Torpeurs
Re: Torpeurs
et c'est pas finiMclm a écrit :ah ben dit donc cédille c'est chaud.....

viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii très bon résumé ma lumièreLaphoenix75 a écrit ::cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé: :cinglé:
Re: Torpeurs
Un dimanche
Le coup de sonnette a l’interphone la fait sursauté, elle n’attends personne, c’est au second coup qu’elle réalise que c’est bien chez elle que ça sonne.
Elle maugréé déjà son interlocuteur, peu importe qui il est on ne dérange pas les gens ainsi. On est dimanche soir, elle relit depuis le début d’après midi, les différents échanges qu’elle a eu avec Lui. Elle est trempée, dégoulinante petite putain en manque… Chacun des mots qu’elle relie avec avidité la dévore, la transperce pour venir se loger dans son sexe.
Elle se lève, juste vêtu d’un débardeur trop long qui vient couvrir l’arrondi de ses fesses mais laisses deviner l’inexistence de sous vêtements, elle prends son temps, au pire cela le fera fuir pense t elle.
Une troisième fois la sonnette retentie, elle décroche, agressive, exaspérée par cet inconnu qui ose la déranger en pleine volupté.
Elle : Quoi ?
Lui : Viens me chercher
Elle reconnait immédiatement sa voix, elle bafouille, suffoque, une vague de chaleur envahie son corps, ses seins se dressent, un léger vertige s’empare d’elle. Elle ne raccroche pas son interphone et court ouvrir la porte sans penser un seul instant au seul et unique morceau de tissu qui couvre a peine sa nudité. Elle traverse la cour pieds nus, son cœur explose dans sa poitrine quand elle aperçoit le bout de ses chaussures dépassant sous la porte bleue.
Une dernière inspiration et elle ouvre les yeux fixés sur ses chaussures, son corps tremble de plus en plus. Quand elle relève la tête et plonge dans ses yeux, ses jambes cèdent et il la rattrape avant qu’elle ne viennent heurté le mur de sa tête.
Lui : et bien je savais que je faisais de l’effet mais je ne pensais pas a ce point là.
Elle : Maître…
Sa voix s’étrangle tout lui paraît surréaliste, son Maître qu’elle n’a pas vu depuis des mois est enfin là et elle est dans ses bras. Elle tente de reprendre constance, se redresse, n’osant pas le regarder une nouvelle fois, de peur que son corps ne la lâche a nouveau.
Elle sent les larmes monter mais elle doit les retenir, elle ne doit pas pleurer même si ceux sont des larmes de joies.
Lui : Bien, allons y
La phrase claque dans son cerveau, de cette même phrase, elle avait à leur première rencontre, fait part de son acceptation de lui offrir son corps.
Elle se retourne pour lui montrer le chemin, il soulève son vêtement sur ses fesses et soupir d’avoir enfin sa chose en vue. Elle réalise qu’elle n’est pas épilée, l’angoisse la dévore, comment lui dire, il va le voir. A peine cette idée la traverse, qu’elle se retrouve plaquée contre le mur en meulière du mur de sa cour. Il se plaque contre elle, elle gémit, des mois qu’elle attends ça, elle est en transe, elle sent son chibre contre son cul, elle se cambre vient se frotter a cette bosse. Elle en rêve jour et nuit de ce vît, elle ne désire que lui, elle le veut, en coule et halète, petite chienne en manque, elle passe sa main dans son dos et attrape vient caresser l’énorme bosse.
Lui : contente de retrouver ma queue on dirait
Elle : oh oui mon Maître, un gémissement s’échappe de sa gorge
Lui : petite putain, tu couines déjà
Elle : pour vous toujours
Lui : humm et tu la veux où ?
Elle : partout, je la veux partout : dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul.
Le coup de sonnette a l’interphone la fait sursauté, elle n’attends personne, c’est au second coup qu’elle réalise que c’est bien chez elle que ça sonne.
Elle maugréé déjà son interlocuteur, peu importe qui il est on ne dérange pas les gens ainsi. On est dimanche soir, elle relit depuis le début d’après midi, les différents échanges qu’elle a eu avec Lui. Elle est trempée, dégoulinante petite putain en manque… Chacun des mots qu’elle relie avec avidité la dévore, la transperce pour venir se loger dans son sexe.
Elle se lève, juste vêtu d’un débardeur trop long qui vient couvrir l’arrondi de ses fesses mais laisses deviner l’inexistence de sous vêtements, elle prends son temps, au pire cela le fera fuir pense t elle.
Une troisième fois la sonnette retentie, elle décroche, agressive, exaspérée par cet inconnu qui ose la déranger en pleine volupté.
Elle : Quoi ?
Lui : Viens me chercher
