a aucune nouvelles de Lui depuis 2 jours, et s’il n’y était pas ? Elle ne devrait pas, mais elle a tellement besoin de le voir, d’être certaine que les nouveaux sentiments qui naissent en elle ne sont pas illusoires. A midi elle rentre chez elle et enfin elle reçoit un sms de sa part, elle lui dit se qu’elle s’apprête a faire, il la questionne, elle se sent rejeté, l’impression qu’il ne veut pas la voir, elle pourrait prendre ses dires comme excuses mais non elle doit le faire, elle doit le faire. Elle a enfin la confirmation, il y est mais il n’aura certainement pas le temps de passer la voir, tampis se dit elle au moins elle sera plus proche de Lui qu’elle ne l’a été ces 10 derniers mois.
Jeudi 1er décembre 2011, elle ne cesse de regarder la date, mets a jour son calendrier dans ses toilettes : cette phrase y est inscrite : « lui demander de vous délivrer », un signe certainement. Elle monte en voiture, la route passe vite, trop vite, surtout si elle ne le voit pas. Un sms : « peut être que dans quelques heures nous nous verrons » son cœur sursaute, un sourire se dessine sur ses lèvres.
Ils commencent leur échange de sms comme une parade de « pré-baise », elle arrive à l’hôtel, se douche, mets en valeur son corps pour Lui, elle semble percevoir qu’Il va venir mais toujours ce doute. Elle attache les bas coutures, enfile sa robe et ses talons, elle continue de Lui répondre pas sms. Il vient, il arrive, elle se sent flancher, elle doit le convaincre, elle déteste, elle a l’impression d’être nulle quand il lui demande de le convaincre, son cerveau n’arrive pas a réfléchir.
- J’arrive dans 5 minutes
Elle flanche, son cœur bourdonne dans ses oreilles, elle va ouvrir la porte, elle veut le voir, elle va enfin le voir après 10 longs mois, elle l’aperçoit au fond du couloir et ses jambes cèdent. Elle se rattrape au montant de la porte, essaie de reprendre sa respiration et de chasser les étoiles qui lui masquent la vue. Il approche serein, beau, « mon Dieu qu’il est beau » se dit elle, enfin il est là, il lui sort une boutade elle n’ose pas répondre, elle attend se qu’elle attend depuis des mois, il la prend dans ses bras et l’embrasse. Au moment de l’impact elle sent son corps enfin vivre, elle prend conscience de l’inertie dans lequel il était. Il stoppe leur étreinte et lui demande comment ça va, elle lui murmure : « maintenant ça va » et c’est vrai, maintenant ça va. Il l’inspecte, regarde sa tenue, il se plaque derrière elle, elle aime cette position, c’est la leur, sa main attrape le vit déjà gonflé dans le jean, pendant qu’il la déshabille et la trousse. Il la plaque contre lui, sors ses seins qu’il vient rouler entre ses doigts. Elle sent un feu l’envahir, elle sent qu’elle ruisselle comme jamais.