Elle reconnait immédiatement sa voix, elle bafouille, suffoque, une vague de chaleur envahie son corps, ses seins se dressent, un léger vertige s’empare d’elle. Elle ne raccroche pas son interphone et court ouvrir la porte sans penser un seul instant au seul et unique morceau de tissu qui couvre a peine sa nudité. Elle traverse la cour pieds nus, son cœur explose dans sa poitrine quand elle aperçoit le bout de ses chaussures dépassant sous la porte bleue.
Une dernière inspiration et elle ouvre les yeux fixés sur ses chaussures, son corps tremble de plus en plus. Quand elle relève la tête et plonge dans ses yeux, ses jambes cèdent et il la rattrape avant qu’elle ne viennent heurté le mur de sa tête.
Lui : et bien je savais que je faisais de l’effet mais je ne pensais pas a ce point là.
Elle : Maître…
Sa voix s’étrangle tout lui paraît surréaliste, son Maître qu’elle n’a pas vu depuis des mois est enfin là et elle est dans ses bras. Elle tente de reprendre constance, se redresse, n’osant pas le regarder une nouvelle fois, de peur que son corps ne la lâche a nouveau.
Elle sent les larmes monter mais elle doit les retenir, elle ne doit pas pleurer même si ceux sont des larmes de joies.
Lui : Bien, allons y
La phrase claque dans son cerveau, de cette même phrase, elle avait à leur première rencontre, fait part de son acceptation de lui offrir son corps.
Elle se retourne pour lui montrer le chemin, il soulève son vêtement sur ses fesses et soupir d’avoir enfin sa chose en vue. Elle réalise qu’elle n’est pas épilée, l’angoisse la dévore, comment lui dire, il va le voir. A peine cette idée la traverse, qu’elle se retrouve plaquée contre le mur en meulière du mur de sa cour. Il se plaque contre elle, elle gémit, des mois qu’elle attends ça, elle est en transe, elle sent son chibre contre son cul, elle se cambre vient se frotter a cette bosse. Elle en rêve jour et nuit de ce vît, elle ne désire que lui, elle le veut, en coule et halète, petite chienne en manque, elle passe sa main dans son dos et attrape vient caresser l’énorme bosse.
Lui : contente de retrouver ma queue on dirait
Elle : oh oui mon Maître, un gémissement s’échappe de sa gorge
Lui : petite putain, tu couines déjà
Elle : pour vous toujours
Lui : humm et tu la veux où ?
Elle : partout, je la veux partout : dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul.
Re: Torpeurs
Le carrelage
Elle ferme les yeux, un frisson la parcourt, ses seins se tendent. Elle s'imagine, L'imagine, a ses cotés dans ce canapé. Il l'a fait se lever, mains sur la table basse, pliée en deux, reins cambrés, offerte en cette simple position.
Il la caresse, ses doigts réveillent son épiderme, elle halète petite putain en manque. Ses mains se jouent d'elle, remonte des genoux sur sa croupe qu'elle tend pour lui offrir un peu plus. Il continue son manège, il effleure son sexe détrempé et remonte sur les globes, les pétries durement, incrustes ses doigts dans sa chair brulante. Elle gémit, la main frappe. Encore pense t elle. Elle en veut encore de cette sensation qui la déroute. Il continue frappe l’une puis l’autre fesse, elle couine, se tortille, le son de sa main tombant sur sa peau l’enivre, elle devrait fuir mais cherche sa main. Un doigt s’enfonce dans son intimité, elle gémit de bonheur, il lui demande si elle aime, elle lui réponds qu’elle adore, il la fouille a deux doigts, écarte ses chairs, elle s’offre plus, totalement cassée en deux, sa tête tourne mais il continue et vient jouer avec son œillet. Elle sursaute, instant de panique quand elle pense a son chibre, qui la pourfendra pourtant sans difficulté.
Une phalange s’insère vient la préparer puis il y enfonce son doigt, elle sent le doux massage. Elle n’a plus aucune résistance et se donne, s’empale d’elle-même sur ce doigt, ses gémissements ont repris, il rigole de la voir ainsi, petite putain en chaleur avide et se pilonnant d’elle-même.
Il retire son doigt et le renfonce dans sa chatte brulante y joue un instant avant de lui présenter, elle lèche, se lèche, pompe ses doigts comme elle le ferait avec sa queue.
Il se redresse, attrape ses cheveux et la jette face contre le carrelage froid, couchée de tout son long, elle le regarde, cherche a comprendre comme si elle le pouvait. Elle le voit sortir sa queue, il se branle au dessus d’elle, elle gémit, veut son vit, aimerai le lécher, l’avaler, le pomper jusqu'à se qu’il explose dans sa bouche mais elle ne peut pas bouger, son pieds sur son dos la maintient clouer au sol.
Il attrape sa ceinture et tout en se branlant vient claquer son cul, elle le redresse, se cambre, lui offre. Elle ne sait plus qui elle est. Si elle n’est plus qu’une poupée de chair qui coule et se répand sur ce carrelage. Elle brule de l’intérieur, son désir se consume, elle est en feu, elle le veut, se tortille, elle lui dit dans un souffle, il lui fait répéter encore et encore jusqu'à se que son murmure se transforme en cri. Son corps tremble, réclamant sa dose, elle hurle qu’elle veut qu’il la baise, la défonce, la pilonne part tout ses trous. Elle n’est plus elle, elle est sa chose, il s’installe derrière elle et s’enfonce d’un coup sec dans sa chatte, elle soupir de bonheur. Remplie à la perfection, le vit de son Maître enfin en elle. Il la fouille, la pilonne, elle est loin dans une transe irréelle, lorsqu’il s’enfonce dans son cul, elle revient peu à peu à elle. Il lui ordonne de se branler il veut la sentir jouir ainsi, sa queue dans son fondement, l’orgasme n’est pas loin, elle couine, se cambre pour le sentir encore plus profondément en elle. Lorsque sa ceinture vient enserrer son cou, elle explose dans un cri bestial. Il reste calé dans ses reins le temps que les spasmes se calment, la fait se retourner, se retire, se branle et jouie sur son corps nue et vidée de toute énergie.
Elle ferme les yeux, un frisson la parcourt, ses seins se tendent. Elle s'imagine, L'imagine, a ses cotés dans ce canapé. Il l'a fait se lever, mains sur la table basse, pliée en deux, reins cambrés, offerte en cette simple position.
Il la caresse, ses doigts réveillent son épiderme, elle halète petite putain en manque. Ses mains se jouent d'elle, remonte des genoux sur sa croupe qu'elle tend pour lui offrir un peu plus. Il continue son manège, il effleure son sexe détrempé et remonte sur les globes, les pétries durement, incrustes ses doigts dans sa chair brulante. Elle gémit, la main frappe. Encore pense t elle. Elle en veut encore de cette sensation qui la déroute. Il continue frappe l’une puis l’autre fesse, elle couine, se tortille, le son de sa main tombant sur sa peau l’enivre, elle devrait fuir mais cherche sa main. Un doigt s’enfonce dans son intimité, elle gémit de bonheur, il lui demande si elle aime, elle lui réponds qu’elle adore, il la fouille a deux doigts, écarte ses chairs, elle s’offre plus, totalement cassée en deux, sa tête tourne mais il continue et vient jouer avec son œillet. Elle sursaute, instant de panique quand elle pense a son chibre, qui la pourfendra pourtant sans difficulté.
Une phalange s’insère vient la préparer puis il y enfonce son doigt, elle sent le doux massage. Elle n’a plus aucune résistance et se donne, s’empale d’elle-même sur ce doigt, ses gémissements ont repris, il rigole de la voir ainsi, petite putain en chaleur avide et se pilonnant d’elle-même.
Il retire son doigt et le renfonce dans sa chatte brulante y joue un instant avant de lui présenter, elle lèche, se lèche, pompe ses doigts comme elle le ferait avec sa queue.
Il se redresse, attrape ses cheveux et la jette face contre le carrelage froid, couchée de tout son long, elle le regarde, cherche a comprendre comme si elle le pouvait. Elle le voit sortir sa queue, il se branle au dessus d’elle, elle gémit, veut son vit, aimerai le lécher, l’avaler, le pomper jusqu'à se qu’il explose dans sa bouche mais elle ne peut pas bouger, son pieds sur son dos la maintient clouer au sol.
Il attrape sa ceinture et tout en se branlant vient claquer son cul, elle le redresse, se cambre, lui offre. Elle ne sait plus qui elle est. Si elle n’est plus qu’une poupée de chair qui coule et se répand sur ce carrelage. Elle brule de l’intérieur, son désir se consume, elle est en feu, elle le veut, se tortille, elle lui dit dans un souffle, il lui fait répéter encore et encore jusqu'à se que son murmure se transforme en cri. Son corps tremble, réclamant sa dose, elle hurle qu’elle veut qu’il la baise, la défonce, la pilonne part tout ses trous. Elle n’est plus elle, elle est sa chose, il s’installe derrière elle et s’enfonce d’un coup sec dans sa chatte, elle soupir de bonheur. Remplie à la perfection, le vit de son Maître enfin en elle. Il la fouille, la pilonne, elle est loin dans une transe irréelle, lorsqu’il s’enfonce dans son cul, elle revient peu à peu à elle. Il lui ordonne de se branler il veut la sentir jouir ainsi, sa queue dans son fondement, l’orgasme n’est pas loin, elle couine, se cambre pour le sentir encore plus profondément en elle. Lorsque sa ceinture vient enserrer son cou, elle explose dans un cri bestial. Il reste calé dans ses reins le temps que les spasmes se calment, la fait se retourner, se retire, se branle et jouie sur son corps nue et vidée de toute énergie.
Dernière modification par Invité le 18 juillet 2011, 12:05, modifié 1 fois.
Re: Torpeurs
Un lundi matin, mais ça va pas bien non ?
On se demande ce qu'elle a fait de son dimanche, hum hum...
V., qui aurait bien une petite idée...
On se demande ce qu'elle a fait de son dimanche, hum hum...
V., qui aurait bien une petite idée...

Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :bah c'est pas de ma faute madame j'vous jure
c'est de sa faute a Lui
haaaaan


Re: Torpeurs
nan mais genre y'a des heures et des jours pour poster ce genre de texteVintage a écrit :Un lundi matin, mais ça va pas bien non ?
On se demande ce qu'elle a fait de son dimanche, hum hum...
V., qui aurait bien une petite idée...

tu le sais très bien se que j'ai fait de mon dimanche

Cédille, victime de la perversité de son Dom

Re: Torpeurs
Viiiiiiiiiiiiiiiii je suis une victime, consentante la victimeLaphoenix75 a écrit :
haaaaancomment tu dis que c'est de sa faute

Re: Torpeurs
Vintage a écrit :Un lundi matin, mais ça va pas bien non ?
On se demande ce qu'elle a fait de son dimanche, hum hum...
V., qui aurait bien une petite idée...
beh en même temps hein, ça met en forme :cinglé:
Re: Torpeurs
Vintage a écrit :Un lundi matin, mais ça va pas bien non ?
On se demande ce qu'elle a fait de son dimanche, hum hum...
V., qui aurait bien une petite idée...
Le lundi soir, le résultat est le même.

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Re: Torpeurs


Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :moi je suis ultra calme, la zénitude incarnée quoi
faut que je te requote ici



Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit :je m'éclaircissais la voix, le matin je fais toujours ça :siffle2:
ça devait être bien rauque

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Re: Torpeurs
J'essaye, j'essaye, mais spa facileCedille92 a écrit :M'enfin ma jolie biquette restes calme

Vous ne savez pas à quel point vous êtes fort tant que vous n’avez pas besoin de l’être.
Re: Torpeurs
comment tu sais que j'ai rêvé de çaLaphoenix75 a écrit :Tu vas te retrouver bâillonner et saucissonnée![]()

ah bah faut y mettre un peu du tiensBikette a écrit : J'essaye, j'essaye, mais spa facile


Re: Torpeurs
Cedille92 a écrit : un chat dans la gorge
il est vrai quelque soit l'heure du matin, je confirme.


Pi quand elle est dans son nuage, elle chante............................

Re: Torpeurs
N'importe quoi je chante pasJak67 a écrit :
il est vrai quelque soit l'heure du matin, je confirme.![]()
![]()
Pi quand elle est dans son nuage, elle chante............................![]()