Il se détache d’elle, sors une cravache de son manteau et la dépose sur le lit, l’angoisse la prend, « il l’a amené, ce soir j’y goute » pense t elle mais elle l’entend allumer une cigarette, elle le regarde détail sa tenue, elle pourrait se jeter sur lui pour le déshabiller. Il est vraiment beau, d’une classe et d’un raffinement hors du commun, ce petit gilet gris sur cette chemise est irrésistible. Il l’enlève et vient s’assoir sur le canapé, le premier ordre tombe : « viens là à genoux ! ». Elle s’installe entre ses jambes, il sort sa queue, elle ouvre instinctivement la bouche se penche pour la prendre en bouche mais il la retient par la gorge, elle essaie tout de même mais la prise se resserre, elle s’arrête. Son ventre se tord, elle le désir : rendre hommage a ce vît, le vît de son Lord, mais il se branle a quelques centimètre d’elle de son visage, il lui demande se qu’il se passe, elle lui dit qu’elle a envie de le prendre en bouche mais il continue de se masturber. Elle regarde sa jolie main se branler, pendant que l’autre est toujours poser sur sa gorge, elle sent sa chatte s’ouvrir et son jus perler. Enfin il l’autorise a le prendre en bouche elle se jette avec délicatesse sur cette hampe, la déguste, la lèche la lubrifie avant de l’avaler, il la stoppe, la guide retire sa chemise et se rallume une cigarette. Il lui fait signe de le reprendre, elle s’exécute, elle essaie de l’avaler, mais définitivement sa queue est bien trop épaisse et longue, elle s’étouffe toute seule et alors qu’elle allait se relever pour prendre son air, il la maintient empalée et l’enfonce, s’enfonce dans sa gorge, elle a la nausée, elle sent qu’elle va régurgiter mais il continue et la maintient ainsi, elle régurgite légèrement mais la poigne est toujours là. Enfin la soulève, elle ravale, reprends son air quand la gifle part. Elle est parfaite, elle ne l’a pas sentie venir, elle est forte juste se qu’il faut, les larmes montent en elle, elle revient planter son regard dans le sien, une voix hurle en elle : « encore » mais jamais le mot ne passera la barrière de ses lèvres. Elle lui sourit, lui dit merci du regard et le ravale, deux fois il la ré-empalera ainsi sèchement, fortement, elle n’a aucune résistance, elle n’est plus que sa chose, sa putain. Il la redresse et l’étouffe de sa main, au moment où sa vue se brouille il relâche la pression et lui balance « je savais que ça te plairait » elle lui sourit, se redresse et vient l’embrasser, il se redresse également, la dirige vers le lit où il la pousse.
Elle sait, elle s’installe, se cambre au maximum, regarde cette cravache a quelque centimètre de sa main, elle aimerait la caresser mais elle n’ose pas. Elle est fasciné par cet objet, elle l’entends se déshabiller mais est comme hypnotisé par celle qui sera bientôt sa tourmenteuse, elle aimerait l’apprivoiser, il passe la main sur sa chatte certainement pour vérifier si elle est aussi excité qu’il n’y parait, commente le rosebud qui cache l’accès a sa propriété exclusive et s’enfonce en elle d’un coup sec et vient buter directement sur sa matrice, elle hoquète de douleur et de surprise, il la pilonne, elle gémit, sa main vient de nouveau autour de sa gorge et l’étouffe, pendant un instant une pensée lui traverse l’esprit « oh oui étouffez moi, tuez moi » mais la pression se relâche, il repose sur son corps, cherche l’un de ses poignets, elle sait se qu’il veut. Elle couche ses épaules sur le lit et lui tend ses mains qu’il agrippe, elle ne fait que subir ses assauts mais elle aime. Enfin il relâche ses mains, elle se redresse mais il s’empresse d’agripper ses seins et de les tordre, elle gémit mais de douleur cette fois, elle a franchement eu mal mais elle s’en fout et ravale sa douleur pour Lui.
Il vient se coucher sur le lit et lui fait signe de venir sur Lui, elle aime cette position c’est celle qui lui permet d’atteindre le plus facilement l’orgasme, elle se fouille avec son chibre, il lui demande si elle veut jouir, elle lui répond que oui il lui réponds qu’elle a 2 minutes, l’angoisse la prends, elle se masturbe en plus qu’elle se fouille, l’orgasme est là mais les 2 minutes ne seront pas suffisante elle s’arrête, il lui demande pourquoi elle n’a pas jouie ?
« Mon plaisir est votre plaisir mon Seigneur »
« Et bien mon plaisir est de te voir jouir »
Quelque chose vient de sauter en elle, comme un verrou dont elle n’avait pas conscience, elle reprend sa masturbation en le regardant dans les yeux et elle explose, elle hurle, un orgasme violent la submerge, elle sent le rosebud sortir, elle s’écroule mais Lui toujours fiché en elle est encore plus dur. Il la mords et au lieu de se soustraire elle se tends d'avantage, lui offrant sa peau pour qu'il la marque de ses dents.