Re: Torpeurs
La voiture
Elle l'attends depuis presque 15 minutes maintenant. Elle ne sait pas se qui l'attends, il lui a juste parler de sucer pendant un trajet en voiture. Elle a tellement envie de sentir la queue de son Maitre entre ses lèvres que l'excitation monte.
Il se gare devant elle et lui ouvre la portière. Elle monte, ose a peine le regarder. Il démarre instantanément lui demandant si elle va bien. Elle lui réponds que oui.
Elle sent son regard sur elle, il lui demande si elle a respecter la tenue demandée, elle acquiesce de la tête, la giffle part "c'est comme ça qu'on me réponds"
"non veuillez accepter mes excuses mon Seigneur. Oui j'ai mis les vêtements que vous avez demandées".
"Bien, montres moi"
Elle a remarqué qu'il ne l'a pas excuser, elle le paiera donc d'une manière ou d'une autre. Lentement elle défait sa robe laissant apparaitre uniquement un serre taille string en tulle et des bas attachées par des jarretelles. Il la félicite de sa tenue si sensuelle et de parfaite putain. Le mot l'enflamme, elle aime qu'il la nomme ainsi. Il se gare prestement. Il vient la caresser, il joue avec ses tétons durcis de plaisir, les aspire avant de les mordre puis remonte dans son cou. Leur lèvres s'unissent, leur langues s'effleurent en un ballet sensuel.
Elle soupir déjà. Son sang pulse dans ses veines, il descend sa main entre ses cuisses, joue avec la ficelle et enfonce d'un coup l'un de ses doigts. Elle s'ouvre, s'offre a ses mains, elle halète pendant qu'il la fouille, elle a oubliée ou elle est, elle s'abandonne totalement a lui. Il retire ses doigts et lui présente "déjà trempée petite pute, parfait, tu sais pourquoi tu es la alors exécution".
Elle lèche ses doigts, les embrasses, avant de s'atteler a sa tache.
En posant sa main sur sa braguette, elle remarque qu'il bande déjà, cela la rassure sa plus grande peur réside dans le fait de ne plus le faire triquer.
Elle sort délicatement ce chibre chaud si désiré et le lèche avant de l'avaler, il redémarre la voiture destination inconnue pour elle.
Elle s'en fout, la seule chose qui l'incombe c'est lui donner du plaisir et elle s'applique. Ni trop rapide, ni trop lent, elle caresse le membre d'une main pendant que sa langue vient s'attarder sur le gland et son méat. Elle gobe, tête, aspire, lèche, tout se qu'elle peut faire avec sa bouche elle le fait. Attentive au moindre de ses soupirs. Imperturbable il conduit. La voiture s'arrête, il baisse la vitre trop honteuse elle s'empale un peu plus sur son vit. Il la fait relever la tête pour prendre un ticket : l'autoroute.
Il referme la fenêtre et redémarre, elle reprends sa tache, son oeuvre, essayant de mémoriser tactilement le moindre relief de la pine qu'elle a entre les lèvres.
Elle s'amuse, elle aime lui donner du plaisir ainsi, il la guide quelquefois mais la laisse faire en grande partie.
Puis elle sent la voiture décélérer et s'arrêter, elle n'ose pas relever la tête des fois qu'il y ai du monde autour. Il lui agrippe les cheveux et lui fait redresser la tête. Une air d'autoroute. Il lui demande de sortir et de venir lui ouvrir la porte. Elle s'immobilise son coeur bat dans ses tempes. Sortir ainsi a moitié nue, elle lève les yeux pour plonger dans les siens. Le regard est inflexible, elle essaie de le supplier avec ses grand yeux marrons même si elle sait qu'elle n'y arrivera pas. "J'attends, chaque minutes a attendre sera une de moins a te baiser". Sa respiration s'accélere, pose sa main tremblante sur la portière et l'ouvre. Le froid la saisie et redresse ses tétons et granule son épiderme. Calmement mais surment elle vient lui ouvrir sa portière. Il ne bouge pas, elle se demande se qu'il attend, instinctivement elle s'agenouille, il sort "parfait ma putain"
Il la fait se redresser et la prends dans ses bras. Tendrement il l'enlace, elle se laisse aller a cet instant de bien être.
Ses baisers deviennent morsures, elle vibre sous ses assauts, elle halète, il vient la couche sur le capot, elle se cambre instinctive lui offre sa croupe, sa chose.
Il joue un instant avec sa fente et ses fesses, alternant griffures, claque et caresses, elle est en feu, elle gémit, couine, ferme les yeux pour mieux ressentir se qu'il lui fait, elle coule, il lui fait remarquer, elle a honte mais se tend pour s'offrir un peu plus a cette fouille corporelle.
Il la laisse un instant, la regarde, la fesse de temps en temps, elle ne bouge pas, la chaleur des coups l'ennivre.
Elle l'entends rouvrir sa braguette et se coller a sa fente ruisselante.
Elle couine, elle le veut, il le sait mais ne l'enfile pas encore, elle le supplie "baisez moi my Lord"
"mieux que ça, quand on est une catin de ton rang on demande mieux que ça"
"je vous en supplie mon Seigneur, baisez la petite putain que je suis"
"encore"
Elle répète inlassablement ces mots, les gémit, suppliante... Elle les cris au fur et a mesure qu'il enfile des doigts supplémentaire en elle.
"je pourrais te fister tellement t'es dilaté"
"oh oui mon Seigneur fistez moi"
"t'en as envie"
"oh oui remplissez moi"
Elle sent son con se remplir, il force, elle halète, se concentre dérouter par cette nouvelle sensation.
"pas maintenant mais t'y passera ne t'inquiètes pas"
Elle s'écroule sur le capot et il s'enfonce d'un coup sec.
Elle l'attends depuis presque 15 minutes maintenant. Elle ne sait pas se qui l'attends, il lui a juste parler de sucer pendant un trajet en voiture. Elle a tellement envie de sentir la queue de son Maitre entre ses lèvres que l'excitation monte.
Il se gare devant elle et lui ouvre la portière. Elle monte, ose a peine le regarder. Il démarre instantanément lui demandant si elle va bien. Elle lui réponds que oui.
Elle sent son regard sur elle, il lui demande si elle a respecter la tenue demandée, elle acquiesce de la tête, la giffle part "c'est comme ça qu'on me réponds"
"non veuillez accepter mes excuses mon Seigneur. Oui j'ai mis les vêtements que vous avez demandées".
"Bien, montres moi"
Elle a remarqué qu'il ne l'a pas excuser, elle le paiera donc d'une manière ou d'une autre. Lentement elle défait sa robe laissant apparaitre uniquement un serre taille string en tulle et des bas attachées par des jarretelles. Il la félicite de sa tenue si sensuelle et de parfaite putain. Le mot l'enflamme, elle aime qu'il la nomme ainsi. Il se gare prestement. Il vient la caresser, il joue avec ses tétons durcis de plaisir, les aspire avant de les mordre puis remonte dans son cou. Leur lèvres s'unissent, leur langues s'effleurent en un ballet sensuel.
Elle soupir déjà. Son sang pulse dans ses veines, il descend sa main entre ses cuisses, joue avec la ficelle et enfonce d'un coup l'un de ses doigts. Elle s'ouvre, s'offre a ses mains, elle halète pendant qu'il la fouille, elle a oubliée ou elle est, elle s'abandonne totalement a lui. Il retire ses doigts et lui présente "déjà trempée petite pute, parfait, tu sais pourquoi tu es la alors exécution".
Elle lèche ses doigts, les embrasses, avant de s'atteler a sa tache.
En posant sa main sur sa braguette, elle remarque qu'il bande déjà, cela la rassure sa plus grande peur réside dans le fait de ne plus le faire triquer.
Elle sort délicatement ce chibre chaud si désiré et le lèche avant de l'avaler, il redémarre la voiture destination inconnue pour elle.
Elle s'en fout, la seule chose qui l'incombe c'est lui donner du plaisir et elle s'applique. Ni trop rapide, ni trop lent, elle caresse le membre d'une main pendant que sa langue vient s'attarder sur le gland et son méat. Elle gobe, tête, aspire, lèche, tout se qu'elle peut faire avec sa bouche elle le fait. Attentive au moindre de ses soupirs. Imperturbable il conduit. La voiture s'arrête, il baisse la vitre trop honteuse elle s'empale un peu plus sur son vit. Il la fait relever la tête pour prendre un ticket : l'autoroute.
Il referme la fenêtre et redémarre, elle reprends sa tache, son oeuvre, essayant de mémoriser tactilement le moindre relief de la pine qu'elle a entre les lèvres.
Elle s'amuse, elle aime lui donner du plaisir ainsi, il la guide quelquefois mais la laisse faire en grande partie.
Puis elle sent la voiture décélérer et s'arrêter, elle n'ose pas relever la tête des fois qu'il y ai du monde autour. Il lui agrippe les cheveux et lui fait redresser la tête. Une air d'autoroute. Il lui demande de sortir et de venir lui ouvrir la porte. Elle s'immobilise son coeur bat dans ses tempes. Sortir ainsi a moitié nue, elle lève les yeux pour plonger dans les siens. Le regard est inflexible, elle essaie de le supplier avec ses grand yeux marrons même si elle sait qu'elle n'y arrivera pas. "J'attends, chaque minutes a attendre sera une de moins a te baiser". Sa respiration s'accélere, pose sa main tremblante sur la portière et l'ouvre. Le froid la saisie et redresse ses tétons et granule son épiderme. Calmement mais surment elle vient lui ouvrir sa portière. Il ne bouge pas, elle se demande se qu'il attend, instinctivement elle s'agenouille, il sort "parfait ma putain"
Il la fait se redresser et la prends dans ses bras. Tendrement il l'enlace, elle se laisse aller a cet instant de bien être.
Ses baisers deviennent morsures, elle vibre sous ses assauts, elle halète, il vient la couche sur le capot, elle se cambre instinctive lui offre sa croupe, sa chose.
Il joue un instant avec sa fente et ses fesses, alternant griffures, claque et caresses, elle est en feu, elle gémit, couine, ferme les yeux pour mieux ressentir se qu'il lui fait, elle coule, il lui fait remarquer, elle a honte mais se tend pour s'offrir un peu plus a cette fouille corporelle.
Il la laisse un instant, la regarde, la fesse de temps en temps, elle ne bouge pas, la chaleur des coups l'ennivre.
Elle l'entends rouvrir sa braguette et se coller a sa fente ruisselante.
Elle couine, elle le veut, il le sait mais ne l'enfile pas encore, elle le supplie "baisez moi my Lord"
"mieux que ça, quand on est une catin de ton rang on demande mieux que ça"
"je vous en supplie mon Seigneur, baisez la petite putain que je suis"
"encore"
Elle répète inlassablement ces mots, les gémit, suppliante... Elle les cris au fur et a mesure qu'il enfile des doigts supplémentaire en elle.
"je pourrais te fister tellement t'es dilaté"
"oh oui mon Seigneur fistez moi"
"t'en as envie"
"oh oui remplissez moi"
Elle sent son con se remplir, il force, elle halète, se concentre dérouter par cette nouvelle sensation.
"pas maintenant mais t'y passera ne t'inquiètes pas"
Elle s'écroule sur le capot et il s'enfonce d'un coup sec.
Dernière modification par Invité le 25 juillet 2011, 10:05, modifié 1 fois.
Re: Torpeurs
Je ne sais pas encore si ce texte (cette lettre) restera.
Mais en la relisant et parceque cela fait bientôt 1 an j'avais envie de la poster ici même si étant très personnel et écrite dans un contexte douloureux je ne pense pas la laisser. On me demande souvent qui se cache derrière l'auteur, je pense que cette lettre en est la réponse.
Lettre à mon Seigneur
[...] Nos vies sont compliquées et s’entrechoquent comme le marteau martèle le fer dans un rythme saccadé. Et pourtant je me souviens de tout… Mes sous vêtements hors de prix achetés pour ce parfait inconnu qui allait reprendre possession de mon corps après tant d’années d’abandon.
Chose difficile et pourtant appréhendée par vous avec la sérénité qui est votre. Je suis assise dans le bar de cet hôtel j’ai mis approximativement 15 minutes à trouver la meilleure place, mon IPhone dernière échappatoire dans lequel je me noie pour oublier que ce soir je renais ou meurt dans la turpitude de mon corps.
Et cette voix que je connais par cœur m’interpelle. Je vous décrypte, vous détaille, chaussures de ville, jean, chemise, veste et pull non challamant posé sur vos épaules. Vous me détaillez je plonge dans vos yeux marrons. Ils me transpercent immédiatement, j’ai du mal à respirer et pourtant au fond de moi cette petite voix hurle : « sois forte, ai l’air détendu, fais le, pour toi ».