Il se retire et lui ordonne « a quatre pattes ma chienne ». Le moment qu’elle redoute arrive, elle le sent l’enduire de lubrifiant et comme à chaque fois quand il pose son gland contre sa rondelle, elle panique « impossible il ne rentrera pas, il va me déchirer ». Il s’enfonce et sent sa tension « tu as le choix soit tu le fais toi-même soit je te force », son corps hurle « force moi » mais elle s’y refuse et s’empale doucement, la douleur s’installe, elle suffoque et pourtant elle continue, les premiers va et vient ne sont que douleurs et pourtant le plaisir commence à naître, il accélère le mouvement doucement mais surement et sans s’en rendre compte, elle prend le contrôle et vient elle-même s’enculer sur ce pieu de chair. Elle gémit, un nouvel orgasme pointe son nez, elle n’est plus elle mais animal, des mots crus se déversent de sa bouche a elle, elle aime, elle adore, elle est chienne, sa chienne, il la besogne avec force, elle jouie quand sa ceinture vient enserrer son cou et il continue, il repose entièrement sur elle, sur son dos, il la mord, la ceinture, alterne entre son con et sa chatte ruisselante. Elle n’en peut plus, elle a chaud, ils ont chaud, il lui dit « allez, sous la douche », un instant son cœur s’emballe, va-t-il lui faire connaitre cette nouvelle sensation ? Elle s’installe a genoux et le suce avant qu’il rentre sous la douche, il la savonne tendrement, se savonne et reprends possession de sa chatte, elle jouie a nouveau sous ses assauts et ses genoux cèdent, elle se retrouve a ses pieds et les lèchent, l’image qu’elle se renvoie est belle, il joue avec le jet de la douche sur ses orifices, la nettoie de l’intérieur doucement.
Il la redresse, lui tends une serviette, elle le suit dans la chambre, il lui indique de se mettre contre la fenêtre, enfin elle va connaitre, les coups sont doux puis de plus en plus fort, ça picote se dit elle, ça chauffe, un coup sur son piercing intime la pliera mais elle se redressera et il la prendra dans ses bras.
Leur corps a corps reprends, il vient sur elle, elle ouvre la bouche, il lui crache dedans, elle aime cet acte, elle l’ouvre encore plus grand mais le nouveau crachat atterrira sur son visage et pourtant elle ne se sent pas sale, mais belle, encore plus à Lui.
Le rythme s’accélère, il se retire et lui ordonne de le prendre en bouche, elle s’exécute heureuse, quand enfin il éjacule, elle se délecte de son nectar.
La suite n’appartient qu’a eux mais en regardant l’heure elle s’apercevra que plus de deux heures viennent de s’écouler, deux heures pendant lesquels ses doutes ont été balayés. Les larmes qui perlent maintenant sur son visage sont des larmes de joies et du bonheur intense qu’elle est d’être sa putain plus que jamais a ses pieds et les marques de morsures, ceinture et cravache qui orne sa peau en sont les témoins
« Et si je faisais une erreur ? » L’idée tourne en boucle dans sa tête depuis des jours, des semaines et au fur et à mesure que les heures s’égrènent elle ne peut s’empêcher d’essayer de trouver une excuse pour ne pas le faire. Voila 10 mois qu’ils ne se sont pas vu et pourtant cet après midi, elle montra dans Sa ville dans cet hôtel qu’elle a réservé sans aucune garantie qu’elle le verra.
La matinée de travail n’est qu’une vaste mascarade, elle n’a aucune nouvelles de Lui depuis 2 jours, et s’il n’y était pas ? Elle ne devrait pas, mais elle a tellement besoin de le voir, d’être certaine que les nouveaux sentiments qui naissent en elle ne sont pas illusoires. A midi elle rentre chez elle et enfin elle reçoit un sms de sa part, elle lui dit se qu’elle s’apprête a faire, il la questionne, elle se sent rejeté, l’impression qu’il ne veut pas la voir, elle pourrait prendre ses dires comme excuses mais non elle doit le faire, elle doit le faire. Elle a enfin la confirmation, il y est mais il n’aura certainement pas le temps de passer la voir, tampis se dit elle au moins elle sera plus proche de Lui qu’elle ne l’a été ces 10 derniers mois.
Jeudi 1er décembre 2011, elle ne cesse de regarder la date, mets a jour son calendrier dans ses toilettes : cette phrase y est inscrite : « lui demander de vous délivrer », un signe certainement. Elle monte en voiture, la route passe vite, trop vite, surtout si elle ne le voit pas. Un sms : « peut être que dans quelques heures nous nous verrons » son cœur sursaute, un sourire se dessine sur ses lèvres.
Ils commencent leur échange de sms comme une parade de « pré-baise », elle arrive à l’hôtel, se douche, mets en valeur son corps pour Lui, elle semble percevoir qu’Il va venir mais toujours ce doute. Elle attache les bas coutures, enfile sa robe et ses talons, elle continue de Lui répondre pas sms. Il vient, il arrive, elle se sent flancher, elle doit le convaincre, elle déteste, elle a l’impression d’être nulle quand il lui demande de le convaincre, son cerveau n’arrive pas a réfléchir.
- J’arrive dans 5 minutes
Elle flanche, son cœur bourdonne dans ses oreilles, elle va ouvrir la porte, elle veut le voir, elle va enfin le voir après 10 longs mois, elle l’aperçoit au fond du couloir et ses jambes cèdent. Elle se rattrape au montant de la porte, essaie de reprendre sa respiration et de chasser les étoiles qui lui masquent la vue. Il approche serein, beau, « mon Dieu qu’il est beau » se dit elle, enfin il est là, il lui sort une boutade elle n’ose pas répondre, elle attend se qu’elle attend depuis des mois, il la prend dans ses bras et l’embrasse. Au moment de l’impact elle sent son corps enfin vivre, elle prend conscience de l’inertie dans lequel il était. Il stoppe leur étreinte et lui demande comment ça va, elle lui murmure : « maintenant ça va » et c’est vrai, maintenant ça va. Il l’inspecte, regarde sa tenue, il se plaque derrière elle, elle aime cette position, c’est la leur, sa main attrape le vit déjà gonflé dans le jean, pendant qu’il la déshabille et la trousse. Il la plaque contre lui, sors ses seins qu’il vient rouler entre ses doigts. Elle sent un feu l’envahir, elle sent qu’elle ruisselle comme jamais.