Vous allez vous chercher votre verre et m’offrez le mien, nous discutons de chose banale, nous somme deux parfaits inconnus s’étant donné rendez vous dans un bar d’hôtel un vendredi soir.
Nous sortons fumer une cigarette et déjà le premier ordre tombe : « tu as jusqu'à la fin de ta cigarette pour choisir : soit je monte avec toi dans la chambre, soit je rentre chez moi ». Mon cœur s’emballe, mon corps s’enflamme, jamais je n’ai mis autant de temps a fumer une cigarette qu’a ce moment là. La petite voix est là : « choisis ma belle, c’est maintenant ou jamais, tu peux le faire, n’abandonnes pas, tu es là pour ça ». Une dernière grande inspiration, je vous chuchote : « allons y » vous me faites répétez : « allons y ». Vous m’interpellez : « où ? » je vous réponds : « dans ma chambre ». Le pacte est scellé, le choix est fait, mon choix, celui de m’abandonner corps et âmes enfin à celui qui déjà m’offre des orgasmes ravageurs par téléphone.
Nous montons, je suis presque déçue que vous ne tentiez rien dans l’ascenseur, je me demande si je vous plait tant que ça. Nous arrivons devant la chambre, mes mains tremblent tellement que je devrais m’y reprendre a trois reprise avant d’arriver à ouvrir cette satanée porte. Nous rentrons, je suffoque, l’attente, la frustration se fait déjà connaître, nous parlons a peine. Vous venez vous coller à moi, je suis au bord du bureau. Vos lèvres rencontrent ma peau pour la première fois, je fonds, c’est fini, je m’abandonne, je repose ma tête en arrière sur votre épaule dans l’attente, je suis frisson, premier baiser magique, nos lèvres, nos langues s’accordent si bien que s’en est troublant. Vos mains se posent sur le tissu de ma robe, me caressent, combien de temps, depuis combien de temps un homme ne m’a pas tenue ou toucher de la sorte. Je m’abandonne totalement à vous.
Les ordres tombent, vous allumez une cigarette, « Vire moi ça » je m’exécute, mon corps tremble, mon cœur se pince mais je veux savoir, j’en veux déjà plus. « Tournes toi, montre toi à moi » petite fille soudainement que je suis, et malgré la honte qui m’envahit je m’exécute, je baisse la tête et fais un tour sur moi-même. Vous lâcher un « ravissant », je fonds de nouveau, un peu plus comme si cela était possible. Vos lèvres, votre langue, votre bouche et vos doigts s’emparent de mon corps. Jamais je n’aurai pris autant de plaisir a une première rencontre que ce jour là… Vous m’asseyez sur le lit et continuez de vous approprier chacune des parcelles de mon être. L’ordre tombe à nouveau : « branles toi », malgré la honte je le fais, je ferme les yeux pour mieux me concentrer mais je sens votre regard, celui qui voit au-delà, il me brûle, oui il me brûle, ma peau me brûle, j’ai honte et en même temps tellement de plaisir, comme est ce possible. « Continues ! je vais prendre une douche, ne t’arrêtes pas » je continues comme si je pouvais m’arrêter dans le plaisir que je me donne pour vous car oui après autant de jouissance au téléphone, je suis fière de vous montrer comment.
Tout se mélange : honte, plaisir, bonheur, torpeur. Je ne m’arrête pas et je n’ose pas rouvrir mes yeux, l’eau ne coule pas mais je sens le froissement des vêtements qui s’empilent un par un à même le sol. Vos deux mains se posent sur mes genoux, votre langue vient lécher l’intérieur de ma cuisse, je suis transporter de ce simple geste, vos doigts s’enfoncent en moi, commentaires déplacés : « parfaitement dilatés petite salope », je susurre, murmure un « oui ». Je découvre un autre monde, l’eau coule et pourtant mes doigts n’arrêtent pas de maltraiter mon intimité, vous réapparaissez : « redresses toi, ouvres les yeux chienne » Je m’exécute, je me trouve face a cette serviette enroulée a votre taille et cette bosse plus que proéminente. Vous ne m’avez menti en rien, votre vît, ce sexe qui va bientôt prendre pleinement possession de mon intimité est largement au-deçà de la moyenne.
Un moment de panique, je le caresse pour mieux appréhender ma peur, le faire mien, détache la serviette, non challament vous vous rallumez une cigarette et je viens du bout de ma langue vous gouter pour la première, cela était convenu je me devais de vous sucer malgré mes performances médiocres au dire de certains. Je m’applique, scolaire, lécher, avaler, sucer, mais sentir ce membre chaud, le votre me transcende et j’y prendrai presque plaisir, non j’y prends plaisir. Avoir un tel mandrin en bouche à quelque chose de salutaire pour moi. Vous me guidez, m’apprenez, puis me rallonger, me doigter odieusement, je gesticule, m’empale sur vos doigts qui me connaissent déjà si bien, si vite. Vous me retirez mon tanga, le moment est venu, attraper une protection, venez contre ma peau enflammée qui vous réclame. Vous m’embrassez et plongez vos yeux dans les miens : « quelle position préfères-tu ? » je ne sais pas, je suis paniqué, vous le dit et vous réponds un « normal » au lieu de missionnaire, vous comprenez.
Aujourd’hui en réécrivant cela je me souviens de chaque centimètre de Vous prenant entièrement possession de moi, écartelant mes chairs, corps et âmes je devenais vôtre.
Infiniment merci, votre Putain… M.
Mais en la relisant et parceque cela fait bientôt 1 an j'avais envie de la poster ici même si étant très personnel et écrite dans un contexte douloureux je ne pense pas la laisser. On me demande souvent qui se cache derrière l'auteur, je pense que cette lettre en est la réponse.
Lettre à mon Seigneur
[...] Nos vies sont compliquées et s’entrechoquent comme le marteau martèle le fer dans un rythme saccadé. Et pourtant je me souviens de tout… Mes sous vêtements hors de prix achetés pour ce parfait inconnu qui allait reprendre possession de mon corps après tant d’années d’abandon.