Il se détache d’elle, sors une cravache de son manteau et la dépose sur le lit, l’angoisse la prend, « il l’a amené, ce soir j’y goute » pense t elle mais elle l’entend allumer une cigarette, elle le regarde détail sa tenue, elle pourrait se jeter sur lui pour le déshabiller. Il est vraiment beau, d’une classe et d’un raffinement hors du commun, ce petit gilet gris sur cette chemise est irrésistible. Il l’enlève et vient s’assoir sur le canapé, le premier ordre tombe : « viens là à genoux ! ». Elle s’installe entre ses jambes, il sort sa queue, elle ouvre instinctivement la bouche se penche pour la prendre en bouche mais il la retient par la gorge, elle essaie tout de même mais la prise se resserre, elle s’arrête. Son ventre se tord, elle le désir : rendre hommage a ce vît, le vît de son Lord, mais il se branle a quelques centimètre d’elle de son visage, il lui demande se qu’il se passe, elle lui dit qu’elle a envie de le prendre en bouche mais il continue de se masturber. Elle regarde sa jolie main se branler, pendant que l’autre est toujours poser sur sa gorge, elle sent sa chatte s’ouvrir et son jus perler. Enfin il l’autorise a le prendre en bouche elle se jette avec délicatesse sur cette hampe, la déguste, la lèche la lubrifie avant de l’avaler, il la stoppe, la guide retire sa chemise et se rallume une cigarette. Il lui fait signe de le reprendre, elle s’exécute, elle essaie de l’avaler, mais définitivement sa queue est bien trop épaisse et longue, elle s’étouffe toute seule et alors qu’elle allait se relever pour prendre son air, il la maintient empalée et l’enfonce, s’enfonce dans sa gorge, elle a la nausée, elle sent qu’elle va régurgiter mais il continue et la maintient ainsi, elle régurgite légèrement mais la poigne est toujours là. Enfin la soulève, elle ravale, reprends son air quand la gifle part. Elle est parfaite, elle ne l’a pas sentie venir, elle est forte juste se qu’il faut, les larmes montent en elle, elle revient planter son regard dans le sien, une voix hurle en elle : « encore » mais jamais le mot ne passera la barrière de ses lèvres. Elle lui sourit, lui dit merci du regard et le ravale, deux fois il la ré-empalera ainsi sèchement, fortement, elle n’a aucune résistance, elle n’est plus que sa chose, sa putain. Il la redresse et l’étouffe de sa main, au moment où sa vue se brouille il relâche la pression et lui balance « je savais que ça te plairait » elle lui sourit, se redresse et vient l’embrasser, il se redresse également, la dirige vers le lit où il la pousse.
Elle sait, elle s’installe, se cambre au maximum, regarde cette cravache a quelque centimètre de sa main, elle aimerait la caresser mais elle n’ose pas. Elle est fasciné par cet objet, elle l’entends se déshabiller mais est comme hypnotisé par celle qui sera bientôt sa tourmenteuse, elle aimerait l’apprivoiser, il passe la main sur sa chatte certainement pour vérifier si elle est aussi excité qu’il n’y parait, commente le rosebud qui cache l’accès a sa propriété exclusive et s’enfonce en elle d’un coup sec et vient buter directement sur sa matrice, elle hoquète de douleur et de surprise, il la pilonne, elle gémit, sa main vient de nouveau autour de sa gorge et l’étouffe, pendant un instant une pensée lui traverse l’esprit « oh oui étouffez moi, tuez moi » mais la pression se relâche, il repose sur son corps, cherche l’un de ses poignets, elle sait se qu’il veut. Elle couche ses épaules sur le lit et lui tend ses mains qu’il agrippe, elle ne fait que subir ses assauts mais elle aime. Enfin il relâche ses mains, elle se redresse mais il s’empresse d’agripper ses seins et de les tordre, elle gémit mais de douleur cette fois, elle a franchement eu mal mais elle s’en fout et ravale sa douleur pour Lui.
Il vient se coucher sur le lit et lui fait signe de venir sur Lui, elle aime cette position c’est celle qui lui permet d’atteindre le plus facilement l’orgasme, elle se fouille avec son chibre, il lui demande si elle veut jouir, elle lui répond que oui il lui réponds qu’elle a 2 minutes, l’angoisse la prends, elle se masturbe en plus qu’elle se fouille, l’orgasme est là mais les 2 minutes ne seront pas suffisante elle s’arrête, il lui demande pourquoi elle n’a pas jouie ?
« Mon plaisir est votre plaisir mon Seigneur »
« Et bien mon plaisir est de te voir jouir »
Quelque chose vient de sauter en elle, comme un verrou dont elle n’avait pas conscience, elle reprend sa masturbation en le regardant dans les yeux et elle explose, elle hurle, un orgasme violent la submerge, elle sent le rosebud sortir, elle s’écroule mais Lui toujours fiché en elle est encore plus dur. Il la mords et au lieu de se soustraire elle se tends d'avantage, lui offrant sa peau pour qu'il la marque de ses dents.