Chose difficile et pourtant appréhendée par vous avec la sérénité qui est votre. Je suis assise dans le bar de cet hôtel j’ai mis approximativement 15 minutes à trouver la meilleure place, mon IPhone dernière échappatoire dans lequel je me noie pour oublier que ce soir je renais ou meurt dans la turpitude de mon corps.
Et cette voix que je connais par cœur m’interpelle. Je vous décrypte, vous détaille, chaussures de ville, jean, chemise, veste et pull non challamant posé sur vos épaules. Vous me détaillez je plonge dans vos yeux marrons. Ils me transpercent immédiatement, j’ai du mal à respirer et pourtant au fond de moi cette petite voix hurle : « sois forte, ai l’air détendu, fais le, pour toi ».
Vous allez vous chercher votre verre et m’offrez le mien, nous discutons de chose banale, nous somme deux parfaits inconnus s’étant donné rendez vous dans un bar d’hôtel un vendredi soir.
Nous sortons fumer une cigarette et déjà le premier ordre tombe : « tu as jusqu'à la fin de ta cigarette pour choisir : soit je monte avec toi dans la chambre, soit je rentre chez moi ». Mon cœur s’emballe, mon corps s’enflamme, jamais je n’ai mis autant de temps a fumer une cigarette qu’a ce moment là. La petite voix est là : « choisis ma belle, c’est maintenant ou jamais, tu peux le faire, n’abandonnes pas, tu es là pour ça ». Une dernière grande inspiration, je vous chuchote : « allons y » vous me faites répétez : « allons y ». Vous m’interpellez : « où ? » je vous réponds : « dans ma chambre ». Le pacte est scellé, le choix est fait, mon choix, celui de m’abandonner corps et âmes enfin à celui qui déjà m’offre des orgasmes ravageurs par téléphone.
Nous montons, je suis presque déçue que vous ne tentiez rien dans l’ascenseur, je me demande si je vous plait tant que ça. Nous arrivons devant la chambre, mes mains tremblent tellement que je devrais m’y reprendre a trois reprise avant d’arriver à ouvrir cette satanée porte. Nous rentrons, je suffoque, l’attente, la frustration se fait déjà connaître, nous parlons a peine. Vous venez vous coller à moi, je suis au bord du bureau. Vos lèvres rencontrent ma peau pour la première fois, je fonds, c’est fini, je m’abandonne, je repose ma tête en arrière sur votre épaule dans l’attente, je suis frisson, premier baiser magique, nos lèvres, nos langues s’accordent si bien que s’en est troublant. Vos mains se posent sur le tissu de ma robe, me caressent, combien de temps, depuis combien de temps un homme ne m’a pas tenue ou toucher de la sorte. Je m’abandonne totalement à vous.
Les ordres tombent, vous allumez une cigarette, « Vire moi ça » je m’exécute, mon corps tremble, mon cœur se pince mais je veux savoir, j’en veux déjà plus. « Tournes toi, montre toi à moi » petite fille soudainement que je suis, et malgré la honte qui m’envahit je m’exécute, je baisse la tête et fais un tour sur moi-même. Vous lâcher un « ravissant », je fonds de nouveau, un peu plus comme si cela était possible. Vos lèvres, votre langue, votre bouche et vos doigts s’emparent de mon corps. Jamais je n’aurai pris autant de plaisir a une première rencontre que ce jour là… Vous m’asseyez sur le lit et continuez de vous approprier chacune des parcelles de mon être. L’ordre tombe à nouveau : « branles toi », malgré la honte je le fais, je ferme les yeux pour mieux me concentrer mais je sens votre regard, celui qui voit au-delà, il me brûle, oui il me brûle, ma peau me brûle, j’ai honte et en même temps tellement de plaisir, comme est ce possible. « Continues ! je vais prendre une douche, ne t’arrêtes pas » je continues comme si je pouvais m’arrêter dans le plaisir que je me donne pour vous car oui après autant de jouissance au téléphone, je suis fière de vous montrer comment.
Tout se mélange : honte, plaisir, bonheur, torpeur. Je ne m’arrête pas et je n’ose pas rouvrir mes yeux, l’eau ne coule pas mais je sens le froissement des vêtements qui s’empilent un par un à même le sol. Vos deux mains se posent sur mes genoux, votre langue vient lécher l’intérieur de ma cuisse, je suis transporter de ce simple geste, vos doigts s’enfoncent en moi, commentaires déplacés : « parfaitement dilatés petite salope », je susurre, murmure un « oui ». Je découvre un autre monde, l’eau coule et pourtant mes doigts n’arrêtent pas de maltraiter mon intimité, vous réapparaissez : « redresses toi, ouvres les yeux chienne » Je m’exécute, je me trouve face a cette serviette enroulée a votre taille et cette bosse plus que proéminente. Vous ne m’avez menti en rien, votre vît, ce sexe qui va bientôt prendre pleinement possession de mon intimité est largement au-deçà de la moyenne.
Un moment de panique, je le caresse pour mieux appréhender ma peur, le faire mien, détache la serviette, non challament vous vous rallumez une cigarette et je viens du bout de ma langue vous gouter pour la première, cela était convenu je me devais de vous sucer malgré mes performances médiocres au dire de certains. Je m’applique, scolaire, lécher, avaler, sucer, mais sentir ce membre chaud, le votre me transcende et j’y prendrai presque plaisir, non j’y prends plaisir. Avoir un tel mandrin en bouche à quelque chose de salutaire pour moi. Vous me guidez, m’apprenez, puis me rallonger, me doigter odieusement, je gesticule, m’empale sur vos doigts qui me connaissent déjà si bien, si vite. Vous me retirez mon tanga, le moment est venu, attraper une protection, venez contre ma peau enflammée qui vous réclame. Vous m’embrassez et plongez vos yeux dans les miens : « quelle position préfères-tu ? » je ne sais pas, je suis paniqué, vous le dit et vous réponds un « normal » au lieu de missionnaire, vous comprenez.
Aujourd’hui en réécrivant cela je me souviens de chaque centimètre de Vous prenant entièrement possession de moi, écartelant mes chairs, corps et âmes je devenais vôtre.
Infiniment merci, votre Putain… M.