Il se retire et lui ordonne « a quatre pattes ma chienne ». Le moment qu’elle redoute arrive, elle le sent l’enduire de lubrifiant et comme à chaque fois quand il pose son gland contre sa rondelle, elle panique « impossible il ne rentrera pas, il va me déchirer ». Il s’enfonce et sent sa tension « tu as le choix soit tu le fais toi-même soit je te force », son corps hurle « force moi » mais elle s’y refuse et s’empale doucement, la douleur s’installe, elle suffoque et pourtant elle continue, les premiers va et vient ne sont que douleurs et pourtant le plaisir commence à naître, il accélère le mouvement doucement mais surement et sans s’en rendre compte, elle prend le contrôle et vient elle-même s’enculer sur ce pieu de chair. Elle gémit, un nouvel orgasme pointe son nez, elle n’est plus elle mais animal, des mots crus se déversent de sa bouche a elle, elle aime, elle adore, elle est chienne, sa chienne, il la besogne avec force, elle jouie quand sa ceinture vient enserrer son cou et il continue, il repose entièrement sur elle, sur son dos, il la mord, la ceinture, alterne entre son con et sa chatte ruisselante. Elle n’en peut plus, elle a chaud, ils ont chaud, il lui dit « allez, sous la douche », un instant son cœur s’emballe, va-t-il lui faire connaitre cette nouvelle sensation ? Elle s’installe a genoux et le suce avant qu’il rentre sous la douche, il la savonne tendrement, se savonne et reprends possession de sa chatte, elle jouie a nouveau sous ses assauts et ses genoux cèdent, elle se retrouve a ses pieds et les lèchent, l’image qu’elle se renvoie est belle, il joue avec le jet de la douche sur ses orifices, la nettoie de l’intérieur doucement.
Il la redresse, lui tends une serviette, elle le suit dans la chambre, il lui indique de se mettre contre la fenêtre, enfin elle va connaitre, les coups sont doux puis de plus en plus fort, ça picote se dit elle, ça chauffe, un coup sur son piercing intime la pliera mais elle se redressera et il la prendra dans ses bras.
Leur corps a corps reprends, il vient sur elle, elle ouvre la bouche, il lui crache dedans, elle aime cet acte, elle l’ouvre encore plus grand mais le nouveau crachat atterrira sur son visage et pourtant elle ne se sent pas sale, mais belle, encore plus à Lui.
Le rythme s’accélère, il se retire et lui ordonne de le prendre en bouche, elle s’exécute heureuse, quand enfin il éjacule, elle se délecte de son nectar.
La suite n’appartient qu’a eux mais en regardant l’heure elle s’apercevra que plus de deux heures viennent de s’écouler, deux heures pendant lesquels ses doutes ont été balayés. Les larmes qui perlent maintenant sur son visage sont des larmes de joies et du bonheur intense qu’elle est d’être sa putain plus que jamais a ses pieds et les marques de morsures, ceinture et cravache qui orne sa peau en sont les témoins
Re: Torpeurs




Quelle écriture ma douce....tu retranscris parfaitement toutes tes émotions....quelle intensité...

Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :Tout pareil et encore c'est approximatif puisque j'ai encore des zones d'ombres
ce qui est tellement logique
Le cerveau déconnecte pour se recentrer sur l'intensité du moment
Re: Torpeurs
Ah ça pour être intense s'était intenseLaphoenix75 a écrit :![]()
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Quelle écriture ma douce....tu retranscris parfaitement toutes tes émotions....quelle intensité...

Il m'a déjà fallu 3 mois pour l'écrireJak67 a écrit :
ce qui est tellement logique
Le cerveau déconnecte pour se recentrer sur l'intensité du moment

Des zones d'ombre et des moments que je garde pour moi aussi
